Je suis la salope de mon futur mari.
Récit érotique écrit par yokoshimow [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Je suis la salope de mon futur mari.
Je suis la salope de mon futur mari.
La rencontre
Je m’appelle Sofia, on me dit super mignonne, j’ai les cheveux entre le châtain et le roux, broux comme disse les spécialistes. Je ne suis pas très grande, plutôt petite d’ailleurs, on me confond souvent avec une adolescente qui aurait finie sa puberté trop tôt. J’ai des petits seins bien ronds et fermes mais qui eut aussi ont oublié de poursuivre leur croissance. Je m’habille souvent au rayon ado, trouvant rarement de quoi me mettre en valeur au rayon femme même en XS.
Lorsque j’ai connu Olivier, il était un jeune entrepreneur plein d’avenir, il avait monté avec son frère Vincent une boîte de travaux public. Ils raflaient la plus part des chantiers du département, routes, parkings, aménagements, places. Faut dire que son père est un influent sénateur et ancien ministre, ça aide pas mal. Il travaillait beaucoup mais l’argent coulait à flot. Il avait de nombreuses conquêtes mais aucune n’avait réussit à devenir sa femme. Moi j’étais un peu plus jeune, je terminai tout juste mon BTS de gestion. J’avais connu quelque aventure amoureuse mais cela ne passait jamais au-delà de quelques bisous et quelques mains baladeuses. Je cherchai un stage pour finir mon cursus scolaire. La boîte d’Olivier répondit favorablement à ma demande. Il y avait déjà un pôle gestion bien fourni mais une petite stagiaire serait la bien venu pour faire les menues tâches à moindre frais.
J’arrive donc un lundi matin du mois de mai, toute fraîche dans une jolie robe fleurie. Je me présente à l’accueil et l’on m’indique le grand bureau de la gestion au bout du couloir. Mon responsable de stage m’indique mon poste et me renseigne sur les tâches que je devrais accomplir, me demande si je connais le logiciel de gestion, ça tombe bien c’est l’un des deux que l’on étudie à l’école.
Au milieu de la matinée, je dois faire des photocopies pour un dossier. J’arrive vers la photocopieuse et je laisse échapper le dossier. Les feuilles tombent et s’éparpillent au sol. Je me baisse pour les ramasser.
- Jolie culotte mais dommage qu’elle cache un cul si mignon.
Je me relève toute rouge.
Olivier est là devant moi dans un costume 3 pièces bleu marine. Il est grand, très grand. Je suis ridicule à côté de lui avec mon mètre quarante et mes allures de collégienne.
- Vous êtes ? me demande-t-il.
- La stagiaire de gestion.
- Mais vous avez quel âge, vous êtes au collège ?
- 21 ans, je suis en BTS.
- 21 ans ?
- 21 ans.
Il me regarde, tourne au tour de moi. Comme un vautour tourne autour d’une proie facile.
- Vous pouvez continuer, excusez moi pour cette phrase malheureuse, je me suis laissé emporté par l’émotion d’une si belle vision.
- Mer.. Merci
Il me sourit et retourne dans son bureau vitré.
Je fais mes photocopies mais en coin je l’observe. Il décroche son téléphone, fait les cent pas, se retourne, me regarde. Je dévie mon regard.
Dans la journée, il vient faire plusieurs visites au service de gestion. Mon responsable me fait comprendre que je dois en être cause.
Ma première journée se termine, tout c’est bien passé finalement. Encore quatre semaines et un rapport à remplir.
Je sors de l’entreprise et remonte la rue jusqu’à l’arrêt de bus.
Soudain une Porsche décapotable s’arrête à mon niveau. C’est Olivier.
- Vous allez où mademoiselle ?
- Je rentre vers le centre ville.
- Montez ça tombe bien c’est là que je vais justement.
- Vous êtes sûr cela ne vous dérange pas.
- Pas du tout au contraire, un peu de jolie compagnie me fera le plus grand bien.
Je monte péniblement dans la voiture qui est très basse pour mon type de robe, qui remonte jusqu’à entre apercevoir le début de ma petite culote.
- Décidément, vous aimez montrer votre culotte.
Je ne sais plus ou me mettre.
Quelques minutes plus tard après avoir conduit très prudemment, Olivier me dépose au bout de ma rue pour éviter de faire le tour du pâté de maisons car elle est en sens interdit.
