Je suis la salope de mon futur mari. Apprentissage anal.
Récit érotique écrit par yokoshimow [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Je suis la salope de mon futur mari. Apprentissage anal.
J’ai mon lundi de libre, il faut absolument que je rattrape mon retard sur mon dossier de stage, la première semaine a été très compliquée. Je regarde les photos que j’ai prises pour compléter ma présentation, c’est bizarre chaque fois Olivier est en arrière-plan. Il va falloir tout recommencer. Dans l’après-midi étant seule à la maison, je me laisse à jouer avec deux bananes, une dans la chatte, l’autre que je suce avec frénésie et par manque.
Mardi matin, j’arrive à mon bureau et là un magnifique paquet m’attend, tous les regards curieux des autres gestionnaires se tournent aussitôt vers lui. J’ouvre ou je n’ouvre pas ? Telle est la question.
La curiosité est la plus grande, je défais le nœud, écarte le papier et oups. Je remets le papier en place aussitôt et replace le nœud. Je prends même un rouleau de scotch et fais plusieurs fois le tour avec. Ça attendra ce soir.
Je suis toute rouge. Je jette un regard vers le bureau d’Olivier. Il n’est pas encore là, ou bien il doit se faire sucer par l’un des secrétaires. Non elles sont toutes là. Alors sûrement un rendez-vous. Pas du tout, il arrive avec une corbeille remplie de viennoiseries. Tout le monde se lève et commence à chanter « Joyeux anniversaire ». Je l’ignorais complètement. Nous avons parlé de beaucoup de choses ce week-end mais pas de ça.
Tout le monde le suit. Il pose la corbeille sur la table de la cantine. La cafetière et la théière passent de main en main. Les croissants, les pains au chocolat, les pains aux raisins, les brioches, les chaussons aux pommes disparaissent en un clin d’œil. Puis un gâteau d’anniversaire surgit d’on ne sait où avec le chiffre 28. C’est Karine qui le porte et le dépose, elle embrasse sur les joues et un peu sur les lèvres d’Olivier, qui me regarde comme s’il avait commis une faute. Olivier dit un joli discours dont je n’ai rien retenu du contenu. Karine découpe le gâteau. Me donne le morceau avec le 2 et à Olivier celui avec le 8. Quelle coïncidence.
- Tu veux que je souffle ta bougie ? Dis-je à Olivier discrètement
- Ça peut être sympa, attends un peu que je te fasse signe.
- A propos merci pour ton cadeau.
- C’est ta préparation pour le weekend prochain.
- Le weekend prochain ?
- Oui, si tu veux.
- Bien sûr que je veux. Je commence l’entraînement dès ce soir.
- Je vais faire un petit tour pour voir les autres et ne pas trop attirer l’attention sur nous.
- Je crois que c’est trop tard.
La plupart des regards sont effectivement braqués sur nous. Olivier va serrer quelques mains, faire quelques bises. Échange quelques paroles gentilles avec ses collaborateurs. Une des secrétaires le colle un peu trop je trouve, elle vient placer ses seins contre le bras d’Olivier. Lui susurre un truc à l’oreille. Il sourit. Se retourne, croise mon regard. Place une de ses mains sur les fesses de la courtisane. Elle dégrafe un bouton de son bustier pour laisser voir son décolleté plus généreux que le mien mais moins que celui de Karine, qui est hors catégorie. Olivier n’en perd pas une miette. Puis, discrètement elle part vers les toilettes. Olivier me fait signe. Nous arrivons aux toilettes, heureusement les toilettes handicapées sont plus grandes que les autres. Elodie, la secrétaire aguicheuse, est là, elle est surprise de me voir arriver avec Olivier.
Olivier me regarde.
- Elle est à toi.
Elodie veut protester mais se retient.
Je me tourne vers elle, lui caresse ses beaux cheveux longs et blonds. Je la fixe et l’embrasse, elle n’ouvre pas sa bouche tout de suite. Puis se laisse emporter. Olivier s’assoit sur la cuvette refermée.
