JAWAD CHEZ LES NUDISTES - 3
Récit érotique écrit par Jorge [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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JAWAD CHEZ LES NUDISTES - 3
(Histoire loufoque, purement imaginaire, sans lien réel avec la réalité... bien sûr !)
3/ L'OCÉAN !
Passé la dune, nous sommes gifflés par plusieurs rafales successives de vent chaud, chargées d'embruns et de sable fin. Ma grande gellabah est battue par le vent. C'est agréable. Ça me déstabilise un peu.
Je ferme les yeux à moitié. J'emplis mes poumons d'air iodé.
Qu'est-ce que c'est beau !!
À travers mes longs cils noirs, j'entrevois les élément déchaînés. Les vagues gris-bleu sont gigantesques. Elles explosent dans un fracas continu.
De longues lignes noires d'algues sèches strient la plage éblouissante, comme les poils du torse et du pubis de mon ami Kader.
En vrai, cette plage est comme un immense pubis blanc, sur lequel des centaines de culs-nus s'agitent comme des morpions pathétiques.
Et immédiatement, comme une seconde gifle, je sens tous les regards se braquer sur nous. Dans ma barbe, je marmone :
- Zebbi mais continuez donc à jouer, bande d'infidèles... culs-nus de mes deux...
J'avoue qu'avec Kader complètement à poil, nous formons une sorte de couple mal assorti... complémentaire peut-être... intriguant, je le conçois.
En cet instant, mes certitudes religieuses sont bousculées. Moi qui suis en quête de sagesse spirituelle, voilà que je me retrouve longuement vêtu, comme un trans de 1,90m au bras d'un circoncis exhibitionniste... Franchement je me demande ce que je fous là... avec tous ces impies qui nous regardent avec hostilité... Peut-être que ma tenue de prière les effraie... en tous cas moi, c'est eux qui me font un peu peur.
Je regarde Kader pour me rassurer. Zgueg au vent, il respire l'air marin et me sourit de toutes ses dents.
- Putain mon frère !... C'est-y pas beau, ça ?
Le vent sous mon qamis joue avec mes poils, c'est agréable... je les sens s'agiter entre mes jambes, tout autour de mon sexe et en dessous... ils sont secoués en avant et en arrière comme les algues dans le ressac. Zebbi comme c'est bon !
Allez ! Je me dis "courage"... Inch'Allah nous avançons sur la plage.
Le sable est chaud. J'enlève mes sandales. Le zebb bicolore de Kader se balance.
Je m'efforce de ne pas croiser les yeux des infidèles et de ne pas m'attarder sur les variations anatomiques qui m'entourent. En revanche je ressens leur hostilité...
Mon long qamis blanc est battu par le vent. Tantôt il se colle à moi, dévoilant par transparence mon anatomie avantageuse, tantôt il se soulève comme sur une bouche de métro (oui ben si vous croyez que c'est drôle pour un muslim pratiquant de se retrouver le zgueg à l'air en plein Paris... surtout devant une terrasse de café bourrée d'étudiants moqueurs... bande de petits pédés, va !)
Kader lui, évolue avec aisance. Putain qu'est-ce qu'il est beau ! On dirait que pour lui tout est simple et facile. Je sens que je l'aime de plus en plus.
Tous les regards de la plage sont tournés vers notre couple improbable. Si j'avais une poupée gonflable sur les épaules j'aurais moins de succès. Ils nous regardent mal alors que ce sont eux les impies et les fornicateurs. Cette plage est l'antre du péché.
Je ne dois pas les regarder. Si je venais à apercevoir la chatte d'une pécheresse ou pire l'orifice d'un homme infidèle, ce serait très grave : Je serais impur pendant 7 jours !