- A demain
- A demain
Et il repart en trombe. J’ai ma culotte toute mouillée. J’arrive à la maison, je m’enferme dans ma chambre et commence à me doigter en passant aux deux moments passés avec Olivier.
Le lendemain, je mets une robe un peu plus courte.
Je suis à la machine à café, lorsqu’Olivier arrive. Il me voit et vient me saluer. Je fais alors tomber alors ma dosette et la ramasse les jambes bien tendues, ma croupe bien en arrière toute.
- Décidément c’est vraiment pas de chance. Je connais une méthode pour ne plus avoir à montrer votre culotte.
- Ah oui laquelle.
Il me glisse à l’oreille.
- Il suffit de ne plus en mettre.
Je le fixe dans les yeux, glisse ma main droite sous ma robe et lentement je fais glisser ma culotte le long de mes jambes. Je la ramasse et la mets dans la pochette de sa veste. Il me regarde stupéfait et amusé. Il s’avance d’un pas, tend sa main vers ma chatte humide. Glisse un doigt entre les grandes lèvres puis le porte à sa bouche.
Le stage prend une toute autre tournure.
Quelqu’un rentre dans le self, Olivier recule, je me tourne vers la cafetière.
Le soir je suis à l’arrêt de bus.
La Porsche arrive. Je monte sans qu’Olivier me demande quoi que ce soit. Je m’assoie en prenant soin que ma robe remonte bien pour laisser voir ma chatte. Olivier jette un coup d’œil vers mon sexe et démarre sans prendre la direction du centre vite mais du belvédère local. Un coin connu pour être un endroit très chaud le weekend ou plus tard dans la nuit, d’après ce que j’ai entendu dire par des copines plus âgées.
Olivier arrête la voiture sur le parking, la vue sur la vallée est magnifique, nous sommes seul. Il me regarde et m’embrasse. Je me laisse emporter dans ses bras.
Puis il se recule, ouvre sa braguette et sort sa bite énorme, bien droite, dur comme une barre de fer.
Je me penche vers l’engin et maladroitement commence la première fellation de ma vie.
Il recule son siège en arrière pour me laisser plus de place pour mieux le sucer. Je m’applique tant bien que mal. On dirait que ça lui plait quand même. Soudain j’entends une voiture qui s’approche. Je m’arrête et me relève.
- Continue si tu veux.
Je regarde Olivier dans ses yeux bleus profond.
Je me rebaisse et continue ma besogne.
La voiture s’arrête à notre hauteur. J’entends la vitre de la fenêtre qui descend. Je continue, je suce de plus en plus profondément. Puis je retire la bite et glisse ma langue sur toute sa longueur. Puis je tourne autour du gland. Olivier commence à gémir. Je la reprends en bouche.
- Ça te plaît mon salop ? Dit Oliver au gars de l’autre voiture.
- Oh oui tu as une sacrée suceuse, répond le gars de l’autre voiture.
- Elle est en formation.
Je suis un peu vexée par cette réflexion car je trouve que je ne m’en sors pas trop mal pour une première.
Soudain je sens un liquide visqueux remplir ma bouche, le goût est fort amer, un peu salé et épicé, mais pas si désagréable à ça. Je sens que je vais m’y habituer.
L’autre voiture s’en va un peu plus loin.
J’ai trop envie de sentir la bite d’Olivier au plus profond de mes entrailles maintenant.
- Tu es vierge, n’est ce pas ?
- Oui, répondé-je timidement.
- Ça serait dommage que ta première fois se passe dans une voiture même si c’est une Porsche, c’est important la première fois, le souvenir reste pour la vie. Si tu veux je pourrais organiser un petit weekend spécial défloraison.
Je ne sais quoi répondre à cette proposition qui me semble alléchante.
- Bonne idée.
Olivier démarre la voiture, me laisse au bout de la rue et repart en trombe.
J’arrive chez moi, je saisi une banane en passant dans la cuisine. Je fonce dans ma chambre. J’allume mon PC. Je vais sur quelques sites de cul et lance des vidéos spéciales fellations. J’essaye de reproduire les gestes des expertes.
J’arrête au bout de deux heures tellement j’ai mal à ma mâchoire. Mais je suis prête à affronter n’importe quelle bite avec ma bouche et ma langue.
