Tennis à retardement

- Par l'auteur HDS Lamiche31 -
Récit érotique écrit par Lamiche31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Tennis à retardement Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Tennis à retardement
Nous nous étions installés ensemble dans une maison achetée par mon concubin dans un hameau de nouvelles maisons comme ça commençait à se faire dans les années 70 . Ce n'était pas encore très courant a cette époque de vivre ensemble sans être mariés mais voilà, on s’aimait et on se fichait des commérages et lorsque six mois plus tard les voisins nous ont vus partir vers la mairie déguisés en mariés, beaucoup ont été surpris. Nous étions les plus jeunes et il y avait de nombreux couples avec des enfants en bas âge, des moins jeunes et un ou deux couples de retraités. En quelques années la commune s'est agrandie passant de 500 habitants à plus de 2500. Les voisins de nos voisins devinrent des copains puis quelques-uns des amis et les amis de nos amis…. Je jouais souvent au tennis sur des courts tout neufs dont un couvert avec vestiaires et douches, un ami qui était dans la restauration donc libre de 15 h à 18 h échangeait souvent des balles avec moi, je remarquais que lorsque j’étais avec ma culotte et ma jupette de tennis, il avait les yeux qui lui sortaient de leur orbite mais jamais il n'a eu un geste équivoque. Dans la semaine, les vestiaires individuels étaient fermés , je me changeais succinctement en lui demandant de tourner la tête, je baissais en premier ma culotte de tennis pour passer un « normale » puis enlevais ma jupette et mon T-shirt pour mettre soit un jean ou une jupe et un corsage, soit une robe mini , je savais qu’il regardais par moment et si je faisais un geste, il rougissait comme un ado.
S'il avait su que depuis le début de ma liaison avec Christophe bien avant notre mariage, celui-ci m'avait dit qu'il ne voyait pas comment on pouvait passer une vie même en étant très amoureux sans regarder ailleurs et sans coucher avec d'autres partenaires et donc que j’étais libre sexuellement. Au début, je n'ai pas osé puis j'ai fini par devenir la maîtresse d'un de nos copains puis le pli étant pris , j'ai eu régulièrement des aventures d’un jour, d'un soir ou parfois de plusieurs mois mais Marc mon partenaire de tennis l’ignorait car j’évitais le voisinage. Lorsqu'on se quittait, nos bisous étaient toujours très près de nos lèvres sans toutefois se toucher, lorsqu'on regagnait nos voitures il me laissait toujours marcher devant, je pense qu'il en profitait pour fantasmer sur mes jambes magnifiques(en toute modestie) et sur mes fesses (magnifiques aussi, toujours en modestie). Marc et Christophe étaient devenus amis et nous allions régulièrement manger dans son restaurant ou nous avions un service privilégié. Pendant toutes nos années d'amitié avec Marc nous jouions un jeu de flirt innocent, je voyais qu'il n'osait pas franchir la ligne ignorant sans doute si je jouais ou si j’étais prête à aller plus loin, il était marié mais son couple battait de l'aile et nous n’avons vu sa femme que très rarement. Bref, lorsqu'au bout de quelques années nous avons quitté la région parisienne pour partir près de Marseille, nous en étions toujours à ce flirt innocent sans même un bisou sur la bouche alors que durant ces années de voisinage j'avais eu sept amants dont trois de longue durée.
Changement de région, changement de vie, Christophe avait pris du « galon » en acceptant ce poste, l’inconvénient était qu'il avait des horaires encore plus denses, je me suis adaptée assez rapidement à mon nouvel environnement entre les connaissances par les enfants, le tennis et d'autres activités et les collègues de mon chéri, on n'est pas resté isolé longtemps.
Il m’arrivait lorsque Christophe était pris le w.e. de « remonter » dans la région parisienne avec les enfants, ma mère faisait un plaisir de s'occuper d'eux et j'en profitais pour faire le tour des amis,un samedi après-midi j'ai téléphoné à Marc pour prendre de ses nouvelles, il m'a immédiatement invité à dîner dans son nouveau restaurant qu'il venait d'ouvrir, il m'a proposé d'arriver un peu tard lorsque le service était déjà commencé, il pourrait ainsi me bichonner. Je n'ai pas eu â choisir mon repas, il avait concocté un menu dégustation avec en petite quantité chacune de ses spécialités. Vers la fin du service alors que le restaurant se vidait, il est venu me rejoindre à table avec une bouteille de champagne dans un seau de glaçons. Pendant que le personnel nettoyait et rangeait, on s'est raconté nos huit mois de nos vies sans contact, j'ai omis de lui dire que j'avais rapidement repris mes habitudes en prenant de temps en temps un amant. Lorsque tout fut rangé et le personnel parti, il m'a fait visiter son nouveau domaine, après la réserve, il y avait une petite chambre avec un cabinet de toilette lui permettant de se reposer ou d'y dormir en cas de besoin. On est resté debout devant le lit pour une personne, il semblait nous attirer mais on était bloqué impossible d'aller dessus et impossible de quitter la pièce. Je ne sais pas qui a fait quoi mais je ne suis retrouvée dans ses bras nos bouches soudées l'une à l'autre en un baiser intense et là naturellement le lit nous a accueilli. Depuis le temps qu'il ne se passait rien entre nous, je n'avais rien prévu d'affriolant dans ma tenue, un jean, chaussettes, culotte très classique et soutif néanmoins assorti, un corsage et un pull, du point de vue épilation, j'avais ma tenue d'hiver, c'est-à-dire juste le maillot mais bon, étant une véritable blonde mon système pileux n’était pas abondant.
