Nouvel an de notre jeunesse
Récit érotique écrit par Lamiche31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nouvel an de notre jeunesse
Soirée du nouvel an :Nous étions mariés depuis 3 ans mais étions ensemble depuis plusieurs années. J’ai oublié de me décrire, 25 ans, 1m 69 pour 53 kg, vraie blonde, des jambes magnifiques au dires des hommes et même des femmes, ce soir-là, j’avais une robe noire et longue ouverte sur la jambe gauche jusqu’à la bordure de mes dim-up. Avant notre mariage, j’avais eu quelques aventures dont une avec un de nos meilleurs amis bien sur avec l'accord de mon chéri et futur mari. On couchait ensemble parfois plusieurs jours de suite et on restait d'autres fois de nombreux mois sans relations sexuelles. Peu après notre mariage, j’avais eu une liaison nauséeuse avec un voisin de 60 ans, ça me dégoûtait tout en m'excitant énormément, l’année suivante j’avais eu un autre amant de 60 ans mais celui-là était adorable, beau et cultivé. J’avais arrêté cette liaison pour faire notre 1er enfant qui avait un peu plus d’un an lors de ce réveillon. Notre bébé confié Papy et Mamie, on a préparé les festivités, le repas se passait chez nous et il était prévu après les embrassades de minuit de partir en boîte continuer la soirée.
Pendant le repas nous étions dans la cuisine avec une amie qui ne nous croyait pas lorsqu’on lui disait qu’on était libre sexuellement, une copine est arrivée, mon Charles de mari l’a attrapée et lui a roulé un patin, un copain est arrivé, j’ai fait pareil.
A minuit, après avoir embrassé nos conjoints, les bisous avec les autres, femmes ou hommes étaient souvent à la limite des lèvres ou carrément dessus, mon amant irrégulier m’a roulé un patin discrètement .
Ensuite, départ vers la boîte à 20 mn de chez nous, exceptionnellement la température ressemblait à celle du nouvel an 2021. La boîte était dans une ancienne maison bourgeoise entourée d’un parc boisé, un coin avec plusieurs tables nous avait été réservé. On a commandé du champagne, du whisky, du coca et du Périer en quantité suffisante.
Pendant longtemps, ce n’était que des danses genre jerk ou rock, malgré ça je me suis aperçue qu’un homme dans les 30 ans se plaçait souvent face à moi et lors de la 1ère série de slows, il s’est précipité pour me faire danser. Nos corps se sont collés ensemble et rapidement je me suis rendu compte que je lui faisais beaucoup d’effet, en effet au niveau de mon sexe je sentais le sien se frotter sans aucune gêne. Le monsieur était habile car lentement il ma entraînée à l’autre bout de la piste loin de notre groupe et lorsque ses lèvres ont rejoints les miennes j’ai répondu à son baiser. A la fin de la série, il m’a proposé de sortir nous aérer dans le parc, je lui ai dit de m’attendre dehors le temps de prévenir mon mari. Lorsque je suis sortie mon ami/amant avait vu mon manège et visiblement n’était pas ravi.
En me voyant, Richard a eu un grand sourire, m’a prise par le cou pour me rouler un gros patin puis m’entraîner sous les arbres.
Je me suis adossée contre un gros chêne, Richard s’est collé à moi, j’ai mis mes bras autour de son cou et on a repris nos baisers profonds. Ses mains se sont emparé de ma poitrine mais avec cette robe, il lui fut impossible de la dévoiler, par contre, il a vu rapidement qu’avec ma robe fendue sur une jambe, il pouvait facilement remonter vers ma petite culotte, culotte qu’il a atteint très vite. Ça y était, un doigt était déjà en contact avec ma fente déjà très humide, j’ai senti que ce doigt avait accroché ma culotte et l’entraînée vers le bas, pour aider mon encore flirt j’ai soulevé mes jambes une par une pour lui permettre delà retirer complètement avant de-là mettre dans une poche de sa veste. Et c’est la chatte entièrement à sa merci que le monsieur en a repris l’exploration, punaise que c’était bon ce doigt qui caressait mon clitoris sensible comme jamais. J’ai descendu une de mes mains pour me rendre compte des dimensions de la bête enfermée depuis trop longtemps dans son slip, elle a jailli d’un seul coup, je l’ai saisie et commencé à la caresser, je ne pouvais la voir mais au jugé elle étaient peu plus passante qu’écrire de mon mari, j’aurais aimé la gouter mais me mettre à genoux sur de l’herbe un 1er janvier me semblait déraisonnable, aussi, j’ai soulevé une jambe, Richard a mis sa bite au bon endroit et d’un coup de rein il ma pénétrée. Ce n’était pas la position idéale pour jouir mais ça restait néanmoins fort agréable. Par contre, Richard lui a joui rapidement en moi.
