Je n'ai pas honte.
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 973 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Baiserjouir ont reçu un total de 8 628 368 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 18 346 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Je n'ai pas honte.
Bien installée sur ma serviette, la tête posée sur mon sac de sport,
je le regarde bien en face de moi. Ma copine est assise près de
moi. Elle regarde aussi. Le spectacle ne manque pas de sel. je ne
sais pas comment elle fait pour rester immobile en le regardant
faire. Moi j'ai succombée. Mes cuisses bien écartées j'ai déjà mis
mes trois doigts habituels sur mon clitoris et je me caresse. Je suis
nue comme ma copine de toute façon sur ce bout de plage isolé. Il
est venu, ne nous a pas vu au moins au début, a enlevé son slip et
c'est à ce moment là qu'il nous a vu. Est-ce notre nudité ou
simplement une envie subite, je ne saurais le dire. je l'ai vu quand il
se mettait à bander et au bout d'un moment, juste à trois ou quatre
mètres de nous, il a pris en main sa queue et a commencer à se
branler. Mon amie, comme moi en étions un peu scandalisées et
finalement la nature a repris ses droits, nous aussi, nous étions
excitées.
C'est moi qui en le voyant ai commencé. Nous nous regardons,
c'est comme si nous baisions. Je ménage mes mouvements pour
ne pas jouir avant lui.
A ce moment là, mon amie, toujours accroupie passe une main sur
son sexe et chercher aussi son plaisir. Nous nous regardons: c'est
la première fois que nous nous branlons l'une devant l'autre. En
face ce garçon commence à accélérer ses vas et viens. Je vois
son sperme sortir en longues saccades de sa bite. Je ne tiens plus,
je me doigte et je regarde ma copine qui s'est couchée juste à coté
de moi: elle aussi se branle à sa façon, les jambes largement
ouvertes et des doigts sur le clitoris, des doigts de l'autre main sur
le cul qu'elle branle comme si c'était l'entrée de son vagin: il y rentre
aussi ses doigts? je ne sais combien.
En face de nous ce maudit garçon nous regarde toujours. sa queue
se relève et il bande à nouveau: cette fois c'est nous qui faisons le
spectacle coquin. Il ne se branle pas, ou pas encore, je ne sais.
Par contre nous sommes très excitées, tellement excitées que je
pose une main sur la cuisse de mon amie et je caresse en
remontant vers son sexe. Elle ne dit rien: elle me regarde
simplement. Je continue et arrivée à son con, je remplace sa main
droite: je lui caresse le clitoris. Elle tourne la tête vers moi et me dit
que c'est bon. Ma réponse est simplement: branles moi toi aussi.
Nous nous satisfaisons ainsi l'une et l'autre. Il faut dire que je
trouve d'avantage de plaisir à me faire masturber qu'en me le
faisant. Nous avons les lèvres pas loin, comment ne pas échanger
un baiser: nos langues vont et viennent dans les bouches.
Nous avons oublié ce garçon auteur de notre excitation. Nous
jouissons et le voyons toujours là à nous admirer. Il a sa main sur
sa pine et commence une autre branlette. Mon copine toujours très
excitée me dit que finalement nous pourrions lui dire de venir avec
nous: il nous contenterai l'une et l'autre. je ne réfléchis plus: après
tout pourquoi pas: une bite est toujours ce qu'on a fait de mieux
pour baiser.
C'est mon amie qui en a eu l'idée: c'est elle qui lui demande de
venir nous baiser: ce sont ses propres termes. Il se lève avec
nonchalance et enfin vient entre nous. Nous sommes très excitées,
même si notre mutuelle masturbation nous a un peu calmées.
