Je le croyais mort
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 973 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Baiserjouir ont reçu un total de 8 627 778 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 768 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Je le croyais mort
Ca fait plus d’une semaine que je ne vois pas un copain. Bof, après tout, il; doit être en vacances comme ça lui arrive parfois. Il m’aurait envoyé un mail un coup de fil. D’un coup j’ai des doutes. En allant chez lui, je pense à une foule de conneries. Je le vois assassiné, baignant dans du sang. Ou alors pendu par désespoir.
J’arrive à sa porte ; elle est ouverte. J’entre sans frapper. Ouf il est dans sa chambre couché.
-Qu’arrive t il ?
- Je vais mieux, je me lève à peine, j’ai eu un sacré coup de fatigue.
C’est vrai il est pâle. Et je pense dans ma tête de linotte que sans doute il n’a pas eu de fille depuis longtemps, que ça lui manque. Je vais lui faire passer l’envie d’une autre, moi qu’il semble ignorer. Pourtant je ne suis pas plus mal que sa dernière, celle qui paraît-il lui faisait l’amour comme une reine. Je t’en foutrais d’une reine, une pute oui Je suis jalouse et alors ! Je l’aime bien ce type là.
Il reste couché, pendant que je pense à des sornettes. S’il ne m’a jamais rien demandé c’est que je ne lui plais pas, c’est simple.
Je me baisse quand même pour une bise. Je vois qu’il est nu, au moins jusqu’aux épaules. En bas je ne sais pas. Je n’ose pas l’interroger. Mais il me plait trop ; Je sens que je vais faire une belle bêtise. Je vais offrir à cet homme ce qui lui manque depuis trop de jour. J’en profiterais aussi bien sur
Il a l’air étonné quand je soulève le drap, que je passe ma main sur son corps chaud. Je le laisse dans l’ignorance de mes obscurs projets, même s’il peut en deviner une partie. Je m’assois enfin sur le bord du lit, c’est plus commode pour moi. Je croise haut les jambes pour qu’il puisse voir ma fourche. Mon bras droit ouvre en entier les draps. Je vois sa queue encore molle. Je ne l’aime pas ainsi. Elle pendouille lamentablement sur la gauche. C’est sans doute parce qu’il se branle trop.
Tant pis pour ce qu’il pense, je saisis la queue. Ma main est trop grande pour elle. Elle la pressant lentement, je la fait grossir. Elle enfle comme il faut dans la main. Je fais comme s’il avait un pis de vache, même si je n’ai jamais touché de genre de machin. Elle commence à me plaire beaucoup avec ses veines saillantes, son prépuce qui lâche sa place. J’aperçois à peine le méat sur le gland. Je vois même ses couilles remonter vers le ventre.
Il me regarde prendre sa pine pour la caresser. Je n’avais pas l’intention de lui faire mal. Ma main applique la queue sur le bas ventre. Je la roule comme je ferais avec un gâteau.
Il a des drôles de spasmes : le désir sans doute. Je le prends franchement à pleine main. Il a une bite très chaude. Mes doigts l’entourent facilement, la massent encore une fois. Je sens qu’il n’en peut plus. C’est bon je vais lui faire du bien. Mais avant je desserre mes jambes, j’écarte les cuisses. Il peut voit ma chatte. Je mouille plus fort que les autres fois. J’ai envie de sa main sur moi, dans la moule. Mon abricot dégouline de mouille.
Il comprend mon besoin de masturbation. Je ne vais pas me branler devant lui, alors qu’il peut me le faire. Enfin une main est sur le genou. Il caresse la cuisse, monte doucement. J’écarte les jambes pour qu’il arrive bien sur le con.
Que sa pine est douce, le gland surtout. J’y passe le pouce doucement dessus. Une petite goutte sort du méat. Heum…. Je la récupère avec le doigt, ma langue aime ce goût. Vite je reviens pour la suite. Je caresse à nouveau avec le pouce. Elle a encore des à coups.
Il arrive sur la chatte. Je le sens bien quand il cherche partout. Il est mal mis pour arriver d’un seul coup sur l’abricot. Je ne sais ce qu’il cherche en bas, non, pas mon cul, pas encore. Qui sait, lui aussi me veut à cet endroit secret. Je ne sais s’il a déjà eu un doigt de femmes sur l’anus. Je vais essayer. J’oublie un moment sa queue. En passant je caresse rapidement les couilles. Elles sont dures dans ma main autant que sa pine. Il a le bas des couilles très doux. Ca y est j’arrive sur son anus. Il est contracté, pourtant il écarte les jambes comme une fille. Tant pis, je pose un doigt dessus. Il se détend.
Nous avons un de nos doigts sur le cul de l’autre. Il me caresse autour, je le caresse autour. Il connait la suite quand il entre une bonne partie du doigt dans le cul. C’est bon pour moi. Il commence la série des aller et venue. Je suis tendue vers lui, je vais jouir.
Je me venge un peu en entrant moi aussi le doigt. Il se tend vers ma main. Il en veut plus, j’entre totalement le doigt. Je le fais aller et venir. Je regarde toujours sa queue qui brusquement jette sa crème blanche. Nos spasmes se confondent dans la même jouissance. Le sperme que j’ai dans la main est aromatique. Je le frotte contre son ventre. Il est ainsi tapissé de l’extérieur.