Ma main droite fait sauter tous les boutons du bustier, Elodie qui ne porte pas de soutien-gorge se retrouve les seins à l’air avec ses tétons qui pointent.
- Viens Olivier, il y en a largement assez pour nous deux.
Elodie est stupéfaite de mon assurance pour une gamine de 21 ans, mais le weekend dernier à tout changé dans ma vie. Olivier se lève et commence à sucer les seins généreux d’Élodie. Je suce l’autre sein et descends ma main sous sa mini jupe, elle n’a pas de culotte, la salope avait tout prévu sauf moi. Elle est inondée. Je glisse deux puis trois doigts qui rentrent largement, je commence des va-et–vient. Puis j’essaye de glisser ma fine main entière, je me mets à genoux pour que cela soit plus facile. Elle a compris où je veux en venir. Elle se penche en arrière pour que cela soit plus facile. Je force à peine et je vois ma main disparaître dans sa grosse moule. Elle pousse des râles chaque fois que j’enfonce un peu plus. Tout mon poignet est dedans maintenant. Olivier n’en peut plus, il sort sa bite et me la place devant mon visage. Je l’avale tout en continuant mes mouvements répétitifs dans le chaudron d’Élodie. Élodie commence à crier de plaisir, alors je retire la main avant que tout le monde débarque aux toilettes pour voir ce qu’il se passe.
Élodie se baisse aussitôt, me pousse et prend la bite d’Olivier dans sa bouche affamée. Je me lève et commence à mordiller les tétons de mon homme. Olivier envoie sa purée au plus profond de la gorge de l’autre salope. Olivier m’embrasse comme un jeune amoureux. Elodie se lève, se rhabille et sort furieuse. Nous aussi nous sortons. Karine est là qui se lave les mains, fait un sourire dans le miroir, réajuste sa jupe, elle n’a pas perdu une miette du spectacle.
La journée se poursuit tranquillement.
Pas de taxi, ce soir c’est bus, avec ma boîte sous le coude.
J’arrive à la maison, ferme ma porte à double tour. Je retire le nœud et le papier. Sur le paquet, la photo montre tout un attirail de gods et de plugs spécial anal. Un slogan « Comment aimer la sodomie en 5 jours ». J’ouvre le paquet. Une dizaine d’engins de couleurs et de formes et de tailles différentes, des petites fioles rempiles d’huiles de lubrification. Une fiche explicative avec des QR codes renvoyant vers des vidéos explicatives.
Je prends une douche en exagérant sur mon petit trou du cul.
Je lance la première vidéo, je prends le plus petit god, l’enduit de l’huile recommandée. Je le place à l’entrée et je pousse sec. Il rentre tout seul tranquillement. Je télécharge une application. Je me connecte sur le god en Bluetooth. Il commence à vibrer cela me donne des frissons qui parcourent tout mon entrejambe, même ma foufoune en profite. Putain que c’est bon, quelle conne de ne pas avoir essayé ça plus tôt. Pendant 20 minutes je change régulièrement la vitesse des vibrations. Quel pied, je me permets même de caresser mon clito et m’enfoncer deux doigts dans la chatte. Je repense à ma main dans la chatte d’Élodie. Voilà la leçon une terminée. Je prends un plug, l’enduit de la même huile et le place dans mon moins petit anus. Je travaille un peu sur mon dossier de stage le plug dans le cul. Je me couche épuisée mais la tête pleine d’images qui me rendent heureuse, je réajuste le plug anal.