Alors, pour me rassurer, tout en marchant, je glisse mon bras derrière le dos de mon ami... il frissonne... sa peau est incroyablement douce ! Je laisse mon instinct me guider, pour une fois, et ma main descend naturellement sur le haut de sa fesse. Il ferme les yeux. Ses poils sont plus soyeux que ceux de ma fiancée, sa peau plus douce. Il garde les yeux fermés. Je sens que nos souffles ralentissent. Ma gellabah commence à pointer. Je dois absolument arrêter ça !
Mais, comble du péché, une sorte d'éphèbe roux, genre surfer finement musclé, accourt vers nous en sautillant, bite en avant. Il trotte comme Poly, le petit poney. Il doit avoir 20 ans comme moi. Il a une longue queue de cheval qui balance de droite et de gauche quand il court... non je parle de ses cheveux, là !... D'ailleurs sa queue de poney (sa bite, pour le coup) balance aussi de droite et de gauche... une grosse grosse bite rose surmontée d'une touffe orange qui fait comme un nuage tout suveteux... oh putain comme c'est beau quand même ! Ce genre de mec m'a toujours fait bander... Je ne sais pas pourquoi, d'ailleurs... Mon oncle Abdelaziz (celui qui pisse sans se la tenir) m'a expliqué qu'il n'y a pas d'inverti chez les Arabes, les sodomites c'est que un truc de roumis... Et ça, moi ça me rassure, j'avoue.
- Attendez ! Attendez ! crie le petit poney roux.
On s'arrête et on le regarde trotter dans le vent. Il est beau. Arrivé vers nous, pour ralentir, il se cabre légèrement, sexe en avant. Il jette un œil sur le zebb de mon pote puis se tourne vers moi
- Attendez ! Où allez-vous comme ça ? C'est nudiste, ici, Monsieur !
- Écoutez, je suis muslim pratiquant, vous savez, alors je ne peux pas me plier à vos coutumes de fornicat...
Mais Kader m'interrompt :
- Ne vous inquiétez pas Monsieur Poly... mon ami va enlever sa gellabah dès que nous serons installés, mais là... il est un peu... (il dresse le poing)... il n'est pas habitué, vous comprenez ?
Le petit poney jette un œil sur mon qamis de prière qui pointe... écarquille grand les yeux et me lance une œillade de sodomite :
- Houla... en effet...
Puis se tournant vers Kader, avec un large sourire chevalin :
- Monsieur est gâté !
Kader semble interloqué :
- Qui... moi ?!
Mais le petit poney a déjà tourné les sabots et repart en sautillant, exhibant son gros cul pommé, sa queue de cheval orange et ses boules roses qui ballottent au rythme de son trot.
Je le regarde s'éloigner... que c'est beau, un petit poney qui... mais je sens le regard de Kader sur moi :
- Putain, Jawad !!! Mais arrête de mater !... Déjà que tu pointes !... Tu veux vraiment qu'on se fasse lyncher, là où quoi ?!
- Pas du tout, khouya mon frère, wallah, je ne suis pas comme ça...
- Je sais, je sais, tu me l'as déjà dit, il n'y a pas d'invertis chez les Arabes, je sais...
Son ton ironique est un peu vexant... mais son sourire... il me ferait presque bander, le con !
MON MEILLEUR AMI
Nous nous installons finalement entre plusieurs groupes de personnes. Je sens que les gens nous matent... des invertis, des dégénérés... mais je ne les regarde pas. Je dois à tout prix me maîtriser.
Kader s'assoit à même le sable. Je m'assois à côté de lui, en me décalant un chouïa pour pouvoir bien le regarder... lui j'ai le droit... enfin je crois... puisque c'est mon poto, mon frérot, mon khouya... ma couille !
Assis sur le sable, jambes repliées, mon meilleur ami semble totalement décontracté. Ses glaouis reposent sur le sable, comme deux grosses prunes, deux burnes brunes, toutes plissées. Le bout collant de son zebb de muslim touche le sable lui aussi. Il sait que je le regarde. J'imagine que dans cette position, même son anus pigmenté est à même le sable. Toutes ses parties intimes communient avec la plage. Kader n'a décidément aucune pudeur. Il me sourit... Sans lâcher mon regard, il s'allonge sur le dos, face à moi, jambes écartées... lentement comme une pute... il m'ouvre toute son intimité... en toute amitié... Kader... mon ami... que tu es beau comme ça... jambes repliées, complètement offert... comme un cadeau du ciel !
