Jacqueline la suite....

- Par l'auteur HDS Mirlaine -
Récit érotique écrit par Mirlaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Jacqueline la suite.... Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Jacqueline la suite....
Jacqueline est ma tante de 65 ans et toujours aussi désirable pour son âge.

Nous avons eu l’occasion de faire plus ample connaissance avec elle et son mari.
J’ai pu apprécier cette femme fontaine et aussi la vigueur de son mari qui m ‘a fait jouir comme jamais. Je ne suis pas gay mais j’ai pourtant terriblement apprécié sa queue dans mon anus.

Voici la suite des événements.

Jacqueline était désormais ma maitresse mais je me devai de lui rendre son affection en me faisant enculer par son mari. C’était notre deal.

Je n’étais pas enchanté mais ces jours passés avec ma tante me valaient bien une belle enculade tant elle pouvait me procurer du plaisir

La veille j’étais arrivé en vendée et avait eu l’occasion de voir ma tante se faire prendre sans aucune pudeur.
De mon côté j’avais pu la lécher, lui prendre le vagin et alors qu’elle m’avait fait découvrir une plage naturiste j’avais à nouveau découvert la joie de la sodomie.

Nous étions revenus à la maison rassasiés.

Le lendemain je dis à ma tante qu’il serait bon que nous nous calmions un peu et lui proposai de nous rendre au casino l’après midi.

Elle était d’accord. Nous avions passé une bonne nuit et nous étions bien reposés.

Vers 14H45 elle me dit qu’elle était prête pour aller jouer quelques euros au casino.

Je lui répondai qu’il était trop tôt si je voulais l’emmener au restaurant. Mais elle m’affirma
qu’elle sentait que c’était son jour et qu’elle allait gagner. Et que par conséquent nous serions à l’heure au restaurant.

Il était 15 heures.

J’enfilai un jean, ,un tee shirt, et un gilet ras du cou rouge.

- Je suis prête cheri!
Jacqueline apparu vêtue d’un long gilet en V en cachemire beige. De bas blancs et de très hauts talons.

Ses seins lourds semblaient percer ce pull sans aucun gêne. Elle avait pris soin de boutonner sa robe pull totalement.
Elle ne souhaitait pas trop attirer l’attention.

Cette fois nous avons pris ma voiture et à peine arrivés à l’entrée du casino un voiturier vint à notre rencontre pour me demander mes clés.


Nous lui avons laissé nos clés et nous sommes rendus au casino.

Jacqueline était très sensuelle et vraiment désirable.


A l’entrée notre carte d’identité nous fut demandée pour voir si nous n’étions pas interdit de casino.
Tout était ok.


Nous avons pris 100 euros de jetons chacun puis nous sommes séparés en prenant tout de même le temps
de nous faire un long baiser.

Je lui ai juste dit que celui qui aurait le moins de jetons à la fin aurait un gâge.

Je connaissais un peu les machines à sous. Mais au bout d’une demi heure j’avais perdu 30 euros et Jacqueline
vint me voir avec plein de jetons qui faisaient qu’elle avait gagné 100 euros.

Elle alla les encaisser et était très fière.

- Je t’ai battu me dit elle
- Oui tu es la meilleure mais la partie n’est pas terminée. Il me reste 70 euros.

- Viens me rejoindre dans les toilettes TOUT DE SUITE me dit elle.


Son ton ne me laissait pas le choix.
Je pris un moment à trouver les toilettes mais au bout de cinq minutes je m’y introduisis discrètement.

Jacqueline m’attendait tranquillement. Elle avait déboutonné sa robe pull complètement et ses seins étaient maintenant visibles.
Sa chatte épilée luisait et me faisait penser à un abricot bien mûr.

- Je t’ai battu chéri! me dit elle. Tu feras ce que je veux maintenant.

- Tu me bats pour le moment Jacqueline mais il me reste encore quelques euros et au casino ce n’est jamais fini
avant d’avoir dépensé son dernier jeton! lui fis je la remarque en riant. Et pour l’instant le jeu n’est pas terminé.

- J’ai trop envie de toi chérie. Laisse moi au moins te sucer un peu.
- Il n’en est pas question. Tu pourras faire ce que tu veux de moi lorsque je n’aurai plus de tout de jetons.
A moins que ce ne soit l’inverse… Rires

J’avais terriblement envie de la prendre mais je voulais la faire patienter et l’exciter davantage.
J’écartai sa robe en cachemire et lui caressai les seins. Je l’embrassai avec fougue et elle me rendit
mon baiser comme une étudiante de vingt ans. C’était bon. Fougueux, furieux, sensuel et tendre à la fois.

