Titre de l'histoire érotique : Le fantasme secret de mademoiselle B. - histoire érotique

Mademoiselle B. attend.

Elle attend la suite. Son corps nu frissonne, non seulement à cause de la température de la pièce, mais aussi avec un mélange d’excitation et d’appréhension.
La voilà nue, attachée au lit, sur le dos, les jambes écartées. Elle se sent vulnérable, tandis qu’une légère moiteur s’installe entre ses jambes.
Les yeux bandés, elle se remémore la raison de sa présence.

Un SMS reçu d’un numéro inconnu, lui enjoignant de se rendre dans un hôtel porte d’Orléans , chambre 203, de se déshabiller, de s’allonger nue sur le lit et de placer le bandeau prévu à cet effet sur ses yeux.
Mademoiselle B. ne sait toujours pas pourquoi elle est venue, sa raison lui hurlant de faire demi tour à chaque instant, mais elle est la.

Ses tétons sont durs mais pas uniquement à cause du froid, sa vulve s’humidifie de plus en plus. Elle attend.
Alors qu’elle s’installe sur le lit, elle entend des pas dans la chambre, son cœur tape fort dans sa poitrine.

Une main douce mais ferme l’attache au lit. Elle n’a qu’une seule envie c’est de retirer son bandeau et de savoir, mais elle ne peut pas, elle est pieds et poings liés.
Mademoiselle B. entend les pas se déplacer, impossible de savoir si c’est un homme ou une femme, si ils sont plusieurs, elle n’arrive qu’à déterminer un emplacement probable, pas assez pour satisfaire sa curiosité.

Son corps se tend soudain, alors qu'une main vient se poser sur son sein gauche, un gémissement de plaisir mêlé d'un soupir de soulagement s'échappe malgré elle de ses lèvres.

La main se pose alors sur son autre sein, les doigts tournent autour du téton puis s'en vont. Il ne reste qu'un soupçon de crainte au fond d'elle, mais elle est prête pour la suite.
Les mains reprennent leur exploration, commençant par ses oreilles, son nez, deux doigts s'introduisent entre ses lèvres à demi serrées, ils sont frais et goutent le savon.

Son cou, ses seins, une vive pointe de douleur lorsqu'elles pincent subitement ses tétons, son entre-jambe est définitivement humide.
Mademoiselle B. attend la suite. Elle s'arc-boute alors que les mains passent sur ses cotes, elle est chatouilleuse, mais entravée comme elle est, elle ne peut que subir.
Son ventre, son nombril, inexorablement les mains se rapprochent de son intimité, elle pousse le bassin en avant, pour accélérer les choses, mais les mains se retirent.
Elle ne maitrise rien, son plaisir n'est pas le sien, son mystérieux tortionnaire contrôle désormais chaque aspect de son désir grandissant.
Comme pour la punir de cet affront, les deux tétons sont pincés, fort et simultanément.
Surprise, elle gémit.

Les cordes qui maintiennent ses jambes se tendent, dévoilant encore plus son jardin secret.
Le lit bouge, elle n'est plus seule dessus désormais.

Les deux mains caressent l'intérieur de ses cuisses et remontent rapidement vers ses genoux, ses mollets, ses pieds.
Tendue comme une corde, chatouilleuse, c'est une véritable torture pour mademoiselle B.

Mademoiselle B. sait qu'elle ne doit rien dire, mais c'est plus fort qu'elle.
Elle voudrait en redemander, mais le pincement soudain de ses tétons la coupe dans ses velléités.
A cet instant précis, totalement soumise, offerte à un inconnu, elle sait pourquoi elle est là. Au fond de son esprit, Mademoiselle B. a toujours voulu être dominée, ne plus être maitresse de sa destinée, ne plus se soucier de rien, être libérée de tout ce qui la retient dans sa vie.
Perdue dans ses pensées profondes, elle n'a pas senti le souffle chaud s'approchant de son entre-jambe. Elle sursaute presque surprise lorsqu'une langue agile passe sur son clitoris.
Elle gémit, la langue animée enchaine les mouvements rapides et précis entre ses lèvres, s'introduit dans sa vulve qui désormais laisse sa cyprine s'écouler librement.
Son bouton d'amour n'est pas en reste, elle s'oublie totalement lorsque ces lèvres l'entourent et l'aspire.