La rencontre
Je m’appelle Sofia, on me dit super mignonne, j’ai les cheveux entre le châtain et le roux, broux comme disse les spécialistes. Je ne suis pas très grande, plutôt petite d’ailleurs, on me confond souvent avec une adolescente qui aurait finie sa puberté trop tôt. J’ai des petits seins bien ronds et fermes mais qui eut aussi ont oublié de poursuivre leur croissance. Je m’habille souvent au rayon ado, trouvant rarement de quoi me mettre en valeur au rayon femme même en XS.
Lorsque j’ai connu Olivier, il était un jeune entrepreneur plein d’avenir, il avait monté avec son frère Vincent une boîte de travaux public. Ils raflaient la plus part des chantiers du département, routes, parkings, aménagements, places. Faut dire que son père est un influent sénateur et ancien ministre, ça aide pas mal. Il travaillait beaucoup mais l’argent coulait à flot. Il avait de nombreuses conquêtes mais aucune n’avait réussit à devenir sa femme. Moi j’étais un peu plus jeune, je terminai tout juste mon BTS de gestion. J’avais connu quelque aventure amoureuse mais cela ne passait jamais au-delà de quelques bisous et quelques mains baladeuses. Je cherchai un stage pour finir mon cursus scolaire. La boîte d’Olivier répondit favorablement à ma demande. Il y avait déjà un pôle gestion bien fourni mais une petite stagiaire serait la bien venu pour faire les menues tâches à moindre frais.
J’arrive donc un lundi matin du mois de mai, toute fraîche dans une jolie robe fleurie. Je me présente à l’accueil et l’on m’indique le grand bureau de la gestion au bout du couloir. Mon responsable de stage m’indique mon poste et me renseigne sur les tâches que je devrais accomplir, me demande si je connais le logiciel de gestion, ça tombe bien c’est l’un des deux que l’on étudie à l’école.
Au milieu de la matinée, je dois faire des photocopies pour un dossier. J’arrive vers la photocopieuse et je laisse échapper le dossier. Les feuilles tombent et s’éparpillent au sol. Je me baisse pour les ramasser.
- Jolie culotte mais dommage qu’elle cache un cul si mignon.
Je me relève toute rouge.
Olivier est là devant moi dans un costume 3 pièces bleu marine. Il est grand, très grand. Je suis ridicule à côté de lui avec mon mètre quarante et mes allures de collégienne.
- Vous êtes ? me demande-t-il.
- La stagiaire de gestion.
- Mais vous avez quel âge, vous êtes au collège ?
- 21 ans, je suis en BTS.
- 21 ans ?
- 21 ans.
Il me regarde, tourne au tour de moi. Comme un vautour tourne autour d’une proie facile.
- Vous pouvez continuer, excusez moi pour cette phrase malheureuse, je me suis laissé emporté par l’émotion d’une si belle vision.
- Mer.. Merci
Il me sourit et retourne dans son bureau vitré.
Je fais mes photocopies mais en coin je l’observe. Il décroche son téléphone, fait les cent pas, se retourne, me regarde. Je dévie mon regard.
Dans la journée, il vient faire plusieurs visites au service de gestion. Mon responsable me fait comprendre que je dois en être cause.
Ma première journée se termine, tout c’est bien passé finalement. Encore quatre semaines et un rapport à remplir.
Je sors de l’entreprise et remonte la rue jusqu’à l’arrêt de bus.
Soudain une Porsche décapotable s’arrête à mon niveau. C’est Olivier.
- Vous allez où mademoiselle ?
- Je rentre vers le centre ville.
- Montez ça tombe bien c’est là que je vais justement.
- Vous êtes sûr cela ne vous dérange pas.
- Pas du tout au contraire, un peu de jolie compagnie me fera le plus grand bien.
Je monte péniblement dans la voiture qui est très basse pour mon type de robe, qui remonte jusqu’à entre apercevoir le début de ma petite culote.
- Décidément, vous aimez montrer votre culotte.
Je ne sais plus ou me mettre.
Quelques minutes plus tard après avoir conduit très prudemment, Olivier me dépose au bout de ma rue pour éviter de faire le tour du pâté de maisons car elle est en sens interdit.
