Je me suis servi d'elles - 1 - Charlotte - histoire érotique

Mon histoire commence, un peu comme toutes les histoires d'ailleurs, ma compagne Daphné m'apprend début Septembre qu'elle est enceinte.

Je suis ravi, mais quelques semaines plus tard je déchante, car un décollement de l’œuf fait que nous ne pouvons plus faire l'amour.

Alors que nous baisions 3 fois par jour, je dois maintenant me contenter de me faire sucer de temps en temps...

Quelques mois plus tard, je n'en peut plus, il me faut de la chatte, un cul, n'importe quel trou autre qu'une bouche

C'est presque par hasard, comme un jeu, pour aider un collègue que je m'inscris sur un site de rencontre, et comme je fais parti de la première génération Internet, j'ai clairement plus de facilité pour parler virtuellement qu'en vrai, c'est donc un jeu d'enfant pour moi que de prendre contact avec des filles.

Je like des profils par centaines, je me décris comme un célibataire, se remettant doucement d'une relation merdique, loin des clichés des autres connards sur le site, etc...

Mon petit manège est bien rodé, après quelques échanges respectueux via le site, nous échangeons par mail, et mon petit jeu des questions réponses marche à chaque fois.

Tu me poses une question, j'y réponds et je t'en pose une à mon tour, pratique, rapide pour connaître l'autre, et bien évidemment très vite, la conversation dévie sur le sexe.

La première fille que je rencontre, c'est Charlotte, elle à 26 ans, 1 gamin de 7 ans, elle est dégoûtée des hommes qui sont tous des enfoirés...

Physiquement, elle est grande (1m90) c'est d'ailleurs pour cela que je l'ai contacté, blonde, se trouve plutôt grosse (90kilos). Ses tabous sont la sodomie et les pédés... Pour moi qui suis bi, tant pis, je me ferais lécher le cul par une autre.

Le rendez-vous est prit un vendredi aprèm, juste pour boire un café, pas moyen qu'elle couche le premier soir, etc...

Je la récupère à la gare ou elle vient d'envoyer son fils à son père, puis nous passons l'après midi dans un café, à parler de tout et de rien, de nos vies, nos travails respectifs, etc..

Vers 17h00 elle me demande ce que je veux faire, à demi en plaisantant je lui dit que j'aimerais bien qu'elle me suce dans les chiottes du bar. Elle me répond qu'elle est toute mouillée et que si je veux je peux venir chez elle.

Nous partons donc pour 90 minutes de transports, car elle habite au fin fond du Val D'oise.

Chez elle, c'est un appartement simple au rez de chaussé, rien de transcendant, c'est un peu le bordel, elle n'avait pas prévue de me ramener. ..

Pendant qu'elle va prendre sa douche, je me roule un petit pétard et met de la musique.

Une bonne demi-heure plus tard, elle ressort propre comme un sou neuf, nous continuons à discuter mais je commence à m'emmerder.

Je lui demande si elle veut pas faire ce que je lui ai proposé dans le bar.

Fait ce que tu veux, me dit-elle.

Tout ce que je veux ?

Oui !

Je m'approche d'elle, et lui attrape la chatte à travers son pantalon. Elle gémit et se tortille tandis que mes doigts la caresse.

Elle déboutonne son pantalon, prend ma main, et la colle entre ses jambes.

Sa petite chatte toute lisse frétille, et dégouline entre mes doigts. Ses soupirs s'intensifient tandis que mes doigts furètent l'intérieur de son vagin.

Toujours debout, sa main vient chercher ma queue, dure comme un bâton.

Parce que son jean me gène, je lui ordonne de se foutre à poil, elle s'exécute sans broncher.

Même si elle se trouve grosse, je la trouve jolie moi, si tu lui enlèves ses idées à la con, elle ferait une copine parfaite... mais j'en ai déjà une de copine, je suis entrain de la tromper et cela ne me fait ni chaud ni froid.

'Met toi à quatre pattes'

Elle obéi. Je tourne autour d'elle, comme pour évaluer une marchandise, je caresse son dos, ses fesses, sa raie, sa chatte qui continue de couler, j'agrippe ses seins par dessous, triture ses tétons.

Chacun de mes caresses déclenchent des frissons, sa graisse bouge dans tous les sens. J'introduis 2 doigts dans sa chatte, ils rentrent tous seuls, elle feule, putain ce qu'elle est serrée...