Dès qu'il est entre nous, nous l'embrassons, mon amie d'abord et
moi ensuite. Nous le caressons: elle lui pelote la poitrine, mes
mains vont rapidement vers sa queue, une belle queue que je vois
déjà dans ma moule. Je la caresse légèrement et me penche pour
la prendre en bouche. Il réagit plus que positivement: il avance son
bas ventre pour que sa bite soit encore plus à ma portée. Son goût
m'étonne un peu: il sent encore le sperme. D'un coté tant mieux:
j'aime ça. Je lui entoure le gland de ma langue et enfourne le plus
possible de sa queue dans la bouche. je vais et viens: il ondule
comme s'il me baisait. J'arrête pour céder la place à ma copine qui
comme moi aime bien le sperme, elle me l'a souvent dit. la place de
la bouche du garçon est libre: si j'en profitais ?
Je me relève et sans rien dire je vais mettre mes fesses sur son
visage: le message est clair: je veux ta langue pour me faire jouir. Il
s'en acquitte fort bien: la langue explore d'abord tous les recoins de
ma fente du cul jusqu'au clitoris ou elle se fixe: je ne voudrais pas
qu'il arrête. Je voudrais qu'il aille me mettre sa langue sur le cul. Je
bouge pour qu'il comprenne où je veux qu'il me la mette. Il comprend
et enfin me lèche mon anus et rentre même un peu. Et là je jouis
comme une folle.
Mon amie l'emmène à l'orgasme. elle vient partager le sperme avec
moi. Nous échangeons et le sperme et un baiser.
Il commence à être flagada. Pour le moment ce n'est pas très
grave: on peux se passer de lui un moment en nous faisant des
"choses" à deux, nous les filles. Pourtant nous insistons et en le
prenant en bouche, en lui passant des doigts sur son cul nous
arrivons à le faire bander encore plus que la fois d'avant, mon amie
qui est la plus proche de lui l'enjambe et se met elle même la queue
dans son con. je me remets sur sa bouche. Si elle assure les
mouvements de vas et viens, lui a compris ce que j'aime: sa langue
va directement sur et dans mon cul. Il me fait jouir plusieurs fois.
Mon amie jouit également et me cède la place. Elle me remplace
sur la bouche du garçon et se fait sucer. Moi, à mon tour je vais sur
lui et me la met dans le con. Nous nous faisons face, avec mon
amie. Une seule chose manque terriblement: un long baiser sur la
bouche pour jouir bien mieux. C'est facile lorsque nous nous penchons un
peu. Nos lèvres se touchent et nous avons les langues qui
commencent à se connaître. Elle s'aperçoit que ma position lui
permet de venir me branler le clitoris. Elle ne s'en prive pas. je ne
sais ce qui me fait jouir, la queue dans ma moule ou sa main sur le
haut du con.
Finalement le garçon est à bout. il commence à faire nuit. Nous
nous habillons tous. il part de son côté en disant simplement "bye".
Nous ne parlons presque pas au retour. Il faut dire que nous nous
sommes comportées comme des femmes plutôt attirées par le sexe
et en particulier un moment très agréable entre nous quand nous
nous sommes branlées.
En arrivant près de chez elle elle m'invite pour passer un bon
moment: je sais qu'elle va être ce bon moment. A peine arrivées
nous nous embrassons et nous nous caressons. Nous nous
mettons nues et alors commence un grand moment de baise. Si
avant nous ne l'avions jamais fait cette fois nous nous aimons
comme amantes. Nous nous suçons les seins, nos mains se
baladent sur nos corps, nos fesses et enfin nous recommençons
une masturbation commune. Nous en jouissons bien sur. Elle me
demande si j'ai un gode dans mon sac: bien sur je ne m'en sépare
jamais. elle en a un ici. Pas d'hésitation: nous nous mettons en 69,
nous nous suçons pour bien goûter la cyprine de l'autre et enfin
après nous être fait jouir, nous recommençons, cette fois en
baisant l'autre avec les godes.
