Jeune femme avide de sens (1 )

- Par l'auteur HDS Zefire -
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Jeune femme avide de sens (1 ) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Jeune femme avide de sens (1 )
Jeune femme avide des sens
1 Je suis étonnée, mon père a cédé à la tentation. Même l’homme le plus vertueux ne peut résister à une femme qui le provoque ! Comme elle me l’a raconté, elle a eu beaucoup de mal pour le faire capituler. Pas facile le bonhomme ! Moi je n’y suis pas arrivé ! Je crois qu’il ne se laissera plus prendre au piège si un jour elle a encore besoin de ses services. Elle est allée trop loin ! À moins qu’il n’ai apprécié sa prestation, il peut avoir envie de repiquer au truc ! Il ne sait pas que je suis au courant, c’est mieux pour tout le monde.
Voilà Marc qui me rappelle, ma mère me le passe, je n’y crois pas. Il ne m’a pas oubliée, a envie de moi depuis trop longtemps. Jeudi, il a un gros contrat à négocier à Marseille. Il me demande de prendre le TGV, me donne l’heure du train. Il m’attendra à l’arrivée Gare St Charles. Juste une nuit, je repartirais le lendemain matin, lui rentrera plus tard dans la journée. Personne ne doit savoir que je l’ai rejoint. On est en semaine, il faut que je sèche les cours. Je décide de lui faire une surprise. J’en parle à Carole, demande si elle veut m’accompagner.
- Juste un aller et retour, tu verras, une nuit avec lui c’est sensas !
- Tu crois qu’il va accepter ?
- Je t’avais promis de te le faire connaître, c’est l’occasion.
- Il va peut être le prendre mal ?
- On verra bien, ça fait plus de 8 mois qu’on a baisé dans son bureau. Je n’ose pas le joindre, j’ai peur de tout gâcher
- C’est risqué quand même, j’hésite !
Je réussis à la convaincre, elle va m’accompagner, lui donne rencard à la gare de Lyon, tour de l’horloge, pas beaucoup de temps, il faudra prendre les billets. Minimum de bagages, juste un petit baise en ville, chemise de nuit, nécessaire de toilette, un rechange. Je dis à ma mère :
- Je parts en province demain.
- Rejoindre Marc, bien sûr, quand rentres tu ?
- Vendredi soir !
Je prends quand même un risque en lui présentant Carole. S’il flashe dessus, ça sera tant pis pour moi. Et puis je ne suis pas sûr qu’il admettra de nous sauter toutes les deux. Le lendemain, après les cours du matin, je quitte la Fac, rentre en vitesse à la maison, prends un casse croûte. Je laisse mes livres, récupère ma petite valise, et en route pour la gare de Lyon. Ni l’une, ni l’autre, ne connaissons Marseille, c’est une véritable aventure pour nous. On y passera peut être la journée de demain, c’est une bonne occasion. Quand même, un tel déplacement pour se faire sauter, il faut être en manque de queue, ce qui est mon cas. D’ailleurs Carole en est presque au même point que moi, elle a viré son mec dernièrement, elle en avait marre de n’être qu’un vide couilles pour lui !
On arrive. Il est en bout de quai, m’attend. Carole est derrière moi, il n’a pas fait attention à elle. Il m’embrasse sur la joue, je lui présente ma copine.
- Je te présente Carole, je l’ai invité à m’accompagner, ça te dérange ?
- Je n’ai pas prévu, je voulais te sauter dès ton arrivée, pour ça j’aurais aimé que tu sois seule !De toute manière il faut qu’on passe par l’hôtel pour confirmer la réservation pour cette nuit. Je vais demander s’il y a la possibilité d’avoir une chambre pour elle.
- On peut faire comme t’as prévu. On la dépose, tu m’baises, y a urgence pour moi !
- - Non, si t’es pressée, t’attendra. Ma secrétaire a réservé une chambre dans un hôtel à la sortie de la ville. J’ai loué une voiture, on dépose les valises, ensuite on ira faire un tour avant d’aller au resto. En route !
