Je suis la salope de mon futur mari. Fin de stage

- Par l'auteur HDS yokoshimow -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Je suis la salope de mon futur mari. Fin de stage Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Je suis la salope de mon futur mari. Fin de stage
Le lendemain, c’est donc mon dernier jour de stage. Seulement, au lieu d’un stage, j’en ai fait deux. Je ne cache pas que j’ai pris plus de plaisir avec le deuxième, mais il faut bien travailler pour vivre, ou du moins pour avoir de l’argent.
Olivier prend la parole au moment où je vais partir.
- Ce fut une joie et un plaisir de t’avoir eue avec nous pendant ces 3 semaines, jamais une stagiaire ne s’est autant impliquée dans sa fonction.
Karine et Élodie essayent de ne pas pouffer de rire.
- J’espère que tu vas réussir ton diplôme et tu seras la bienvenue si tu cherches du travail, même si nous devons renvoyer une ou deux gestionnaires pour cela.
Rire général, moins chez les gestionnaires.
- Passe chercher un petit chèque pour tes frais de transport au service comptable.
Là c’est moi qui ai envie de rire, vu le peu de fois que j’ai pris le bus pour rentrer.
- Merci à toutes et à tous pour votre accueil, à toute la gestion et aussi à Karine pour son soutien lorsque j’en ai eu besoin.
Elle n’en peut plus des sous-entendus et éclate de rire.
- Désolée, dit-elle.
Voilà une page qui se tourne. Je passe au service comptable, une enveloppe m’attend. Je l'ouvre, le montant est faramineux pour un stage de BTS. Il pourra bien m’aider à commencer dans la vie active. Je passe dans le bureau d’Olivier.
- Merci pour le généreux chèque.
- On a tous été jeunes, on sait que c’est à ce moment-là que l’on a besoin d’un coup de pouce. Merci.
Blanc, plus rien. Il ne dit plus rien, il me jette comme une vieille chaussette dont il aurait profité pendant 3 semaines. Je tourne les talons sans rien montrer de ma haine. Je fais deux pas quand soudain.
- Tu fais quoi ce week-end ? On doit fêter ta fin de stage comme il se doit.
- Tu parles de quel stage.
- Celui de l'école, l'autre n’est pas encore fini.
- Je dois finir mon rapport de stage pour le donner lundi à l’école.
- Dépose-le sur le bureau d’ Élodie elle se fera un plaisir de le mettre en page convenablement. Tu l’as presque fini, non ?
- Oui, il me manque juste des corrections et quelques photos.
- Va la voir, explique-lui ce que tu veux exactement et on se dit demain matin, même heure, même endroit.
- Même heure même endroit.
Je vais voir Élodie qui est surprise de la demande d’Olivier, je lui dis qu’il lui donnera une prime spéciale.
Et nous voilà partis pour un weekend. Je monte dans la Porsche, Olivier me demande de remonter ma jupe pour voir ma chatte. Il me dit d’ouvrir la boîte à gants, de prendre le gode bluetooth et de le placer là où il doit être. Je suce le gode et me l’enfile dans ma chatte qui commence déjà à mouiller. Il ne va pas pouvoir conduire et s’occuper de l’application en même temps. Eh bien si, Monsieur a trouvé une astuce. Il a relié le Bluetooth de la voiture au Bluetooth du god. Chaque fois qu’il accélère ou qu’il freine, le god vibre plus ou moins fort.
- J’ai vu un tuto sur Youtube ou Youporn, je ne sais plus.
Olivier prend l’autoroute direction le sud et lâche un peu plus les chevaux que d’habitude. Il pousse même jusqu’à deux cents sur un petit kilomètre, dans une ligne droite où nous sommes seuls et où il sait qu’il n’y a pas de radar. Mon god vibre en fonction de sa conduite, il freine exprès parfois. Même pas impressionnée, la gamine. Il accélère, encore un coup de god, je jouis, c’est trop bon, ma chatte mouille son siège baquet.
Après 2 heures de route et de jouissance, au lieu de 2 h 45 au départ d’après son GPS, nous voilà à Saulieu. Il stationne devant le relais de Bernard Loiseau. Il a réservé la SPA-Suite VIP. Deux coupes de Champagne à l'arrivée, des pétales de rose, des bougies, la suite est magnifique avec sa baignoire balnéo, son hammam et son sauna.
Nous commençons par deux heures de soin pour nous remettre de ce long voyage.
