Merci patron

- Par l'auteur HDS Victorine3 -
Récit érotique écrit par Victorine3 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Merci patron Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Merci patron
Fiction

Vingt-neuf ans, cadre dans une entreprise récemment rachetée par un fond de pensions américain.
J’aime mon travail, ou plutôt j’aimais mon travail. Mais depuis le rachat de la boîte par les amerloques, rien ne va plus. Et ce, uniquement par la présence au plus haut poste hiérarchique de Kimberley Wolf. Quarante ans, hyper bien roulée, très bien sapée, très bien coiffée et maquillée.
Le problème vient du fait qu’elle a débarqué dans la boîte une semaine après le rachat. L’encre sur le contrat de vente n’ayant pas eu encore le temps de sécher. D’emblée elle m’a pris en grippe. Bien que je sois encore dans la vingtaine, j’étais à la tête d’une équipe de marketing faisant du très bon travail.
Kimberley a débarqué de l’Oklahoma pour arriver en nouvelle Aquitaine comme une californienne en bikini débarquant en Islande en Février. Bref ne connaissant rien de rien à l’entreprise, ni à la ville et la région.
J’avais briefé mes collègues au sujet de ces fonds de pensions.
Il y a un mois de cela, lors d’une énième réunion de travail, elle me foudroya du regard et me récita ses cours de gestion et d’économie appris à Yale puis Harvard. Elle m’a gonflé et je n’ai pu me retenir de lui rappeler qu’ici nous étions en France, avec une clientèle française et européenne. Elle s’est mise à me crier dessus que désormais l’entreprise était sous pavillon américain et que nous devions nous adapter aux méthodes américaines et que si je n’étais pas content j’étais libre d’aller voir ailleurs.
Moi: vous me foutez à la porte?
Elle: cela ne saurait trop tarder si vous n’y mettez pas du votre!
Moi: je prends actes de vos menaces mais n’oubliez pas une chose, nous sommes en France et ici on ne vire pas les gens comme chez-vous. Il y a des règles à respecter.
Sur ce, je me suis levé, pris mes affaires, quitté la salle de réunions et sorti de la boîte.
Putain de salope de ricaine.
J’étais sur les nerfs, j’avais besoin d’un verre pour décompresser.
Comme les bureaux de l’entreprise sont situés en centre-ville, je n’ai pas eu besoin de faire un long trajet pour trouver un lieu servant de l’alcool.
J’ai commandé une bière au comptoir et je suis allé m’asseoir à l’écart.
Cette Kimberley de mes deux commençait vraiment à me les briser menus.
J’ai bu une gorgée de bière et j’ai fermé les yeux.
Cela faisait quatre ans que je bossais dur dans cette entreprise, comme tous mes autres collègues. J’étais investi dans mon boulot au détriment de ma vie privée. Quels étaient mes choix? Ne plus la ramener? Me faire virer, mais ça fait tâche sur le CV ou démissionner. Ouais, je devais chercher un autre job et me tirer de là et vite.
J’ai senti une présence près de moi et j’ai ouvert les yeux. Le serveur venait de déposer un verre plein sur ma table.
Moi: pardon, mais il doit y avoir une erreur, je n’ai pas commandé cela.
Lui: cela vous est offert par ce monsieur, assis là-bas.
Il me désigna un homme jeune assis à quelques tables de la mienne.
Soudain je regardais autour de moi. Ça y est j’y suis pensais-je.
J’étais assis dans cette taverne lieu de rencontres des gays et bisexuels de la ville.
C’est ainsi que je venais de taper dans l’œil d’un mec que je pris le temps d’observer.
Petite trentaine, mince, des lunettes de geek, assez bien sapé.
J’ai attrapé mon verre et laissé ma bière sur la table. Je me suis dirigé vers mon obligé.
Moi: la place est libre?
Lui: je vous attendais, asseyez-vous.
Merci pour le verre lui ai-je dis en posant mon cul sur une des chaises.
Lui: de rien. Il m’a semblé que vous en aviez besoin, je veux dire de quelque chose de plus fort que votre bière.
Moi: merci, c’est très, gentil à vous.
Lui: je m’appelle Stéphane, trente-deux ans et gay!
Moi: Alex, pour Alexandre, vingt-neuf ans et bisexuel qui penche plus vers le côté masculin que féminin, disons 80% gay.
Lui: ça me va Alex. Tu me plais et j’aimerais beaucoup baiser avec toi.
Moi: là, tout de suite?
Lui: si tu n’a rien de mieux à faire, oui!
Moi: laisses moi finir mon verre et on y va!

J’imaginais l’américaine me demandant le lendemain, où diable étiez-vous passer?
Et moi de lui répondre: j’ai juste passé l’après-midi à baiser avec un homme charmant et qui m’avait offert un verre.

