JAWAD CHEZ LES NUDISTES - 4
Récit érotique écrit par Jorge [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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JAWAD CHEZ LES NUDISTES - 4
(Histoire loufoque, purement imaginaire, sans lien réel avec la réalité... bien sûr !)
4/ WALLAH I'M SO CLOSE...
Je me tourne vers la plage. Il fait chaud. Je reste assis sur le sable, mais je relève ma gellabah jusqu'au genoux pour aérer tout ça. Et je regarde autour de moi.
Mais dès que je lève les yeux, je suis assailli par une flopée d'images impudiques et indécentes ! Mon dieu... protège moi de ces pécheurs, de ces fornicateurs...
De jeunes hommes blonds athlétiques jouent au volet, secouant leurs zizis se façon éhontée. La longueur de leurs cheveux blonds est variable, en revanche celle de leurs pénis est somme toute relativement homogène : des jolis zizis tout bronzés, ni trop petits ni trop gros. L'un d'eux ramasse le ballon en exhibant son anus rose (oh putain !) les autres se tamponnent sans pudeur, leurs corps se touchent, ils se grimpent sur le dos en riant, plaquant leur entrejambe contre les reins de leur partenaire... mon dieu... ces pervers finiront en enfer ! Ils ne méritent ni les vierges promises par le prophète ni même les éphébes figurant dans les premières versions du Livre (si si... vous pouvez vérifier). Qu'ils se fassent enculer par les anges du mal pour l'éternité !
Un jeune papa, entouré de jouets multicolores, creuse un trou dans le sable, un trou profond. À quatre pattes, genoux écartés il me tourne le dos. Il se penche, il enfouit tout son bras dans le sable, en levant son cul. Il semble très sûr de lui... je l'entends dire des choses comme "hopopop... caisse à out' "...
Ses couilles sont très basses, suspendues à de longs plis de peau, son anus est totalement visible, offert à la vue de tous. Un instant, il retourne complètement sa tête pour regarder derrière lui... et il croise mon regard mateur. Il est, en cet instant, dans la position la plus humiliante et la plus excitante qui soit : la position du sodomite aguicheur et consentant... qui regarde en arrière et qui semble dire "viens... encule-moi... je suis ta pute..." et là j'ai envie de lui dire "j'arrive, mon cœur, pas besoin de caisse à out'... j'ai tout le matos sur moi, mon chéri" !
Un autre jeune papa, face à lui, le regarde creuser, debout, stable, mains sur les hanches, zizi en avant. On dirait qu'il va lui pisser dessus ! Il lève aussi ses yeux vers moi, tout en tirant sur la peau de son prépuce d'infidèle. Son geste vraisemblablement involontaire, est extrêmement érotique... Et je me dis : mon dieu, pourquoi nous avoir enlevé ça ?... c'est beau aussi un "uncut"...alors pourquoi ?...
L'homme s'aperçoit que je mate sa peau d'zob alors il lâche son prépuce et son sexe balance de façon élastique jusqu'à reprendre sa position de repos. Il continue à me regarder... Est-ce qu'il me nargue ?... genre "toi t'en as pas, nananère..."... mais non, je ne crois pas...
Le papa creuseur sodomite se tourne alors vers celui qui mate et qui inspecte. Ses yeux sont pile à la hauteur du zizi de son ami mateur... lequel semble en retirer une grande fierté. Et se remet à tirer sur sa peau d'infidèle. Les 2 hommes se sourient... Mon dieu ! Des jeunes pères de famille invertis !! Qu'ils aillent se faire enculer en enfer !... ainsi que leurs fils et les fils de leurs fils !! (mais se faire enculer pour l'éternité, est-ce véritablement un enfer ?... je ne sais qu'en penser...)
Plus près, à quelques mètres de moi, mon regard s'arrête sur ce jeune allongé sur le ventre, qui me regarde du coin de l'œil. Ses parents lisent, à côté de lui, ils ressemblent à deux pommes trop mûres, fripées par le soleil ! Sur le ventre, menton sur le sable, le jeune homme regarde vers moi... par le dessous. Il paraît jeune mais il est majeur, il a l'âge de Kader. Il est pile dans l'axe de mes jambes. Il fait semblant de lire... un petit voyeur, un petit mateur, un petit pervers à la gueule d'ange... ses yeux ne sont pas francs... dès que je tourne la tête, son regard tente de se glisser sous ma gellabah... petit vicieux au regard faux... on dirait un petit pédé des urinoirs... Toi aussi tu finiras en enfer... et tu te feras enculer ! Tu pourras peut-être mater les coronès du diable, mais lui et ses démons maléfiques te défonceront le cul pour l'éternité ! (petit veinard...)
