Je l'aime: nous baisons.
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je l'aime: nous baisons.
Je dort pratiquement nue: un simple tee shirt me suffit. Mon mari, lui dort toujours nu. Je me réveille au milieu de la nuit. J'ai envie de faire l'amour. Je me mets sur le dos, les jambes écartées. Ma main se pose sur mon clitoris. Je me caresse avec trois doigts que je mouille avec ma salive. J'aime bien cette sensation de picot que me donne chaque doigt à chaque passage. J'aime me masturber ainsi, même si mon mari ne me voit pas. Je jouis vite. J'ai encore besoin de jouir. Je passe ma main sur le corps de mon mari. Je ne cherche pas longtemps sa bite.
Il est beau le sexe de mon époux. Sa queue n'a rien d'extraordinaire, elle est simplement normale. Ses couilles me plaisent aussi. Je l'aime cette bite qui me donne toujours du plaisir quoiqu'elle me fasse.
Je ne tâtonne même pas pour la trouver. Je connais ses réactions quand il se réveillera en bandant, ma main autour de sa pine: il prendra ma main dans l'espoir qu'il ne rêve pas. Quand l'aurais fait deux ou trois allers-retours, elle se réveillera complètement. Souvent il me laisse le masturber sans bouger: il aime beaucoup quand je le branle.
Cette fois je ne le ferai pas: j'ai besoin de sa queue en moi. Je tiens toute sa masculinité dans ma main. Je fait aller et venir ma main: il se réveille: il me laisse faire un moment. Je retire ma main qu'il veut retenir. Je force à peine pour qu'il se mette sur le dos. Je l'embrasse longuement sur la bouche. Je lui tiens toujours le sexe sans rien lui faire d'autre que de le tenir.
Enfin il se met sur le coté. Il m'embrasse encore. Nos langues semblent ne pas s'être caressées depuis des siècles. Nous nous léchons les lèvres pour être exécutés encore un peu plus.
Je sens contre moi sa bite bien bandée, comme je l'aime. Il passe directement une main sur mon pubis, l'y laisse instant avant de plonger dans ma fente. Il survole mon sexe avec sa main. Je ne sais jamais où il va la mettre. C'est une instant magique: cette fois il se pose sur mon clitoris. Il ne pouvait pas me faire plus plaisir. Il se rend compte que je suis entièrement mouillée. Il ne me demande même pas pourquoi. C'est moi qui lui dis que je viens de me branler. Il en profite pour me branler encore. Je ferme les yeux pour déguster encore plus de cette masturbation. Il arrête souvent pour faire durer mon plaisir. Je jouis entre ses doigts.
Enfin il vient sur moi. Il ne va pas me baiser encore. Il pose sa bite juste à l'entrée du vagin. Nous restons ainsi immobiles pour que nos corps exigent de nous la vrai baise.Il cède le premier. Il me pénètre lentement. Il arrive au col de l'utérus très lentement. Cette fois je ne peut plus me retenir Je commence les vas et viens. Enfin je sens ses puissants coups de reins enclenchés. Il me la met longtemps et puissamment. Il me fait un bien énorme. Je ne tarde pas à jouir. J'aime jouir avec lui en moi.
Je me trouve comme une poupée de chiffon entre ses bras. Que c'est bon d'être baisée par celui qu'on aime et qui vous aime. Il me met nue, ce n'est pas difficile: il m'embrasse les pointes des seins. Je n'ai pas une grosse poitrine. Mes seins sont très durs quand nous baisons. Je ne parle pas de mes tétons qui bandent depuis que je me suis branlée. Ses lèvres sucent mes bouts. J'éprouve ce plaisir de sentir mes tétons tétés, comme si j'allaitais.
