Jamais sans la soubrette - histoire érotique

Je l'ai rencontré un soir sur le quai: elle regardait couler l'eau. C'est
une femme portant bien sa trentaine, brune, poitrine assez forte,
sans tomber. Elle m'a plue aussitôt. Galant comme je suis, ou plutôt
coureur, je ne peux m'empêcher de lui dire qu'elle me plait
beaucoup et que le cas échéant, n'est ce pas.......... C'est elle qui
continu ma phrase, coucher avec moi, pourquoi pas. Je suis surpris
de cette réaction inattendue: je pensais recevoir un paire de gifles.
Ce "pourquoi" pas me trotte dans la tête. Qui est-elle pour répondre
si vite à mon invitation à baiser ? Je sens que je ne vais pas tarder
à l'apprendre.
Nous partons et allons dans une avenue plutôt bien peuplée (le XVI°
Elle habite un appartement luxueux; je peux mieux la voir: ses trais
sont fins et réguliers.
Elle appelle la bonne qui arrive vêtue seulement d'un petit tablier.
Le reste du corps est nu. Ses seins sont fabuleux ainsi que ses
fesses. Ma séductrice lui demande de porter du porto dans le petit
salon où nous entrons. Avant que je lui demande quoique ce soit
elle m'explique que la soubrette n'est pas habillée sur sa demande
parce qu'elle est à sa disposition au cas où elle voudrait avoir une
relation. Je ne demande même pas de qu'elle relation il peut s'agir,
je me doute bien que mon hôtesse est versée sexe.
Elle me demande comment j'ai trouvé sa protégée: bien. Est-ce que
j'aimerai tirer un coup avec elle. je ne sais que répondre. A dire vrai
j'aimerai bien me payer cette fille. Je suis tenu quand même, par
politesse, à sa patronne. Elle insiste en se levant et en
commençant à se déshabiller. elle appelle sa bonne pour qu'elle
l'aide à défaire son corsage trop serré. Je me sens presque pas à
ma place: je vais assister à un spectacle qui me plait: simplement je
n'y ai pas été invité. Elle en revient à sa demande: est-ce que
j'aimerai baiser la soubrette. J'en ai envie. Elle insiste encore et
finalement je suis bien obligé de répondre que oui, j'aimerai bien me
taper cette fille.
Finalement c'est à moi qu'est destiné toute cette mise en scène.
Mon hôtesse s'approche de moi et pose sa bouche sur la mienne.
Nous nous embrassons et elle me prend une main qu'elle pose sur
une de ses fesses. Je ne reste pas de marbre: je commence à
caresser cette demi lune. C'est le but recherché. Je bande et sans
complexe elle me sort la queue. Elle ne fait que me la tenir pour
s'assurer de sa rigidité. Elle commence ensuite à me déshabiller
lentement mais surement: elle sait à priori s'occuper des hommes.
Je me demande si ce n'est pas une hôtesse de luxe qui
normalement tient compagnie à des messieurs moyennant
finances.
Toujours dans ce petit salon, avec sa bonne qui est à son tour nue,
je commence à me demander qui finalement j'aimerai baiser, la
patronne ou l'employée.
Elles n'attendent pas ma réponse, elles se rapprochent et
s'embrassent sur la bouche: elles savent baiser entre elles.
J'ose une question pourquoi cette servante est si docile ? Elle a
été choisi par madame pour ses talents d'amoureuse. Elle le prouve
d'ailleurs: elle renverse sa patronne sur le divan, lui ouvre les
cuisses et enfin prend tout le sexe dans sa bouche. Ses mains se
promènent sur les seins de sa patronne et caressent les aréoles.
Je voit les seins des deux tribades durcir. Je bande de plus en plus.
Je me jette sur les fesses de la donzelle et caresse ses fesses. je
passe ma main dans la fente et abouti à son anus. Elle
m'encourage par de petit mouvements à lui caresser le cul. Je le
fait un moment. Je regarde la visage de l'hôtesse qui ferme les
yeux pour bien déguster le long cunnilingus qu'elle reçoit. Je mouille
avec ma salive le cul de cette bonne et rentre lentement en elle.
Elle répond à mon va-et-vient. je sens que son anus se contracte à
chaque jouissance. Ce n'est pas une femme, c'est une nymphe
offerte à Zeus. Je n'ai pas le temps de jouir quand l'hôtesse a un
orgasme accompagné d'un léger cri. Notre trio se sépare.
Enfin cette femme que j'ai accompagné chez elle me veut
immédiatement dans sa bouche. J'ai la queue pas très nette: elle
s'en fiche, elle aime l'odeur et le goût du cul de sa bonne. je me
laisse faire. Elle se retourne et me donne son con: je trouve son
clitoris bien mouillé après ce qu'elle vient de subir de sa bonne. Je
la lèche avec bonheur: elle a bon goût. Je lui cherche l'anus et y
glisse deux doigts fureteurs. Notre 69 est particulièrement délicieux.
Je sens quelque chose sur mon cul: c'est la servante qui me met un
gode dans le cul.Je ne peux m'y soustraire. J'ai mal au début à
l'anus et cette chose dans mon cul allié à la langue qui me lèche,
me fait jouir. Je suis hors jeu pour un moment
Si je ne peux les satisfaire, les deux femmes savent se donner du
plaisir: elles sont cote à cote et chacune branle l'autre. L'hôtesse
se met à genoux devant le divan et intime à l'autre l'ordre de venir
lui donner son con à sucer. Obéissante et surtout très demandeuse
de sexe, elle lui donne son con. il est sucé et elle reçoit en plus le
gode dans son cul. Elle adore tout ce que lui fait sa patronne.
Je recommence à bander et me branle en les regardant. Je fait la
chose interdite: me branler lors que deux femmes s'aiment juste à
coté. Les deux me veulent. je les installe à ma façon: couché l'une
sur l'autre comme si une était l'homme qui baise sa maîtresse.
Ainsi je peux alterner mes coup de queue: un con et ensuite l'autre.
Les femmes s'embrassent sur la bouche, si elle ne jouissent pas de
cette façon au moins elle entretiennent leur libido. Cette façon de
faire m'excite plus qu'autre chose, aussi je tire au sort la prochaine
qui aura droit à ma pine. C'est la soubrette qui gagne. Ô sa
patronne ne perd rien, elle a droit à ma langue sur son cul.Je pose
ma queue sur le con de cette fille et je rentre facilement: elle est
très mouillée. je me demande même si elle sent ma queue dans son
sexe. Elle doit bien me sentir puisqu'elle bouge sans arrêt sous mes
coups de rein. Quand à l'hôtesse je lui pose le bout de ma langue
sur l'anus. Je la raidi tant que je peux pour bien rentrer. Elle est
dans une position pas très confortable, remue ses fesses et à ma
grande surprise jouit des mouvements de la langue. Elle s'écroule
et au même moment je jouis en même temps que la bonne.
Je suis totalement à plat. Je souhaite arrêter là cette baise
insensée. Prêt à partir je suis vite rattrapé: je dois dormir ici avec
ces deux possédée de la luxure.
Bien obligé je reste, m'endort nu sur le divan. Les filles continuent
sans moi leurs amours. Le lendemain je me réveille avec ma queue
dans la bouche de l'hôtesse qui a besoin de sperme pour son petit
déjeuner. Arrive la bonne revêtue de son tablier de soubrette qui
me propose du café. Je le bois pendant que ma partenaire continu
ses sucions. La soubrette est derrière elle pour la branler. Enfin elle
jouit. Je lui jouit dans la bouche et m'enfuies avec mes vêtements
sous le bras.