Jeune mariée 2
Récit érotique écrit par Lamiche31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Jeune mariée 2
2/2Un des élus était le propriétaire de l’unique auberge de notre petite ville, les élus (es) et les conjoints (es) avaient pris l’habitude de s'y retrouver un soir par mois pour un petit dîner. Charles m’a fait remarqué que Georges, le maire me plaçait toujours à ses côtés, j'avais remarqué bien avant lui. Il me regardait rappela ma liberté sexuelle, jugeant Georges digne de moi.
Contrairement au père B, Georges du même âge étant homme très séduisant, des yeux bleu clair, un sourire magnifique, une gentillesse quotidienne et une culture énorme, il était passionné de musique, cinéma, théâtre et de géographie .
Un après-midi en passant devant la mairie je suis tombée nez à nez sur Georges qui en sortait, on s’est fait la bise, on a discuté un moment avant qu’il me propose d’aller boire un verre à l’auberge, vu la proximité on est parti à pied en discutant de tout comme à nos habitude depuis qu’on se connait.
L’auberge était déserte, Georges y était comme chez lui, il alla lui-même me faire un café au percolateur. Devant mon étonnement, il m’a expliqué que depuis son veuvage quatre ans plus tôt, Serge le propriétaire lui laissait les clés de l’auberge ainsi que celles d’une chambre qu’il pouvait en disposer à sa guise, en souriant il m’a demandé si j’écoutais la voir. Si j’acceptais c’était je pense devenir de facto la maîtresse de monsieur le maire, ayant le feu vert de mon mari , je me suis levée en lui disant «on y va ? ».
Dans la chambre nous avons eu un moment de flottement, il hésitait, je l’ai alors regardé en lui disant « tu sais, même si nous somme un couple de jeunes mariés amoureux, nous sommes aussi un couplé libre, Charles a confiance dans mon amour et donc me laisse libre se faire absolument ce que j’ai envie.
C’est moi qui me suis approché pour l’enlacer et l’embrasser, c n’est qu’à la 3eme tentative que ses lèvres se sont ouvertes et qu’on a fait notre premier baiser « d’amour », ensuite tout s’est accéléré, il m’a déshabillée, puis est parti à la découverte de mon corps embrassant chaque parcelle, les plus sensibles en particulier, mes seins ont rencontré des mains puis des lèvres très douces et attentionnées. Lorsque sa main à atteint mon sexe ce fut sublime, on aurait dit que mon minou l’attendait, il ‘est ouvert, elle en a pris possession préparant l’arrivée de de sa bouche.
Lorsque enfin ses lèvres se sont posées sur ma fente déjà ouverte et humide j’ai su que ça ne serait pas la seule fois, une onde est parti du clito pour traverser mon corps, le premier cunni avec le père B était relégué très loin dans ma mémoire. Je n’as pu attendre de lui faire une fellation, mon corps réclamait le sien, il fallait que sa verge vienne dans moi je lui ai réclamé, il m’à pénétrée aussitôt. Quel bonheur que cette première pénétration d’un homme dont je n’étais pas amoureuse mais avec lequel j’avais beaucoup d’affinités et de points communs. Pendant notre coït je n’ai cessé de le regarder dans les yeux, ses 60 ans comparés mes bientôt 23 n’avaient plus d’importance, il y avait deux corps attirés l’un vers l’autre depuis leur premier regard qui enfin avaient fusionnés. Georges m’à fait jouir de ses doigts, de sa bouche et maintenant j’allais avoir mon 3ème orgasme sous ses coups de reins. Il a pris son plaisir après le mien, on est resté enlacé, je lui faisais plein de bisous, on se souriait comme deux ados.
Ensuite, on s’est rhabillé, avant de se quitter il m’a dit qu’il me ferait un double des clés de la chambre, je n’aurais pas à attendre dehors pour nos rencontres, que je ne m’inquiète pas de Serge, il était sur et muet comme une carpe.
Bien sûr, lorsque Charles est rentré le lendemain, devant ma mine, immédiatement il m'a dit « ça est, tu as couché avec Georges », je lui ai bien sûr tout raconté , il m’a aussitôt amenée dans notre lit….
Avec Georges, on a fait l’amour plus que de raison, dès que Charles était absent pour son travail, je filais à l’auberge, il part le propriétaire, conseiller municipal aussi, personne ne m’a vue, il y avait une entrée sur l’arrière très discrète.