Mercredi j’arrive à mon stage et retrouve sur mon bureau une dizaine de dossiers. Avec un mot «À finir pour ce soir ». Mais ça ne fait pas partie de mon stage ça ! Qui m’a placé ses dossiers ? Serait-ce une vengeance ? Je regarde vers le bureau d’ Élodie, elle me regarde et me lance un sourire moqueur en passant la langue sur ses lèvres. La salope elle a dû déjà sucer Olivier aujourd’hui. Je sors mon plug de mon cul, le suce et le remets en place tout en ne quittant pas des yeux ma rivale. Elle bout de rage. Oliver arrive saluant tout le monde. Elodie se lève avec deux dossiers sous les bras et lui emboîte le pas. Olivier referme la porte. Demande à Élodie ce qu’elle veut. Elodie lui montre un dossier, l’ouvre et s’approche d’Olivier jusqu’à le coller, ses seins pendent. Olivier me regarde à travers les parois de verre, sourit quand il voit mon énervement. Il place sa main sur la taille d’Élodie, qui retrouve le sourire. Il prend les dossiers, les place sur son bureau et demande à Élodie de quitter la pièce. Je vais vers la photocopieuse qui à vue directe sur le bureau d’Olivier. Je remonte légèrement ma jupe, montrant à Olivier le god bien placé. Olivier se touche les couilles. J’imagine son sexe qui doit devenir tout dur.
Jeudi matin, je reçois un message d’Olivier pour le rejoindre au bungalow 4. Il est là avec un ouvrier qui va bientôt partir à la retraite. Olivier me demande de lui faire une fellation comme cadeau d’adieu. Il pourrait être mon grand-père. Il sort sa queue toute gluante, il est en sueur le pauvre, elle n’est pas très appétissante au premier abord, elle n’est pas longue mais a un beau diamètre. Il n’ose pas me regarder. Olivier se place derrière moi et joue avec mon nouveau plug anal qui est un peu plus gros que celui d’hier. Il voit que je fais bon usage de son cadeau.
La tige du futur retraité retrouve sa vigueur de ses vingt ans dans ma bouche experte.
- Sacré Jacky toujours prêt pour une bonne pipe, lui dit Olivier.
- Ça ne se refuse pas, surtout à mon âge, ce n’est pas tous les jours fête. La ménopause a causé la perte de libido à la Simone.
- Profite, profite Jacky, c’est cadeau.
Et c’est moi qui me tape tout le travail. Finalement au bout d’un bon quart d’heure, Jacky envoie sa sauce épaisse au goût d’époisses.
- Merci mademoiselle, vous êtes très gentille.
- C’est vrai très gentil. Reprends Olivier
- De rien monsieur, ça me fait plaisir de faire plaisir.
Jacky sort. Je me retrouve seule avec Olivier, il me retourne, retire le plug anal, place un doigt dans mon cul, puis deux. Je gémis un peu. Il entame des petits allers-retours. Je me cambre en avant.
- Encore deux jours et tu es prête, dit-il en retirant ses doigts et les suçant.
Il m’embrasse comme si tout ça était naturel. Comme si nous étions des gamins qui flirtons innocemment.
Le samedi matin arrive enfin. Je retrouve la Porsche sur la même place que la semaine dernière.
- Cette fois, j’ai fait différent. On va s’amuser.
Il prend la direction de la région parisienne, Marne-la-Vallée. Je me dis qu’il ne va pas m’emmener à Disney pour m’enculer quand même. Eh bien si.
Il a réservé la Suite Sleeping Beauty à Disneyland Paris, celle avec la fameuse signature de Michael Jackson sous le piano. Quelle magnifique vue sur le parc. Un costume de Minnie m’attend sur le lit avec juste un côté un vibromasseur Bluetooth que l’on peut commander depuis une application. Il s’habille en Mickey. Il me place le vibromasseur, vérifie la connexion Bluetooth. Nous voilà partis dans le parc grâce à des badges spéciaux, nous évitons de faire la queue et pourtant c’est pour ça que nous sommes venus. De temps en temps, Olivier envoie des impulsions sur mon vibromasseur, mon vagin prend une décharge foudroyante à chaque fois. Mon clitoris en profite aussi. Je pousse des petits cris, des badauds se retournent en se demandant ce qu’il se passe. Puis nous montons dans le Space Mountain. Olivier sors son smartphone juste avant le départ et envoie un programme correspondant à l’attraction à mon vibromasseur. Dans chaque virage, chaque looping, chaque accélération, il vibre en fonction du programme, quel pied. Je ressors les jambes en coton et la chatte en feu.
