Un après-midi comme je les aime
Récit érotique écrit par Victorine3 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un après-midi comme je les aime
Un après-midi comme je les aime.
Ceci est une fiction
Ce jour là je me suis réveillé tard dans la matinée, non pas pour avoir fait la bringue la veille, juste la fatigue physique due au travail.
Du coup, il était trop tard pour aller au petit marché en plein air où j’aime aller acheter fruits et légumes, parfois même du fromage.
Tant pis pour moi, j’irai au supermarché plus tard dans l’après-midi.
Me voici dans le rayon fruits et légumes du supermarché. Quelques fruits, quelques légumes et pour finir j’allais choisir un concombre. J’hésitais entre plusieurs, quand une voix près de moi s’est fait entendre.
Elle: vous avez une étrange façon de choisir un concombre.
Je regardais en direction de la voix et je vis une femme d’une quarantaine d’années.
Moi: oui n’est-ce pas.
Elle: un concombre c’est un concombre, non?
Moi: certes mais ce n’est pas pour le manger.
Son regard disait qu’elle n’avait pas compris.
Elle: si vous ne le mangez pas qu’est-ce que… ne me dites pas que vous…vous voyez ce que je veux dire…
Moi: non, je ne vois pas.
Elle: vous savez, je veux dire…
Moi: je vous taquinais, oui c’est pour un usage intime.
Elle: je n’y crois pas. J’ai entendu parler de trucs comme ça, mais là…
Moi: vous devriez proposer à votre époux de…
Elle: mon mari se foutre un concombre dans le…vous voyez ce que je veux dire. Mon mari est 100% hétéro.
Moi: puisque vous le dites.
Elle: comment ça, vous pensez qu’il pourrait être, je ne sais quoi, sans que je le sache?
Moi: je ne connais pas votre époux, ce que je veux dire, c’est il y a des hommes et femmes qui préfèrent taire une part de leur vie.
Elle: j’ai quarante-cinq ans, monsieur et je suis mariée depuis dix-huit ans et vous pensez que peut-être…
Moi: c’est juste une possibilité. Il y a des personnes qui sont attirées par des personnes du même sexe, mais cela ne veut pas dire qu’elles franchissent le pas. Souvent cela reste un fantasme.
Elle: a quoi ça leur sert?
Moi: et bien, il n’y a pas que les ados qui se masturbent, les plus âgés aussi. Ils peuvent être amené à s’imaginer entrain de faire l’amour avec une personne du même sexe tout en se masturbant.
Je regardais autour de moi, pour voir si il n’y avait pas d’oreilles indiscrètes en particulier des enfants. Non, nous étions seul.
Elle: d’accord, mais quel plaisir avez-vous de vous mettre un concombre dans…enfin vous m’avez compris.
Moi: simplement parce que certaines personnes, hommes et femmes, y trouvent un plaisir différent.
Elle commençait à m’ennuyer grave la dame au mari hétéro. J’essayais de m’éclipser mais elle en remis une couche.
Elle: j’aimerais bien voir ça!
Moi: voir quoi?
Elle: et bien vous mettre votre concombre…
Moi: d’accord, mais laissez-moi terminer mes courses.
Elle: vous êtes sérieux là?
Moi: oui.
Et je la plantais là.
J’ai continué mon marché et j’ai attendu mon tour à une caisse.
Elle: je suis derrière vous.
Merde elle ne vas pas me lâcher..
Je me retournai vers elle.
Moi: bien, nous payons et ensuite vous me suivez chez-moi. Cela vous convient-il?
Elle: oui, j’ajouterais que je suis impatiente.
Nous avons payé, elle m’a suivi jusqu’à chez-moi. J’ai rangé mes courses, je lui ai offert à boire.
Moi: il me faut un peu de temps pour me préparer
J’ai attrapé le concombre, je l’ai bien nettoyé avec du liquide vaisselle, puis je l’ai bien essuyé.
Heureusement j’avais fait une toilette intime avant de faire mes courses.
J’attrapais un préservatif que j’ai déroulé sur le concombre.
J’avais décidé de faire comme si elle n’était pas là. Je me suis foutu à poil.
J’ai attrapé un tube de lubrifiant et j’en ai mis sur ma rondelle. J’enfonçai un puis deux doigts dans mon rectum. C’était suffisant, cela allait passer sans résistance.
J’ai attrapé le concombre que j’ai tenu à la verticale. Je me sui accroupi et empalé sans aucuns problèmes.