Puis il ferme les yeux, comme pour me laisser tout loisir de l'observer, de le détailler, de le mater intégralement... profondément... Il écarte les jambes au maximum... Y a-t-il plus beau signe d'amitié ?
La petite bouche de son méat est toute ensablée, comme si elle avait mangé salement, mais elle continue à me sourire... mon Kader... je jurerais que son zebb grossit... il sait que je le mate... il a chaud... à présent ses glaouis sont tout brillants, pendants, collants... mon ami... tu m'ouvres tellement tes jambes... entre frères... sans tabou... ton anus poilu est rempli de sable... que tu es beau...
Je suis tellement près que je pourrais compter ses poils ! J'en profite, je mate chaque centimètre : ses poils qui ondulent dans le vent comme des herbes, sa grosse veine proéminente et ses petites veinules bleues, ses différences de pigmentation du fait de sa circoncision, le contour granuleux de son gland, tout gonflé, les gros plis de ses couilles et tous ses petits replis... Merci mon frère, merci !
Il rouvre les yeux un instant pour vérifier que je le mate... nos regards se croisent... mais mes yeux sont irrémédiablement attirés par son étoile ensablée... et mon regard alterne : ses yeux - son anus - ses yeux - son anus - ses yeux - son anus... et cela semble l'amuser.
- Jawad khouya mon frère, si tu n'étais pas mon ami, je pourrais penser que t'as envie de m'enculer, là...
Et en disant cela, il soulève ses fesses pour m'exposer encore plus son orifice touffu !
- Houla... wallah pas du tout...
Mais cette position est tellement érotique qu'une pulsation d'excitation involontaire parcourt tout mon sexe... Mon dieu... qu'est-ce qu'il m'arrive ?... c'est impossible ! je ne peux pas... je ne suis pas... non, il n'y a pas d'invertis chez les Arabes ! C'est mon oncle Abdelaziz qui me l'a dit... tout en se... enfin bref !...
Kader a de nouveau fermé les yeux. Et là, je me rends compte que le beau zebb de mon pote a beaucoup grossi, et qu'une petite goutte translucide qui vient de perler au bout de son gland, commence déjà à descendre et à s'étirer... que tu es beau, mon ami... cette goutte dévoile un peu tes pensées... merci de me livrer autant d'intimité... je voudrais la lécher, cette goutte visqueuse, filante comme de l'huile de chaine... j'imagine son goût de sel avec cette pointe imperceptible d'urine et de noisette... que tu es beau quand tu es excité... quel cadeau magnifique !... khouya mon meilleur pote...
Je m'aperçois que la peau fripée et ramollie de ses testicules ne cesse de mouvoir... imperceptiblement... comme une risée...
Il rouvre les yeux. Son zebb est gros à présent, il monte, il bat la pulsation au rythme de son cœur... Il est excité, son regard est chargé d'émotion. Il me sourit. Son sexe bicolore grossit, parcouru de petits a-coups... tu es fascinant mon khouya...
Mais je me demande ce que vont penser les roumis d'un arabe exhibitionniste, jambes écartées, qui commence à bander... Je regarde tes lèvres. Elles sont charnues, toutes plissées, et de la même couleur que ton anus. Et de nouveau une contraction de désir parcourt mon membre. Je dois absolument arrêter ça !! Alors, pour éviter à mon pote la honte d'une érection publique, je me détourne de lui avant qu'il ne soit vraiment trop tard, et je me tourne vers la plage.
3/ L'OCÉAN !
Passé la dune, nous sommes gifflés par plusieurs rafales successives de vent chaud, chargées d'embruns et de sable fin. Ma grande gellabah est battue par le vent. C'est agréable. Ça me déstabilise un peu.