J'essaye de croiser son regard vicieux, mais ses yeux sont fuyants... il guette juste ce moment où il entreverra un gros zob de muslim sous une gellabah... et ce cadeau, moi, je suis en position de lui offrir.
Je suis alors, traversé par les pensées les plus contradictoires. Dois-je me détourner de lui et me priver du plaisir coupable de l'exhibition qui monte en moi ?... Dois-je préserver ce jeune homme du péché et de l'enfer éternel ? Ou bien dois-je au contraire pousser cette petite tapette vers son destin inéluctable de voyeur et de pervers ?... Mon dieu, aidez-moi... que dois-je faire ?...
Bien que n'étant pas homosexuel moi-même, puisque je suis Arabe, je me sens traversé d'une envie irrépressible de répondre à l'invitation larvée de ce petit pervers de mes deux... et de montrer à cette petite pédale ce que c'est qu'un vrai mec, avec des vraies grosses couilles d'arabe et un bon gros zebb de musulman... petit branleur, va !!
Les pensées s'entrechoquent en moi, comme si un petit ange qui me ressemble, en tenue de prière blanche avec des petites ailes blanches, me chuchotait : "Jawad, il ne faut pas, c'est mal, c'est péché..." et qu'un petit diable qui me ressemble, tout nu, priapique, tout rouge et tout cornu, branlait son gros zebb circoncis en secouant ses coronès et en disant : "L'écoute pas, Zebbi... Vazy donne une leçon à ce petit obsédé au regard torve... montre lui ce que c'est qu'un vrai mec... vas-yyyy..."
Le jeune homme, toujours à plat ventre face à moi, est en position de victime idéale. Je me suis approché. Sa tête n'est plus qu'à deux mètres de mon sexe.
Alors, sans même y penser, en un seul mouvement je soulève complètement ma gellabah et je lui ouvre totalement mes jambes, en grand, libérant brusquement mon énorme braquemart d'arabe, qui se dresse comme un diable vers le ciel !... Tu voulais voir un gros zebb de vrai mâle muslim, petit morveux ?... eh ben voilà... régale-toi... profite, c'est gratuit !!
À la vue de mon énorme zob, la mâchoire du jeune obsédé se décroche d'un coup, sa tête lâche un instant, mais il se reprend immédiatement. Ses yeux sont comme des soucoupes, sa bouche reste béante... il est complètement sous le choc, incapable de regarder autre chose que mon énorme érection... il avale sa salive...
Et là je me dis : Putain comme je l'ai bien chopé, ce petit branleur !!!
Je reste comme ça un instant, savourant ce plaisir inouï et jusque là inconnu, d'être maté d'aussi près ! Putain mais qu'est ce que c'est bon de se sentir regardé, maté, observé, ausculté à la loupe !! Vas-y petite pédale, regarde bien partout ! enjoy ! c'est cadeau... mate... mate... maaaate, putain !!
Le jeune homme semble ébloui, tout étourdi de plaisir... il souffle fort... il a du mal à garder la tête droite... par moment il flanche sous un afflux énorme d'hormones de plaisir... il referme la bouche, mais elle se rouvre instantanément... il me mate tout... tapette va !... bien partout, son regard descend sur mes couilles et remonte jusqu'à mon gland... puis redescend... profite, petit vicieux, profite... à présent ses yeux sont rouges de désir et il commence à baver... Putain comme je t'ai bien chopé, petit morveux, petit voyeur de mes couilles !!
Alors je lève le cul pour qu'il puisse bien voir mes gros glaouis d'arabe et la touffe de mon cul...
À la vue de mon anus fourni, la tête du jeune homme se décroche à nouveau. Son nez touche le sable. Mais il se redresse immédiatement pour ne rien perdre du spectacle ! Azyyyy... mate-moi l'anus, petit vicieux...
Il n'en peut plus... moi non plus... il sort sa langue, il bave, ses yeux se ferment et il se met à râler de plaisir : "Rrhhhhmmm..."
Et là, à cause de ce petit pédé, je sens que je je ne suis pas loin d'éjaculer... je sens que je vais bientôt jouir... Je ne suis pas encore au point de non-retour mais, comme disait mon oncle Abdelaziz, "Wallah I'm so close..."
En cet instant, dans ma tête, je revois mon petit ange blanc, il est furieux, il a perdu la partie, on dirait qu'il a mal au cul, il dit "tu iras en enfer, Jawad, et toi aussi tu te feras enculer !..." alors que le petit démon rouge priapique est tout heureux, il continue encore de se branler à 2 mains en disant "putain ça vient... ça vient... I'm gonna cum... Wallah I'm so close..."