'Baise moi' me dit-elle.

'T'as des capotes ?' je lui demande

'Non'

'Alors je me retirerais, pas question d'avoir des gosses un peu partout, par contre, comme je suis sympa, je vais te laisser choisir l'endroit ou je mettrais mon foutre'

'C'est toi qui choisi bébé, tu peux venir en moi si tu veux'

C'est à ce moment que je comprend que cette meuf est clairement dingue, elle est prête à baiser, sans capote avec un mec qu'elle vient de rencontrer, s'offre totalement à moi sans savoir qui je suis vraiment, merde ça fait des gosses à 19 ans, et c'est immature au possible, après sa part du principe que tous les mecs sont des connards..

'M’appelle pas bébé stp, et si je dois choisir, je viendrais bien dans ton cul'

'Non, pas mon cul, je t'ai dit, j'aime pas ça'

'Allez, je rentre pas dedans, je pose juste mon gland sur ton cul, et je gicle dedans'

Je sens le conflit intérieur qui la ronge, je décide de pousser le destin, et enfile mes 3 doigts du milieu dans sa moule et je la doigte, le temps qu'elle prenne sa décision.

Quand je m’acharne sur son bouton avec mon pouce elle vient dans un orgasme bruyant, elle se contracte tellement fort qu'elle manque de me péter les doigts.

'Viens comme tu veux, je m'en fous, je veux ta queue'

Gagné ! Je pense, c'est presque trop facile.

'Fous ta tête contre le sol, et relève ton cul ma salope'

Elle s'exécute sans broncher.

Je suis à genou, ma bite dressée qui va et vient le long de sa fente. Ses énormes fesses s'écartent un peu, et je distingue un anus magnifique, totalement épilé, propre et parfait.
Je pose mon gland à l'entrée de sa grotte et m'enfonce doucement.

Puis je ressors, mon gland est recouvert de mouille, j'ai jamais vu ça, il y en a tellement que sa goutte même de là.

J'en prend un peu sur mon pouce, et je commence à caresser doucement son petit trou, et avant qu'elle puisse dire quoi que ce soit, j'enfonce mes 19 centimètres d'un seul coup.

Putain qu'elle est serrée, on dirait qu'elle est vierge tellement ma queue est comprimée dans sa chatte, je laisse échapper un gémissement en même temps qu'elle.

'Putain qu'est-ce que t'es bonne, putain'

'Ça te plaît bébé ?'

Un grand coup de rein.

'M'appelles pas bébé, stp, je te l'ai déjà dit'

Je sors ma queue, la fait glisser entre ses fesses, putain, je pourrais presque m'en servir pour une branlette espagnole like, tellement elles sont énormes, mais son vagin est tellement mieux que j'y retourne.

J'accélère progressivement, et je sens qu'a ce rythme je ne vais pas tenir, je l'insulte, la traite de grosse salope avec un vagin de pute, elle gémit de plus en plus, moi aussi.

C'est bientôt la fin, je ne pourrais pas me retenir bien longtemps. Mon pouce va chercher sa mouille et j'en met sur son cul, j'ai bien décidé de venir dedans, au moins rentrer mon gland.

Alors que je sens que ça vient, je me retire brutalement, me relève et cherche à chopper son cul.

Dans la précipitation, son trou étant déjà presque ouvert et ma queue recouverte de mouille, j'y vais un peu trop fort et rentre entièrement ma bite dans son anus.

Elle pousse un hurlement, essaye de me faire sortir, mais je m'agrippe à ses hanches, la tien fermement, effectue 2 ou 3 mouvements amples, et je me vide dans son cul, encore et encore.

Ses cris s’apaisent et se transforment en des « Haaaa, haaaa, haaaa » Lorsque j'ai fini de jouir, je reste quelques instants fiché en elle.

Doucement, je me retire, presque honteux de l'avoir forcée et ne pas avoir su m’arrêter à temps.
Mon membre recouvert de sperme et de mouille commence doucement à dégonfler.

Elle est allongée par terre, sur le ventre et gémit doucement.

Je me sens un peu con, franchement c'est pas moi ça. Elle se redresse, s'assoit par terre, me regarde et me dit

'Merci, merci, je m'attendais pas à ça, mais c'était bien, j'ai adoré'.