- A demain
- A demain
Et il repart en trombe. J’ai ma culotte toute mouillée. J’arrive à la maison, je m’enferme dans ma chambre et commence à me doigter en passant aux deux moments passés avec Olivier.
Le lendemain, je mets une robe un peu plus courte.
Je suis à la machine à café, lorsqu’Olivier arrive. Il me voit et vient me saluer. Je fais alors tomber alors ma dosette et la ramasse les jambes bien tendues, ma croupe bien en arrière toute.
- Décidément c’est vraiment pas de chance. Je connais une méthode pour ne plus avoir à montrer votre culotte.
- Ah oui laquelle.
Il me glisse à l’oreille.
- Il suffit de ne plus en mettre.
Je le fixe dans les yeux, glisse ma main droite sous ma robe et lentement je fais glisser ma culotte le long de mes jambes. Je la ramasse et la mets dans la pochette de sa veste. Il me regarde stupéfait et amusé. Il s’avance d’un pas, tend sa main vers ma chatte humide. Glisse un doigt entre les grandes lèvres puis le porte à sa bouche.
Le stage prend une toute autre tournure.
Quelqu’un rentre dans le self, Olivier recule, je me tourne vers la cafetière.
Le soir je suis à l’arrêt de bus.
La Porsche arrive. Je monte sans qu’Olivier me demande quoi que ce soit. Je m’assoie en prenant soin que ma robe remonte bien pour laisser voir ma chatte. Olivier jette un coup d’œil vers mon sexe et démarre sans prendre la direction du centre vite mais du belvédère local. Un coin connu pour être un endroit très chaud le weekend ou plus tard dans la nuit, d’après ce que j’ai entendu dire par des copines plus âgées.
Olivier arrête la voiture sur le parking, la vue sur la vallée est magnifique, nous sommes seul. Il me regarde et m’embrasse. Je me laisse emporter dans ses bras.
Puis il se recule, ouvre sa braguette et sort sa bite énorme, bien droite, dur comme une barre de fer.
Je me penche vers l’engin et maladroitement commence la première fellation de ma vie.
Il recule son siège en arrière pour me laisser plus de place pour mieux le sucer. Je m’applique tant bien que mal. On dirait que ça lui plait quand même. Soudain j’entends une voiture qui s’approche. Je m’arrête et me relève.
- Continue si tu veux.
Je regarde Olivier dans ses yeux bleus profond.
Je me rebaisse et continue ma besogne.
La voiture s’arrête à notre hauteur. J’entends la vitre de la fenêtre qui descend. Je continue, je suce de plus en plus profondément. Puis je retire la bite et glisse ma langue sur toute sa longueur. Puis je tourne autour du gland. Olivier commence à gémir. Je la reprends en bouche.
- Ça te plaît mon salop ? Dit Oliver au gars de l’autre voiture.
- Oh oui tu as une sacrée suceuse, répond le gars de l’autre voiture.
- Elle est en formation.
Je suis un peu vexée par cette réflexion car je trouve que je ne m’en sors pas trop mal pour une première.
Soudain je sens un liquide visqueux remplir ma bouche, le goût est fort amer, un peu salé et épicé, mais pas si désagréable à ça. Je sens que je vais m’y habituer.
L’autre voiture s’en va un peu plus loin.
J’ai trop envie de sentir la bite d’Olivier au plus profond de mes entrailles maintenant.
- Tu es vierge, n’est ce pas ?
- Oui, répondé-je timidement.
- Ça serait dommage que ta première fois se passe dans une voiture même si c’est une Porsche, c’est important la première fois, le souvenir reste pour la vie. Si tu veux je pourrais organiser un petit weekend spécial défloraison.
Je ne sais quoi répondre à cette proposition qui me semble alléchante.
- Bonne idée.
Olivier démarre la voiture, me laisse au bout de la rue et repart en trombe.
J’arrive chez moi, je saisi une banane en passant dans la cuisine. Je fonce dans ma chambre. J’allume mon PC. Je vais sur quelques sites de cul et lance des vidéos spéciales fellations. J’essaye de reproduire les gestes des expertes.
J’arrête au bout de deux heures tellement j’ai mal à ma mâchoire. Mais je suis prête à affronter n’importe quelle bite avec ma bouche et ma langue.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La suite du stage s’avere tres instructif
histoire sympa
Orthographe à revoir...
