JOELLE AU SEX-SHOP suite 2
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2010 dans la catégorie Plus on est
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JOELLE AU SEX-SHOP suite 2
Il ma dit que sa rondelle était grande ouverte et ne m’a pas menti. J’ôte son plug et m’enfonce comme dans du beurre. Je le tringle sans le regarder, et tourne la tête pour regarder vers ma copine ; tout se passe bien. Un mec se lève, vient nous regarder, et saisi une poubelle pour se branler au dessus et jouir. Il n’a pas le temps d’attendre. Je préviens mon enculé suceur qu’il y a une urgence, il se défait de nous, et s’empare juste à temps du nouveau venu pour lui dégorger le poireau. Il revient à nous et on le rebaise par les deux trous.
Bien qu’elle ne chôme pas ma petite pute a encore de nombreuses queues à satisfaire et les derniers arrivés perdent patience. Ils n’hésitent plus à se sucer entre eux, à fonds ou pas, se finissent pour certains dans les poubelles en se masturbant aux yeux de tous.
Un autre nous rejoint. Il a un gros calibre qui devrait plaire à mon mec et je me retire pour lui laisser la place et revenir veiller sur ma pute chérie. Il le prend sans attendre et l’encule à fonds la caisse.
Le temps passe et les manches à couilles se succèdent dans la bouche féminine et le cul masculin. Ma pute s’adresse au vieux et il la laisse se relever. Elle veut une nouvelle petite pause, je rassure les mecs restants sur notre retour imminent, et on sort. Elle boit de l’eau, se rince la bouche, détend ses jambes et ses mâchoires. Il est 17h et elle doit en être à une quinzaine de vidanges.
On repart pour le dernier tiers-temps. Elle reprend son pieu favori entre ses lèvres buccales. Je bande, défait ma braguette, et fait un tour dans la salle. Je passe dans le couloir, et un « psssss » à l’approche du trou mural m’invite à m’arrêter. Je continue jusqu’à la salle télé où se trouvent quatre mâles. Un grand malabar, la matraque en proportion, se fait pomper par deux gars à ses genoux. Le quatrième se branle en les regardant. La télé tourne pour rien. Puis le solitaire accélère le mouvement, souffle fort, s’encourage, s’allonge sur la banquette, fait une demi roulade arrière pour se retrouver le sexe au dessus du visage, le gland sur ses lèvres. Il ouvre grand la bouche, se masturbe, et jouit. On peut voir son sperme gicler puis couler à l’entrée de sa gorge. Il presse sa hampe, et recueille les dernières gouttes de sa langue. Il est maintenant assis et se régale à tout avaler. Il s’en va, et le trio continue. Je repars et un nouveau « psssss » m’arrête. Je jette un coup d’œil, cette fois ci ce n’est pas une fille, mais un moustachu. Ma queue implore une halte, et je cède. Je me plaque au mur et mon membre est aspiré dans sa cavité chaude et salivée en abondance. Il me tire sur l’élastique avec délice, je me laisse aller et vide mes burnes de leur foutre onctueux et parfumé. Ce salaud ne laisse rien perdre, et me montre sa bouche vide, fier et heureux de sa très bonne pipe.
Je rejoins ma buveuse de sperme, toujours assoiffée. Il reste encore huit paires de valseuses à siphonner, et elle s’active pour tous les contenter. Sept, six, trois. L’homo en string et résille a épuisé ses partenaires et vient en chercher d’autres. Deux, pressés eux aussi par le temps le suive au fond de la salle, près du lit. La partie à trois recommence.
Ma salope suce avec le même appétit qu’au début. Elle alterne les pites tendres et douces sur son vieux, et celles voraces et féroces sur les passagers éphémères qui lui servent à boire. Elle me rend jaloux, non pas d’engloutir autant de semences, mais de s’occuper du sexe du vieux avec autant de passion amoureuse. Cette queue la rend folle, et c’est pour la garder qu’elle accepte autant de verges juteuses. Elle attaque son dernier client et le fait gicler. Il s’en va.
Il ne lui reste plus que le vieux avec un engin de plus en plus beau.
Elle lui parle à l’oreille et vient me voir. Elle a envie de baiser, il n’a pas de préservatif et veux que j’aille en chercher à la boutique. Je ne peux rien lui refuser, le patron m’en offre un extra large. Elle recouvre l’obélisque tant espéré, enlève short et petite culotte, et me les tend.
La salope, sa culotte est à essorer, et son short bien trempé. Elle enjambe les cuises du vieux toujours assis, saisi son manche à pleine main, et caresse sa fente de plus en plus profond. Elle pousse de petits cris mais n’arrête pas. Peu importe la douleur, très supportable par ailleurs, il lui faut cette bite énorme dans la chatte. Le gland est passé, et elle se laisse glisser sur la hampe jusqu’à la racine. Elle prends quelques instants pour se remettre puis commence un long et lent va et vient. Le vieux se redresse, passe ses bras sous ses cuisses, elle s’accroche à son cou, et il se lève en la maintenant empalée sur son pieu. Il la soulève et la repose comme s’il faisait des haltères. Elle adore, gémit, jouit et en redemande. Il est très musclé, sans doute très sportif, et cette petite minette est une plume dans ses bras.
Il se fatigue enfin, la soulève plus haut pour se dégager, et la pose à terre. Il enlève son préservatif et lui demande d’ouvrir son chemisier. Il se masturbe fort, son plaisir vient, et il n’en finit plus d’asperger les beaux globes fermes et dressés de sa partenaire. Il étale ses grosses giclées sur toute la surface des seins, à l’aide de son gland. Il vient dans sa bouche pour un nettoyage au cours duquel il délivre encore quelques restes de son plein de couilles.