Un fois à l'horizontale, il a enlevé mon pull, j'ai retiré mon corsage, Marc étant fébrile devant la rangée de bouton, il a tout de même réussi à dégrafer mon soutien-gorge et il a enfin osé s'intéresser à ma poitrine en attente de caresses et de baisers. Je sentais bien qu'il y avait aussi un blocage de sa part à venir au niveau du jean, ce fût moi qui ait avancé mon ventre pour venir en contact avec sa main et lorsqu'il passa sa main sous l’attache j'ai rentré mon ventre au maximum pour l'inciter continuer, lorsqu'il a enfin défait l’attache et baissé la fermeture, j'ai pris les devant en enlevant mes chaussures, chaussettes et mon jean. Enfin sa main s'est aventurée dans ma petite culotte, j'ai soulevé mes fesses pour l’encourager à l’enlever, çà y était, j’étais nue devant mon ami et lui était toujours habillé, j'ai amorcé un geste pour enlever sa chemise, il a compris et rapidement elle a rejoint avec son T-shirt et son pantalon le tas de mes vêtements, par contre, il semblait tenir à garder son caleçon sur les fesses. Il était collé contre moi sauf en dessous de sa ceinture main bon pour l'instant sa main de ouvrait mon minou, ses doigts habilement passaient dans ma fente, lançaient mes petites et grandes lèvres, exploraient l'entrée de mon vagin puis se sont longuement attardées sur mon clito, j'ai eu un premier orgasme. On s'est embrassé intensément puis sa bouche est partie à la découverte de mon ventre puis de mon sexe, lorsqu'elle en a pris possession, comme à chaque premier cunnilingus, une décharge électrique est partie de mon clito en irradiant tout mon corps, j’ai joui pour la seconde fois.
Après les quelques minutes pour revenir sur terre, j'ai entrepris à mon tour de devenir active, je sentais qu'il était gêné lorsque ma main approchait son caleçon, j'ai fini par le serrer contre moi et j'ai senti qu'il n'y avait aucune animation dans son sexe, ma main en a du la confirmation, en insistant j'ai réussi à enlever son dernier vêtement et effectivement son sexe bien que de taille honorable était on ne peut plus au repos. Je l'ai fait étendre sur le dos, j’ai entrepris de caresser sa verge de toutes les manières, je lui disais des mots réconfortants puis je suis descendu pour attaquer une fellation, j'avais beau sortir tout ce que des années de pipes intenses avait fait de moi une spécialiste qui en plus adorait ça, rien n'y faisait, à un moment, il m'a semblé sentir un léger frétillement, son sexe a semblé vouloir devenir une bite, je me suis vite couchée sur le dos et je lui ai demandé de venir rapidement sur moi. Le temps d’être en position, la bête avait commencé à s'assoupir, j'ai bien écarté les jambes, j'ai attrapé la verge pour la caresser et lui redonner un semblant de raideur puis j'ai essayé de l'amener devant mon trou. Tout en la maintenant en place, je lui ai dit de pousser, le gland à fait mine de rentrer avant d'abandonner la bataille. Marc s'est blotti dans mes bras, il n’osait pas me regarder, j'essayais de le réconforter, je lui disais que ça arrivait à tous les hommes, il a fini par me dire qu'il était attiré par moi depuis le premier jour où il a fait ma connaissance, qu'il attendait ce moment depuis toujours et qu'au moment où son rêve de réalisait, il était incapable de me faire l'amour. En plus, il culpabilisait à cause de Christophe avec qui il était ami, je n'ai pas osé lui dire que mon mari m’encourageait à prendre des amants et qu'il adorait que je lui raconte mes exploits.
On s'est rhabillé, il a fermé son restaurant et avant de regagner chacun nos voitures, on s'est fait la bise comme deux amis et non comme des amants.
De retour sur Marseille j'ai raconté ma soirée à Christophe qui n’a eu aucune moquerie envers son ami, il a eu plus l'air de le plaindre de ne pas avoir eu le bonheur de me faire l'amour complètement.