Nos sexes jouissent; le mien plus souvent que le siens. Il reste dans mon vagin, même avec sa bite qui débande. J'aime l'avoir en moi, même si je ne peux trop bouger pour ne pas la faire sortir. Il reste sur moi, m'écrase un peu, m'embrasse toujours et m'excite toujours. J'ouvre et je ferme mon vagin pour le faire bander: j'y arrive. Je le sens gonfler dans mon con. Nous reprenons une autre baise plus longue que la première. Il me fait jouir encore deux ou trois fois. Il sort de ma moule après une de mes jouissances, il fait un tour pour me lécher. Sa langue vient cette fois sur mon cul. J'adore qu'il me le lèche et qu'il y rentre un peu de langue.
J'ai pris sa queue dans ma bouche. Je n'ai pas à lui faire descendre le prépuce: il est déjà tombé. Par contre j'aime lui lécher le gland qui a le goût de mon sexe. Ma langue fait plusieurs fois le tour de ce bout de bite. Ensuite je la prends au maximum dans ma bouche: je le place entre ma langue et une joue. Je fais des vas et viens.
Nous arrivons à jouir ensemble. Pour moi, ce n'est pas suffisant: j'en veux encore. Comme il débande il se met sur le dos. Je me mets sur lui, j'ai emprisonné sa queue entre mon ventre et le sien. Je l'écrase complètement. Je bouge mon pubis contre le sien. Je sens sa bite bien molle au départ grossir enfin à une taille normale pour l'amour. Quand je sens que son sexe est bien dur, je l'enjambe: je me met sur lui, Il ne sait jamais où^je vais mettre sa queue.
Je la met juste ce qu'il faut dans le vagin, il pense que je vais la mettre au con. Je la sors quand elle est bien mouillée pour me lever et m'asseoir sur lui, sa queue dans mon anus. Si au début je penche vers lui, c'est pour qu'il me caresse les seins. Ensuite il me faut quelque chose de plus fort. Je me mets droite, je vais et viens sur sa pine. Sans complexe je pose mes trois doigts préférés sur mon clitoris.
Il me regarde faire et donne ses commentaires: je suis une vrai pute, je suis bonne à baiser dans une partouze bonne à faire le trottoir. Je suis bonne à me branler avec le godemiché: il a raison sur ce point je me masturbe souvent avec.
Je jouis encore et encore. Je jouis une dernière fois quand je sens son sperme envahir mon anus.
Il est beau le sexe de mon époux. Sa queue n'a rien d'extraordinaire, elle est simplement normale. Ses couilles me plaisent aussi. Je l'aime cette bite qui me donne toujours du plaisir quoiqu'elle me fasse.
Je ne tâtonne même pas pour la trouver. Je connais ses réactions quand il se réveillera en bandant, ma main autour de sa pine: il prendra ma main dans l'espoir qu'il ne rêve pas. Quand l'aurais fait deux ou trois allers-retours, elle se réveillera complètement. Souvent il me laisse le masturber sans bouger: il aime beaucoup quand je le branle.
Cette fois je ne le ferai pas: j'ai besoin de sa queue en moi. Je tiens toute sa masculinité dans ma main. Je fait aller et venir ma main: il se réveille: il me laisse faire un moment. Je retire ma main qu'il veut retenir. Je force à peine pour qu'il se mette sur le dos. Je l'embrasse longuement sur la bouche. Je lui tiens toujours le sexe sans rien lui faire d'autre que de le tenir.
Enfin il se met sur le coté. Il m'embrasse encore. Nos langues semblent ne pas s'être caressées depuis des siècles. Nous nous léchons les lèvres pour être exécutés encore un peu plus.
Je sens contre moi sa bite bien bandée, comme je l'aime. Il passe directement une main sur mon pubis, l'y laisse instant avant de plonger dans ma fente. Il survole mon sexe avec sa main. Je ne sais jamais où il va la mettre. C'est une instant magique: cette fois il se pose sur mon clitoris. Il ne pouvait pas me faire plus plaisir. Il se rend compte que je suis entièrement mouillée. Il ne me demande même pas pourquoi. C'est moi qui lui dis que je viens de me branler. Il en profite pour me branler encore. Je ferme les yeux pour déguster encore plus de cette masturbation. Il arrête souvent pour faire durer mon plaisir. Je jouis entre ses doigts.