Les jours suivants nous allons au même endroit, à la plage: plus de
garçons plus de vrai bite. Alors nous nous contentons seules
comme de véritables lesbiennes, ce que nous ne sommes pas, à la
rigueur bisexuelles peut-être.
je le regarde bien en face de moi. Ma copine est assise près de
moi. Elle regarde aussi. Le spectacle ne manque pas de sel. je ne
sais pas comment elle fait pour rester immobile en le regardant
faire. Moi j'ai succombée. Mes cuisses bien écartées j'ai déjà mis
mes trois doigts habituels sur mon clitoris et je me caresse. Je suis
nue comme ma copine de toute façon sur ce bout de plage isolé. Il
est venu, ne nous a pas vu au moins au début, a enlevé son slip et
c'est à ce moment là qu'il nous a vu. Est-ce notre nudité ou
simplement une envie subite, je ne saurais le dire. je l'ai vu quand il
se mettait à bander et au bout d'un moment, juste à trois ou quatre
mètres de nous, il a pris en main sa queue et a commencer à se
branler. Mon amie, comme moi en étions un peu scandalisées et
finalement la nature a repris ses droits, nous aussi, nous étions
excitées.
C'est moi qui en le voyant ai commencé. Nous nous regardons,
c'est comme si nous baisions. Je ménage mes mouvements pour
ne pas jouir avant lui.
A ce moment là, mon amie, toujours accroupie passe une main sur
son sexe et chercher aussi son plaisir. Nous nous regardons: c'est
la première fois que nous nous branlons l'une devant l'autre. En
face ce garçon commence à accélérer ses vas et viens. Je vois
son sperme sortir en longues saccades de sa bite. Je ne tiens plus,
je me doigte et je regarde ma copine qui s'est couchée juste à coté
de moi: elle aussi se branle à sa façon, les jambes largement
ouvertes et des doigts sur le clitoris, des doigts de l'autre main sur
le cul qu'elle branle comme si c'était l'entrée de son vagin: il y rentre
aussi ses doigts? je ne sais combien.
En face de nous ce maudit garçon nous regarde toujours. sa queue
se relève et il bande à nouveau: cette fois c'est nous qui faisons le
spectacle coquin. Il ne se branle pas, ou pas encore, je ne sais.
Par contre nous sommes très excitées, tellement excitées que je
pose une main sur la cuisse de mon amie et je caresse en
remontant vers son sexe. Elle ne dit rien: elle me regarde
simplement. Je continue et arrivée à son con, je remplace sa main
droite: je lui caresse le clitoris. Elle tourne la tête vers moi et me dit
que c'est bon. Ma réponse est simplement: branles moi toi aussi.
Nous nous satisfaisons ainsi l'une et l'autre. Il faut dire que je
trouve d'avantage de plaisir à me faire masturber qu'en me le
faisant. Nous avons les lèvres pas loin, comment ne pas échanger
un baiser: nos langues vont et viennent dans les bouches.
Nous avons oublié ce garçon auteur de notre excitation. Nous
jouissons et le voyons toujours là à nous admirer. Il a sa main sur
sa pine et commence une autre branlette. Mon copine toujours très
excitée me dit que finalement nous pourrions lui dire de venir avec
nous: il nous contenterai l'une et l'autre. je ne réfléchis plus: après
tout pourquoi pas: une bite est toujours ce qu'on a fait de mieux
pour baiser.
C'est mon amie qui en a eu l'idée: c'est elle qui lui demande de
venir nous baiser: ce sont ses propres termes. Il se lève avec
nonchalance et enfin vient entre nous. Nous sommes très excitées,
même si notre mutuelle masturbation nous a un peu calmées.
Dès qu'il est entre nous, nous l'embrassons, mon amie d'abord et
moi ensuite. Nous le caressons: elle lui pelote la poitrine, mes
mains vont rapidement vers sa queue, une belle queue que je vois
déjà dans ma moule. Je la caresse légèrement et me penche pour
la prendre en bouche. Il réagit plus que positivement: il avance son
bas ventre pour que sa bite soit encore plus à ma portée. Son goût
m'étonne un peu: il sent encore le sperme. D'un coté tant mieux:
j'aime ça. Je lui entoure le gland de ma langue et enfourne le plus
possible de sa queue dans la bouche. je vais et viens: il ondule
comme s'il me baisait. J'arrête pour céder la place à ma copine qui
comme moi aime bien le sperme, elle me l'a souvent dit. la place de
la bouche du garçon est libre: si j'en profitais ?