Nous faisons 3 autres attractions, avec le même scénario. Dans le petit train de la mine, j’ai cru que mes boyaux allaient sortir tellement j’ai joui pendant le looping.
Puis nous nous dirigeons vers l’Auberge de Cendrillon. Une table un peu en retrait nous attend. Les princesses viennent nous rendre visite, c’est drôle, j’ai l’impression de tomber en enfance. Olivier sort de sa poche un plug anal avec des dimensions impressionnantes pour mon cul.
- On échange ?
Je soulève ma robe de Minnie, retire mon plug du jour, le donne à Olivier qui le lèche. Je prends son cadeau, le trempe dans mon verre de vin de Châteauneuf du Pape et le place dans l’orifice encore ouvert. Je dois pousser un peu plus pour bien le placer. Le repas est somptueux et copieusement accompagné de très bons vins. Nous prenons des photos avec les princesses qui se collent beaucoup à Olivier. Direction la suite pour le grand final de la journée. Ma première vraie sodomie.
Nous arrivons dans la suite. Olivier détache ma robe. Après une bonne douche, où nous avons joué et joui pas mal. Olivier m’offre une boîte avec une tenue intégrale hyper sexy ouverte sur mes fesses et mon cul et un plug anal avec une queue de renard toute noire très longue. Nous nous dirigeons vers le fameux piano.
Il me replace les oreilles de Minnie.
- Montre-moi ce que tu sais faire seule. Je peux filmer ? C’est pour quelques copains en live.
Il prend son smartphone, lance une musique langoureuse et commence à me filmer.
Je commence timidement à me dandiner de droite à gauche. Je glisse une main entre la dentelle de mon body et je prends mon sein droit, je titille mon mamelon.
- Bien, ne déçois pas ton public.
Langoureusement je descends ma main gauche le long de mon corps jusqu’à ma chatte. Je balance mon cul au rythme de la musique. Je caresse mon sexe par-dessus le body, je plie mes jambes en écartant les genoux. Je retire ma main de mon sein et suce le majeur. Je change de main sur mon sexe et mets l’autre sur mon sein gauche. Je remonte doucement tout en continuant de me caresser. Je me cambre en avant, les jambes tenues au maximum. Je balance mes cheveux. Je me retourne, roule mon cul avec la queue. Mes mains caressent mes flancs et mes fesses. Je joue avec la queue. Je m’assois sur la banquette du piano, je tends une jambe et replie l’autre, je me cambre en arrière mes cheveux pendent. Mes mains caressent mon ventre. Je me couche sur la banquette en cuir, une main caresse mon clito, l’autre s’occupe de mes deux seins. Je me relève, tourne le dos à Olivier, je tords du cul pour faire balancer la queue. Je place les mains sur mes hanches.
Olivier pose son smartphone debout sur la table contre une bouteille d’eau, vérifie l’angle, zoom un peu. Il se dirige lentement vers moi. Il bande comme un malade.
Il me penche en avant, retire le plug anal et sa queue, s’enduit la bite d’un lubrifiant à l’odeur très agréable. Il place son magnifique engin à l’entrée de mon cul puis le glisse en une seule fois jusqu’à la garde.
- Tu t’es bien préparée ma salope
- Il faut dire que les consignes étaient très précises mon salop.
Il commence à me labourer lentement, j’ai l’impression qu’il me déchire le cul, c’est une douleur et un plaisir en même temps c’est incroyable. Puis la douleur s’efface peu à peu pour ne laisser place qu’au plaisir qui augmente à chaque coup, à chaque poussée. Après quelques minutes, il se lâche franchement et accélère le tempo. Même les cordes du piano commencent à vibrer. Puis, il me donne les derniers coups de grâce. Je le supplie de continuer encore et encore. Finalement il éjacule dans mon cul. Il vient le lécher et récupère son sperme. Il me retourne, m’embrasse et partage avec moi son nectar.