Enfin il vient sur moi. Il ne va pas me baiser encore. Il pose sa bite juste à l'entrée du vagin. Nous restons ainsi immobiles pour que nos corps exigent de nous la vrai baise.Il cède le premier. Il me pénètre lentement. Il arrive au col de l'utérus très lentement. Cette fois je ne peut plus me retenir Je commence les vas et viens. Enfin je sens ses puissants coups de reins enclenchés. Il me la met longtemps et puissamment. Il me fait un bien énorme. Je ne tarde pas à jouir. J'aime jouir avec lui en moi.
Je me trouve comme une poupée de chiffon entre ses bras. Que c'est bon d'être baisée par celui qu'on aime et qui vous aime. Il me met nue, ce n'est pas difficile: il m'embrasse les pointes des seins. Je n'ai pas une grosse poitrine. Mes seins sont très durs quand nous baisons. Je ne parle pas de mes tétons qui bandent depuis que je me suis branlée. Ses lèvres sucent mes bouts. J'éprouve ce plaisir de sentir mes tétons tétés, comme si j'allaitais.
Nos sexes jouissent; le mien plus souvent que le siens. Il reste dans mon vagin, même avec sa bite qui débande. J'aime l'avoir en moi, même si je ne peux trop bouger pour ne pas la faire sortir. Il reste sur moi, m'écrase un peu, m'embrasse toujours et m'excite toujours. J'ouvre et je ferme mon vagin pour le faire bander: j'y arrive. Je le sens gonfler dans mon con. Nous reprenons une autre baise plus longue que la première. Il me fait jouir encore deux ou trois fois. Il sort de ma moule après une de mes jouissances, il fait un tour pour me lécher. Sa langue vient cette fois sur mon cul. J'adore qu'il me le lèche et qu'il y rentre un peu de langue.
J'ai pris sa queue dans ma bouche. Je n'ai pas à lui faire descendre le prépuce: il est déjà tombé. Par contre j'aime lui lécher le gland qui a le goût de mon sexe. Ma langue fait plusieurs fois le tour de ce bout de bite. Ensuite je la prends au maximum dans ma bouche: je le place entre ma langue et une joue. Je fais des vas et viens.
Nous arrivons à jouir ensemble. Pour moi, ce n'est pas suffisant: j'en veux encore. Comme il débande il se met sur le dos. Je me mets sur lui, j'ai emprisonné sa queue entre mon ventre et le sien. Je l'écrase complètement. Je bouge mon pubis contre le sien. Je sens sa bite bien molle au départ grossir enfin à une taille normale pour l'amour. Quand je sens que son sexe est bien dur, je l'enjambe: je me met sur lui, Il ne sait jamais où^je vais mettre sa queue.
Je la met juste ce qu'il faut dans le vagin, il pense que je vais la mettre au con. Je la sors quand elle est bien mouillée pour me lever et m'asseoir sur lui, sa queue dans mon anus. Si au début je penche vers lui, c'est pour qu'il me caresse les seins. Ensuite il me faut quelque chose de plus fort. Je me mets droite, je vais et viens sur sa pine. Sans complexe je pose mes trois doigts préférés sur mon clitoris.
Il me regarde faire et donne ses commentaires: je suis une vrai pute, je suis bonne à baiser dans une partouze bonne à faire le trottoir. Je suis bonne à me branler avec le godemiché: il a raison sur ce point je me masturbe souvent avec.
Je jouis encore et encore. Je jouis une dernière fois quand je sens son sperme envahir mon anus.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tellement bien écrit et surtout décrit...et croyez-moi ce n'est pas facile du tout...
Cette histoire et l'une de mes préférée dans le genre. J'ai hâte de lire les prochaines dans ce genre. Je suis une fidèle lectrice de vos histoire.