Je constatai que Jacqueline ne portait pas de culotte. Je lui en fit la remarque et j’eu pour unique réponse un sourire
complice.

- Néanmoins j’admets que pour l’instant tu me bats et comme tu paraîs très excitée je vais te branler un peu.

J’insérai sans ménagement trois doigts dans sa chatte déjà très humide. Puis je les remuai très rapidement
dans son puits d’amour et son corps se fit tout de suite très réceptif. A chaque fois que je sentais qu’elle allait
jouir j’enlevais mes doigts et elle m’aspergeait de longs jets.
Elle jouit trois fois. Elle haletait et un large sourire illuminait son visage.

- Merci chéri me dit elle. Toi tu sais vraiment me faire jouir!
Je lui enfonçai un doigt dans l’anus, puis deux et tout en lui touchant le clitoris
elle me balança une nouvelle fois tout son jus.

Cela n’avait duré que quelques minutes et, par chance, personne n’était entré dans les toilettes à ce moment.

Elle prit un essuie main et s’essuya la chatte encore pleine de cyprine.
Elle ajusta ses bas et son porte jarretelles et reboutonna sa robe.

- Tu es divin Chéri. Tu m’a bien fait jouir. Mais j’espère quand même gagner notre pari
et tu verras tu auras une grosse surprise.

Nous sortimes ensemble des toilettes pour dames alors qu’une jeune femme allait y entrer.
Elle nous regarda d’un oeil complice et malicieux.

Elle nous lança en riant un « Bon après midi messieurs dames! »

Je me retournai pour la mâter un peu. C’était une fille d’à peine vingt cinq ans. Elle portait une jupe écossaise assez courte,
de longues chaussettes bleu marine qui remontaient au delà de ses genoux, de jolis souliers bicolores vernis et un pull en angora
blanc qu’elle avait pris soins de boutonner jusqu’au cou. Une vraie petite fille modèle!

Jacqueline s’aperçut bien évidemment de mon manège et me demanda si cette petite me plaisait.
Je lui avouai qu’effectivement elle avait de bien jolis atouts mais que ce n’était plus de mon âge.

Elle ria puis nous sommes retournés dans la salle des machines à sous.

Jacqueline avec ses 200 euros et moi avec mes 70 euros.
Je décidai de choisir une machine à un euro la mise. Après tout ma maitresse avait trop
d’avance et je me devais de tenter le tout pour le tout pour la battre.

Le temps avait passé assez vite mais il n’était que 17H00 et je comptais encore m’amuser un peu.

Jacqueline prit une machine non loin de la mienne et commença à jouer.
A mon premier coup de manche je n’obtins rien mais alors qu’il ne me restait qu’une trentaine d’euros
je me décidai à jouer trois pièces à la fois. Cela augmentait les risques de perdre rapidement mais
aussi de gagner trois fois plus.

Bien m’en a pris car au bout de deux coups je décrochai une combinaison à 400 euros!

Les pièces descendaient et les gens se retournaient pour constater mon joli gain.
Même Jacqueline, qui pourtant était attentive à son jeu, s’était redressée et avait jeté un oeil dans ma
direction en me lançant un sourire sarcastique mais tout autant aimant.

Je me dis que c’était mon jour de chance et que j’allais enfin pouvoir réaliser le fantasme que j’imaginais
depuis longtemps avec ma tante.

Alors que je ramassais mes pièces et tentait de les mettre dans les pots destinés aux jetons je vis que la jeune femme
que nous avions rencontré au sortir des toilettes avait pris place à côté de Jacqueline.

Elles jouaient et finirent par se parler au bout de très peu de temps. Elles riaient et semblaient s’apprécier.

De mon côté je continuai à jouer en espérant atteindre le « Jackpot ». On ne lâche jamais une machine qui gagne!

Mes gains et pertes variaient mais je restai assez stable. je devais avoir encore mes 400 euros.

D’un seul coup j’entendis une sonnette retentir. C’était le fruit et le bruit d’un Jackpot! Dans de tels cas tous les joueurs
se retournent pour voir la tête de l’heureux gagnant en se disant que dix minutes auparavant cela aurait pu
être eux.

Je me retournai donc et constatai que ma Chérie venait de décrocher les trois 7 sur sa machine et qu’elle venait de gagner 1200 euros.

Sa jeune voisine applaudissait et lui donna même deux baisers sur les joues. Elles semblaient s’amuser comme deux petites folles!