Trop bon. Après un instant sans bouger, j’ai débuté un va et vient vertical. Parfait, mon cul était parfaitement lubrifié et je n’avais plus qu’à savourer.
J’avais les yeux fermés et je maintenais fermement le concombre à la verticale. Oh putain que c’était bon. Monter, descendre, monter, descendre… je savais comment jouer avec ma prostate.
Ma queue s’est mise à grossir et à durcir. Ce n’était pas la première fois et ce ne serait pas la dernière. Je savais que j’allais au devant d’un puissant et violent orgasme. La première fois j’en ai eu le souffle coupé. Je tremblais de partout. Lorsque la jouissance explosa, ma tête alla de droite à gauche, secouée par un immense séisme de plaisir.
J’attendis du bruit, j’ouvrais les yeux et j’ai vu la curieuse, la voyeuse.
Elle: putain, la vache c’est trop excitant, tu me fais mouiller.
Avant que je n’ai pu dire un mot elle dégrafa sa jupe et ôta sa culotte. Elle s’allongea tout près de moi, cuisses largement ouvertes. Je la vis se fourrer deux puis trois doigts dans sa chatte humide. Cette vision me fit bander encore plus. Je crois que j’aurais pu casser des noix avec mon chibre tellement il était dur.
Mes yeux ne quittaient pas le spectacle offert par cette inconnue.
J’accélérai le rythme. Oui j’étais sur la bonne voie. J’étais tout proche.
C’était fini. J’ai enfoncé le concombre en moi aussi profondément que le pouvais. Je contractais mes muscles fessier autour du légume. Une idée salace me traversa l’esprit. J’attrapais ma bite et la dirigeait vers le sexe de l’inconnue qui se frottait le clitoris de plus en plus vite.
Je poussais un râle à faire trembler les murs. J’y étais. Mon cul fut secoué au moment où je jouissais. Ma semence atterri sur les mains et la chatte de l’inconnue. De nouveau l’orgasme envoya valdinguer ma tête de droite à gauche alors que je ne cessais de pousser des râles de plaisir.
Puis je l’ai entendu gueuler, oh putain, je vais jouir, je vais jouir, je vais…
Elle a jouit. Je fut arrosé de plusieurs jets de je ne sais quoi sur mon visage, mon torse, ma bite.
J’en revenais pas, c’était la première fois de ma vie que j’avais à faire à une femme fontaine.
Oh la douche.
Moi: tu aurais pu prévenir, tu en as foutu partout!
Elle: désolée, j’ai oublié. Tu le sauras pour la prochaine fois.
On en était au tutoiement. Qu’est ce qu’elle venait de dire? La prochaine fois?
Je rêvais ou quoi?
Moi: ouais, un homme averti en vaut deux.
Elle: au fait, je m’appelle Élodie et toi?
Moi: moi c’est Nathan
Et je n’entend plus qu’une chose, c’est que tu dégages de chez-moi. Tu es venu, tu as vu et maintenant du balai!
J’ai retiré le concombre de mon anus. J’ai retiré le préservatif et lui ai tendu le légume. Tiens, tu peux le garder, je n’aime pas le goût.
Élodie: heu, merci. C’est très aimable, pas certaine de le manger.
Elle regarda autour d’elle et me tendit un boule de tissu.
Élodie: tient tu peux la garder, en souvenir.
Je dépliais la chose avec minutie. Sa petite culotte!
Moi: c’est très gentil à toi mais je pense que tu risque en avoir besoin pour rentrer chez toi.
Élodie: t’inquiètes, mon mari n’en sera rien.
Moi: tu devrais faire un peu de toilette, tu as du sperme sur le visage. Viens je te montre la salle de bain.
Élodie: merci, mais ça va aller comme ça.
Je l’ai regardé un instant pour voir si elle était sérieuse ou non.
Moi: que ton mari ne se rende pas compte de l’absence de ta culotte, c’est une chose, mais de là à rentrer avec du foutre sur le visage…
Élodie: si, je dis bien si, il se rend compte de quelque chose, je lui dirai ce qui s’est passé et peut-être que cela fera un déclic dans son slip.
J’avais toujours la culotte à la main, je me suis approché d’elle et essuyé le mélange de son jus et de mon sperme qui dégoulinaient de son minou ouvert.
Moi: Élodie, ravi d’avoir fait ta connaissance et d’avoir partagé ce moment de luxure.
