Quick chiotte
Récit érotique écrit par Robsilv [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Quick chiotte
Marie est une collègue de travail.
De père marocain et de mère Lilloise, elle forme un mélange détonnant de farouche pudeur et de joie de vivre.
Forcement brune et à la peau légèrement matte, elle a de beaux yeux marrons et un joli visage.
Le premier jour de mon arrivée dans cette boite, nous avons sympathisé, et après maintenant presque 5 ans, nous sommes devenus de bons potes.
Comme deux bons potes, homme et femme, nous parlons de tout et de rien, et bien évidement de sexe. Si au début elle était un peu gênée, elle a vue en moi une personne qui ne la jugerais pas, quoi qu'elle me raconte.
C'est donc toute sa vie sexuelle que je connais, ses coups d'un soir toxicos, ses amants alcooliques, sa descente dans les enfers des médocs,
les drogues qu'elle prend et quand le matin elle se réveille avec une gueule de bois et la très nette impression d'avoir servie d'éponge à sperme
à une bande de punks à chien rencontrés dans les catacombes ou un squat quelconque
Pour ne rien arranger, son corps lui fait défaut, conséquence de ses abus ou non, de vilains kystes sur ses ovaires ont définitivement réduits à néant sa capacité à avoir des enfants, à 50% pour son bonheur, 50% pour son malheur.
Ces derniers mois c'est vers moi qu'elle se tourne pour remonter la pente, cherchant souvent mes conseils et idées, ne les suivants presque jamais.
Petit à petit, à coups de 'je te l'avais bien dit' et de 'si tu veux mon avis' j'arrive à lui faire comprendre que parfois il est bon qu'elle reste chez elle le soir plutôt que de sortir se miner la tête.
Même si elle sait que je ne veux que son bien, je lui répète régulièrement que je suis son pote et pas son père (merci Wolverine) .
Nos rapports sont donc amicaux, et même si l'idée de sexer ensemble est forcement venue sur le tas plusieurs fois, nous sommes assez intelligents pour respecter la règle du "no zob in job", comprenez pas de sexe entre collègues.
Je sais parce qu’elle me l'a dit, qu'une fois ou elle dormait chez nous, elle nous a écouté baiser avec ma copine et s'est touchée dans la chambre juste à coté, elle y a prit beaucoup de plaisir.
Elle sait aussi que je la tringlerais bien et ne s'en offusque heureusement pas, mais toujours "no zob in job"
Coté taf, cela ne va pas très fort, ses absences et retards répétés agacent la direction, et malgré plusieurs rappels à l'ordre et deux avertissements rien n'y fait, un protocole de sortie est donc mis en place.
Son dernier jour de travail me semble horrible, elle va retourner plusieurs mois au Maroc histoire de quitter la grisaille parisienne, et quand elle rentrera j'aurais déménagé dans l'Oise, nous ne nous verrons pour ainsi dire plus, tristes nous le sommes tous les deux.
Quelques heures avant son grand départ, elle vient me voir sur l'IRC du taf et me dit que je suis le pote le plus cool qu'elle ait jamais eu, et qu'elle ne sait pas comment me remercier.
Je lui répond à moitié en rigolant qu'elle pourrait me montrer et me laisser caresser ses nichons, car elle le sait bien, je les trouvent parfaits.
Elle reste surprise pendant quelques secondes, se lève et quitte son poste de travail sans rien dire.
A peine 2 minutes plus tard je reçois un SMS : 4eme étage, chiotte F, porte gauche.
Je verrouille ma session, contrôle mes pas et me dirige à l’extérieur. Dès que la porte d'entrée est fermée, je me précipite dans les escaliers, et je monte les marches 4 à 4 pour arriver au quatrième étage essoufflé comme pas possible, il faut vraiment que j'arrête de fumer.
L'étage est vide, j'entre dans les toilettes des femmes, vides aussi, je toque sur la porte de gauche, pour entendre de la porte de droite 'l'autre gauche abruti'
Je rentre donc rapidement dans la porte de l'autre gauche, la lumière est éteinte. Nous chuchotons, elle me dit qu'elle flippe un peu de se faire surprendre, je lui dit que de 1 c'est idiot et de 2 qu'il ne lui reste plus que 2 heures de taf avant de quitter définitivement ce lieu.
