Je me rappelle
Récit érotique écrit par Ajax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je me rappelle
Je me rappelle de ce moment à forte intensité sensuelle que je suis impatient de vous raconter.
Nous étions passagers à l'arrière du véhicule conduit par l'amie de Dany alors que celui-ci était passager à l'avant.
Le trajet que nous devions parcourir était relativement long et c'est en discutant à bâtons rompus que nous passions le temps.
J'avais posé négligemment ma main sur la cuisse de ma compagne assise à ma gauche. Insensiblement le tissu de sa robe était remonté au grès des accélérations et des ralentissements, l'extrémité de mes doigts était venue au contact de la peau de sa jambe. Dany se retournait souvent pour croiser le regard de l'un ou de l'autre à l'occasion de nos échanges verbaux sans se préoccuper du contact physique que j'entretenais avec une attention croissante.
Les genoux de ma voisine n'étaient pas serrés l'un près de l'autre, et je me suis surpris à me demander ce que mon voisin devant moi pouvait apercevoir du fuselage des cuisses de ma belle.
Mes pensées étaient concentrées presque uniquement sur cette observation, je ne participais que sporadiquement à la conversation. De ce fait Dany ne se retournait que vers ma compagne qui, me semble-t-il, avait ouvert légèrement le compas de ses jambes sans intentions de provoquer. L'effort nécessaire pour tenir les genoux rapprochés s'est relâché.
Je suspecte maintenant mon voisin devant moi de s'intéresser à ses contemplations autant qu'à la conversation. Dans le même temps et poussé par une tentation lubrique ma main caressante s'est affirmée plus présente entre les jambes de ma chérie. Je souhaitais par cette palpation conserver ou peut-être augmenter la perspective disponible, pour notre voyeur improvisé.
Le bavardage du début s'est peu à peu transformé en un échange à deux, où la conductrice et moi étions exclus. Le ton était léger mais je sentais comme une sorte de tension dans l'air. Ma compagne a tenté plusieurs fois de repousser ma main qui cherchait à remonter perceptiblement le bord de sa robe. Après quelques essais vains elle se résigna à voir sa robe rétrécir de plusieurs bons centimètres.
Ayant abouti à ce petit succès, je restais immobile car mon excitation était corrigé par une affection diffuse.
En tous cas un goût exaltant, jubilatoire m'avait submergé. La curiosité mêlée à la fascination, l'indécence portée par la hardiesse m'a aiguillonné.
Maintenant Dany se retournait vers nous moins souvent, comme s'il se censurait. Mais son bras gauche que je voyais pendre entre les sièges avant, et qui balançait au rythme de la circulation, passait de plus en plus près du mollet de ma gredine et venait l'effleurer en douce.
Là, nos regards se sont croisés, je veux dire avec ma friponne, car ce coquin de Dany jouait les-Monsieur-j'ai-rien-fais.
Nous allions franchir un cap, celui à partir duquel nos attitudes ne sont plus innocentes.
Contre toute attente ma délurée s'est entichée à me câliner le sexe à travers le jean pendant que je la retroussais franchement. À présent, et de ma position, j'apercevais la dentelle blanche de son string, les yeux de mon pauvre ami quand a lui ne pouvaient plus se soustraire à la perspective érotique d'un pubis à peine dissimulé.
Ma belle aguicheuse est restée immobile quand la main du filou est venue enserrer sa cheville. Dorénavant il faudra assumer notre inclination sensuelle, canaille voire libertine.
Les attouchements du passager remontaient de l'escarpin jusqu'à l'entrecuisse, aussi haut que son bras pouvait se tendre.
Mes doigts se sont insinués sous la broderie soyeuse et ont éclipsés la fine étoffe pour afficher un vagin arrogant, impudique tellement glabre, exhibant ses lèvres intimes avec une élégante obscénité.
Plus rien ne me retient dans un tourbillon d'émotions gourmandes et passionnées, mes doigts s'immiscent dans la fente perverse et magique d'un con humide, découvert, qui s'expose, qui provoque, qui défie, qui s'offre tout au moins à nos yeux vicieux.
Ma vaurienne brûlante, remonte ses genoux pour faciliter d’abord la caresse suave de son clitoris gonflé et incandescent, puis la pénétration franche dans son vagin de mes doigts réunis. Je la branle ouvertement, bruyamment et sans ambages. Un orgasme la saisi finalement dans un spasme prodigieusement obscène, divinement dépravé d'une sensualité cristalline.
Nous parvenons enfin à notre destination, la tension s'évapore, les vêtements de ma chaude complice reprennent leurs places.
