July, (omissions, epilogue)

- Par l'auteur HDS Victorine3 -
Récit érotique écrit par Victorine3 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : July, (omissions, epilogue) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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July, (omissions, epilogue)
July, (Omissions épilogue)

Hélène et moi avons passé le reste de la journée du Dimanche comme un vieux couple.
Nous avions parlé de ce qui s’était passé la veille. Malgré tout, je ressentais un profond malaise. Oui j’avais omis de lui parler de mon adolescence. Mais ce n’était pas important à ses yeux. Seul notre amour l’un envers l’autre était ce qui comptait le plus.

Lundi matin, retour au travail. A peine arrivé, les propriétaires de la librairie me rappellent que la semaine suivante, j’avais deux rendez-vous importants pour leur enseigne.

Je me suis au travail. July est arrivé une heure plus tard.
Elle se débarrassa de ses affaires dans le petit réduit à usage du personnel.
July: Valentin
Moi: oui
July: je t’aime, je veux dire que je suis vraiment amoureuse de toi.
Moi: moi aussi je t’aime, July
Elle a regardé autour d’elle et a déposé un doux baiser sur mes lèvres.

Un jour je lui avais demandé pour quelle raison son prénom était orthographié avec un y en place de ie. Elle m’avait répondu que ses parents voulaient l’appeler Julie, mais étant née avec un jour de retard, le premier Juillet au lieu du trente Juin, ils avaient décidé d’orthographié son prénom avec un Y, July en anglais voulant dire Juillet. Personne ne prononçait son prénom à l’anglaise.

La semaine passa vite. Hélène et moi ne fîmes l’amour qu’une seule fois.
Je devais quitter notre petite ville de province le Mercredi suivant très tôt dans la matinée, direction Saint Émilion pour y rencontrer un auteur qui venait de sortir son quatrième roman. Roman dans lequel il parlait des gens de la vigne, des traditions viticoles, bref un écrivain du terroir. J’avais pour mission qu’il accepte de venir au prochain salon du livre sur le stand de notre librairie.
Ensuite je devais me rendre à Paris pour y rencontrer une auteure de best-seller.
Ma mission était de la convaincre de venir à la librairie pour y dédicacer ses livres.
Le week-end passa. Arrivé à la librairie le Lundi suivant, les propriétaires étaient déjà là.
Elle: Valentin, mauvaise nouvelle, July est partie en Bretagne pour être au chevet d’un membre de sa famille. Nous lui avons dit de rester le temps nécessaire.
Nous avons déjà appelé une agence d’intérim. Une personne doit se présenter à onze heures.
La nouvelle de l’absence de July pour un temps indéterminé me chagrina.
L’intérimaire se présenta à l’heure dite. L’opposé de July.
Je fis de mon mieux pour travailler avec elle sans qu’elle se rende compte qu’elle n’était pour moi qu’une simple intérimaire.
La veille de mon départ pour Saint Émilion Hélène me sembla distante.
Moi: ça va mon amour?
Hélène: oui oui, c’est juste la mauvaise période du mois.

Le lendemain matin je l’embrassais avec une immense tendresse, puis je pris ma voiture pour me rendre à la gare.
La première étape se passa à merveille. C’est avec un très grand plaisir qu’il viendrait au salon du livre.
La deuxième étape, fut un peu plus ardue. Si l’auteur du terroir m’avait reçu chez lui en toute simplicité, là mon rendez-vous se déroula dans sa maison d’édition.
J’ai vraiment ramé pour arriver à ce qu’elle accepte de venir signer ses romans chez-nous. Il allait falloir dérouler le tapis rouge.
Le vendredi soir avant le rendez-vous avec Madame, j’ai reçu un message d’Arnaud. Deux photos très explicites, son sexe en érection et une de son trou du cul passablement dilaté, le tout accompagné d’un message question dans lequel il me demandait si ça me disait de remettre le couvert, juste lui et moi.
Je n’ai pas répondu.
Alors que j’attendais mon train pour rentrer au bercail, j’ai reçu un autre message. July.
July: coucou, mon bien aimé. Comment ça se passe avec l’intérimaire. Tu me manques terriblement.
Moi: aucunes raisons d’avoir peur qu’elle te prenne ta place, tu sais à quelle point nos clients adorent ton sourire et tes conseils de lecture. Toi aussi tu me manques.
July: je ne sais pas quand je serai de retour. Bon courage mon Valentin.
En tout honnêteté, si je n’avais pas été marié, je me serais bien vu vivre avec July.
Finalement, elle n’avait pas autant de tatouages que ça. Deux pas un de plus.
Un sur chaque bras et pas des trucs horribles.
Elle n’était pas très grande, mince avec de jolis seins et un petit cul magnifique.
Et bien entendu un délicieux puit d’amour.
Moi: prends soin de toi ma belle et à très bientôt.
Cinq minutes après que le train ait démarré, un autre message. July de nouveau.
July: c’était juste pour te taquiner que je disais que tu étais trop hétéro pour moi.
Moi: 🥰🥰🥰🥰🥰💋