C’est alors que je décidai de changer de machine et de choisir celle juste à côté de la jeune femme BCBG.

J’avais toujours mes 400 euros en poche mais mon retard s’avérait insurmontable.

Je vis la jeune fille parler à Jacqueline dans l’oreille et elle se mirent à rire spontanément.

C’est alors que je pus constater que la demoiselle avait déboutonné largement son pull et laissait apparaître la naissance
de ses seins. Jacqueline avait elle aussi déboutonné le bas de sa robe en laine et lorsqu’elle bougeait ses bas et porte jarretelles
étaient apparents.

Ma tante continuait de jouer ainsi que notre voisine commune qui m’excitait de plus en plus.
Ma tante s’intéressait elle aussi aux femmes?
Je n’y pensai pas un instant tant elle aimait la ou les queues!

A cet instant Jacqueline avait près de 1200 euros et moi toujours mes 400 euros. Je décidai de miser un seul euro
et Jacqueline trois euros. Notre petite voisine jouait consciencieusement et son compte s’approvisionnait petit à petit
comme dans la cigale et la fourni! rires

Il devait être 19H00 et je me rendis compte que Jacqueline avait tout perdu et n’avait plus un sou.
Un sourire parcouru mon visage. J’avais enfin gagné!

Mais dans la précipitation et voulant être encore davantage conquérant je me décidai à jouer encore à tel point
que je perdis jusqu’à ma dernière pièce.

J’étais décontenancé mais heureux. Après tout nous avions passé un bon après midi mais n’aurions pas de
surprise. Je me dirigeai vers ma tante et Jacqueline me confia qu’elle avait tout perdu. J’en avais fait de même
comme un idiot. Et que par conséquent nous n’aurions pas de surprise ce soir là.

Alors que j’invitai Jacqueline à aller dîner au restaurant du casino la jeune femme nous prit tous les deux par les bras.

Je fus un peu surpris mais ne me dérobai pas.

- Alors nous dit -elle, en nous regardant tous les deux droit dans les yeux, lequel d’entre vous à gagné son Pari?
- Personne lui dis-je. Mais comment êtes vous au courant?
- Jacqueline, c’est Jacqueline n’est-ce pas?, m’a dit que vous aviez fait un pari sexuel mais vous semblez être à égalité?
- Oui c’est exact. C’est pourquoi nous allons déjeuner et rentrer chez nous mademoiselle…?
- Jennifer. C’est mon nom. Puis je me permettre de vous inviter au restaurant?
- Vous n’y pensez pas. C’est très gentil de votre part et très aimable mais ce serait plutôt à nous de vous inviter.
- Non, s’il vous plait, faîtes moi ce plaisir. Je suis ici en vacances pour un mois et cela me ferait très plaisir.
J’habite Genève et suis étudiante. Mes parents m’ont payé ces vacances pour que je m’amuse mais les
jeunes de mon âge ne m’intéressent pas.
Dès que je vous ai vu sortir des toilettes j’ai tout de suite ressenti que vous étiez libertins et c’est ce que je recherche.
Et puis ce qui m’a fait craquer est votre tenue à tous les deux. J’adore vraiment les gilets en cachemire
et le fait que vous en portiez chacun l’un de vous m’a fait un effet immédiat.
Je ne devrai pas vous le dire mais quand je suis entrée aux toilettes après vous je n’ai pas pu m’empêcher
de me caresser. Et puis après avoir discuté avec Jacqueline nous nous sommes dit que vous pourriez avoir une petite
surprise.

Sa franchise et sa délicatesse me touchaient et Jacqueline ne semblait pas insensible au charme de Jennifer.

- Alors allons au restaurant Jennifer mais sachez que cela me gêne que vous désiriez nous inviter.

- Ne vous inquiétez pas me dit elle en déposant un baiser sur ma joue. Tout en se baissant pour m’embrasser je pus
entrevoir ses seins sous son pull en angora blanc et ma seule envie était de les toucher.

Nous nous sommes dirigés vers le restaurant qui était à l’étage. Nous n’avions pas réservé mais comme
il était de bonne heure cela ne posa pas de problème.

Jennifer nous devança et demanda une table pour trois un peu à l’écart. Elle glissa un billet discrètement dans la main du
maître d’hôtel et celui ci nous installa dans un coin à l’abri des regards.

- Merci Jennifer la remercia - t -il.
Visiblement elle était coutumière des lieux.


Elle s’installa à côté de Jacqueline et juste en face de moi.