Nous arrivons en peignoir nu en dessous. L’ambiance cocooning : lumières tamisées, bougies parfumées, musique douce. L’hôtesse nous donne des serviettes pour recouvrir nos sexes. L’hôtesse commence par nous masser avec des huiles sur tout le corps sauf bien sûr les parties intimes, dommage. Avec Olivier, nous parlons doucement de tout et de n’importe quoi, sauf de sexe. Pour une fois, c’est un garçon très cultivé avec des passions pour l’art et la culture que je ne soupçonnais pas.
Olivier appelle l’hôtesse, lui susurre un mot à l’oreille. Elle me regarde, je me demande ce qu’il se passe. Elle détache trois boutons puis fait glisser sa blouse au sol, se retrouvant toute nue comme nous. Olivier retire sa serviette, son sexe est déjà bien raide. Mais l’hôtesse vient vers moi. Elle retire la serviette qui recouvrait ma chatte. Elle se passe de l’huile sur son corps, se couche sur moi pour un massage body-body. Ses seins sont contre les miens, elle se frotte d’une façon très pro. Elle fait des va-et-vient avec ses jambes sur les miennes. Je mouille un max. Puis elle glisse sa main entre mes jambes et devient moins professionnelle, mais plus salope. Elle masse mon clitoris avec deux doigts. Olivier se lève et me présente son sexe à la hauteur de ma bouche, je m’empresse de le gober. Mais je ne peux pas trop bouger, alors c’est Olivier qui fait les allers-retours dans ma bouche. L’hôtesse continue ses massages innocents. Je sens mon clito gonflé comme jamais sous ses caresses expertes. Olivier retire sa queue de ma bouche et la présente à l’hôtesse qui l’avale sans hésiter.
Voilà, c’est parti, je peux enfin moi aussi commencer à la caresser. Je masse son cul et son anus. Elle bouge son corps pour me faciliter l’accès. Mon autre main se faufile entre nos deux corps, pour moi aussi pouvoir jouer avec sa chatte. Surprise, elle mouille comme une grosse salope. Olivier se retire et va vers le bout de la table de massage, l’hôtesse se place à quatre pattes et Olivier la prend en levrette. Je me bascule et me place sous son sexe pour faire un soixante-neuf.
Je vois la bite d’Olivier qui disparaît et réapparaît dans la chatte de notre complice du moment. C’est magnifique, je la bois, je la lèche, je la mords, je suis craché dessus. Puis Olivier se retire et me l’enfourne à nouveau dans la bouche. Puis il nous bascule les deux ensemble, maintenant c’est elle qui est en dessous pour me brouter le minou. Olivier retire mon plug anal et m’encule directement. Elle sait bien brouter la salope, sa langue fouille l’intérieur de ma chatte sur une distance peu habituelle. Finalement, Olivier envoie sa sauce dans mon cul. Olivier vient me nettoyer le cul de son sperme et va le partager avec l’hôtesse. Nous avons pris un sacré pied tous les trois. Nous nous rhabillons. Je regarde l’hôtesse.
- Quel est votre secret pour un tel cunnilingus ?
Elle me sourit, sort sa langue. Celle-ci est fendue en deux sur cinq bons centimètres comme un serpent. Je m’approche d’elle et lui roule une pelle, la sensation est divine. Je n’avais jamais ressenti ça avant.
- Essaye Olivier.
Il ne se fait pas prier et commence lui aussi à rouler une pelle d’enfer.
Nous remontons dans notre suite et nous glissons dans la balnéo avec la vue sur les jardins et sa verdure. Nous reprenons notre conversation. Je lui raconte comment j’imagine ma vie future sans donner son nom. Il apprend que je joue du piano au Conservatoire de la région. Il faut dire que jusqu’à maintenant toutes nos conversations et chaque moment tournaient autour du sexe. Finalement, nous nous rendons compte que nous nous connaissions très peu, mais que nous avons plein de centres d’intérêt en commun, surtout pour la musique classique et le théâtre contemporain. Ça fait du bien de se reposer un peu aussi, de ne rien faire pendant un moment. Je sors de la balnéo et entre dans le hammam. Olivier préfère rester dans la grande baignoire à faire des bulles.
- Tu sais Olivier, la vraie vie, ce ne sont pas des châteaux cinq étoiles, Disneyland et Bernard Loiseau tous les jours, ni tous les week-ends.
- Je sais, j’ai un travail aussi, souviens-toi. C’est ça qui nous paye ces moments.
- Moi, j’ai encore un mois d'école et après, il faut que je trouve un vrai boulot.
- Je t’ai dit que tu peux venir travailler dans ma boîte.
- Je ne veux pas devenir une autre Karine ni une autre Élodie.
- Je ne te vois pas comme elles.
- Serais-tu prêt à renoncer à elles pour moi ?
- Mais bien sûr.
- J’ai du mal à te croire et puis, de toute façon, j’aime te voir faire sucer par une autre.