Comme elle ne dit rien, je la cherche à tâtons dans le noir, pas très longtemps certes, mais quand je pose enfin ma main sur elle, je l'attire à moi, contre moi.
Elle se détend un peu, et nous nous étreignons, comme deux amis-amants, un peu gênés, mais totalement excités.
Alors que mes mains s'approchent de ses fesses, elle se retourne et me dit "non juste mes seins"
Elle se colle alors à moi, ses fesses contre mon bas ventre, prend mes mains et les place sur ses seins.
Je commence à les malaxer doucement, ils sont ferme, rond, pas très gros, mais parfaitement adaptés à mes pognes.
J'essaye d'attraper ses tétons, mais au travers du tissus épais c'est assez difficile, je passe alors ma main sous son haut et touche enfin cette chair tant imaginée.
Immédiatement ils se mettent à durcir, sa tête se penche en arrière dans le creux de mon cou, et sa main viens s'aventurer sur ma braguette.
Je refoule l'envie qui me prend de lui sauter dessus, j'ai tout intérêt à lui laisser prendre les choses en main, ne jamais brusquer une personne hésitante, lui laisser faire tout les premiers pas.
Ma seconde main englobe son second sein, je malaxe et pétri très doucement, pinçant par moment légèrement les tétons, juste de quoi lui arracher un petit soupir. Ma bouche embrasse son cou, doucement, tendrement, sous ma main gauche, je sens son cœur qui bat vite et fort.
Ses caresses sur ma braguette ont réveillées ma bite qui prend de la grosseur. Je me sens de plus en plus à l'étroit dans mon pantalon.
Mes mains descendent par de petits cercles sur son ventre, et je caresse maintenant toute la zone entre son cou et le début de sa culotte.
D'un coup elle se retourne, m'embrasse avec fureur, sa langue tourne dans ma bouche, elle gémit d'envie et de plaisir, d'un main elle tient ma tête, de l'autre elle essaye d'ouvrir ma braguette.
Pendant ce temps je lui caresse les fesses. Enfin elle se défait du dernier bouton, plonge sa main dans l'ouverture de mon pantalon, passe la barrière de mon boxer et attrape ma bite, la serre, et pousse un soupir de soulagement.
Elle me branle doucement, et se retourne a nouveau, prend une de mes mains, et la dirige de son ventre vers sa culotte. Second soupir de soulagement quand ma main passe sur ses lèvres.
Nous nous faisons du bien ainsi quelques instants, elle me susurre qu'elle a envie de moi, je lui demande ce qu'elle veut.
Elle s'assoit sur les toilettes, ouvre totalement ma braguette et m'attire dans sa bouche.
C'est cette fois moi qui lâche un soupir de soulagement, comme si 5 années d'attentes venaient enfin de se terminer (ce qui est vaguement le cas)
Sa bouche va et vient sur ma bite, ses mains caressent mes couilles, je lui dit qu'elle est une cochonne très douée, ses gémissements m'excitent. Je sens que ma sève monte, je lui dit, elle continue, elle agrippe mes fesses et à l'exact moment ou je jouis, elle me prend en entier, dans le fond de sa gorge, mon gland qui bute contre le fond de son palais, explose alors dans un orgasme d'une rare intensité, et je déverse tout mon sperme directement dans œsophage.
Elle avale mon sperme et continue de me sucer pour en pas en perdre une seule goutte.
Je lui dis que je veux lui rendre la pareille, elle me répond que non, elle n'aime pas qu'on la lèche là.
Et bien, voilà une nouvelle chose que j'apprend sur toi ma chérie.
Je n'ai pas dit que je n'aimais pas qu'on me lèche, mais la chatte, je ne sais pas pourquoi je ne peux pas, par contre mon cul...
Il est propre grosse cochonne ton cul au moins ?
Propre et parfumé lingettes.
