Journée sulfureuse pour Claire - histoire érotique

Nicolas raccroche.
-C'était Fabien, ton mari, dit-il.
-Ah ! tu lui as dit que je suis entrain de te tailler une pipe, demande-t-elle.
-Salope, répond Nicolas, tu aimes tromper ton mari.
Nicolas est assis sur un fauteuil, tout nu, jambes écartées, offert aux mains expertes de Claire.
Elle aussi, est toute nue, à genoux devant son amant. Elle a un corps fait pour l'amour.
Avec sa langue, elle enroule le gland, branle la queue en érection, lui mange les couilles.
Lui, à glissé un pied entre les cuisses de Claire, et caresse sa chatte avec ses orteils.
-Que tu es vicieux, lui dit-elle. Tout les moyens sont bon pour me chatter, hein salaud.
-Cà te plait pas ? Demande Nicolas. Pourtant, tu ne te dérobes pas. Tu avances même ta chatte pour mieux te faire gratter.
-Qu'est ce que tu fais de moi, mon dieu. C'est tellement bon. Je peux plus me passer de toi. Tu vas voir ce que je vais faire à ta queue.
Elle le suce, roulant sa bite entre sa main. Sa langue agace le méat. Nicolas est à bout.
-Claire, Claire, que c'est bon. Suce moi bien le bout. Je joui chérie, vas-y. Han, han, oui,oui.
-Et toi, mon baiseur, même tes pieds s'y mettent. Tu es entrain de m'égratigner le clitoris, salaud. Tu sens comme je mouille, vas-y mon amour, tu me fais du bien là, oui oui hou.
Claire joui, le corps, cambré en arrière, faisant dresser, encore plus ses seins. D'une main elle guide les orteils de Nicolas, et les frottent sur son bouton.
-Si Fabien voyait comme sa femme de régale, dit Claire.
Elle gémit encore, le gros orteil en partie entré dans sa chatte.
-Tu le fais à ta femme ? demande Claire. Elle doit se régaler avec toi. Un amant pareil.
Qu'elle chance elle a.
-Mais ton mari ne te donne pas ? Demande Nicolas. Avec le corps que tu as, il ne doit pas se plaindre.
-Si, poursuit-elle, mais il n'a pas le vice que tu as. Il ne sait pas ce que les femmes aiment.
Il ne se sert pas de mon corps comme tu le fais.

-Mais il faut lui apprendre, dit Lise en tirant Claire en arrière.
Les amants sont surpris. Nicolas n'a pas vu arriver sa femme. Une beauté, vêtue d'une minijupe et d'une chemise nouée sur le ventre. Lise s'assied sur le ventre de Claire, face à son mari. La chatte de Claire est encore ouverte.
-C'est çà qui te démange ? Demande Lise. Elle coule encore, sale pute. Je vais la calmer.
Toi, Nicolas, tu ne bouges pas.
Lise enfonce un doigt, deux, trois, puis c'est toute la main qui disparaît dans la chatte de
Claire. Claire hurle, elle a mal. Elle s'est déjà faite doigter par une main. Mais là, c'est trop douloureux.
-Lise, arrête, dit Nicolas, tu lui fais mal, calme toi.
-Toi, ta gueule, répond-elle. Cà pourrai être tes couilles à la place.
Claire essaie de se relever, mais le poids de Lise sur son ventre lui en empêche.
Elle se redresse sur les coudes.
-Je t'en supplie Lise, tu me fais mal, lâche moi.
Claire retombe sur le dos, les bras en croix. Elle cherche son second souffle. Elle rassemble ses forces en attendant le bon moment.
Nicolas, de son fauteuil assiste, impuissant. Mais le spectacle vaut le coup. Les jambes de Lise sont écartées. La minijupe, remontée en haut des cuisses, laisse largement apparaître son string. Lise a relâché la pression de sa main dans la chatte de Claire.
C'est ce moment que choisi Claire pour agir. Elle se relève d'un coup, saisit Lise par le cou, et la couche sur elle. Lise lâche définitivement sa prise. Elle essaie de se dégager.
Trop tard. C'est elle qui est piégée. Claire la maintient d'une main. De l'autre main, elle dénoue la chemise, faisant jaillir des seins magnifiques. Elle remonte ensuite la minijupe et glisse un doigt dans la chatte en écartant le string.
-Si je te faisais pareil à ta chatte, dit Claire. Moi je vais te faire du bien. Tu vas voir comme tu vas te régaler, sale pute.
-Lâche moi, répond Lise. Tu te fais introduire par mon mari, et je devrais rien dire?
Claire reprend ses caresses. Elle saisit le bout des seins, les fait rouler entre ses doigts.
L'autre main doigte la chatte, jouant avec le clitoris.
Nicolas, en face, est surexcité. Il se caresse les couilles et joue avec son prépuce.
-Mais tu commence à mouiller, remarque Claire. Tu vois que çà fait du bien. Regarde l'effet que tu fais à ton mari.
-Chéri, regarde ce qu'elle me fait. Elle gratte mon bouton, que c'est bon. Je suis entrain de me faire chatter par ta maîtresse. Vas-y, doigte, oh, hou hou oui, je joui ha haa.
Claire glisse ses deux mains entre les cuisses de Lise. Avec l'index et le majeur de chaque main, elle écarte le string et la chatte.
-Nicolas, dit Lise. Regarde le minou de ta femme, il est tout mouillé. Et mon clitoris, ce salaud, regarde comme il est gros et tout rouge..Branle moi encore, j'ai envie. Fais voir à mon mari comme tu fais, s'il te plait.
-A condition que tu me prêtes ton mari, dit Claire.
-Oui, oui, ce que tu veux, mais moi d'abord.
Claire part à l'assaut de la chatte de Lise. La réaction est fulgurante. Un orgasme fort, très fort inonde son entre jambe.
-Ha ha hou , putain que tu es bonne, crie Lise. Tu vois ce qui sort de ma chatte, oui oui,oui.
Claire libère la femme de son amant. Lise se retourne, et prend Claire à pleine bouche.
-Tu as une dette envers moi, lui rappelle Claire. Je voudrais que tu diriges les opérations.
-Comment veux-tu de faire prendre ? Lui demande Lise.
-En levrette, répond Claire.
Claire se met en place sur la grande table du salon. Lise prend son mari par la queue.
-Viens ici, ordonne-t-elle.
Nicolas se laisse guider par sa femme. Lise doigte Claire pour s'assurer qu'elle soit bien mouillée. Elle dirige ensuite le gland entièrement décalotté de Nicolas contre la chatte de Claire.
-Vas-y, dit Lise, nique la. Je passe devant me faire sucer le bouton.
Un quart d'heure plus tard, ils jouissent ensemble.
-Claire, que tu es bonne, reconnaît le couple.
-On se reverra ? Demande Lise. Tu me fais tellement.du bien.
-Mais, je suis libre jusqu'à demain soir, ajoute Claire.
-Quoi, bondit le couple. Tu restes avec nous pour la nuit, c'est un ordre.

Après avoir dînés et pris un bain dans la piscine, les trois amants vont se coucher.
La nuit s'annonce sulfureuse.