Il était presque 15h30 lorsque je suis arrivé à destination. J’ai texté Hélène, récupérer ma voiture et pris le chemin de notre domicile.
Une fois à l’intérieur de notre petite maison, j’ai appelé
Moi: Hélène, je suis rentré. Coucou mon amour tu es là?
Elle n’était pas là. Personne dans le salon, en cuisine, dans notre chambre ni dans la chambre d’amis et personne dans la salle de bain.
Peut-être était elle avec Lola. Aussi j’ai décidé de ne pas la déranger.
Je me suis servi un petit verre de rhum et j’ai jeté un œil sur le courrier reçu en mon absence.
J’étais vanné, mais avant de faire une sieste, j’avais besoin d’une bonne douche.
Une fois dans la salle de bain, j’ai retiré tous mes fringues et je suis regardé dans la glace. La tête d’un mec épuisé. C’est au moment où j’allais vers la douche que j’ai vu une enveloppe avec juste écrit: Valentin. Elle se trouvait au niveau du robinet. J’ai reconnu l’écriture de ma belle épouse. Je me suis assis sur le tabouret de notre salle de bain.

Dès les premiers mots, une boule s’est formée dans ma gorge, une autre dans mon ventre. Elle venait de me quitter. Cela s’était passé si vite qu’elle n’avait pas eu le temps de m’en informer.
Profondément désolée, pardon, je t’aime mon amour…
Oui, elle était partie pour toujours.
Partie non pas avec Lola, mais avec une dénommée Erin.
Elles s’étaient connu lors d’un stage de musique en Irlande d’où était originaire Erin. Coup de foudre. Nuits torrides.
Elle évitait les détails. C’était avant qu’Hélène et moi nous fassions connaissance.
Elles n’avaient cessé de correspondre se promettant qu’un jour elles seraient de nouveau réunie pour toujours.

J’ai relu la lettre plusieurs fois. J’étais sans réactions. Vidé, sonné, KO assis sur ce petit tabouret.

Je me suis levé et me suis assis sur le canapé. Nu.
Il y avait tellement de choses qui se bousculaient dans ma tête. J’avais toujours cette maudite lettre avec moi.
Pardon, pardon, pardon…désolée…je t’aime…
Erin
Je me suis allongé sur le canapé et j’ai fermé les yeux.
Il était 21h passé lorsque je me suis réveillé. La lettre avait glissé par terre.
La lettre…
J’ai trouvé mon téléphone, pas de messages. Je suis allé prendre la douche puis je me suis rasé. J’avais faim. J’étais toujours à poil, mais j’en avais rien à foutre. Arnaud aurait pu m’envoyer sa bite entrain d’éjaculer ou sa rondelle dégoulinant de foutre ça ne m’aurait pas fait bander.
J’ai mangé un morceau de fromage avec du pain de mie. Un autre verre de rhum.
Mon cerveau était à la dérive.

Lola.