Mademoiselle B. jouit, mais elle veut partager.
Comme si l'inconnu lisait dans son esprit, elle sent un gland chaud et doux se poser sur sa bouche qu'elle entrouvre.
Il y a donc au moins un homme. Le pénis force doucement sa bouche, s'introduit de plus en plus loin.

Il est suffisamment gros pour elle, il à la même odeur que les doigts de tout à l'heure. Chaud et viril, il avance encore. Elle essaye de réprimer du mieux qu'elle peut l'envie de vomir lorsque le chibre touche sa glotte.
Elle est fière d'elle, car elle sent son nez appuyé contre le torse de l'homme. Elle l'a en entier dans sa gorge.

Un instant elle panique, l'air vient à lui manquer, un sursaut lorsqu'elle sent une bouche qui suce son clitoris. Ils sont donc au moins deux.
Mademoiselle B. imagine la scène de l'extérieur, elle allongée sur un lit, écartelée, un homme accroupi devant son visage enfonce son pénis dans la bouche, tandis qu'un autre lui dévore la... chatte.

Elle se sent devenir perverse, elle se sent enfin devenir qui elle est vraiment, tous ces mots grossiers qu'elle n'osait pas prononcer même dans ses pensées intimes lui viennent naturellement.

L'air lui manque, elle tourne comme elle peut sa langue autour de cette bite enfoncée au fond de la gorge, elle se contracte, elle a besoin de respirer.
Il se retire, elle aspire de grandes goulées d'air, de la salive coule des commissures de ses lèvres, a peine reprend elle son souffle, qu'il s'enfonce à nouveau d'un coup.
Cette fois elle est prête, ses lèvres se font pulpeuses, la salive envahie sa bouche, elle suce avec un plaisir presque avide, ne respirant que lorsqu'elle peut.
La langue entre ses jambes descend vers son anus, jamais elle n'avait ressenti ce déferlement, elle contracte son vagin, son anus se referme, la langue se retire.

L'homme se retire de sa bouche, et la laisse pantelante.
Mademoiselle B. attend, elle veut sentir une bite en elle, la remplir, la compléter totalement.
Un gland se pose à l'entrée de sa grotte, elle attend.

Entravée elle essaye malgré tout d'avancer son bassin pour être pénétrée, sans succès.
On l'escalade, des jambes autour de sa tête, une chatte qui se pose sur sa bouche.

Interloquée est Mademoiselle B, il y a donc une femme, elle ne l'a jamais fait avec une femme, elle ne sait pas faire.
A peine le temps de reprendre ses pensées, que la bite rentre d'un coup sec et brutal en elle.

Elle mouille tellement que ça passe tout seul, la chatte vient se poser sur sa bouche, elle gémit entre ces lèvres.
Le va et vient commence, vagues après vagues, le plaisir monte dans son ventre, elle réplique ces mouvements avec sa langue, elle bouffe une chatte pour la première fois de sa vie, et elle aime ça.
L'odeur légèrement fruitée, la mouille qui coule sur et dans sa bouche, elle lèche, suce et aspire du mieux qu'elle peut.
La bite la ramone, elle n'attend désormais plus, elle jouit comme jamais auparavant.

Quand elle se retire, un sentiment de perte l'accompagne, elle n'est plus pleine, plus complète.
La femme allongée sur elle jouit aussi sous ses coups de langue, faire jouir une femme avec sa bouche, voilà une nouveauté.
Les liens enserrant ses jambes se relâchent, l'autre femme soulève son bassin, emprisonnant ses jambes sous ses bras et recommence à lui lécher la chatte.
Totalement, mademoiselle B. s'abandonne.