- Tu es prête.
- Pour ?
- Pour le meilleur.
Il se dirige vers son smartphone. Coupe le live et envoie un message.
Mardi matin, j’arrive à mon bureau et là un magnifique paquet m’attend, tous les regards curieux des autres gestionnaires se tournent aussitôt vers lui. J’ouvre ou je n’ouvre pas ? Telle est la question.
La curiosité est la plus grande, je défais le nœud, écarte le papier et oups. Je remets le papier en place aussitôt et replace le nœud. Je prends même un rouleau de scotch et fais plusieurs fois le tour avec. Ça attendra ce soir.
Je suis toute rouge. Je jette un regard vers le bureau d’Olivier. Il n’est pas encore là, ou bien il doit se faire sucer par l’un des secrétaires. Non elles sont toutes là. Alors sûrement un rendez-vous. Pas du tout, il arrive avec une corbeille remplie de viennoiseries. Tout le monde se lève et commence à chanter « Joyeux anniversaire ». Je l’ignorais complètement. Nous avons parlé de beaucoup de choses ce week-end mais pas de ça.
Tout le monde le suit. Il pose la corbeille sur la table de la cantine. La cafetière et la théière passent de main en main. Les croissants, les pains au chocolat, les pains aux raisins, les brioches, les chaussons aux pommes disparaissent en un clin d’œil. Puis un gâteau d’anniversaire surgit d’on ne sait où avec le chiffre 28. C’est Karine qui le porte et le dépose, elle embrasse sur les joues et un peu sur les lèvres d’Olivier, qui me regarde comme s’il avait commis une faute. Olivier dit un joli discours dont je n’ai rien retenu du contenu. Karine découpe le gâteau. Me donne le morceau avec le 2 et à Olivier celui avec le 8. Quelle coïncidence.
- Tu veux que je souffle ta bougie ? Dis-je à Olivier discrètement
- Ça peut être sympa, attends un peu que je te fasse signe.
- A propos merci pour ton cadeau.
- C’est ta préparation pour le weekend prochain.
- Le weekend prochain ?
- Oui, si tu veux.
- Bien sûr que je veux. Je commence l’entraînement dès ce soir.
- Je vais faire un petit tour pour voir les autres et ne pas trop attirer l’attention sur nous.
- Je crois que c’est trop tard.
La plupart des regards sont effectivement braqués sur nous. Olivier va serrer quelques mains, faire quelques bises. Échange quelques paroles gentilles avec ses collaborateurs. Une des secrétaires le colle un peu trop je trouve, elle vient placer ses seins contre le bras d’Olivier. Lui susurre un truc à l’oreille. Il sourit. Se retourne, croise mon regard. Place une de ses mains sur les fesses de la courtisane. Elle dégrafe un bouton de son bustier pour laisser voir son décolleté plus généreux que le mien mais moins que celui de Karine, qui est hors catégorie. Olivier n’en perd pas une miette. Puis, discrètement elle part vers les toilettes. Olivier me fait signe. Nous arrivons aux toilettes, heureusement les toilettes handicapées sont plus grandes que les autres. Elodie, la secrétaire aguicheuse, est là, elle est surprise de me voir arriver avec Olivier.
Olivier me regarde.
- Elle est à toi.
Elodie veut protester mais se retient.
Je me tourne vers elle, lui caresse ses beaux cheveux longs et blonds. Je la fixe et l’embrasse, elle n’ouvre pas sa bouche tout de suite. Puis se laisse emporter. Olivier s’assoit sur la cuvette refermée.
Ma main droite fait sauter tous les boutons du bustier, Elodie qui ne porte pas de soutien-gorge se retrouve les seins à l’air avec ses tétons qui pointent.
- Viens Olivier, il y en a largement assez pour nous deux.