J’ai pris mon téléphone, ai cherché le numéro de Lola et je l’ai appelé.
Lola: Lola, qui êtes-vous pour m’appeler si tard?
Moi: c’est moi Valentin
Lola: Valentin, qu’est-ce qui vous arrive? Ce n’est pas Hélène j’espère.
Moi: j’ai bien peur que si…
Lola: qu’est-ce qui lui est arrivé?
Moi: elle est parti, elle m’a quitté…
Lola: elle vous a quitté, mais quand, comment?
Je lui ai tout raconté.
Lola: elle ne m’a rien dit non plus. Pourquoi a t’elle fait ça?
Moi: par amour je suppose. Elle a abandonné deux personnes, son époux et son amante. En vous appelant je pensais qu’elle vous l’avait dit. Je veux dire face à face.
Lola: non Valentin, c’est vous qui me l’apprenez. Qu’allez-vous faire?
Moi: je n’ai pas d’autres choix que de me plonger dans le travail. Je suis sincèrement triste pour vous Lola.
Lola: je…
Moi: je vous laisse avec votre chagrin, désolé.
Je suis allé me coucher sur le lit où tant de choses s’étaient déroulées.
Je suis resté longtemps les yeux ouverts. Je voyais le visage souriant d’Hélène.
Je me suis remémoré tous les instants magiques que nous avions partagé.
Tout cela était terminé.

Le lendemain j’ai repris le travail, certes sonné mais cela ne m’a pas empêché de faire le compte rendu de mes visites. Les propriétaires étaient plus que ravis. Il y avait encore du temps avant le salon du livre.
Mais la venue de l’AUTEURE, devait être organisée sans tarder. A ce niveau là, ce n’était plus de mon ressort. L’intérimaire était toujours présente.
Quand est-ce que tu reviens July?
Je ne l’avais pas appelé. Peur de sa réaction.
Le Jeudi la proprio m’informa que July serait de retour le Lundi.

Je voulais la voir, j’avais terriblement besoin d’elle. Comment cela allait il se passer. J’avais une trouille bleue, pire que pour un premier rendez-vous avec une fille.

Le Vendredi soir elle appela.
July: Valentin? Je suis de retour
Moi: (après un long silence), oui, je sais.
July: Valentin, il y a quelque chose qui ne va pas? Tu n’es pas heureux de me retrouver?
Si bien sûr que oui. Comment lui annoncer le naufrage de mon couple?
Moi: ne sois pas bête, bien sûr que je suis heureux de ton retour. Mais tu as raison.
J’ai tout déballé.
Elle est restée silencieuse durant un long moment.
July: Valentin, je ne sais pas quoi te dire, peut-être juste que je suis là. Si tu veux que nous parlions de tout ça, je suis là. Fais-moi signe, d’accord? Je t’aime.
Elle a mis fin à la conversation.
Samedi, travail. A la pose repas j’ai envoyé un message à July.
July, j’ai besoin de toi, besoin d’aide. Si tu es libre ce soir, retrouve moi à la maison, vers vingt heures.
C’est comme si nos messages s’étaient croisés.
Je serai là.