- Je vous dérange vraiment, je suis confuse, s’il n’y a plus de chambre disponible, je trouverais bien un pont pour cette nuit !
- Comprenez-moi, Aurélie me met devant le fait accompli, j’avais tout prévu, elle change mes plans, je n’aime pas ça !
- Excuse-moi, Marc, je n’ai pas osé t’appeler au bureau pour demander ton avis, j’ai eu peur de te déranger, les mauvaises langues !
- Bon, affaire classée. Je vais demander une autre chambre pour ta copine. J’espère qu’il y en a encore !
Le ton est sec, je ne sais pas ce qu’il pense de mon initiative, ça n’a pas l’air de lui faire vraiment plaisir, il se montre plutôt froid. Je monte à côté de lui, ma copine est derrière. Il ne parle pas, à l’air contrarié, j’ai dû faire une connerie. Je l’oblige à changer ses plans, il renonce à me sauter, que va-t-il faire ? Ma copine ne dit rien, elle semble gênée elle aussi, on le serait à moins vu l’accueil !
- On ne connaît pas la ville, je voulais en profiter pour la visiter demain au lieu de rentrer direct, à deux c’est plus agréable ! C’est pour ça que je lui ai demandé de m’accompagner.
Il commence à s’intéresser à moi.
- Qu’es tu devenue depuis notre dernière entrevue ?
- J’ai poursuivi mes études, bientôt les examens, ensuite je compte bien trouver un emploi.
- Pas de petit copain ?
- Non, calme plat de ce côté là depuis plus de 6 mois.
Et s’adressant à Carole
- Et vous, que faites-vous dans la vie ?
- Je suis à la Fac avec Aurélie, on suit le même programme. Pour moi aussi c’est la dernière année.
- Vous êtes encore chez vos parents ?
- Non, ils louent pour moi un petit studio, ils habitent trop loin, je ne peux pas rentrer chaque soir. J’y vais quelque fois le week end.
Revenant à moi
- Je crois que tu es toujours chez tes parents ?
- Oui, mais je compte prendre mon indépendance quand j’aurais un boulot !
On arrive sur le parking de l’hôtel
- Je vais avec vous, je prends une chambre pour moi, je ne veux pas vous déranger !
- Non, j’ai pas besoin de vous, attendrez moi dans la voiture toutes les deux!
Merde, mon plan a foiré. Je dis à Carole :
- Désolée, ça ne se passe pas comme prévu. Je croyais qu’il accepterait que tu te joignes à nous, mais ça semble bien compromis !
Le revoilà, il a deux clés, en donne une à Carole. On descend de voiture, il sort les bagages du coffre. Je le suis, entre dans la chambre après lui. Carole a celle juste à côté. Je repère tout de suite qu’il y a une porte de communication fermée par un verrou. Ca offre des possibilités.
Dès qu’il est dans la chambre, il pose ses affaires, moi ma valise. Le lit est là, je veux qu’il me baise. Je vais vers lui, me colle à lui, l’embrasse, ma main cherche la braguette. Il me repousse sèchement.
- Reste tranquille, on verra ça plus tard !
Il quitte sa veste, téléphone à sa femme. Pendant ce temps, je vais me soulager. J’en profite pour faire une toilette intime. Je reviens dans la chambre, il termine. Il reprend le train demain en fin de matinée, le contrat sera prêt demain matin, il a rendez vous à 10 h, il ne restera plus qu’à le signer.
Je commence à m’impatienter, j’ai envie de sa queue, je veux qu’il me culbute, là, tout de suite. Je fais une autre tentative, sans succès. Il me dit :
- On prend ta copine au passage, il nous reste encore un peu de temps avant d’aller au resto, je vais vous montrer le vieux port, la Canebière.