Je me relève et sans rien dire je vais mettre mes fesses sur son
visage: le message est clair: je veux ta langue pour me faire jouir. Il
s'en acquitte fort bien: la langue explore d'abord tous les recoins de
ma fente du cul jusqu'au clitoris ou elle se fixe: je ne voudrais pas
qu'il arrête. Je voudrais qu'il aille me mettre sa langue sur le cul. Je
bouge pour qu'il comprenne où je veux qu'il me la mette. Il comprend
et enfin me lèche mon anus et rentre même un peu. Et là je jouis
comme une folle.
Mon amie l'emmène à l'orgasme. elle vient partager le sperme avec
moi. Nous échangeons et le sperme et un baiser.
Il commence à être flagada. Pour le moment ce n'est pas très
grave: on peux se passer de lui un moment en nous faisant des
"choses" à deux, nous les filles. Pourtant nous insistons et en le
prenant en bouche, en lui passant des doigts sur son cul nous
arrivons à le faire bander encore plus que la fois d'avant, mon amie
qui est la plus proche de lui l'enjambe et se met elle même la queue
dans son con. je me remets sur sa bouche. Si elle assure les
mouvements de vas et viens, lui a compris ce que j'aime: sa langue
va directement sur et dans mon cul. Il me fait jouir plusieurs fois.
Mon amie jouit également et me cède la place. Elle me remplace
sur la bouche du garçon et se fait sucer. Moi, à mon tour je vais sur
lui et me la met dans le con. Nous nous faisons face, avec mon
amie. Une seule chose manque terriblement: un long baiser sur la
bouche pour jouir bien mieux. C'est facile lorsque nous nous penchons un
peu. Nos lèvres se touchent et nous avons les langues qui
commencent à se connaître. Elle s'aperçoit que ma position lui
permet de venir me branler le clitoris. Elle ne s'en prive pas. je ne
sais ce qui me fait jouir, la queue dans ma moule ou sa main sur le
haut du con.
Finalement le garçon est à bout. il commence à faire nuit. Nous
nous habillons tous. il part de son côté en disant simplement "bye".
Nous ne parlons presque pas au retour. Il faut dire que nous nous
sommes comportées comme des femmes plutôt attirées par le sexe
et en particulier un moment très agréable entre nous quand nous
nous sommes branlées.
En arrivant près de chez elle elle m'invite pour passer un bon
moment: je sais qu'elle va être ce bon moment. A peine arrivées
nous nous embrassons et nous nous caressons. Nous nous
mettons nues et alors commence un grand moment de baise. Si
avant nous ne l'avions jamais fait cette fois nous nous aimons
comme amantes. Nous nous suçons les seins, nos mains se
baladent sur nos corps, nos fesses et enfin nous recommençons
une masturbation commune. Nous en jouissons bien sur. Elle me
demande si j'ai un gode dans mon sac: bien sur je ne m'en sépare
jamais. elle en a un ici. Pas d'hésitation: nous nous mettons en 69,
nous nous suçons pour bien goûter la cyprine de l'autre et enfin
après nous être fait jouir, nous recommençons, cette fois en
baisant l'autre avec les godes.
Les jours suivants nous allons au même endroit, à la plage: plus de
garçons plus de vrai bite. Alors nous nous contentons seules
comme de véritables lesbiennes, ce que nous ne sommes pas, à la
rigueur bisexuelles peut-être.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Baiserjouir
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c'est a couper le souffle!!
Vraiment bandant comme histoire !
A la place du mec je passerais ma vie sur cette plage après ça (rires)
A la place du mec je passerais ma vie sur cette plage après ça (rires)