Pour l’instant nous n’étions pas au lendemain et j’espérais passer un super moment avec Stéphane.
Il habitait tout près. Une fois chez-lui, il m’offrît un autre verre. Nous avons trinqué à l’amour entre hommes.
Lui: Alex, j’espère te faire dépasser la barre des 90%.
Moi: avec plaisir.
Après avoir vidé nos verres il était temps de nous vider les couilles.
Il me prit par la main et m’entraîna dans sa chambre.
Putain, le lit assez large pour au moins huit personnes.
Moi: impressionnant ton lit! Tu ne t’y perd jamais?
Lui: t’inquiètes, je ne fais pas qu’y dormir.
Moi: ah bon et qu’y fais-tu d’autre?
Lui: approches, je vais te montrer.
Il m’a attrapé par la taille s’est collé à moi un m’a roulé une putain de galoche de première. Sa langue s’est faite un chemin au travers de mes lèvres pour y trouver ma langue. J’en avais le souffle coupé tellement tout cela était arrivé soudainement. No lèvres écartées, nos langues s’entrechoquant, je prenais sa lèvre inférieure dans ma bouche et l’aspirais avec passion.
Pas la peine de vous dire l’effet que cela avait sur nos entres-jambes. Il avait enroulé un de ses bras autour de ma taille et me serrait contre lui. De mon côté, je lui avais mis une main au paquet. Oh putain, l’engin! Énorme. Mon cul en palpitait d’avance. Nos bouches s’étaient séparées, un bras toujours autour de ma taille, sa main libre de tous mouvements me massaient les fesses avec puissance.
Je voulais libérer ce braquemart qui ne demandais qu’à prendre son envol. Côté érection, je n’étais pas en reste. Soudain il s’est arrêté, m’a regardé dans les yeux et m’a dit: je suis versatile. Je donne, je prends.
Moi: bon à savoir, j’ai été longtemps passif mais depuis quelques temps j’ai découvert que j’aimais aussi le côté actif.
Stéphane: donc tout est parfait.
Moi: ouais, il semblerait que oui soyons compatibles.
J’essayais de déboutonner sa braguette, mais il continuait sa pression.
Stéphane: j’en peu plus, j’en ai mal de bander, il me faudrait une bouche accueillante si tu vois ce que je veux dire.
Moi: à vos ordres messire. Foutez-vous à poil et plus vite que çà!
On a pas perdu de temps pour nous débarrasser de nos fringues.
Nous nous faisions face, chacun avec son chibre près à faire feu. Chacun observait le sexe de l’autre. Stéphane avait un très beau sexe magnifiquement dessiné, 18 ou 19 centimètres, belle circonférence. Je n’étais pas en reste.
Le mien épais plus épais et un peu plus court, 17 centimètres. Nous nous sommes rapprochés et collés nos sexes l’un à côté de l’autre.
Stéphane: une dernière chose que tu dois savoir, je suis sous PrEP.
Moi: de même
Je l’ai gentil poussé sur le bord du lit, me suis agenouillé et regardé cette beauté.
Bon, vous je ne sais pas, mais le sexe d’un mec au repos, je trouve cela moche.
Mais quand elle en érection, c’est magnifique…la plupart du temps.
Je me suis agenouillé sur l’épaisse moquette de la chambre et enfin je glissais mes lèvres autour du membre gonflé de désir.
Dans la majorité des cas, sucer pour la première fois une nouvelle bite, est une découverte. La longueur, la grosseur, le goût et bien évidemment chacun réagit différemment à telle ou telle caresse. Sucer une grosse bite comme celle de Stéphane est pour moi un moment délectable. C’est idiot mais je pensais à la décharge de foutre qui allait envahir ma bouche et c’est dans ce but ultime que je me suis appliqué à être très attentif à chaque succion, chaque coups de langue que je prodiguais à ce membre majestueux.
J’adore prodiguer des fellations. Dans ma résidence il y a un tout jeune garçon qui a une toute petite bite. Nous sommes amis et amants. J’adore son petit sexe que je peux enfourner entier dans la bouche. J’aime le faire jouir, deux, trois fois. Lui-même est très habile dans l’art de sucer et j’aime quand il me rend visite.
Je m’activais avec fougue et passion sur la bite de Stéphane. Je l’ai senti proche de la jouissance ce qui eut pour effet de durcir un peu plus mon sexe.
Stéphane: petite pute, tu suces trop bien, tu vas me faire jouir, arrêtes s’il te plaît.
Moi: je veux que tu jouisses dans ma bouche, je veux savourer ta jouissance.
Stéphane: non, stop, arrêtes! Je veux jouir dans ton cul.
Je m’accrochais à sa queue comme un chien à son os, mais il réussit à se dégager de ma bouche.
Stéphane: calmes toi, tu auras d’autres occasions de savourer mon jus.
Allez, mets-toi en position.
Il attrapa un tube de lubrifiant et en déposa une noix sur la rondelle. Il inséra un doigt et sembla satisfait de la souplesse de mon anus.
Stéphane: dis donc, on dirait que tu as récemment reçu de la visite.
Moi: oui, allez, fourres moi ta bite là dedans!