Je ferme les yeux à moitié. J'emplis mes poumons d'air iodé.
Qu'est-ce que c'est beau !!
À travers mes longs cils noirs, j'entrevois les élément déchaînés. Les vagues gris-bleu sont gigantesques. Elles explosent dans un fracas continu.
De longues lignes noires d'algues sèches strient la plage éblouissante, comme les poils du torse et du pubis de mon ami Kader.
En vrai, cette plage est comme un immense pubis blanc, sur lequel des centaines de culs-nus s'agitent comme des morpions pathétiques.
Et immédiatement, comme une seconde gifle, je sens tous les regards se braquer sur nous. Dans ma barbe, je marmone :
- Zebbi mais continuez donc à jouer, bande d'infidèles... culs-nus de mes deux...
J'avoue qu'avec Kader complètement à poil, nous formons une sorte de couple mal assorti... complémentaire peut-être... intriguant, je le conçois.
En cet instant, mes certitudes religieuses sont bousculées. Moi qui suis en quête de sagesse spirituelle, voilà que je me retrouve longuement vêtu, comme un trans de 1,90m au bras d'un circoncis exhibitionniste... Franchement je me demande ce que je fous là... avec tous ces impies qui nous regardent avec hostilité... Peut-être que ma tenue de prière les effraie... en tous cas moi, c'est eux qui me font un peu peur.
Je regarde Kader pour me rassurer. Zgueg au vent, il respire l'air marin et me sourit de toutes ses dents.
- Putain mon frère !... C'est-y pas beau, ça ?
Le vent sous mon qamis joue avec mes poils, c'est agréable... je les sens s'agiter entre mes jambes, tout autour de mon sexe et en dessous... ils sont secoués en avant et en arrière comme les algues dans le ressac. Zebbi comme c'est bon !
Allez ! Je me dis "courage"... Inch'Allah nous avançons sur la plage.
Le sable est chaud. J'enlève mes sandales. Le zebb bicolore de Kader se balance.
Je m'efforce de ne pas croiser les yeux des infidèles et de ne pas m'attarder sur les variations anatomiques qui m'entourent. En revanche je ressens leur hostilité...
Mon long qamis blanc est battu par le vent. Tantôt il se colle à moi, dévoilant par transparence mon anatomie avantageuse, tantôt il se soulève comme sur une bouche de métro (oui ben si vous croyez que c'est drôle pour un muslim pratiquant de se retrouver le zgueg à l'air en plein Paris... surtout devant une terrasse de café bourrée d'étudiants moqueurs... bande de petits pédés, va !)
Kader lui, évolue avec aisance. Putain qu'est-ce qu'il est beau ! On dirait que pour lui tout est simple et facile. Je sens que je l'aime de plus en plus.
Tous les regards de la plage sont tournés vers notre couple improbable. Si j'avais une poupée gonflable sur les épaules j'aurais moins de succès. Ils nous regardent mal alors que ce sont eux les impies et les fornicateurs. Cette plage est l'antre du péché.
Je ne dois pas les regarder. Si je venais à apercevoir la chatte d'une pécheresse ou pire l'orifice d'un homme infidèle, ce serait très grave : Je serais impur pendant 7 jours !
Alors, pour me rassurer, tout en marchant, je glisse mon bras derrière le dos de mon ami... il frissonne... sa peau est incroyablement douce ! Je laisse mon instinct me guider, pour une fois, et ma main descend naturellement sur le haut de sa fesse. Il ferme les yeux. Ses poils sont plus soyeux que ceux de ma fiancée, sa peau plus douce. Il garde les yeux fermés. Je sens que nos souffles ralentissent. Ma gellabah commence à pointer. Je dois absolument arrêter ça !