Il la félicite, la remercie, espère nous revoir, et s’en va
Ma petite est des plus heureuses. Elle referme son chemisier, et il se colle à ses seins encrémés pour mieux les faire ressortir. Elle veut reprendre sa culotte et son short mais je refuse.
A suivre…………………………………….
Bien qu’elle ne chôme pas ma petite pute a encore de nombreuses queues à satisfaire et les derniers arrivés perdent patience. Ils n’hésitent plus à se sucer entre eux, à fonds ou pas, se finissent pour certains dans les poubelles en se masturbant aux yeux de tous.
Un autre nous rejoint. Il a un gros calibre qui devrait plaire à mon mec et je me retire pour lui laisser la place et revenir veiller sur ma pute chérie. Il le prend sans attendre et l’encule à fonds la caisse.
Le temps passe et les manches à couilles se succèdent dans la bouche féminine et le cul masculin. Ma pute s’adresse au vieux et il la laisse se relever. Elle veut une nouvelle petite pause, je rassure les mecs restants sur notre retour imminent, et on sort. Elle boit de l’eau, se rince la bouche, détend ses jambes et ses mâchoires. Il est 17h et elle doit en être à une quinzaine de vidanges.
On repart pour le dernier tiers-temps. Elle reprend son pieu favori entre ses lèvres buccales. Je bande, défait ma braguette, et fait un tour dans la salle. Je passe dans le couloir, et un « psssss » à l’approche du trou mural m’invite à m’arrêter. Je continue jusqu’à la salle télé où se trouvent quatre mâles. Un grand malabar, la matraque en proportion, se fait pomper par deux gars à ses genoux. Le quatrième se branle en les regardant. La télé tourne pour rien. Puis le solitaire accélère le mouvement, souffle fort, s’encourage, s’allonge sur la banquette, fait une demi roulade arrière pour se retrouver le sexe au dessus du visage, le gland sur ses lèvres. Il ouvre grand la bouche, se masturbe, et jouit. On peut voir son sperme gicler puis couler à l’entrée de sa gorge. Il presse sa hampe, et recueille les dernières gouttes de sa langue. Il est maintenant assis et se régale à tout avaler. Il s’en va, et le trio continue. Je repars et un nouveau « psssss » m’arrête. Je jette un coup d’œil, cette fois ci ce n’est pas une fille, mais un moustachu. Ma queue implore une halte, et je cède. Je me plaque au mur et mon membre est aspiré dans sa cavité chaude et salivée en abondance. Il me tire sur l’élastique avec délice, je me laisse aller et vide mes burnes de leur foutre onctueux et parfumé. Ce salaud ne laisse rien perdre, et me montre sa bouche vide, fier et heureux de sa très bonne pipe.
Je rejoins ma buveuse de sperme, toujours assoiffée. Il reste encore huit paires de valseuses à siphonner, et elle s’active pour tous les contenter. Sept, six, trois. L’homo en string et résille a épuisé ses partenaires et vient en chercher d’autres. Deux, pressés eux aussi par le temps le suive au fond de la salle, près du lit. La partie à trois recommence.
Ma salope suce avec le même appétit qu’au début. Elle alterne les pites tendres et douces sur son vieux, et celles voraces et féroces sur les passagers éphémères qui lui servent à boire. Elle me rend jaloux, non pas d’engloutir autant de semences, mais de s’occuper du sexe du vieux avec autant de passion amoureuse. Cette queue la rend folle, et c’est pour la garder qu’elle accepte autant de verges juteuses. Elle attaque son dernier client et le fait gicler. Il s’en va.
Il ne lui reste plus que le vieux avec un engin de plus en plus beau.
Elle lui parle à l’oreille et vient me voir. Elle a envie de baiser, il n’a pas de préservatif et veux que j’aille en chercher à la boutique. Je ne peux rien lui refuser, le patron m’en offre un extra large. Elle recouvre l’obélisque tant espéré, enlève short et petite culotte, et me les tend.
La salope, sa culotte est à essorer, et son short bien trempé. Elle enjambe les cuises du vieux toujours assis, saisi son manche à pleine main, et caresse sa fente de plus en plus profond. Elle pousse de petits cris mais n’arrête pas. Peu importe la douleur, très supportable par ailleurs, il lui faut cette bite énorme dans la chatte. Le gland est passé, et elle se laisse glisser sur la hampe jusqu’à la racine. Elle prends quelques instants pour se remettre puis commence un long et lent va et vient. Le vieux se redresse, passe ses bras sous ses cuisses, elle s’accroche à son cou, et il se lève en la maintenant empalée sur son pieu. Il la soulève et la repose comme s’il faisait des haltères. Elle adore, gémit, jouit et en redemande. Il est très musclé, sans doute très sportif, et cette petite minette est une plume dans ses bras.
Il se fatigue enfin, la soulève plus haut pour se dégager, et la pose à terre. Il enlève son préservatif et lui demande d’ouvrir son chemisier. Il se masturbe fort, son plaisir vient, et il n’en finit plus d’asperger les beaux globes fermes et dressés de sa partenaire. Il étale ses grosses giclées sur toute la surface des seins, à l’aide de son gland. Il vient dans sa bouche pour un nettoyage au cours duquel il délivre encore quelques restes de son plein de couilles.
Il la félicite, la remercie, espère nous revoir, et s’en va
Ma petite est des plus heureuses. Elle referme son chemisier, et il se colle à ses seins encrémés pour mieux les faire ressortir. Elle veut reprendre sa culotte et son short mais je refuse.
A suivre…………………………………….
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