4/ WALLAH I'M SO CLOSE...
Je me tourne vers la plage. Il fait chaud. Je reste assis sur le sable, mais je relève ma gellabah jusqu'au genoux pour aérer tout ça. Et je regarde autour de moi.
Mais dès que je lève les yeux, je suis assailli par une flopée d'images impudiques et indécentes ! Mon dieu... protège moi de ces pécheurs, de ces fornicateurs...
De jeunes hommes blonds athlétiques jouent au volet, secouant leurs zizis se façon éhontée. La longueur de leurs cheveux blonds est variable, en revanche celle de leurs pénis est somme toute relativement homogène : des jolis zizis tout bronzés, ni trop petits ni trop gros. L'un d'eux ramasse le ballon en exhibant son anus rose (oh putain !) les autres se tamponnent sans pudeur, leurs corps se touchent, ils se grimpent sur le dos en riant, plaquant leur entrejambe contre les reins de leur partenaire... mon dieu... ces pervers finiront en enfer ! Ils ne méritent ni les vierges promises par le prophète ni même les éphébes figurant dans les premières versions du Livre (si si... vous pouvez vérifier). Qu'ils se fassent enculer par les anges du mal pour l'éternité !
Un jeune papa, entouré de jouets multicolores, creuse un trou dans le sable, un trou profond. À quatre pattes, genoux écartés il me tourne le dos. Il se penche, il enfouit tout son bras dans le sable, en levant son cul. Il semble très sûr de lui... je l'entends dire des choses comme "hopopop... caisse à out' "...
Ses couilles sont très basses, suspendues à de longs plis de peau, son anus est totalement visible, offert à la vue de tous. Un instant, il retourne complètement sa tête pour regarder derrière lui... et il croise mon regard mateur. Il est, en cet instant, dans la position la plus humiliante et la plus excitante qui soit : la position du sodomite aguicheur et consentant... qui regarde en arrière et qui semble dire "viens... encule-moi... je suis ta pute..." et là j'ai envie de lui dire "j'arrive, mon cœur, pas besoin de caisse à out'... j'ai tout le matos sur moi, mon chéri" !
Un autre jeune papa, face à lui, le regarde creuser, debout, stable, mains sur les hanches, zizi en avant. On dirait qu'il va lui pisser dessus ! Il lève aussi ses yeux vers moi, tout en tirant sur la peau de son prépuce d'infidèle. Son geste vraisemblablement involontaire, est extrêmement érotique... Et je me dis : mon dieu, pourquoi nous avoir enlevé ça ?... c'est beau aussi un "uncut"...alors pourquoi ?...
L'homme s'aperçoit que je mate sa peau d'zob alors il lâche son prépuce et son sexe balance de façon élastique jusqu'à reprendre sa position de repos. Il continue à me regarder... Est-ce qu'il me nargue ?... genre "toi t'en as pas, nananère..."... mais non, je ne crois pas...
Le papa creuseur sodomite se tourne alors vers celui qui mate et qui inspecte. Ses yeux sont pile à la hauteur du zizi de son ami mateur... lequel semble en retirer une grande fierté. Et se remet à tirer sur sa peau d'infidèle. Les 2 hommes se sourient... Mon dieu ! Des jeunes pères de famille invertis !! Qu'ils aillent se faire enculer en enfer !... ainsi que leurs fils et les fils de leurs fils !! (mais se faire enculer pour l'éternité, est-ce véritablement un enfer ?... je ne sais qu'en penser...)
Plus près, à quelques mètres de moi, mon regard s'arrête sur ce jeune allongé sur le ventre, qui me regarde du coin de l'œil. Ses parents lisent, à côté de lui, ils ressemblent à deux pommes trop mûres, fripées par le soleil ! Sur le ventre, menton sur le sable, le jeune homme regarde vers moi... par le dessous. Il paraît jeune mais il est majeur, il a l'âge de Kader. Il est pile dans l'axe de mes jambes. Il fait semblant de lire... un petit voyeur, un petit mateur, un petit pervers à la gueule d'ange... ses yeux ne sont pas francs... dès que je tourne la tête, son regard tente de se glisser sous ma gellabah... petit vicieux au regard faux... on dirait un petit pédé des urinoirs... Toi aussi tu finiras en enfer... et tu te feras enculer ! Tu pourras peut-être mater les coronès du diable, mais lui et ses démons maléfiques te défonceront le cul pour l'éternité ! (petit veinard...)