Elodie est stupéfaite de mon assurance pour une gamine de 21 ans, mais le weekend dernier à tout changé dans ma vie. Olivier se lève et commence à sucer les seins généreux d’Élodie. Je suce l’autre sein et descends ma main sous sa mini jupe, elle n’a pas de culotte, la salope avait tout prévu sauf moi. Elle est inondée. Je glisse deux puis trois doigts qui rentrent largement, je commence des va-et–vient. Puis j’essaye de glisser ma fine main entière, je me mets à genoux pour que cela soit plus facile. Elle a compris où je veux en venir. Elle se penche en arrière pour que cela soit plus facile. Je force à peine et je vois ma main disparaître dans sa grosse moule. Elle pousse des râles chaque fois que j’enfonce un peu plus. Tout mon poignet est dedans maintenant. Olivier n’en peut plus, il sort sa bite et me la place devant mon visage. Je l’avale tout en continuant mes mouvements répétitifs dans le chaudron d’Élodie. Élodie commence à crier de plaisir, alors je retire la main avant que tout le monde débarque aux toilettes pour voir ce qu’il se passe.
Élodie se baisse aussitôt, me pousse et prend la bite d’Olivier dans sa bouche affamée. Je me lève et commence à mordiller les tétons de mon homme. Olivier envoie sa purée au plus profond de la gorge de l’autre salope. Olivier m’embrasse comme un jeune amoureux. Elodie se lève, se rhabille et sort furieuse. Nous aussi nous sortons. Karine est là qui se lave les mains, fait un sourire dans le miroir, réajuste sa jupe, elle n’a pas perdu une miette du spectacle.
La journée se poursuit tranquillement.
Pas de taxi, ce soir c’est bus, avec ma boîte sous le coude.
J’arrive à la maison, ferme ma porte à double tour. Je retire le nœud et le papier. Sur le paquet, la photo montre tout un attirail de gods et de plugs spécial anal. Un slogan « Comment aimer la sodomie en 5 jours ». J’ouvre le paquet. Une dizaine d’engins de couleurs et de formes et de tailles différentes, des petites fioles rempiles d’huiles de lubrification. Une fiche explicative avec des QR codes renvoyant vers des vidéos explicatives.
Je prends une douche en exagérant sur mon petit trou du cul.
Je lance la première vidéo, je prends le plus petit god, l’enduit de l’huile recommandée. Je le place à l’entrée et je pousse sec. Il rentre tout seul tranquillement. Je télécharge une application. Je me connecte sur le god en Bluetooth. Il commence à vibrer cela me donne des frissons qui parcourent tout mon entrejambe, même ma foufoune en profite. Putain que c’est bon, quelle conne de ne pas avoir essayé ça plus tôt. Pendant 20 minutes je change régulièrement la vitesse des vibrations. Quel pied, je me permets même de caresser mon clito et m’enfoncer deux doigts dans la chatte. Je repense à ma main dans la chatte d’Élodie. Voilà la leçon une terminée. Je prends un plug, l’enduit de la même huile et le place dans mon moins petit anus. Je travaille un peu sur mon dossier de stage le plug dans le cul. Je me couche épuisée mais la tête pleine d’images qui me rendent heureuse, je réajuste le plug anal.
Mercredi j’arrive à mon stage et retrouve sur mon bureau une dizaine de dossiers. Avec un mot «À finir pour ce soir ». Mais ça ne fait pas partie de mon stage ça ! Qui m’a placé ses dossiers ? Serait-ce une vengeance ? Je regarde vers le bureau d’ Élodie, elle me regarde et me lance un sourire moqueur en passant la langue sur ses lèvres. La salope elle a dû déjà sucer Olivier aujourd’hui. Je sors mon plug de mon cul, le suce et le remets en place tout en ne quittant pas des yeux ma rivale. Elle bout de rage. Oliver arrive saluant tout le monde. Elodie se lève avec deux dossiers sous les bras et lui emboîte le pas. Olivier referme la porte. Demande à Élodie ce qu’elle veut. Elodie lui montre un dossier, l’ouvre et s’approche d’Olivier jusqu’à le coller, ses seins pendent. Olivier me regarde à travers les parois de verre, sourit quand il voit mon énervement. Il place sa main sur la taille d’Élodie, qui retrouve le sourire. Il prend les dossiers, les place sur son bureau et demande à Élodie de quitter la pièce. Je vais vers la photocopieuse qui à vue directe sur le bureau d’Olivier. Je remonte légèrement ma jupe, montrant à Olivier le god bien placé. Olivier se touche les couilles. J’imagine son sexe qui doit devenir tout dur.