Mais, comble du péché, une sorte d'éphèbe roux, genre surfer finement musclé, accourt vers nous en sautillant, bite en avant. Il trotte comme Poly, le petit poney. Il doit avoir 20 ans comme moi. Il a une longue queue de cheval qui balance de droite et de gauche quand il court... non je parle de ses cheveux, là !... D'ailleurs sa queue de poney (sa bite, pour le coup) balance aussi de droite et de gauche... une grosse grosse bite rose surmontée d'une touffe orange qui fait comme un nuage tout suveteux... oh putain comme c'est beau quand même ! Ce genre de mec m'a toujours fait bander... Je ne sais pas pourquoi, d'ailleurs... Mon oncle Abdelaziz (celui qui pisse sans se la tenir) m'a expliqué qu'il n'y a pas d'inverti chez les Arabes, les sodomites c'est que un truc de roumis... Et ça, moi ça me rassure, j'avoue.
- Attendez ! Attendez ! crie le petit poney roux.
On s'arrête et on le regarde trotter dans le vent. Il est beau. Arrivé vers nous, pour ralentir, il se cabre légèrement, sexe en avant. Il jette un œil sur le zebb de mon pote puis se tourne vers moi
- Attendez ! Où allez-vous comme ça ? C'est nudiste, ici, Monsieur !
- Écoutez, je suis muslim pratiquant, vous savez, alors je ne peux pas me plier à vos coutumes de fornicat...
Mais Kader m'interrompt :
- Ne vous inquiétez pas Monsieur Poly... mon ami va enlever sa gellabah dès que nous serons installés, mais là... il est un peu... (il dresse le poing)... il n'est pas habitué, vous comprenez ?
Le petit poney jette un œil sur mon qamis de prière qui pointe... écarquille grand les yeux et me lance une œillade de sodomite :
- Houla... en effet...
Puis se tournant vers Kader, avec un large sourire chevalin :
- Monsieur est gâté !
Kader semble interloqué :
- Qui... moi ?!
Mais le petit poney a déjà tourné les sabots et repart en sautillant, exhibant son gros cul pommé, sa queue de cheval orange et ses boules roses qui ballottent au rythme de son trot.
Je le regarde s'éloigner... que c'est beau, un petit poney qui... mais je sens le regard de Kader sur moi :
- Putain, Jawad !!! Mais arrête de mater !... Déjà que tu pointes !... Tu veux vraiment qu'on se fasse lyncher, là où quoi ?!
- Pas du tout, khouya mon frère, wallah, je ne suis pas comme ça...
- Je sais, je sais, tu me l'as déjà dit, il n'y a pas d'invertis chez les Arabes, je sais...
Son ton ironique est un peu vexant... mais son sourire... il me ferait presque bander, le con !
MON MEILLEUR AMI
Nous nous installons finalement entre plusieurs groupes de personnes. Je sens que les gens nous matent... des invertis, des dégénérés... mais je ne les regarde pas. Je dois à tout prix me maîtriser.
Kader s'assoit à même le sable. Je m'assois à côté de lui, en me décalant un chouïa pour pouvoir bien le regarder... lui j'ai le droit... enfin je crois... puisque c'est mon poto, mon frérot, mon khouya... ma couille !
Assis sur le sable, jambes repliées, mon meilleur ami semble totalement décontracté. Ses glaouis reposent sur le sable, comme deux grosses prunes, deux burnes brunes, toutes plissées. Le bout collant de son zebb de muslim touche le sable lui aussi. Il sait que je le regarde. J'imagine que dans cette position, même son anus pigmenté est à même le sable. Toutes ses parties intimes communient avec la plage. Kader n'a décidément aucune pudeur. Il me sourit... Sans lâcher mon regard, il s'allonge sur le dos, face à moi, jambes écartées... lentement comme une pute... il m'ouvre toute son intimité... en toute amitié... Kader... mon ami... que tu es beau comme ça... jambes repliées, complètement offert... comme un cadeau du ciel !
Puis il ferme les yeux, comme pour me laisser tout loisir de l'observer, de le détailler, de le mater intégralement... profondément... Il écarte les jambes au maximum... Y a-t-il plus beau signe d'amitié ?