Nous avons commandé un cocktail et avons discuté de choses et d’autres.

- Vous êtes connue ici? lui demandai-je
- Oui j’y viens tous les ans depuis dix ans. Mais c’est la première fois que je rencontre un couple aussi
sympathique que vous deux.
Elle glissa un sourire à Jacqueline et je vis sa main descendre sur son entrejambe.
De mon côté mes yeux ne pouvaient s’extraire de sa poitrine nue sous son joli pull blanc.
Ses seins étaient gros sans pour autant être volumineux et paraissaient naturels.

Ma maitresse semblait à son comble et ses seins pointaient sous sa robe en laine.

- Voici Mademoiselle Jennifer.
Le maitre d’hôtel venait d’apporter les cocktails.

- Il me semble que le maître d’hôtel n’a d’yeux que pour vous? lui dis-je
- Oui cela fait des années mais je préfère les couples mûrs répondit elle.

- Puis je vous poser une question qui m’interpelle lui demandai je
- Oui bien sûr. Je n’y vois aucun inconvénient. Rien ne me gêne.
- Pourquoi nous avoir choisi moi et Jacqueline? Nous sommes bien plus âgés que vous?
- C’est ce que je me suis dit aussi. Mais quand je vous ai vu sortir des toilettes j’ai compris que
vous étiez les personnes qui correspondaient à mes attentes.
- Ah bon? Mais quelles sont vos attentes?
- Il se trouve que j’adore porter des pulls ou gilets en angora ou en cachemire et quand j’ai vu Jacqueline
avec sa robe pull entrer dans les toilettes j’ai tout de suite eu envie d’aller la rejoindre!
Malheureusement vous êtes entré avant moi mais quand j’ai constaté que vous portiez un gilet en cachemire
plutôt féminin mon sang n’a fait qu’un tour. Mais je n’ai pas osé vous rejoindre.
En revanche quand je vous ai vu sortir j’ai bien évidemment constaté que vous aviez pris du plaisir dans ces
toilettes publiques et ça m’a excité.

Je me suis mis dans la tête que vous deviez être fétichiste de la laine mais il est toujours délicat d’en parler.
C’est Jacqueline ensuite qui m’a avoué vos goûts réciproques et je dois vous dire que ça m’a fait mouiller.

J’étais un peu abasourdi par tant de franchise mais aussi terriblement excité.

Nous avons commandé nos plats puis avons discuté de choses et d’autres. La tension semblait être retombée.

Le dîner s’est bien passé. Au moment de l’addition notre jeune amie sortit sa carte American Express
et laissa un gros pourboire au maître d’hôtel.

Durant tout le repas, bien que je me sois calmé, je n’avais pu détacher mes yeux de ses seins libre sous
son gilet blanc en angora.
Jacqueline se leva, comme pour nous faire signe qu’il était temps de partir et nous en fîmes de même.

Arrivés à la porte du Casino Jennifer donna son ticket au voiturier. Deux minutes plus tard il revint au volant
d’une Porsche Boxster flambant neuve. Notre BMW arriva très peu de temps après.

Nous allions nous séparer alors qu’il n’était que 21H30.

Je m’approchai de la portière de Jennifer et lui demandai si elle souhaitait prendre un dernier verre.

- Je suis d’accord mais seulement si vous venez chez moi me dit elle.
- Non je vous remercie mais vous avez déjà tant fait pour nous.
- J’insiste. Vous ne serez pas déçus, je vous le promets. Je n’habites qu’à cinq minutes de là. Svp acceptez. Vous n’avez qu’à me suivre.
- Ok c’est bien parce que vous êtes charmante.

- Elle démarra en trombe puis s’arrêta pour que je puisse la suivre.
Nous roulions à près de 150 kms par heure sur la route nationale et cela ne me paraissait pas raisonnable.
Elle s’en rendit compte et baissa la cadence.
Deux minutes plus tard nous étions devant une splendide demeure non loin du bord de mer.
Le portail électrique s’ouvra automatiquement et nous entrâmes dans un splendide domaine.

Sa Porsche fit crisser ses freins sur les graviers et s’arrêta promptement.
Je la suivai et arrêtai mon moteur.
Je fis descendre Jacqueline, ma tante, et nous nous dirigeames vers Jennifer.

- Voilà ma maison nous dit elle en souriant.

C’était une énorme bâtisse, assez ancienne, entourée de pins et qui dégageait un calme étonnant.

Jacqueline avait reboutonné sa robe gilet et me prit le bras pour que je l’accompagne.

Suivez moi. Vous êtes mes hôtes désormais.