- Voilà, c’est réglé alors.
- Nous, tu n’as pas compris : je ne veux pas être juste une autre dans ton cheptel.
- Veux-tu être ma femme ?
- On ne se connaît pas encore assez pour ça.
- Viens vivre avec moi alors en ville.
- Dans ta garçonnière ? Elles doivent défiler.
- Tu te trompes sur toute la ligne, aucune femme ne va à mon appartement sauf ma femme de ménage préférée.
- Préférée ?
- Oui, c’est ma grand-mère qui fait le ménage chez moi, elle adore ça. Donc, je ne laisse rien traîner qui pourrait lui donner une mauvaise image de son petit-fils chéri. Et donc pas de fille.
- Tu profites de ta grand-mère
- Pas du tout, je la paye grassement d’ailleurs, qu’elle s’empresse d’aller gaspiller dans ses jeux de bridge du troisième âge.
- Aller, on continuera cette discussion plus tard. Une table à La Côte-d'Or nous attend.
Sur le lit, une robe magnifique m’attend avec un décolleté plongeant presque jusqu'à mon sexe devant et ouvert jusqu’à la raie de mon cul derrière. Il laisse même entrapercevoir le haut de mon plug anal. Je rentre dans la salle, tous les regards sont fixés sur ma robe qui me déshabille plus qu’elle ne m’habille. Certaines personnes croient que c’est une gamine accompagnée d’un pervers. Tellement notre différence de taille est énorme.
Le maître d’hôtel nous guide jusqu’à notre table, il me place ma chaise et en profite pour se rincer l'œil sur mon petit cul rebondi.
Foie gras, sandre poêlé, suprême de pigeon, Saint-Honoré, que des plats divins. Du grand art à la française. Le sommelier nous conseille, nous présente et nous sert pour chaque plat, le meilleur verre de vin qui puisse accompagner chaque plat.
Nous retournons dans notre suite. Nous sommes dans le lit King Size. Pour la première fois, nous allons faire l’amour à deux, sauf lors de ma formation, seulement Olivier et moi. Enfin je crois.
Nous sommes nus au milieu du lit, il me regarde avec un regard si tendre qu’il m’avait caché jusqu’à maintenant, il n’est plus le chef, il n’est plus celui qui partage. Il est un homme simplement pour une fois. Il vient vers moi et me prend dans ses grands bras qui m’enveloppent totalement. Il se penche vers moi et m’embrasse avec toute la tendresse de cet amour naissant. Puis, il me couche et descend en me léchant tout le long jusqu’au rez-de-chaussée. Il me suce avec tendresse et passion.
J’ai l’abricot en feu. Ses grandes mains se baladent d'un sein à l’autre. Je suis encore une fois au Paradis. Puis, il remonte, place son sexe et me prend simplement en missionnaire. Il me regarde droit dans les yeux pendant chaque seconde. C’est simple mais efficace.
C’est à moi de jouer, je descends le long de son corps avec ma langue, lui titille des tétons au passage, puis prends en bouche sa belle queue. Je le regarde droit dans les yeux. Il est aux anges, il faut dire qu’en trois semaines, j’en ai appris des choses avec beaucoup de pratique. Puis je remonte et m’assois sur son sexe, je bouge mon bassin, je plante mes ongles sur son torse. Il me regarde me dandiner plantée sur son pieu. Je grimpe aux rideaux. Je remets le couvert en changeant mes mouvements ondulatoires.
On change les rôles, il prend l’initiative. Il me couche sur le dos et s’agenouille devant moi, il prend mes jambes tendues et les remonte, je place mes chevilles sur ses épaules. Il s’engouffre, on commence une pieuvre endiablée. Il soulève mon bassin, se rapproche pour me prendre plus profondément, ce soir, c’est la totale. Son sexe touche le fond de ma grotte.
Cela dure une éternité. Il se couche enfin, je m’assois à nouveau sur son sexe, mais en lui tournant le dos. Je me balance d’avant en arrière. Il est au bout, je ressers mes jambes pour bien lui coincer son membre. Puis il se relève, m'écarte les jambes en équerre. Les va-et-vient sont longs, sont bons. Je jouis encore et encore, j’ai perdu le compte, mais j’en veux toujours plus ce soir, je suis insatiable. Je prends l’initiative en le couchant et remontant sur lui, je me plante sur son sexe à nouveau, je me cambre en arrière en plaçant mes mains sur ses pectoraux.
C’est moi qui donne le rythme.
C’est moi la cheffe.
Finalement, nous finissons par une bonne levrette et nous nous écroulons au moment où il envoie le bouquet final.
Je suis morte.

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