Nous sommes toujours dans le noir, et je lui fais remarqué que je n'ai pas vu ses seins, toucher n'est pas suffisant.
Elle me dit de la fermer, j'entend sa fermeture éclair qui s'ouvre, bruit de tissus qui descend.
Mes mains trouvent directement ses deux globes que je malaxe, quelques contorsions plus tard, me voilà assis sur les toilettes, avec ses fesses en face de moi.
La lumière s'allume et quelle vision ! Un cul parfait, magnifique, parfaitement proportionné, un cul de déesse.
Elle se retourne, me sourit et prend appuis des deux mains contre la porte.
J'embrasse ses fesses, et ma langue trouve son anus, totalement épilé au centre exact de son cul.
Il sent effectivement la lingette et quand enfin ma langue se pose dessus, elle tressaille.
Je m'applique à lui lécher le cul afin qu'elle en garde un souvenir mémorable, je déploie mes talents de lécheur, je rentre ma langue tellement profond dans son anus, que j'aurais mal au frein de la langue pendant plusieurs jours après. Mon visage enfouis entre ses fesses, je lui bouffe littéralement le cul.
Elle gémit, parfois très fort, heureusement qu'il n'y a personne à l'étage je me dis, sinon, on est cramés de suite.
Elle profite soudain d'un moment de répit que je donne à ma bouche pour s’asseoir sur mes genoux.
Ma bite un peu molle, en contact direct avec ses muqueuse reprend vie presque instantanément.
Elle bouge son adorable bassin sur elle, et j'essaye avec quelques vaines contorsions de m'introduire dans sa chatte.
Mais peine perdue, elle s'empare de ma bite, viens la placer devant son anus et pousse vers l'arrière pour s'empaler dessus.
C'est juste magnifique, je vois ma bite s'enfoncer petit à petit, grignotée par ce derrière délicieux.
Elle est chaude et serrée, un gémissement coincé dans ma gorget se libère quand enfin ses fesses viennent se plaquer contre mon pubis.
Nous restons sans bouger quelques instants, je ne peux dire que 'oh putain, oh putain, oh putain' et elle se met à bouger.
Je reste là sans rien faire, me faisant baiser par le cul de Marie, Marie ma pote de 5 ans, Marie que je rêve de fourrer depuis 5 ans et me voilà entre de l'enculer, un rêve qui devient réalité, et qui est aussi bon que je l'avais imaginé.
Tout en me conservant en elle, elle se redresse et viens s'allonger sur moi, ce qui laisse le champ libre à mes mains pour lui caresser la chatte.
Même si j'ai déjà joui peu de temps auparavant, la situation est trop forte, je sens que je vais encore jouir, je la repousse vers l'avant, et me lève, toujours fiché dans son cul.
Je prend les choses en main et choppe ses hanches. Ses gémissements deviennent des cris tandis que j’accélère mes mouvements de bassin, de plus en plus vite, de plus en plus fort je fait des va et vient dans son cul. Sa main caresse son clito.
Elle doit avoir un orgasme, car je sens ses sphincters qui se resserrent déclenchant mon éjaculation au fin fond de ses entrailles.
Nous mettons quelques minutes à nous en remettre, lorsque je sors de son cul, du sperme coule le long de ses jambes, un coup de lingette et tout est nettoyé.
Nous nous rhabillons, je la regarde une dernière fois, nous nous embrassons.
Nous sortons ensemble, pour tomber nez à nez avec une jeune femme, qui nous regarde l'air gêné.
Comme si de rien n'était, je lui dis bonjour, lui fait un grand sourire et sors des toilettes.
Marie reste quelques minutes de plus pour se rafraîchir et me dit que le silence après mon départ entre elle et la jeune femme, l'a beaucoup amusée.
Nous rejoignons nos postes de travail, et quand vient l'heure du départ, nous nous serrons très fort dans les bras, un dernier baiser, et elle part.
Voilà presque 1 an qu'elle est partie, et souvent je repense à notre baise rapide dans les chiottes du quatrième.
Je revois de temps en temps la jeune femme, elle est femme de ménage, nous nous sourions et passons notre chemin.