Georges s’occupait de moi avant de penser à son plaisir, je l’honorais par des fellations qui les laissaient près de l’orgasme, il savait se contrôler. Nos nombreux 69 nous mettaient en unisson, chacun de nous deux connaissait comment l’autre réagissait. C’est moi qui lui a proposé de me sodomiser, mon mari n’était pas un super fan de cette pratique, moi-même ce n’était pas en Suède préférais mais j’avais envie que Georges me prenne de partout. J’avais aussi envie comme avec mes autres amants ayant eu le privilège de connaître mes fesses ils n’étaient pas nombreux) de m’imaginer à quatre pattes avec la bite de Georges en train de m’enculer. A chaque fois, je me disais des mots vulgaires ça augmentait considérablement mon excitation, en plus Georges était autant attentionnée pendant qu’il me sodomisait que pendant n’importe quels menus de notre intimité physique. Il y a eu des semaines où Charles paraît 4 ou 5jours, je faisait l’amour avec mon amant plus qu’avec mon mari. Après chacun de nos coïts, je me mettais dans ses bras et on parlait de nos passions communes, le théâtre en premier, les livres, le cinéma, la culture en général, on s’entendait sur tout.
Un jour dans ses bras je lui ai dît que je ne l’aimais pas d’amour mais d’amitié mais que j’étais un peu beaucoup amoureuse de lui. Il m’a dit « chut, ne prononce pas des paroles inutiles, tu es le soleil de mon crépuscule mais on a notre vie, tu es jeune, belle et tu as un mari formidable, profite de ta jeunesse, je ne suis qu’une parenthèse dans la tienne ». On s’est embrassé, je lui es dit de venir sur moi, après quelques caresses et mots un peu cochons, sa verge s’est redressée et on a refait l’amour tendrement ensemble souriant comme des cons.
Au bout de presque un an, après une séance de baise très chaude, je lui ai dit que c’était la dernière fois que je venais à l’auberge, que je l’invitait le lendemain à passer la nuit entière avec moi, ensuite j’allais être fidèle à mon mari car on avait décidé de faire un enfant, trois ou quatre mois après notre séparation, je suis tombée enceinte.
Six ans plus tard et deux enfants, on allait partir vers Bordeaux, je lui ai laissé un message sur son répondeur : « demain 14h à l’auberge », bien sûr il est venu, je l’attendais nue dans le lit, on savait que c’était notre dernière, on a vite retrouvé notre complicité.
Je l’ai revu une dizaine d’années plus tard dans son cercueil ouvert toujours aussi beau malgré les années.
Contrairement au père B, Georges du même âge étant homme très séduisant, des yeux bleu clair, un sourire magnifique, une gentillesse quotidienne et une culture énorme, il était passionné de musique, cinéma, théâtre et de géographie .
Un après-midi en passant devant la mairie je suis tombée nez à nez sur Georges qui en sortait, on s’est fait la bise, on a discuté un moment avant qu’il me propose d’aller boire un verre à l’auberge, vu la proximité on est parti à pied en discutant de tout comme à nos habitude depuis qu’on se connait.
L’auberge était déserte, Georges y était comme chez lui, il alla lui-même me faire un café au percolateur. Devant mon étonnement, il m’a expliqué que depuis son veuvage quatre ans plus tôt, Serge le propriétaire lui laissait les clés de l’auberge ainsi que celles d’une chambre qu’il pouvait en disposer à sa guise, en souriant il m’a demandé si j’écoutais la voir. Si j’acceptais c’était je pense devenir de facto la maîtresse de monsieur le maire, ayant le feu vert de mon mari , je me suis levée en lui disant «on y va ? ».
Dans la chambre nous avons eu un moment de flottement, il hésitait, je l’ai alors regardé en lui disant « tu sais, même si nous somme un couple de jeunes mariés amoureux, nous sommes aussi un couplé libre, Charles a confiance dans mon amour et donc me laisse libre se faire absolument ce que j’ai envie.
C’est moi qui me suis approché pour l’enlacer et l’embrasser, c n’est qu’à la 3eme tentative que ses lèvres se sont ouvertes et qu’on a fait notre premier baiser « d’amour », ensuite tout s’est accéléré, il m’a déshabillée, puis est parti à la découverte de mon corps embrassant chaque parcelle, les plus sensibles en particulier, mes seins ont rencontré des mains puis des lèvres très douces et attentionnées. Lorsque sa main à atteint mon sexe ce fut sublime, on aurait dit que mon minou l’attendait, il ‘est ouvert, elle en a pris possession préparant l’arrivée de de sa bouche.