La petite bouche de son méat est toute ensablée, comme si elle avait mangé salement, mais elle continue à me sourire... mon Kader... je jurerais que son zebb grossit... il sait que je le mate... il a chaud... à présent ses glaouis sont tout brillants, pendants, collants... mon ami... tu m'ouvres tellement tes jambes... entre frères... sans tabou... ton anus poilu est rempli de sable... que tu es beau...
Je suis tellement près que je pourrais compter ses poils ! J'en profite, je mate chaque centimètre : ses poils qui ondulent dans le vent comme des herbes, sa grosse veine proéminente et ses petites veinules bleues, ses différences de pigmentation du fait de sa circoncision, le contour granuleux de son gland, tout gonflé, les gros plis de ses couilles et tous ses petits replis... Merci mon frère, merci !
Il rouvre les yeux un instant pour vérifier que je le mate... nos regards se croisent... mais mes yeux sont irrémédiablement attirés par son étoile ensablée... et mon regard alterne : ses yeux - son anus - ses yeux - son anus - ses yeux - son anus... et cela semble l'amuser.
- Jawad khouya mon frère, si tu n'étais pas mon ami, je pourrais penser que t'as envie de m'enculer, là...
Et en disant cela, il soulève ses fesses pour m'exposer encore plus son orifice touffu !
- Houla... wallah pas du tout...
Mais cette position est tellement érotique qu'une pulsation d'excitation involontaire parcourt tout mon sexe... Mon dieu... qu'est-ce qu'il m'arrive ?... c'est impossible ! je ne peux pas... je ne suis pas... non, il n'y a pas d'invertis chez les Arabes ! C'est mon oncle Abdelaziz qui me l'a dit... tout en se... enfin bref !...
Kader a de nouveau fermé les yeux. Et là, je me rends compte que le beau zebb de mon pote a beaucoup grossi, et qu'une petite goutte translucide qui vient de perler au bout de son gland, commence déjà à descendre et à s'étirer... que tu es beau, mon ami... cette goutte dévoile un peu tes pensées... merci de me livrer autant d'intimité... je voudrais la lécher, cette goutte visqueuse, filante comme de l'huile de chaine... j'imagine son goût de sel avec cette pointe imperceptible d'urine et de noisette... que tu es beau quand tu es excité... quel cadeau magnifique !... khouya mon meilleur pote...
Je m'aperçois que la peau fripée et ramollie de ses testicules ne cesse de mouvoir... imperceptiblement... comme une risée...
Il rouvre les yeux. Son zebb est gros à présent, il monte, il bat la pulsation au rythme de son cœur... Il est excité, son regard est chargé d'émotion. Il me sourit. Son sexe bicolore grossit, parcouru de petits a-coups... tu es fascinant mon khouya...
Mais je me demande ce que vont penser les roumis d'un arabe exhibitionniste, jambes écartées, qui commence à bander... Je regarde tes lèvres. Elles sont charnues, toutes plissées, et de la même couleur que ton anus. Et de nouveau une contraction de désir parcourt mon membre. Je dois absolument arrêter ça !! Alors, pour éviter à mon pote la honte d'une érection publique, je me détourne de lui avant qu'il ne soit vraiment trop tard, et je me tourne vers la plage.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ton commentaire, lecteur anonyme arabe ! Ça me fait extrêmement plaisir, car je ne voulais pas qu'on pense que mon histoire est raciste. Merci !
Je suis arabe et j’adore cette histoire… très bien écrite et drôle!
Merci.
Il y a 6 épisodes...
Il y a 6 épisodes...
J’aime cette histoire de plus en plus et en apprécie le style et l’écriture.
Dans l’attente de lire la suite de l’intrigue…
Dans l’attente de lire la suite de l’intrigue…
J’apprécie de plus en plus et savoure l’écriture en attendant de lire la suite…