Qui sait peut-être qu'un jour...
De père marocain et de mère Lilloise, elle forme un mélange détonnant de farouche pudeur et de joie de vivre.
Forcement brune et à la peau légèrement matte, elle a de beaux yeux marrons et un joli visage.
Le premier jour de mon arrivée dans cette boite, nous avons sympathisé, et après maintenant presque 5 ans, nous sommes devenus de bons potes.
Comme deux bons potes, homme et femme, nous parlons de tout et de rien, et bien évidement de sexe. Si au début elle était un peu gênée, elle a vue en moi une personne qui ne la jugerais pas, quoi qu'elle me raconte.
C'est donc toute sa vie sexuelle que je connais, ses coups d'un soir toxicos, ses amants alcooliques, sa descente dans les enfers des médocs,
les drogues qu'elle prend et quand le matin elle se réveille avec une gueule de bois et la très nette impression d'avoir servie d'éponge à sperme
à une bande de punks à chien rencontrés dans les catacombes ou un squat quelconque
Pour ne rien arranger, son corps lui fait défaut, conséquence de ses abus ou non, de vilains kystes sur ses ovaires ont définitivement réduits à néant sa capacité à avoir des enfants, à 50% pour son bonheur, 50% pour son malheur.
Ces derniers mois c'est vers moi qu'elle se tourne pour remonter la pente, cherchant souvent mes conseils et idées, ne les suivants presque jamais.
Petit à petit, à coups de 'je te l'avais bien dit' et de 'si tu veux mon avis' j'arrive à lui faire comprendre que parfois il est bon qu'elle reste chez elle le soir plutôt que de sortir se miner la tête.
Même si elle sait que je ne veux que son bien, je lui répète régulièrement que je suis son pote et pas son père (merci Wolverine) .
Nos rapports sont donc amicaux, et même si l'idée de sexer ensemble est forcement venue sur le tas plusieurs fois, nous sommes assez intelligents pour respecter la règle du "no zob in job", comprenez pas de sexe entre collègues.
Je sais parce qu’elle me l'a dit, qu'une fois ou elle dormait chez nous, elle nous a écouté baiser avec ma copine et s'est touchée dans la chambre juste à coté, elle y a prit beaucoup de plaisir.
Elle sait aussi que je la tringlerais bien et ne s'en offusque heureusement pas, mais toujours "no zob in job"
Coté taf, cela ne va pas très fort, ses absences et retards répétés agacent la direction, et malgré plusieurs rappels à l'ordre et deux avertissements rien n'y fait, un protocole de sortie est donc mis en place.
Son dernier jour de travail me semble horrible, elle va retourner plusieurs mois au Maroc histoire de quitter la grisaille parisienne, et quand elle rentrera j'aurais déménagé dans l'Oise, nous ne nous verrons pour ainsi dire plus, tristes nous le sommes tous les deux.
Quelques heures avant son grand départ, elle vient me voir sur l'IRC du taf et me dit que je suis le pote le plus cool qu'elle ait jamais eu, et qu'elle ne sait pas comment me remercier.
Je lui répond à moitié en rigolant qu'elle pourrait me montrer et me laisser caresser ses nichons, car elle le sait bien, je les trouvent parfaits.
Elle reste surprise pendant quelques secondes, se lève et quitte son poste de travail sans rien dire.
A peine 2 minutes plus tard je reçois un SMS : 4eme étage, chiotte F, porte gauche.
Je verrouille ma session, contrôle mes pas et me dirige à l’extérieur. Dès que la porte d'entrée est fermée, je me précipite dans les escaliers, et je monte les marches 4 à 4 pour arriver au quatrième étage essoufflé comme pas possible, il faut vraiment que j'arrête de fumer.
L'étage est vide, j'entre dans les toilettes des femmes, vides aussi, je toque sur la porte de gauche, pour entendre de la porte de droite 'l'autre gauche abruti'
Je rentre donc rapidement dans la porte de l'autre gauche, la lumière est éteinte. Nous chuchotons, elle me dit qu'elle flippe un peu de se faire surprendre, je lui dit que de 1 c'est idiot et de 2 qu'il ne lui reste plus que 2 heures de taf avant de quitter définitivement ce lieu.