Lorsque enfin ses lèvres se sont posées sur ma fente déjà ouverte et humide j’ai su que ça ne serait pas la seule fois, une onde est parti du clito pour traverser mon corps, le premier cunni avec le père B était relégué très loin dans ma mémoire. Je n’as pu attendre de lui faire une fellation, mon corps réclamait le sien, il fallait que sa verge vienne dans moi je lui ai réclamé, il m’à pénétrée aussitôt. Quel bonheur que cette première pénétration d’un homme dont je n’étais pas amoureuse mais avec lequel j’avais beaucoup d’affinités et de points communs. Pendant notre coït je n’ai cessé de le regarder dans les yeux, ses 60 ans comparés mes bientôt 23 n’avaient plus d’importance, il y avait deux corps attirés l’un vers l’autre depuis leur premier regard qui enfin avaient fusionnés. Georges m’à fait jouir de ses doigts, de sa bouche et maintenant j’allais avoir mon 3ème orgasme sous ses coups de reins. Il a pris son plaisir après le mien, on est resté enlacé, je lui faisais plein de bisous, on se souriait comme deux ados.
Ensuite, on s’est rhabillé, avant de se quitter il m’a dit qu’il me ferait un double des clés de la chambre, je n’aurais pas à attendre dehors pour nos rencontres, que je ne m’inquiète pas de Serge, il était sur et muet comme une carpe.
Bien sûr, lorsque Charles est rentré le lendemain, devant ma mine, immédiatement il m'a dit « ça est, tu as couché avec Georges », je lui ai bien sûr tout raconté , il m’a aussitôt amenée dans notre lit….
Avec Georges, on a fait l’amour plus que de raison, dès que Charles était absent pour son travail, je filais à l’auberge, il part le propriétaire, conseiller municipal aussi, personne ne m’a vue, il y avait une entrée sur l’arrière très discrète.
Georges s’occupait de moi avant de penser à son plaisir, je l’honorais par des fellations qui les laissaient près de l’orgasme, il savait se contrôler. Nos nombreux 69 nous mettaient en unisson, chacun de nous deux connaissait comment l’autre réagissait. C’est moi qui lui a proposé de me sodomiser, mon mari n’était pas un super fan de cette pratique, moi-même ce n’était pas en Suède préférais mais j’avais envie que Georges me prenne de partout. J’avais aussi envie comme avec mes autres amants ayant eu le privilège de connaître mes fesses ils n’étaient pas nombreux) de m’imaginer à quatre pattes avec la bite de Georges en train de m’enculer. A chaque fois, je me disais des mots vulgaires ça augmentait considérablement mon excitation, en plus Georges était autant attentionnée pendant qu’il me sodomisait que pendant n’importe quels menus de notre intimité physique. Il y a eu des semaines où Charles paraît 4 ou 5jours, je faisait l’amour avec mon amant plus qu’avec mon mari. Après chacun de nos coïts, je me mettais dans ses bras et on parlait de nos passions communes, le théâtre en premier, les livres, le cinéma, la culture en général, on s’entendait sur tout.
Un jour dans ses bras je lui ai dît que je ne l’aimais pas d’amour mais d’amitié mais que j’étais un peu beaucoup amoureuse de lui. Il m’a dit « chut, ne prononce pas des paroles inutiles, tu es le soleil de mon crépuscule mais on a notre vie, tu es jeune, belle et tu as un mari formidable, profite de ta jeunesse, je ne suis qu’une parenthèse dans la tienne ». On s’est embrassé, je lui es dit de venir sur moi, après quelques caresses et mots un peu cochons, sa verge s’est redressée et on a refait l’amour tendrement ensemble souriant comme des cons.
Au bout de presque un an, après une séance de baise très chaude, je lui ai dit que c’était la dernière fois que je venais à l’auberge, que je l’invitait le lendemain à passer la nuit entière avec moi, ensuite j’allais être fidèle à mon mari car on avait décidé de faire un enfant, trois ou quatre mois après notre séparation, je suis tombée enceinte.
Six ans plus tard et deux enfants, on allait partir vers Bordeaux, je lui ai laissé un message sur son répondeur : « demain 14h à l’auberge », bien sûr il est venu, je l’attendais nue dans le lit, on savait que c’était notre dernière, on a vite retrouvé notre complicité.
Je l’ai revu une dizaine d’années plus tard dans son cercueil ouvert toujours aussi beau malgré les années.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Jolie histoire qui semble être vrai. La fin est touchante. Mais bravo pour ce joli moment. On imagine bien les faits. J’aurai bien aimé plus de détails sur votre ressenti physique ou vos attentes. Je ne veux pas critiquer je donne juste un avis. Merci à vous je vais lire les autres textes.