Elle ne comprend la manœuvre que trop tard, lorsque le gland se pose sur son œillet.

La sodomie n'est pas pour elle, ses quelques tentatives se sont toutes soldées par des échecs douloureux, elle ne veut pas, elle veut protester, mais sa bouche est occupée ailleurs.
La femme qui la lèche, mouille son anus abondamment.

Le gland avance doucement, force son anneau. Elle se contracte, mais il force, doucement, millimètres par millimètres, il force sa réticence. Elle souffle, tandis qu'il avance.
Enfin le gland passe, elle essaye de comprendre cette nouvelle sensation, mais à peine elle entrevoit le plaisir, il se retire.

Mademoiselle B. en veut plus, elle est là, elle veut tout faire à cet instant, elle veut, à son plus grand étonnement, sentir une bite dans son cul.

Elle est presque comme soulagée lorsque qu'il s'introduit en elle, plus loin cette fois, son anus s'ouvre tout seul, elle n'a plus peur, elle n'a plus mal.
Il s'active en elle, de son anus une chaleur se répand en elle tandis que doucement il commence son mouvement.

Des doigts rentrent dans sa chatte, elle jouit, elle gémit, elle en veut plus.

Très doucement, la chaleur se transforme en un plaisir nouveau, une jouissance plus profonde, plus lointaine, mais au combien délirante.
En cet instant précis, mademoiselle B. n'existe plus, son corps n'est que plaisir, son âme est libre, elle voudrait une seconde bite dans sa chatte et une troisième dans sa bouche.
Elle devine au fond d'elle qu'elle ne sera plus jamais complète.

Dans son bas-ventre le feu brule et la consume entièrement.
Les mouvements dans son anus accélèrent, les doigts dans son vagin se synchronisent, son corps ondule et prend naturellement le rythme. Telle la marée montante le plaisir l'envahit.
Les vagues sont de plus en plus fortes, encore et encore elle jouit comme si c'était la première fois de sa vie.

Toujours plus vite, plus fort, plus loin, un râle et il se déverse en elle.

Parmi toutes ces sensations, Mademoiselle B. ressent le sperme chaud se répandre dans ses entrailles, elle hurle son plaisir à la terre entière, sans ce soucier du qu'en-dira-t-on.
Il se retire, la laissant seule et incomplète, mais apaisée.

La sueur sur son corps se rafraichit rapidement, elle grelotte et voudrait se rouler en boule mais ne peut pas.

Il s'allonge sur elle, tendrement, sans l'écraser et l'embrasse. Les lèvres et la langue de Mademoiselle B. cherchent fougueusement la bouche de son amant.
Un instant trop court, il se relève, elle veut protester, mais la femme s'allonge à son tour sur elle, leurs seins pressés, elles s'embrassent, elle est douce, elle sent bon, l'instant s'allonge, toujours plus loin, elle s'envole.
Elle ne se rend compte que trop tard, qu'elle est seule désormais, ses membres libérés elle est de nouveau livrée à elle-même, mais une graine à germée au plus profond de son cerveau, un endroit parfait, en dehors du temps, une petite graine rien qu'a elle, qu'il faudra faire grandir.
Mademoiselle B. se redresse, s'assoit sur le lit, sa tête tourne un peu lorsqu'elle retire le bandeau, ses yeux ont besoin de temps pour s'habituer à la lumière.
Sur la chaise ses habits sont pliés, sur la table son téléphone trône entre deux roses rouges.

Elle l'allume et voit de nouvelles photos et vidéos.

Mademoiselle B. comprend qu'un troisième larron a photographié et filmé toute la scène, elle ne reconnait ni l'homme, ni la femme, et ne connait pas le sexe de la troisième personne.
Elle se lève, s'habille, son corps vibre doucement et libère encore ses endorphines lorsqu'elle franchie la porte.

Mademoiselle B. se sent pour la seconde fois de sa vie libre et vivante, elle sait qu'elle peut s'oublier sans sourciller, elle n'attend plus.