J'essaye de croiser son regard vicieux, mais ses yeux sont fuyants... il guette juste ce moment où il entreverra un gros zob de muslim sous une gellabah... et ce cadeau, moi, je suis en position de lui offrir.
Je suis alors, traversé par les pensées les plus contradictoires. Dois-je me détourner de lui et me priver du plaisir coupable de l'exhibition qui monte en moi ?... Dois-je préserver ce jeune homme du péché et de l'enfer éternel ? Ou bien dois-je au contraire pousser cette petite tapette vers son destin inéluctable de voyeur et de pervers ?... Mon dieu, aidez-moi... que dois-je faire ?...
Bien que n'étant pas homosexuel moi-même, puisque je suis Arabe, je me sens traversé d'une envie irrépressible de répondre à l'invitation larvée de ce petit pervers de mes deux... et de montrer à cette petite pédale ce que c'est qu'un vrai mec, avec des vraies grosses couilles d'arabe et un bon gros zebb de musulman... petit branleur, va !!
Les pensées s'entrechoquent en moi, comme si un petit ange qui me ressemble, en tenue de prière blanche avec des petites ailes blanches, me chuchotait : "Jawad, il ne faut pas, c'est mal, c'est péché..." et qu'un petit diable qui me ressemble, tout nu, priapique, tout rouge et tout cornu, branlait son gros zebb circoncis en secouant ses coronès et en disant : "L'écoute pas, Zebbi... Vazy donne une leçon à ce petit obsédé au regard torve... montre lui ce que c'est qu'un vrai mec... vas-yyyy..."
Le jeune homme, toujours à plat ventre face à moi, est en position de victime idéale. Je me suis approché. Sa tête n'est plus qu'à deux mètres de mon sexe.
Alors, sans même y penser, en un seul mouvement je soulève complètement ma gellabah et je lui ouvre totalement mes jambes, en grand, libérant brusquement mon énorme braquemart d'arabe, qui se dresse comme un diable vers le ciel !... Tu voulais voir un gros zebb de vrai mâle muslim, petit morveux ?... eh ben voilà... régale-toi... profite, c'est gratuit !!
À la vue de mon énorme zob, la mâchoire du jeune obsédé se décroche d'un coup, sa tête lâche un instant, mais il se reprend immédiatement. Ses yeux sont comme des soucoupes, sa bouche reste béante... il est complètement sous le choc, incapable de regarder autre chose que mon énorme érection... il avale sa salive...
Et là je me dis : Putain comme je l'ai bien chopé, ce petit branleur !!!
Je reste comme ça un instant, savourant ce plaisir inouï et jusque là inconnu, d'être maté d'aussi près ! Putain mais qu'est ce que c'est bon de se sentir regardé, maté, observé, ausculté à la loupe !! Vas-y petite pédale, regarde bien partout ! enjoy ! c'est cadeau... mate... mate... maaaate, putain !!
Le jeune homme semble ébloui, tout étourdi de plaisir... il souffle fort... il a du mal à garder la tête droite... par moment il flanche sous un afflux énorme d'hormones de plaisir... il referme la bouche, mais elle se rouvre instantanément... il me mate tout... tapette va !... bien partout, son regard descend sur mes couilles et remonte jusqu'à mon gland... puis redescend... profite, petit vicieux, profite... à présent ses yeux sont rouges de désir et il commence à baver... Putain comme je t'ai bien chopé, petit morveux, petit voyeur de mes couilles !!
Alors je lève le cul pour qu'il puisse bien voir mes gros glaouis d'arabe et la touffe de mon cul...
À la vue de mon anus fourni, la tête du jeune homme se décroche à nouveau. Son nez touche le sable. Mais il se redresse immédiatement pour ne rien perdre du spectacle ! Azyyyy... mate-moi l'anus, petit vicieux...
Il n'en peut plus... moi non plus... il sort sa langue, il bave, ses yeux se ferment et il se met à râler de plaisir : "Rrhhhhmmm..."
Et là, à cause de ce petit pédé, je sens que je je ne suis pas loin d'éjaculer... je sens que je vais bientôt jouir... Je ne suis pas encore au point de non-retour mais, comme disait mon oncle Abdelaziz, "Wallah I'm so close..."
En cet instant, dans ma tête, je revois mon petit ange blanc, il est furieux, il a perdu la partie, on dirait qu'il a mal au cul, il dit "tu iras en enfer, Jawad, et toi aussi tu te feras enculer !..." alors que le petit démon rouge priapique est tout heureux, il continue encore de se branler à 2 mains en disant "putain ça vient... ça vient... I'm gonna cum... Wallah I'm so close..."
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