Jeudi matin, je reçois un message d’Olivier pour le rejoindre au bungalow 4. Il est là avec un ouvrier qui va bientôt partir à la retraite. Olivier me demande de lui faire une fellation comme cadeau d’adieu. Il pourrait être mon grand-père. Il sort sa queue toute gluante, il est en sueur le pauvre, elle n’est pas très appétissante au premier abord, elle n’est pas longue mais a un beau diamètre. Il n’ose pas me regarder. Olivier se place derrière moi et joue avec mon nouveau plug anal qui est un peu plus gros que celui d’hier. Il voit que je fais bon usage de son cadeau.
La tige du futur retraité retrouve sa vigueur de ses vingt ans dans ma bouche experte.
- Sacré Jacky toujours prêt pour une bonne pipe, lui dit Olivier.
- Ça ne se refuse pas, surtout à mon âge, ce n’est pas tous les jours fête. La ménopause a causé la perte de libido à la Simone.
- Profite, profite Jacky, c’est cadeau.
Et c’est moi qui me tape tout le travail. Finalement au bout d’un bon quart d’heure, Jacky envoie sa sauce épaisse au goût d’époisses.
- Merci mademoiselle, vous êtes très gentille.
- C’est vrai très gentil. Reprends Olivier
- De rien monsieur, ça me fait plaisir de faire plaisir.
Jacky sort. Je me retrouve seule avec Olivier, il me retourne, retire le plug anal, place un doigt dans mon cul, puis deux. Je gémis un peu. Il entame des petits allers-retours. Je me cambre en avant.
- Encore deux jours et tu es prête, dit-il en retirant ses doigts et les suçant.
Il m’embrasse comme si tout ça était naturel. Comme si nous étions des gamins qui flirtons innocemment.
Le samedi matin arrive enfin. Je retrouve la Porsche sur la même place que la semaine dernière.
- Cette fois, j’ai fait différent. On va s’amuser.
Il prend la direction de la région parisienne, Marne-la-Vallée. Je me dis qu’il ne va pas m’emmener à Disney pour m’enculer quand même. Eh bien si.
Il a réservé la Suite Sleeping Beauty à Disneyland Paris, celle avec la fameuse signature de Michael Jackson sous le piano. Quelle magnifique vue sur le parc. Un costume de Minnie m’attend sur le lit avec juste un côté un vibromasseur Bluetooth que l’on peut commander depuis une application. Il s’habille en Mickey. Il me place le vibromasseur, vérifie la connexion Bluetooth. Nous voilà partis dans le parc grâce à des badges spéciaux, nous évitons de faire la queue et pourtant c’est pour ça que nous sommes venus. De temps en temps, Olivier envoie des impulsions sur mon vibromasseur, mon vagin prend une décharge foudroyante à chaque fois. Mon clitoris en profite aussi. Je pousse des petits cris, des badauds se retournent en se demandant ce qu’il se passe. Puis nous montons dans le Space Mountain. Olivier sors son smartphone juste avant le départ et envoie un programme correspondant à l’attraction à mon vibromasseur. Dans chaque virage, chaque looping, chaque accélération, il vibre en fonction du programme, quel pied. Je ressors les jambes en coton et la chatte en feu.