Je suis surpris, mais ravi.

Lorsqu'elle se lève, il y a sur sa moquette une petite flaque de sperme qui coule de son cul, ça coule sur ses jambes tandis qu'elle se dirige vers la salle de bain.

Je me rhabille, puis m'assoie en attendant son retour.

Malheureusement, le moment sexuel est passé et elle redevient aussi chiante qu'avant, (la France va mal, les arabes, les pédés, etc..)

Il doit être prés de 20h00, elle à faim. Comme elle se trouve trop grosse, elle se commande deux pizza double fromage, double crème fraîche.

Je suis atterré par autant de bêtise dans une seule personne.

Elle parle à la personne au téléphone comme de la merde, parce que 'c'est un étranger, sûrement un Africain, pff, ils comprennent jamais rien ceux là'

Lorsque les pizzas arrivent, j'ai à peine le temps d'en manger un quart, qu'elle à déjà fini la sienne, et entame la mienne.

Après cet interlude nourricier, je lui rappelle qu'elle ne m'a toujours pas sucé.

Elle défait ma ceinture, j'objecte que je me suis pas lavé la bite et que j'aimerais bien le faire avant, elle me rétorque que ça ne la dérange pas, au contraire.

Elle m'allonge, se met entre mes jambes et prend ma queue ramollie entièrement dans sa bouche, elle reste sans faire aucun mouvement.

Par contre à l'intérieur c'est festival, je ne sais pas comment elle s'y prend, mais sa langue tourne doucement et elle aspire en même temps.

Je ferme les yeux, et me laisse faire. Je sens petit à petit mon sexe qui prend du volume, jusqu'à atteindre sa taille maximum.

Malgré cela, son nez est toujours sur mon bas ventre, elle me fait une gorge profonde, c'est ma première et je suis aux anges.

Mon gland est au fond de sa gorge, et elle continue d'aspirer en faisant tourner sa langue. Elle malaxe mes couilles doucement, passe des doigts sur mon anus, la salope elle sait vraiment y faire, je tremble de plaisir.

Lorsqu’elle la sort et me lèche les couilles, je manque de défaillir, je lui dis que j'aimerais bien venir au fond de sa bouche, et elle m'enfourne à nouveau.

Elle prend mes mains et les placent sur sa tête pour que je lui donne le mouvement.

Elle commence de long va et vient sur toute la longueur de ma queue, et à chaque fois que j’atteins sa gorge, ça explose sur mon gland.

Petit à petit je sens que ça vient, mon bassin donne des mouvements amples pour que ça touche sa gorge.

J'accélère, elle respire bruyamment par le nez.

Je vais de plus en plus vite, et soudain, dans un râle, je bloque sa tête, et je m'épanche au fin fond de sa bouche.

Elle avale au fur et à mesure tout en continuant d'aspirer et de faire tourner sa langue.

Comme à chaque fois que j'ai joui, j'ai le gland sensible et j'essaye de me retirer.

Elle résiste, j'ai mal de plaisir, c'est trop fort, mais elle continue d'aspirer de moins en moins vite.

Elle reste comme cela jusqu'à ce que je débande, quitte alors ma queue.

Elle me laisse quelques instants pour récupérer

Je la remercie, et lui dit que c'est la première fois qu'on me suce comme ça.

Elle sourit et me dit qu'on est quitte, on a chacun fait découvrir un truc à l'autre.

Je ne peux qu'acquiescer.

Il doit être 00h00 quand nous nous endormons.

Je me réveille vers 06h00 et la regarde dormir. C'est triste à dire mais elle à l'air méchante, même quand elle dort.

Pour le cul c'est une meuf parfaite, mais pour le reste, c'est zéro pointé.

Je m'habille en douceur, et quitte son appartement par le balcon.

Je mettrais 3 heures à rentrer chez moi.

Nous nous reverrons une fois quelque temps après, elle me sucera dans les chiottes d'un café et je la laisserais en plan, la chatte trempée sans m'occuper d'elle.

Avec le recul, je me rend compte que je me suis comporté avec elle comme ses autres mecs, en la prenant vraiment pour une conne.

Si j'essaye d'analyser le truc, je me dis qu'elle ne doit attirer que ce genre de mec, et j'en suis navré pour elle.

Je continuerais mes pérégrinations avec d'autres...