Il inséra un second doigt, puis un troisième.
Moi: hey mec, t’as pas l’intention de me fister?
Stéphane: l’idée me tente…mais il y en un qui veut faire de la spéléologie.
Il retira ses doigts. J’ai senti le bout de sa queue à l’entrée de mon cul.
En une seule poussée, son sexe me pénétra de toute sa longueur.
Moi: oh putain, c’est trop bon, vraiment trop bon. Vas-y chéri, baises-moi!
Pas la peine de lui demander deux fois. Il commença sur un tempo moyen, puis accéléra le rythme. On n’entendait que le bruit de mon cul lubrifier et à ce chibre qui coulissait en moi. Je ne pouvais retenir les sons de plaisir qui émanaient de cette baise. Je ne pensais à rien d’autre qu’au plaisir de le faire baisé par cette chose qui me pilonnait le cul.
Stéphane: putain de petite salope, j’adore ton cul. J’y resterais volontiers des journées entières, mais là je ne vais pas tarder à jouir.
Il accéléra le rythme avant de brutalement stopper. J’ai alors senti cinq énormes jets de sperme m’envahir.
Il resta quelques secondes en moi. Je sentais les contractions de son sexe. Il finit par retirer son membre.
Soudain je sentis quelque chose d’humide sur ma rondelle. Sa langue. Il me pénétra avec sa langue, puis je sentis son sperme couler hors de mon trou.
Très rapidement je compris ce qu’il faisait.
Il me bascula sur le dos et me montra le contenu de sa bouche, mélange de salive et de sa semence. Il s’approcha de ma bouche que j’ouvris et là il laissa couler le contenu de sa bouche dans la mienne. J’avalais le tout.
C’est a l’air franchement crade, mais sur le vif j’ai trouvé super excitant.
Mon cul palpitant, ma bouche gourmande avalant le sperme tout droit sorti de mon orifice.
Je l’attirais vers moi et l’embrassais.
Stéphane: tu es une vraie petite pute gourmande, j’ai adoré tes grognements et tes miaulements.
Moi: attends, tu veux dire que j’ai miaulé?
Stéphane: oh que oui.
Merde alors.
Mon super amant me pris dans sa bouche, même si je n’avais pas besoin de cela pour être plus raide que raide. Puis il s’assit confortablement en glissant le long de la bite. Aucune résistance. Il m’invita à ne rien faire et a profiter de son cul. Ce que je fis. Il me chevaucha ainsi pendant huit à dix minutes.
Je ne pouvais quitter son beau visage. Il fermait les yeux. J’étais en train de le baiser mais en fin de compte c’est lui qui me baisait.
Comment sût-il que j’allais jouir, mystère, toujours est-il qu’il accéléra le rythme. Je m’accrochais alors à ses cuisses et je balançais d’abondants jets de sperme en lui. Il resta quelques instants sans bouger puis libéra mon sexe.
Il se pencha sur celui-ci et avec ses lèvres et sa langue il le nettoya de toutes traces de luxure.
Nous nous sommes retrouvés allongés sur le dos, reprenant nos respirations après toute cette tension érotique.
Moi: tu sais quoi?
Stéphane: non?
Moi: j’ai soif!
Stéphane: oh, il y a de l’eau dans le frigo, sers toi!
Tout en lui caressant ses couilles je lui susurrais que c’était de ça dont j’avais soif.
Je le suis penché en avant et l’ai de nouveau pris dans ma bouche. Le goût était différent. Mélange de sa semence, de mes sécrétions anales et du lubrifiant.
En moins d’une minute il avait retrouvé toute sa vigueur. Alors j’ai pris tout mon temps pour savourer chaque centimètres de son sexe qui réagissait à toutes mes caresses. Après de longues minutes il l’avertit qu’il était proche de l’explosion. Cette fois-ci j’allais pouvoir goûter à son jus.
Son foutre chaud me frappa le palais. Deux, trois, quatre jets puissants et goûteux. Pas question de partager avec lui.
Je relevé ma tête et j’ai avalé ce foutre tant désiré.
Je me suis allongé à ses côtés.
Moi: oh putain, quel pied. Je n’ai jamais été baisé ainsi, tu me traites de petite salope, mais tu es pas mal dans ton genre.
Stéphane: j’espère que nous allons bientôt nous revoir.
Moi: dès que tu veux, chéri. Puis-je emprunter ta salle de bain?
Stéphane: vas-y!
Après m’être douché, je suis revenu dans la chambre pour y récupérer mes fringues et me rhabiller.
Stéphane: la prochaine fois on prendra la douche ensemble, avant et après.
Je n’ai rien dit, je me suis approché du lit sur lequel il était toujours allongé et toujours nu.
Moi, je te laisses mes coordonnées. Puis j’ai déposé un doux baiser sur ses lèvres.
Quand je me suis retrouvé dans la rue, je suis revenu à la réalité. La tension qui m’avait soudainement envahie avait laissé place à un immense bien être.

Ouais Kimberley, j’ai fait l’amour avec un homme, un comme tu n’auras jamais.

Les avis des lecteurs

Tres bandante histoire !



Texte coquin : Merci patron
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