Elle est arrivé en avance. Nous nous sommes regardé et nous nous sommes enlacés. Pas de baisers, juste une longue étreinte.
Je suis allé en cuisine et elle m’a suivi.
July: en quoi puis-je me rendre utile?
Moi: c’est presque prêt, tu peux mettre le couvert si tu veux. Tout est dans ce placard.
July: pas de soucis chef!
Nous nous sommes mis à table et avons mangé en silence ou presque. Nous n’échangions que des banalités. Nos regards ne cessaient de se croiser. Nous avions mille choses à nous dire ou peut-être était-ce moi qui avait beaucoup à dire.
Moi: July, merci d’être venu, ça me touche beaucoup.
July: merci, c’est important pour moi aussi d’être là.
Moi: tu sais, il va falloir te mettre à l’idée que ce moment que tu aurais dû partagé avec nous soit à jamais tombé à l’eau.
July: tu veux dire, Hélène, toi et moi entrain de partouzer?
Moi: oui
July: ce n’est pas important Valentin. Je suis là. Je t’aime. Tu comprends ce que je veux dire?
Moi: oui, je pense comprendre. Tu sais, tu peux rester autant de temps que tu veux?
Je ne sais pas ce qui m’avait poussé à dire tout haut ce que pensais dans ma tête.
Elle s’est levé de sa chaise et s’est approché de moi. Elle m’a pris la main et elle a passé ses bras autour de moi. Nous nous sommes regardé un long moment sans rien dire et nous nous sommes embrassés.
Il n’y avait plus rien à dire.
Elle m’a ensuite tiré par le bras et s’est dirigé vers la chambre, notre chambre.
Hélène m’avait dit que c’était une vraie furie au lit mais qu’elle était aussi d’une immense tendresse.
July m’a offert son côté tendre. Je n’en demandais pas plus.
Nous avons fait l’amour, plusieurs fois. Il n’était nullement question d’autres choses que deux personnes qui s’aiment et qui partagent un immense moment de communion.
Je crois que je me suis rendu compte que j’étais amoureux de July après le week-end où Hélène et Lola avait fait l’amour devant moi. Je savais que pour Hélène c’était plus que du sexe.
Ne m’avait elle pas dit qu’elle m’aimait, mais qu’elle continuerait à faire l’amour avec des femmes.
July: je pense qu’Hélène n’ai pas bisexuelle. Si elle l’est mais au plus profond d’elle, elle aime les femmes. Et toi mon amour?
Moi: je pense que ton analyse est bonne.
July: oui, d’accord mais je voulais savoir dans quel catégorie tu es?
Moi: je vois ce que tu veux dire. Je ne vais pas te mentir, j’ai aimé cette partie de baise avec Arnaud. Mais il n’en reste plus rien. Je suis hétérosexuel à 98%, mais les deux pour cent qui restent seront à jamais enfouis dans mes souvenirs.
Et toi July, finalement je ne sais pas grand chose de toi. Hélène m’a dit que vous aviez fait l’amour.
July: oui c’est vrai. Je l’ai dragué parce que je pensais qu’elle aimait les femmes. Je n’ai pas eu à le regretter. Cela a été sensationnel, fusionnel, orgasmique. Vraiment. Qui suis-je ou devrais-je dire, que suis-je? Je pense que je me suis bien amusé, mais tu es entré dans ma vie et je n’avais qu’un espoir c’était d’être avec toi. Quand j’ai compris qui était vraiment Hélène je me suis dit, patience.
Valentin, je t’aime.
Je l’ai regardé et j’ai vu dans son regard, la sincérité. J’y ai aussi vu l’amour et que nous allions faire un long parcours ensemble.
Moi: je t’aime aussi July. Veux-tu partager ma vie?
July: c’est une demande en mariage?
Moi: tu peux le considérer comme ça.
July: alors c’est mille fois oui.

Hélène a fini par donner de ses nouvelles. Elle nageait dans le bonheur dans les bras d’Erin. Elle m’annonçait aussi son désir de demander le divorce.
Tout est allé très vite. Six semaines plus tard, j’ai demandé à July quand souhaitait elle se marier.
Trois mois plus tard nous étions mari et femme.
Notre nuit de noces fut assez sage, mais notre lune de miel n’a eu de cesse que de faire l’amour. Nous avions une vraie faim de sexe, une frénésie sexuelle intarissable.
Un jour July me demanda où avais-je appris à bouffer de la chatte ainsi.
Je lui ai répondu que dès ma première fois avec une femme, j’ai été attiré par ça et que je faisais comme j’aimerais que quelqu’un me fasse si j’avais un minou.
Elle m’a répondu, n’hésite jamais a me lécher la fente et sucer mon clito. Oh et aussi j’adore ta langue sur ma rondelle.
Tout le plaisir est pour moi mon amour, si je peux faire autre chose dis le moi.

Fin

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Aux lectrices et lecteurs de cet épilogue.
Je sais qu’il n’y a pas de scène de sexe.
Les quatre épisodes sont totalement fictifs.
A la fin du troisième épisode j’ai écrit le mot. Pourtant j’avais déjà en tête cet épilogue et je savais qu’il n’y aurait pas de sexe à proprement parler.
Désolé si vous êtes déçus par cette fin définitive.

Victorine3

Histoire Erotique
Fin oeu étonnante Hélène a lanqye de courage ou à oreoare ke chemin pour Valentin
Seul l auteur pourrait nous le dire
Très belle histoire



Texte coquin : July, (omissions, epilogue)
Histoire sexe : Une rose rouge
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