Comme elle ne dit rien, je la cherche à tâtons dans le noir, pas très longtemps certes, mais quand je pose enfin ma main sur elle, je l'attire à moi, contre moi.
Elle se détend un peu, et nous nous étreignons, comme deux amis-amants, un peu gênés, mais totalement excités.
Alors que mes mains s'approchent de ses fesses, elle se retourne et me dit "non juste mes seins"
Elle se colle alors à moi, ses fesses contre mon bas ventre, prend mes mains et les place sur ses seins.
Je commence à les malaxer doucement, ils sont ferme, rond, pas très gros, mais parfaitement adaptés à mes pognes.
J'essaye d'attraper ses tétons, mais au travers du tissus épais c'est assez difficile, je passe alors ma main sous son haut et touche enfin cette chair tant imaginée.
Immédiatement ils se mettent à durcir, sa tête se penche en arrière dans le creux de mon cou, et sa main viens s'aventurer sur ma braguette.
Je refoule l'envie qui me prend de lui sauter dessus, j'ai tout intérêt à lui laisser prendre les choses en main, ne jamais brusquer une personne hésitante, lui laisser faire tout les premiers pas.
Ma seconde main englobe son second sein, je malaxe et pétri très doucement, pinçant par moment légèrement les tétons, juste de quoi lui arracher un petit soupir. Ma bouche embrasse son cou, doucement, tendrement, sous ma main gauche, je sens son cœur qui bat vite et fort.
Ses caresses sur ma braguette ont réveillées ma bite qui prend de la grosseur. Je me sens de plus en plus à l'étroit dans mon pantalon.
Mes mains descendent par de petits cercles sur son ventre, et je caresse maintenant toute la zone entre son cou et le début de sa culotte.
D'un coup elle se retourne, m'embrasse avec fureur, sa langue tourne dans ma bouche, elle gémit d'envie et de plaisir, d'un main elle tient ma tête, de l'autre elle essaye d'ouvrir ma braguette.
Pendant ce temps je lui caresse les fesses. Enfin elle se défait du dernier bouton, plonge sa main dans l'ouverture de mon pantalon, passe la barrière de mon boxer et attrape ma bite, la serre, et pousse un soupir de soulagement.
Elle me branle doucement, et se retourne a nouveau, prend une de mes mains, et la dirige de son ventre vers sa culotte. Second soupir de soulagement quand ma main passe sur ses lèvres.
Nous nous faisons du bien ainsi quelques instants, elle me susurre qu'elle a envie de moi, je lui demande ce qu'elle veut.
Elle s'assoit sur les toilettes, ouvre totalement ma braguette et m'attire dans sa bouche.
C'est cette fois moi qui lâche un soupir de soulagement, comme si 5 années d'attentes venaient enfin de se terminer (ce qui est vaguement le cas)
Sa bouche va et vient sur ma bite, ses mains caressent mes couilles, je lui dit qu'elle est une cochonne très douée, ses gémissements m'excitent. Je sens que ma sève monte, je lui dit, elle continue, elle agrippe mes fesses et à l'exact moment ou je jouis, elle me prend en entier, dans le fond de sa gorge, mon gland qui bute contre le fond de son palais, explose alors dans un orgasme d'une rare intensité, et je déverse tout mon sperme directement dans œsophage.
Elle avale mon sperme et continue de me sucer pour en pas en perdre une seule goutte.
Je lui dis que je veux lui rendre la pareille, elle me répond que non, elle n'aime pas qu'on la lèche là.
Et bien, voilà une nouvelle chose que j'apprend sur toi ma chérie.
Je n'ai pas dit que je n'aimais pas qu'on me lèche, mais la chatte, je ne sais pas pourquoi je ne peux pas, par contre mon cul...
Il est propre grosse cochonne ton cul au moins ?
Propre et parfumé lingettes.