On dépose les clés à la réception et nous voilà partis faire un tour en ville. On s’installe à une terrasse sur le vieux port, il nous offre à boire. On avait soif. Il est 8 h, il nous mène dans un resto typique, cadre surprenant. Le menu n’est pas terrible, avec bouillabaisse, mais on a faim, et puis je dois prendre des forces pour la nuit. L’une et l’autre buvons de l’eau. Je sens qu’il cogite, il est perturbé, soucieux, est-ce la présence de Carole qui le rend presque agressif ? C’est loupé, je l’ai fait venir pour rien, la pauvre, je ne sais pas si moi-même j’y aurais droit. Je ne sais pas comment je vais pouvoir rattraper le coup. Il est 9 h ½, on rentre à l’hôtel, on récupère les clés. Carole entre dans sa chambre. Il entre dans la sienne, je le suis, il me repousse.
- Va dormir avec elle !
- Non Marc, fait pas ça, j’ai trop envie de toi !
- Tu ne mérites pas que j’te baise !
- J’t’en supplie, laisse moi dormir avec toi !
- Je vais pisser, me rince la moule. Lui me remplace, revient, ne me regarde même pas. J’ai dégrafé la ceinture de mon jean, attends qu’il s’intéresse à moi. Il n’a pas du tout l’air d’être pressé. Il s’installe sur le petit bureau, range ses papiers, écrit. Je reste là, plantée au pied du lit, je suis nerveuse, montre mon impatience. Il le sent, s’amuse à me faire attendre, continue comme si je n’existe pas. Je n’en peux plus, viens derrière lui, lui masse les épaules, l’embrasse dans le cou, passe la main sur le pantalon, entre ses jambes. Je sens qu’il bande. D’un ton bourru il me dit :
- Laisse moi finir ça !
J’abandonne, m’assois au bord du lit. Il se lève, repousse la chaise, me fait face, me toise. Je tends la main, ouvre la braguette, cette fois il me laisse faire. Je sorts sa queue, ses couilles, c’est pas facile, il bande dur, il en a envie autant que moi. Il me soulève, me retourne, me voilà dans les airs, je me retrouve à plat ventre sur le lit, il attrape mon jean, le descend sur le haut de mes cuisses, je n’ai que les fesses à l’air, les jambes serrées. Il écarte ma culotte, me relève le cul, place ma fente devant sa bite, l’ouvre, m’emmanche direct jusqu’à la garde.
- Oh oui, défonce-moi, depuis le temps que j’en aie envie !
Trois coups de piston bien appuyés pour m’ouvrir, me dilater, m’étirer le vagin, je mouille terrible, il sort de moi, se lève.
- Je vais voir ce que fait l’autre !
- Non, je veux ton premier jus, t’as commencé, reviens dans moi !
- Non ! J’ai envie de me l’envoyer maintenant !
- Fini de me baiser, elle peut attendre!
Il se dirige vers la porte de communication, mandrin à l’horizontal, ouvre le verrou.
- Range ta queue ! Tu ne vas pas te présenter comme ça devant elle!
- Je sais bien pourquoi tu l’as amené !
La porte n’est pas fermée de l’autre côté, il entre. Je remonte mon jean, reboutonne la ceinture, le suis. Carole est en nuisette, a gardé string et soutien gorge. Elle est adossée à la tête du lit, appuyée sur un oreiller, jambes serrées, pieds croisés, regarde la télé. Elle ne s’attendait pas à nous voir, rougit lorsqu’elle voit l’engin qu’il a en main, dressé hors du pantalon, et l’énorme gland violacé pointé vers elle. Elle me regarde et me demande :
- Il te l’a déjà enfilé ?
- Trois coups, j’en voulais plus !
Elle s’adresse à Marc
- Vous venez me la mettre ?
Il lui répond :
- Vous êtes là pour ça !