Les mois ont passé, Marc nous donnait de ses nouvelles, son restaurant marchait du feu de dieu. En juillet, il décida de le fermer deux semaines et de changer d'air en descendant sur la côte d’Azur voir une partie de sa famille et on a convenu qu'il passerait 2 ou 3 jours chez nous sur le chemin du retour. A son arrivée, il semblait un peu gêné vis à vis de moi mais notre accueil et notre bonne humeur ont dissipé sa gêne. Ces 3 jours ont filé vite entre nos balades, la piscine et les apéros. Le dernier jour, Marc à tenu à nous inviter dans le restée notre choix, on a trouvé un établissement de qualité équivalente au sien puis à notre tour, nous l’avons invité à déguster un cocktail dans un bar la mode cet été là. Sur le chemin du retour dans notre voiture, Marc à l'arrière voyait qu'avec mon chéri on commençait à se chauffer, à la maison, on a bu un dernier verre avant d’aller se coucher.
Une fois nus dans notre lit, Christophe a commencé à caresser et embrasser chaque parcelle de mon corps puis au moment où je pensais qu'on allait faire l'amour , il s'est interrompu et est venu me dire « tu ne crois pas que tu devrais aller voir le pauvre Marc seul dans son lit pour qu'il ne reste pas sur un échec ? », je l'ai regardé en souriant et j'ai répondu « et toi, tu vas resté seul avec ton mât dressé ? » il s'est marré et à dit « je t'ai tous les soirs, vas tu en a envie». J'ai mis en vitesse un petit déshabillé, j'ai fait un gros bisous à mon chéri et je suis monté voir Marc.
J'ai entrouvert la porte en disant « c'est moi, je peux venir ? », il n’a rien dit mais j'ai vu qu'il soulevait le drap du côté vide, avant de me glisser devant, j'ai laissé ma nuisette sur la carpette avant de me blottir dans ses bras. Lorsque j'ai dit « t'inquiète, c'est Christophe qui m'envoie » ça a eu l'air de le débloquer et il m'a embrassée goulûment, sa main semblait vouloir passer sur toute la surface de ma peau, il n'hésitait pas à se coller contre moi et je sentais sa bite bien raide contre ma cuisse, je n'ai pas hésité à la prendre dans la main, plus rien à voir avec celle de l'hiver précédent, rapidement j'ai mis mes lèvres dessus pour la déguster à sa juste valeur, c’était autre chose d'avoir cette verge vivante qui réagissait à mes caresses des lèvres et de la langue.
Marc n’était pas inactif, il me fit tourner et me coucher sur lui tout en gardant sa verge dans ma bouche, ma chatte se cala sur sa bouche, mes jambes bien ouvertes posées de chaque côté de se tête, sa langue passa du clito jusqu’au bord de ma rosette, il avait pris de l'assurance le monsieur, j'ai joui aussitôt. Je me suis couchée à ses côtés et en le regardant dans les yeux je lui ai dit de venir, j'ai ouvert mes jambes pour l'accueillir, il est venu et d'un coup, il était enfin mon amant complètement, quelle sensation toujours unique de la première pénétration d'une nouvelle queue bien raide dans mon vagin, j'ai posé mes mains sur ses fesses pour le faire pénétrer le plus profond possible, pendant toute notre union charnelle son regard est resté noyé dans le mien, lorsqu'on a joui presque simultanément, il m'a dit des mots dont je pressentais la teneur et dont malheureusement pour lui, je ne pouvais lui répondre. J'aimais Marc mais pas de la même manière, c’était un amour d'amitié et notre baise n'a rien changé dans mes sentiments.
Je me suis endormie alors que sa verge était encore, certe ramollie mais toujours dans mon con.
j'ai été réveillée assez tôt par sa bouche qui butinait mes seins, sa bouche arrivait au niveau de mon sexe, n'étant rincée de la veille, je l'ai fait remonter et lui ai dit de venir me baiser. Alors que nous étions en plein coït il y a eu un léger coup sur la porte puis Christophe est rentré avec un plateau de petits-déjeuners , il a fait signe à Marc de continuer, c’était excitant d’être regardée par mon chéri, cette il m'avait vu faire l'amour avec son meilleur ami lors de nos trios mais c'était la première fois qu'il ne participait pas. Dès qu'on a fini de baiser, il est venu me faire un bisou d'amour et une accolade à mon amant. Il s'est excusé pour l'intrusion mais voulait nous réveiller pour que je regagne notre chambre avant le réveil de nos enfants. Marc reprenait la route dans l'après-midi, après le repas, Christophe me dit d'aller aider Marc à faire ses valises pendant qu'il s'occupait des enfants au tout de la piscine, bien sûr , nous fîmes l’amour une dernière fois, pendant le coït, au moment où j'ai senti qu'il allait parler, j'ai mis ma main sur sa bouche avant de l'embrasser.
Dans les années qui ont suivi, chaque fois que nous étions en région parisienne nous allions dîner dans son restaurant, nous n'avons plus jamais refait l'amour, nous l'avons perdu de vue après son remariage, la vente de son restaurant et son déménagement dans sa Vendée natale. On s'envoit un mail pour le nouvel an et les anniversaires.
Marc, si tu lis ce texte, même avec les prénoms et les lieux modifiés tu te reconnaitras, dis-moi que je n'ai jamais oublié ni notre amitié ni cette journée où on a fait l'amour en parfaite osmose.

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