Nous sommes toujours dans le noir, et je lui fais remarqué que je n'ai pas vu ses seins, toucher n'est pas suffisant.
Elle me dit de la fermer, j'entend sa fermeture éclair qui s'ouvre, bruit de tissus qui descend.
Mes mains trouvent directement ses deux globes que je malaxe, quelques contorsions plus tard, me voilà assis sur les toilettes, avec ses fesses en face de moi.
La lumière s'allume et quelle vision ! Un cul parfait, magnifique, parfaitement proportionné, un cul de déesse.
Elle se retourne, me sourit et prend appuis des deux mains contre la porte.
J'embrasse ses fesses, et ma langue trouve son anus, totalement épilé au centre exact de son cul.
Il sent effectivement la lingette et quand enfin ma langue se pose dessus, elle tressaille.
Je m'applique à lui lécher le cul afin qu'elle en garde un souvenir mémorable, je déploie mes talents de lécheur, je rentre ma langue tellement profond dans son anus, que j'aurais mal au frein de la langue pendant plusieurs jours après. Mon visage enfouis entre ses fesses, je lui bouffe littéralement le cul.
Elle gémit, parfois très fort, heureusement qu'il n'y a personne à l'étage je me dis, sinon, on est cramés de suite.
Elle profite soudain d'un moment de répit que je donne à ma bouche pour s’asseoir sur mes genoux.
Ma bite un peu molle, en contact direct avec ses muqueuse reprend vie presque instantanément.
Elle bouge son adorable bassin sur elle, et j'essaye avec quelques vaines contorsions de m'introduire dans sa chatte.
Mais peine perdue, elle s'empare de ma bite, viens la placer devant son anus et pousse vers l'arrière pour s'empaler dessus.
C'est juste magnifique, je vois ma bite s'enfoncer petit à petit, grignotée par ce derrière délicieux.
Elle est chaude et serrée, un gémissement coincé dans ma gorget se libère quand enfin ses fesses viennent se plaquer contre mon pubis.
Nous restons sans bouger quelques instants, je ne peux dire que 'oh putain, oh putain, oh putain' et elle se met à bouger.
Je reste là sans rien faire, me faisant baiser par le cul de Marie, Marie ma pote de 5 ans, Marie que je rêve de fourrer depuis 5 ans et me voilà entre de l'enculer, un rêve qui devient réalité, et qui est aussi bon que je l'avais imaginé.
Tout en me conservant en elle, elle se redresse et viens s'allonger sur moi, ce qui laisse le champ libre à mes mains pour lui caresser la chatte.
Même si j'ai déjà joui peu de temps auparavant, la situation est trop forte, je sens que je vais encore jouir, je la repousse vers l'avant, et me lève, toujours fiché dans son cul.
Je prend les choses en main et choppe ses hanches. Ses gémissements deviennent des cris tandis que j’accélère mes mouvements de bassin, de plus en plus vite, de plus en plus fort je fait des va et vient dans son cul. Sa main caresse son clito.
Elle doit avoir un orgasme, car je sens ses sphincters qui se resserrent déclenchant mon éjaculation au fin fond de ses entrailles.
Nous mettons quelques minutes à nous en remettre, lorsque je sors de son cul, du sperme coule le long de ses jambes, un coup de lingette et tout est nettoyé.
Nous nous rhabillons, je la regarde une dernière fois, nous nous embrassons.
Nous sortons ensemble, pour tomber nez à nez avec une jeune femme, qui nous regarde l'air gêné.
Comme si de rien n'était, je lui dis bonjour, lui fait un grand sourire et sors des toilettes.
Marie reste quelques minutes de plus pour se rafraîchir et me dit que le silence après mon départ entre elle et la jeune femme, l'a beaucoup amusée.
Nous rejoignons nos postes de travail, et quand vient l'heure du départ, nous nous serrons très fort dans les bras, un dernier baiser, et elle part.
Voilà presque 1 an qu'elle est partie, et souvent je repense à notre baise rapide dans les chiottes du quatrième.
Je revois de temps en temps la jeune femme, elle est femme de ménage, nous nous sourions et passons notre chemin.
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