Il est au pied du lit, l’attrape aux chevilles, tire. Elle glisse sur le lit, la nuisette remonte, découvre son ventre, il lui écarte les cuisses en grand. Il tire sur le string, remonte ses jambes, son sexe s’offre à lui. Il ouvre les lèvres avec ses doigts, plaque sa bouche dessus, sa langue titille le clito, entre dans le trou. Il fourre ses doigts dans le vagin, les activent, l’élargit. La voilà partie, elle couine, gémis, pousse des petits cris, heureusement qu’il y a la télé. Et moi qui regarde, mouille ma culotte, glisse ma main dedans, la passe entre mes cuisses, me doigte doucement. Il lui bouffe la chatte, son bas ventre ondule, il remonte les mains vers sa poitrine, dégage les seins, les pétrit, roule les tétons entre ses doigts. Il s’allonge sur elle, sa queue appuie sur le clito, progresse au fond de la fente, elle est au bord du trou. Un coup de reins, il l’embroche, la queue disparaît dedans, elle crie :
- Oh oui !
Il la pilonne, elle participe, son ventre va au devant des coups de bite, ses cris sont de plus en plus forts. Je m’agenouille sur le lit, mets une main sur sa bouche pour les étouffer. Elle se cambre, crie, jouit, retombe. Je ne veux pas qu’il continue, elle va le vider, c’est pas juste. Ca m’apprendra, je n’aurais pas dû l’amener avec moi, elle va me le prendre! Je le pousse brusquement à deux mains, il se redresse, sort d’elle, la queue est raide comme du bois, luisante de cyprine, le gland est dilaté, rouge violet. Je la saisis, je vois à sa tête qu’il n’est pas content d’avoir été interrompu dans son coït.
- Elle en a eu assez, à moi maintenant.
- Tu vas attendre que je la finisse, non! .
Carole reste allongée, pantelante, offerte, cuisses toujours largement ouvertes, sa respiration s’apaise lentement, elle a eu un orgasme, c’est sûr. Il est toujours entre ses jambes, se penche, se remet en position, sa queue est dans la fente, le gland commence à la pénétrer. Je glisse précipitamment la main entre elle et lui, attrape la partie de la hampe qui n’est pas encore rentrée en elle, tire d’un coup sec, elle ressort du vagin, je ne veux pas qu’il la lui enfile de nouveau. Je descends du lit, serre la bite d’une main et de l’autre le tire par le bras.
- Lâche ça !
- Alors tu viens ?
- C’est fini, elle a joui !
- Elle peut-être, moi pas !
- C’est à mon tour, je ne tiens plus !
Je le secoue, tire sur la queue, la tient fermement derrière le gland, l’oblige à descendre du lit, ce qu’il fait de mauvaise grâce.
- Lâche-moi, tu m’fais mal !
Je le ramène dans notre chambre en le poussant dans le dos. En sortant il se retourne, la regarde, l’abandonne à regrets. Il me dit :
- Je n’aime pas tes façons, tu vas m’le payer !
Sa queue est toujours dressée hors du pantalon, raide, longue, luisante, collante, rouge. Je le déshabille, il ne m’aide pas, a l’air de m’en vouloir.
- Je retourne finir de la baiser !
- Non, laisse là, j’ai trop envie de ta queue !
Maintenant qu’il est nu, je m’accroupis, prends son gland en bouche, le goutte, passe ma langue sur le méat, il n’a pas joui, pas le goût du foutre, je suis rassurée. J’allais me relever quand soudain il me prend la tête à deux mains, tire, me fourre sa pine en fond de gorge, je suffoque, il relâche, recommence, je bave, j’ai chaud, manque d’air.
- Tu n’ vas pas t’en tirer comme ça !, j’vais t’ faire bouffer mon foutre! Je sais qu’t’aimes pas !
Je ne peux pas protester, sa queue me remplit la bouche ! Il me prend sous les bras, me relève. Heureusement qu’il s’est retenu, n’a pas giclé !
- T’as compris j’espère. Tu viens m’emmerder quand je baise ta copine, j’aime pas. J’te pardonne pour cette fois, on passe à autre chose !