Je me penche sur lui, je lèche le ventre poilu. Son goût est délicieux, j’en voudrais encore, mais la source est tarie. Je reviendrais demain.
J’arrive à sa porte ; elle est ouverte. J’entre sans frapper. Ouf il est dans sa chambre couché.
-Qu’arrive t il ?
- Je vais mieux, je me lève à peine, j’ai eu un sacré coup de fatigue.
C’est vrai il est pâle. Et je pense dans ma tête de linotte que sans doute il n’a pas eu de fille depuis longtemps, que ça lui manque. Je vais lui faire passer l’envie d’une autre, moi qu’il semble ignorer. Pourtant je ne suis pas plus mal que sa dernière, celle qui paraît-il lui faisait l’amour comme une reine. Je t’en foutrais d’une reine, une pute oui Je suis jalouse et alors ! Je l’aime bien ce type là.
Il reste couché, pendant que je pense à des sornettes. S’il ne m’a jamais rien demandé c’est que je ne lui plais pas, c’est simple.
Je me baisse quand même pour une bise. Je vois qu’il est nu, au moins jusqu’aux épaules. En bas je ne sais pas. Je n’ose pas l’interroger. Mais il me plait trop ; Je sens que je vais faire une belle bêtise. Je vais offrir à cet homme ce qui lui manque depuis trop de jour. J’en profiterais aussi bien sur
Il a l’air étonné quand je soulève le drap, que je passe ma main sur son corps chaud. Je le laisse dans l’ignorance de mes obscurs projets, même s’il peut en deviner une partie. Je m’assois enfin sur le bord du lit, c’est plus commode pour moi. Je croise haut les jambes pour qu’il puisse voir ma fourche. Mon bras droit ouvre en entier les draps. Je vois sa queue encore molle. Je ne l’aime pas ainsi. Elle pendouille lamentablement sur la gauche. C’est sans doute parce qu’il se branle trop.
Tant pis pour ce qu’il pense, je saisis la queue. Ma main est trop grande pour elle. Elle la pressant lentement, je la fait grossir. Elle enfle comme il faut dans la main. Je fais comme s’il avait un pis de vache, même si je n’ai jamais touché de genre de machin. Elle commence à me plaire beaucoup avec ses veines saillantes, son prépuce qui lâche sa place. J’aperçois à peine le méat sur le gland. Je vois même ses couilles remonter vers le ventre.
Il me regarde prendre sa pine pour la caresser. Je n’avais pas l’intention de lui faire mal. Ma main applique la queue sur le bas ventre. Je la roule comme je ferais avec un gâteau.
Il a des drôles de spasmes : le désir sans doute. Je le prends franchement à pleine main. Il a une bite très chaude. Mes doigts l’entourent facilement, la massent encore une fois. Je sens qu’il n’en peut plus. C’est bon je vais lui faire du bien. Mais avant je desserre mes jambes, j’écarte les cuisses. Il peut voit ma chatte. Je mouille plus fort que les autres fois. J’ai envie de sa main sur moi, dans la moule. Mon abricot dégouline de mouille.
Il comprend mon besoin de masturbation. Je ne vais pas me branler devant lui, alors qu’il peut me le faire. Enfin une main est sur le genou. Il caresse la cuisse, monte doucement. J’écarte les jambes pour qu’il arrive bien sur le con.
Que sa pine est douce, le gland surtout. J’y passe le pouce doucement dessus. Une petite goutte sort du méat. Heum…. Je la récupère avec le doigt, ma langue aime ce goût. Vite je reviens pour la suite. Je caresse à nouveau avec le pouce. Elle a encore des à coups.
Il arrive sur la chatte. Je le sens bien quand il cherche partout. Il est mal mis pour arriver d’un seul coup sur l’abricot. Je ne sais ce qu’il cherche en bas, non, pas mon cul, pas encore. Qui sait, lui aussi me veut à cet endroit secret. Je ne sais s’il a déjà eu un doigt de femmes sur l’anus. Je vais essayer. J’oublie un moment sa queue. En passant je caresse rapidement les couilles. Elles sont dures dans ma main autant que sa pine. Il a le bas des couilles très doux. Ca y est j’arrive sur son anus. Il est contracté, pourtant il écarte les jambes comme une fille. Tant pis, je pose un doigt dessus. Il se détend.
Nous avons un de nos doigts sur le cul de l’autre. Il me caresse autour, je le caresse autour. Il connait la suite quand il entre une bonne partie du doigt dans le cul. C’est bon pour moi. Il commence la série des aller et venue. Je suis tendue vers lui, je vais jouir.
Je me venge un peu en entrant moi aussi le doigt. Il se tend vers ma main. Il en veut plus, j’entre totalement le doigt. Je le fais aller et venir. Je regarde toujours sa queue qui brusquement jette sa crème blanche. Nos spasmes se confondent dans la même jouissance. Le sperme que j’ai dans la main est aromatique. Je le frotte contre son ventre. Il est ainsi tapissé de l’extérieur.
Je me penche sur lui, je lèche le ventre poilu. Son goût est délicieux, j’en voudrais encore, mais la source est tarie. Je reviendrais demain.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Baiserjouir
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...