J’ai sorti un kleenex de mon sac à main pour enlever le plus gros, lorsque j’ai voulu récupérer ma petite culotte, montrant m’à dit qu’il faudra que je vienne chez lui pour l’avoir, à la place, il m’a donné son téléphone. De retour vers mon chéri, mon amant occasionnel me faisait exclusivement la tête, vu l’heure, on a décidé de rentrer. Sitôt en voiture, mon chéri m’a demandé les détails de ma sortie, j’ai remonté ma robe pour lui montrer ma chatte nue et gluante de sperme. Il m’a demandé si je comptais le revoir j’ai du dire que j’étais obligée pour récupérer ma culotte. Sitôt chez nous, on n'a pas attendu d’être dans la chambre pour baiser. Quelques jours plus tard, mon chéri a gardé notre enfant pendant que j’allais faire l’amour en bonne et due forme avec mon amant, la dans un lit,j'ai pu voir et déguster son sexe, le sucer, le téter et le lécher, il a pu honorer ma chatte , à chaque cunnilingus, ma jouissance était garantie, j’ai pu jouir comme une bonne salope sans aucune pudeur, lorsque j'ai décidé que ça serait la dernière fois, je lui ai donné mes fesses, il m'a enculée lentement, c'était très agréable bien que je ne jouisse jamais pendant la sodomi. J’ai fait l’amour avec Richard une petite dizaine de fois, physiquement l’entente étalonné mais en dehors du sexe on n’avait pas grand-chose en commun
Pendant le repas nous étions dans la cuisine avec une amie qui ne nous croyait pas lorsqu’on lui disait qu’on était libre sexuellement, une copine est arrivée, mon Charles de mari l’a attrapée et lui a roulé un patin, un copain est arrivé, j’ai fait pareil.
A minuit, après avoir embrassé nos conjoints, les bisous avec les autres, femmes ou hommes étaient souvent à la limite des lèvres ou carrément dessus, mon amant irrégulier m’a roulé un patin discrètement .
Ensuite, départ vers la boîte à 20 mn de chez nous, exceptionnellement la température ressemblait à celle du nouvel an 2021. La boîte était dans une ancienne maison bourgeoise entourée d’un parc boisé, un coin avec plusieurs tables nous avait été réservé. On a commandé du champagne, du whisky, du coca et du Périer en quantité suffisante.
Pendant longtemps, ce n’était que des danses genre jerk ou rock, malgré ça je me suis aperçue qu’un homme dans les 30 ans se plaçait souvent face à moi et lors de la 1ère série de slows, il s’est précipité pour me faire danser. Nos corps se sont collés ensemble et rapidement je me suis rendu compte que je lui faisais beaucoup d’effet, en effet au niveau de mon sexe je sentais le sien se frotter sans aucune gêne. Le monsieur était habile car lentement il ma entraînée à l’autre bout de la piste loin de notre groupe et lorsque ses lèvres ont rejoints les miennes j’ai répondu à son baiser. A la fin de la série, il m’a proposé de sortir nous aérer dans le parc, je lui ai dit de m’attendre dehors le temps de prévenir mon mari. Lorsque je suis sortie mon ami/amant avait vu mon manège et visiblement n’était pas ravi.
En me voyant, Richard a eu un grand sourire, m’a prise par le cou pour me rouler un gros patin puis m’entraîner sous les arbres.
Je me suis adossée contre un gros chêne, Richard s’est collé à moi, j’ai mis mes bras autour de son cou et on a repris nos baisers profonds. Ses mains se sont emparé de ma poitrine mais avec cette robe, il lui fut impossible de la dévoiler, par contre, il a vu rapidement qu’avec ma robe fendue sur une jambe, il pouvait facilement remonter vers ma petite culotte, culotte qu’il a atteint très vite. Ça y était, un doigt était déjà en contact avec ma fente déjà très humide, j’ai senti que ce doigt avait accroché ma culotte et l’entraînée vers le bas, pour aider mon encore flirt j’ai soulevé mes jambes une par une pour lui permettre delà retirer complètement avant de-là mettre dans une poche de sa veste. Et c’est la chatte entièrement à sa merci que le monsieur en a repris l’exploration, punaise que c’était bon ce doigt qui caressait mon clitoris sensible comme jamais. J’ai descendu une de mes mains pour me rendre compte des dimensions de la bête enfermée depuis trop longtemps dans son slip, elle a jailli d’un seul coup, je l’ai saisie et commencé à la caresser, je ne pouvais la voir mais au jugé elle étaient peu plus passante qu’écrire de mon mari, j’aurais aimé la gouter mais me mettre à genoux sur de l’herbe un 1er janvier me semblait déraisonnable, aussi, j’ai soulevé une jambe, Richard a mis sa bite au bon endroit et d’un coup de rein il ma pénétrée. Ce n’était pas la position idéale pour jouir mais ça restait néanmoins fort agréable. Par contre, Richard lui a joui rapidement en moi.
J’ai sorti un kleenex de mon sac à main pour enlever le plus gros, lorsque j’ai voulu récupérer ma petite culotte, montrant m’à dit qu’il faudra que je vienne chez lui pour l’avoir, à la place, il m’a donné son téléphone. De retour vers mon chéri, mon amant occasionnel me faisait exclusivement la tête, vu l’heure, on a décidé de rentrer. Sitôt en voiture, mon chéri m’a demandé les détails de ma sortie, j’ai remonté ma robe pour lui montrer ma chatte nue et gluante de sperme. Il m’a demandé si je comptais le revoir j’ai du dire que j’étais obligée pour récupérer ma culotte. Sitôt chez nous, on n'a pas attendu d’être dans la chambre pour baiser. Quelques jours plus tard, mon chéri a gardé notre enfant pendant que j’allais faire l’amour en bonne et due forme avec mon amant, la dans un lit,j'ai pu voir et déguster son sexe, le sucer, le téter et le lécher, il a pu honorer ma chatte , à chaque cunnilingus, ma jouissance était garantie, j’ai pu jouir comme une bonne salope sans aucune pudeur, lorsque j'ai décidé que ça serait la dernière fois, je lui ai donné mes fesses, il m'a enculée lentement, c'était très agréable bien que je ne jouisse jamais pendant la sodomi. J’ai fait l’amour avec Richard une petite dizaine de fois, physiquement l’entente étalonné mais en dehors du sexe on n’avait pas grand-chose en commun
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