Sa mauvaise humeur est passée. Il prend son temps pour me déshabiller, caresse tout mon corps, me bisoute partout, de face et de dos, s’arrête sur ma poitrine, elle durcit, il aspire mes tétons, descends sa main dans ma culotte, la tire, elle tombe à mes pieds.
- Ta culotte est trempée, t’as pissé dedans, ma parole !
- Non, c’est tellement je mouille !
- T’as pris du rechange ?
- Oui, bien sûr !
Il ouvre ma fente, introduit deux doigts tout en mordillant mes tétons. J’en profite pour le branler, sa queue, qui commence à retomber, redevient énorme et dure comme un bâton, le gland violacé augmente de volume. Je ne tiens plus, j’ai envie qu’il me la rentre, monte sur le lit, m’allonge, ouvre et remonte mes cuisses, lui offre mon sexe ruisselant. Il est debout au pied du lit, admire ma chatte :
- Bon sang, c’ que t’as une belle toison !
Il passe au-dessus de moi, me fourre sa queue dans la bouche, s’allonge, écarte les poils, ouvre ma fente, aspire mon clito, tire sur mes nymphes, entre sa langue dans mon trou, boit ma mouille, m’ouvre avec ses doigts. Je suce le gland avec application, tient la hampe, la sert à la base pour qu’il ne gicle pas dans ma bouche, surveille ses réactions. Il se retourne, passe entre mes jambes, les relève sur ses bras et les écarte au maximum, s’enfile d’une seule traite jusqu’au plus profond de moi. Que c’est bon de le sentir là, à l’intérieur de mon ventre, aller et venir. Il me burine d’abord doucement, mais ses coups deviennent de plus en plus rudes, rapides et profonds. Je suis la cadence, me cambre pour qu’il aille encore plus loin en moi, sert mon vagin pour bien le sentir, halète, gémis, ça y est, j’ai l’impression que mon cœur s’arrête, je chavire, perds tout contrôle, ferme les yeux, défaille. Oh là, qu’est ce qui m’arrive ? J’ai le cul en l’air, je suis sur les épaules, mes jambes retombent vers moi. Il est debout, me tourne le dos, m’emmanche à la verticale. Je vois ses couilles frotter ma chatte, appuyer sur mon bouton d’amour en érection, j’ai du mal à respirer dans cette position. Il me ramone sauvage, entre, sort, s’enfonce comme jamais au plus profond de moi. Il me redépose doucement, se remet sur moi, s’encastre à fond, butte, recule, remet ça, je souffle de plus en plus fort tellement j’ai chaud. Il me sent partie, profite de cet instant pour m’envoyer ses jets de foutre. Je sens sa queue vivre en moi, se contracter, le gland enfler, je resserre mon vagin encore plus, quelques spasmes, il se vide dans moi, je sens ses jets chauds et puissants m’envahir le ventre. Je n’en peux plus, j’ai chaud, je respire trop vite, je perds la tête, crie, jouis pendant qu’il décharge. Il est aplati sur moi, m’écrase, je suis bien sous lui ! Je sorts de mon petit nuage doucement, sa queue diminue, ressort lentement de mon vagin, entraîne son sperme qui maintenant coule dans ma fente. Je suis heureuse, depuis le temps que j’attends cet instant !
Je ne m’en suis pas rendu compte, mais Carole est dans la chambre, nue, nous regarde baiser. Marc s’allonge à côté de moi, épuisé. Elle monte sur le lit, prend sa queue, la suce, absorbe le gland, passe sa langue sur le méat, lèche la tige, caresse les couilles. Elle passe entre mes jambes, colle sa bouche sur ma moule, passe sa langue dans la fente, récupère le foutre. On ne m’a jamais fait ça, je la repousse, lui dis :
- Retourne dans ta chambre !
- Laisse le venir dans mon lit.
- Non, il est à moi pour cette nuit !
- Tu m’avais promit!
Elle se lève, roule un patin à Marc (elle est gonflée quand même) m’embrasse, : rentre dans sa chambre à reculons, me regarde, déçue.
- T’es vache quand même !

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