Nous faisons 3 autres attractions, avec le même scénario. Dans le petit train de la mine, j’ai cru que mes boyaux allaient sortir tellement j’ai joui pendant le looping.
Puis nous nous dirigeons vers l’Auberge de Cendrillon. Une table un peu en retrait nous attend. Les princesses viennent nous rendre visite, c’est drôle, j’ai l’impression de tomber en enfance. Olivier sort de sa poche un plug anal avec des dimensions impressionnantes pour mon cul.
- On échange ?
Je soulève ma robe de Minnie, retire mon plug du jour, le donne à Olivier qui le lèche. Je prends son cadeau, le trempe dans mon verre de vin de Châteauneuf du Pape et le place dans l’orifice encore ouvert. Je dois pousser un peu plus pour bien le placer. Le repas est somptueux et copieusement accompagné de très bons vins. Nous prenons des photos avec les princesses qui se collent beaucoup à Olivier. Direction la suite pour le grand final de la journée. Ma première vraie sodomie.
Nous arrivons dans la suite. Olivier détache ma robe. Après une bonne douche, où nous avons joué et joui pas mal. Olivier m’offre une boîte avec une tenue intégrale hyper sexy ouverte sur mes fesses et mon cul et un plug anal avec une queue de renard toute noire très longue. Nous nous dirigeons vers le fameux piano.
Il me replace les oreilles de Minnie.
- Montre-moi ce que tu sais faire seule. Je peux filmer ? C’est pour quelques copains en live.
Il prend son smartphone, lance une musique langoureuse et commence à me filmer.
Je commence timidement à me dandiner de droite à gauche. Je glisse une main entre la dentelle de mon body et je prends mon sein droit, je titille mon mamelon.
- Bien, ne déçois pas ton public.
Langoureusement je descends ma main gauche le long de mon corps jusqu’à ma chatte. Je balance mon cul au rythme de la musique. Je caresse mon sexe par-dessus le body, je plie mes jambes en écartant les genoux. Je retire ma main de mon sein et suce le majeur. Je change de main sur mon sexe et mets l’autre sur mon sein gauche. Je remonte doucement tout en continuant de me caresser. Je me cambre en avant, les jambes tenues au maximum. Je balance mes cheveux. Je me retourne, roule mon cul avec la queue. Mes mains caressent mes flancs et mes fesses. Je joue avec la queue. Je m’assois sur la banquette du piano, je tends une jambe et replie l’autre, je me cambre en arrière mes cheveux pendent. Mes mains caressent mon ventre. Je me couche sur la banquette en cuir, une main caresse mon clito, l’autre s’occupe de mes deux seins. Je me relève, tourne le dos à Olivier, je tords du cul pour faire balancer la queue. Je place les mains sur mes hanches.
Olivier pose son smartphone debout sur la table contre une bouteille d’eau, vérifie l’angle, zoom un peu. Il se dirige lentement vers moi. Il bande comme un malade.
Il me penche en avant, retire le plug anal et sa queue, s’enduit la bite d’un lubrifiant à l’odeur très agréable. Il place son magnifique engin à l’entrée de mon cul puis le glisse en une seule fois jusqu’à la garde.
- Tu t’es bien préparée ma salope
- Il faut dire que les consignes étaient très précises mon salop.
Il commence à me labourer lentement, j’ai l’impression qu’il me déchire le cul, c’est une douleur et un plaisir en même temps c’est incroyable. Puis la douleur s’efface peu à peu pour ne laisser place qu’au plaisir qui augmente à chaque coup, à chaque poussée. Après quelques minutes, il se lâche franchement et accélère le tempo. Même les cordes du piano commencent à vibrer. Puis, il me donne les derniers coups de grâce. Je le supplie de continuer encore et encore. Finalement il éjacule dans mon cul. Il vient le lécher et récupère son sperme. Il me retourne, m’embrasse et partage avec moi son nectar.
- Tu es prête.
- Pour ?
- Pour le meilleur.
Il se dirige vers son smartphone. Coupe le live et envoie un message.
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