Nous avons monté les escaliers extérieurs puis sommes entrés dans cette splendide demeure.

Jennifer nous accompagna au salon où nous prirent place Jacqueline et moi.

- Désirez vous un café? nous demanda Jennifer.
- Oui si cela ne vous dérange pas.
- Je serai de retour dans dix minutes, ne vous inquiétés pas nous dit elle.

Nous étions, ma maitresse et moi, dans une si belle demeure,, que cela nous semblait paradisiaque.
Je ne put m’empêcher de caresser la chatte de Jacqueline qui ne tarda pas à mouiller abondamment.

De son côté elle me dit qu’elle avait vraiment envie de ma queue mais que ce n’était sans doute pas le moment.
Effectivement je me voyais mal sortir ma queue alors que Jennifer pouvait apparaitre s’une seconde à l’autre.

Jacqueline mouillait énormément.

Au bout d’une dizaine de minutes Jennifer apparut portant un plateau comportant trois cafés espresso.

Elle avait ôté sa jupe écossaise et revêtu des bas et porte jarretelles couleur chair. Elle avait aussi pris soin de
porter de hauts talons.

Elle ne portait pas de culotte. Sa chatte était entièrement rasée et ressemblait à un fruit mûr qui n’attendait qu’à être
dégusté.

Elle avait changé son haut et remplacé son pull angora blanc par un gilet en cachemire bleu clair très doux et agrémenté de jolis
boutons perlés. Elle avait pris soin de le déboutonner.

Elle déposa les cafés sur la table du salon et nous dit qu’elle devait s’absenter.
Durant son absence je fis part à ma maitresse que cette jeune femme m’excitait.
Elle m’avoua qu’elle aussi et qu’elle n’était pas contre les plaisirs saphiques.

Je mis ma main sous la robe de Jacqueline et constatai qu’elle était mouillée.
De son côté elle n’était pas en reste et avait remarqué la bosse dans mon pantalon.
Elle défit ma braguette, sortit mon membre et commença par me sucer tendrement.

Je n’étais pas trop à mon aise. Jennifer allait revenir d’une seconde à l’autre et je ne voulais
pas la choquer.

Malgré tout Jacqueline ne tarda pas à me faire jouir avec sa bouche et avala toute ma semence.
Je rangeai rapidement mon service trois pièces et alors que Jacqueline essuyait mon sperme
qui sortait de sa bouche Jennifer réapparu avec un sac assez lourd.

- Alors les amoureux comment allez vous? Tu devrais t’essuyer Jacqueline tu as encore du sperme sur la joue.
Elle dit cela si innoçemment que Jacqueline s’essuya sans y prêter attention.

- Prenons note café lui dis je
- Il va être froid dépêchez vous dit elle

Nous commencions à rire et la fellation de Jacqueline m’avait fait du bien.

- Que portes du dans ton sac Jennifer?
- Des gilets en cachemire et en angora. Vous aimesz?
- Oui Jacqueline et moi en sommes amoureux!
- C’est super! C’est assez difficile à dire mais je suis fétichiste des pulls et plus particulièrement des
gilets doux depuis ma plus tendre enfance. Je sais que la plupart des gens pensent que les femmes ne sont
pas fétichistes mais pourtant tel est mon cas. Il n’y a rien de plus qui me fait jouir qu’un joli pull boutonné
sur ma peau douce.

Elle ouvrit sa valise et ce qui nous ait apparu était au delà de nos espérances.
Il y avait du bleu, du rouge, du bleu marine, du blanc, de l’ivoire et de l’angora, du cachemire,
et encore bien d’autres laines très douces. Tous les pulls comportaient de nombreux gilets
et les boutons en nacre véritable ou en perles étaient tout simplement adorables.

Jennifer nous demanda alors de les essayer tous pour voir lequel nous plairait le plus!

ils étaient tous très beaux. Et chaque fois que Jenny en portait un nouveau je bandais comme un taureau et Jacqueline
mouillait.
Nous nous sommes attardés sur un gilet en angora vintage Parkhurst qui comportait neuf boutons en nacre.
La matière était splendide et le gilet correspondait juste à la taille de Jenny.

Il était rouge assez sombre mais d’une douceur extrême. Jenny ne prit même pas la peine de le boutonner.
Les pans du gilets allaient le long de son corps et je m’imaginais déjà enfouir mon sexe dans sa chatte. Jacqueline me dit
qu’elle avait très envie de léchér une belle vulve et qu’elle était toute mouillée.


A suivre…

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