Elle descend du véhicule, ingénue.
Nous étions passagers à l'arrière du véhicule conduit par l'amie de Dany alors que celui-ci était passager à l'avant.
Le trajet que nous devions parcourir était relativement long et c'est en discutant à bâtons rompus que nous passions le temps.
J'avais posé négligemment ma main sur la cuisse de ma compagne assise à ma gauche. Insensiblement le tissu de sa robe était remonté au grès des accélérations et des ralentissements, l'extrémité de mes doigts était venue au contact de la peau de sa jambe. Dany se retournait souvent pour croiser le regard de l'un ou de l'autre à l'occasion de nos échanges verbaux sans se préoccuper du contact physique que j'entretenais avec une attention croissante.
Les genoux de ma voisine n'étaient pas serrés l'un près de l'autre, et je me suis surpris à me demander ce que mon voisin devant moi pouvait apercevoir du fuselage des cuisses de ma belle.
Mes pensées étaient concentrées presque uniquement sur cette observation, je ne participais que sporadiquement à la conversation. De ce fait Dany ne se retournait que vers ma compagne qui, me semble-t-il, avait ouvert légèrement le compas de ses jambes sans intentions de provoquer. L'effort nécessaire pour tenir les genoux rapprochés s'est relâché.
Je suspecte maintenant mon voisin devant moi de s'intéresser à ses contemplations autant qu'à la conversation. Dans le même temps et poussé par une tentation lubrique ma main caressante s'est affirmée plus présente entre les jambes de ma chérie. Je souhaitais par cette palpation conserver ou peut-être augmenter la perspective disponible, pour notre voyeur improvisé.
Le bavardage du début s'est peu à peu transformé en un échange à deux, où la conductrice et moi étions exclus. Le ton était léger mais je sentais comme une sorte de tension dans l'air. Ma compagne a tenté plusieurs fois de repousser ma main qui cherchait à remonter perceptiblement le bord de sa robe. Après quelques essais vains elle se résigna à voir sa robe rétrécir de plusieurs bons centimètres.
Ayant abouti à ce petit succès, je restais immobile car mon excitation était corrigé par une affection diffuse.
En tous cas un goût exaltant, jubilatoire m'avait submergé. La curiosité mêlée à la fascination, l'indécence portée par la hardiesse m'a aiguillonné.
Maintenant Dany se retournait vers nous moins souvent, comme s'il se censurait. Mais son bras gauche que je voyais pendre entre les sièges avant, et qui balançait au rythme de la circulation, passait de plus en plus près du mollet de ma gredine et venait l'effleurer en douce.
Là, nos regards se sont croisés, je veux dire avec ma friponne, car ce coquin de Dany jouait les-Monsieur-j'ai-rien-fais.
Nous allions franchir un cap, celui à partir duquel nos attitudes ne sont plus innocentes.
Contre toute attente ma délurée s'est entichée à me câliner le sexe à travers le jean pendant que je la retroussais franchement. À présent, et de ma position, j'apercevais la dentelle blanche de son string, les yeux de mon pauvre ami quand a lui ne pouvaient plus se soustraire à la perspective érotique d'un pubis à peine dissimulé.
Ma belle aguicheuse est restée immobile quand la main du filou est venue enserrer sa cheville. Dorénavant il faudra assumer notre inclination sensuelle, canaille voire libertine.
Les attouchements du passager remontaient de l'escarpin jusqu'à l'entrecuisse, aussi haut que son bras pouvait se tendre.
Mes doigts se sont insinués sous la broderie soyeuse et ont éclipsés la fine étoffe pour afficher un vagin arrogant, impudique tellement glabre, exhibant ses lèvres intimes avec une élégante obscénité.
Plus rien ne me retient dans un tourbillon d'émotions gourmandes et passionnées, mes doigts s'immiscent dans la fente perverse et magique d'un con humide, découvert, qui s'expose, qui provoque, qui défie, qui s'offre tout au moins à nos yeux vicieux.
Ma vaurienne brûlante, remonte ses genoux pour faciliter d’abord la caresse suave de son clitoris gonflé et incandescent, puis la pénétration franche dans son vagin de mes doigts réunis. Je la branle ouvertement, bruyamment et sans ambages. Un orgasme la saisi finalement dans un spasme prodigieusement obscène, divinement dépravé d'une sensualité cristalline.
Nous parvenons enfin à notre destination, la tension s'évapore, les vêtements de ma chaude complice reprennent leurs places.
Elle descend du véhicule, ingénue.
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