Elle s’est levé à remis sa jupe.
Élodie: tout le plaisir était pour moi, j’ai vraiment adoré.
Moi: plaisir partagé.
Elle m’a déposé un baiser sur les lèvres et a fini par partir.
J’ai vérifié que la porte était bien fermée. J’ai mis mon portable en mode silence.
Puis je suis allé prendre une douche salvatrice.
Fin
Ceci est une fiction
Ce jour là je me suis réveillé tard dans la matinée, non pas pour avoir fait la bringue la veille, juste la fatigue physique due au travail.
Du coup, il était trop tard pour aller au petit marché en plein air où j’aime aller acheter fruits et légumes, parfois même du fromage.
Tant pis pour moi, j’irai au supermarché plus tard dans l’après-midi.
Me voici dans le rayon fruits et légumes du supermarché. Quelques fruits, quelques légumes et pour finir j’allais choisir un concombre. J’hésitais entre plusieurs, quand une voix près de moi s’est fait entendre.
Elle: vous avez une étrange façon de choisir un concombre.
Je regardais en direction de la voix et je vis une femme d’une quarantaine d’années.
Moi: oui n’est-ce pas.
Elle: un concombre c’est un concombre, non?
Moi: certes mais ce n’est pas pour le manger.
Son regard disait qu’elle n’avait pas compris.
Elle: si vous ne le mangez pas qu’est-ce que… ne me dites pas que vous…vous voyez ce que je veux dire…
Moi: non, je ne vois pas.
Elle: vous savez, je veux dire…
Moi: je vous taquinais, oui c’est pour un usage intime.
Elle: je n’y crois pas. J’ai entendu parler de trucs comme ça, mais là…
Moi: vous devriez proposer à votre époux de…
Elle: mon mari se foutre un concombre dans le…vous voyez ce que je veux dire. Mon mari est 100% hétéro.
Moi: puisque vous le dites.
Elle: comment ça, vous pensez qu’il pourrait être, je ne sais quoi, sans que je le sache?
Moi: je ne connais pas votre époux, ce que je veux dire, c’est il y a des hommes et femmes qui préfèrent taire une part de leur vie.
Elle: j’ai quarante-cinq ans, monsieur et je suis mariée depuis dix-huit ans et vous pensez que peut-être…
Moi: c’est juste une possibilité. Il y a des personnes qui sont attirées par des personnes du même sexe, mais cela ne veut pas dire qu’elles franchissent le pas. Souvent cela reste un fantasme.
Elle: a quoi ça leur sert?
Moi: et bien, il n’y a pas que les ados qui se masturbent, les plus âgés aussi. Ils peuvent être amené à s’imaginer entrain de faire l’amour avec une personne du même sexe tout en se masturbant.
Je regardais autour de moi, pour voir si il n’y avait pas d’oreilles indiscrètes en particulier des enfants. Non, nous étions seul.
Elle: d’accord, mais quel plaisir avez-vous de vous mettre un concombre dans…enfin vous m’avez compris.
Moi: simplement parce que certaines personnes, hommes et femmes, y trouvent un plaisir différent.
Elle commençait à m’ennuyer grave la dame au mari hétéro. J’essayais de m’éclipser mais elle en remis une couche.
Elle: j’aimerais bien voir ça!
Moi: voir quoi?
Elle: et bien vous mettre votre concombre…
Moi: d’accord, mais laissez-moi terminer mes courses.
Elle: vous êtes sérieux là?
Moi: oui.
Et je la plantais là.
J’ai continué mon marché et j’ai attendu mon tour à une caisse.
Elle: je suis derrière vous.
Merde elle ne vas pas me lâcher..
Je me retournai vers elle.
Moi: bien, nous payons et ensuite vous me suivez chez-moi. Cela vous convient-il?
Elle: oui, j’ajouterais que je suis impatiente.
Nous avons payé, elle m’a suivi jusqu’à chez-moi. J’ai rangé mes courses, je lui ai offert à boire.
Moi: il me faut un peu de temps pour me préparer
J’ai attrapé le concombre, je l’ai bien nettoyé avec du liquide vaisselle, puis je l’ai bien essuyé.
Heureusement j’avais fait une toilette intime avant de faire mes courses.
J’attrapais un préservatif que j’ai déroulé sur le concombre.
J’avais décidé de faire comme si elle n’était pas là. Je me suis foutu à poil.
J’ai attrapé un tube de lubrifiant et j’en ai mis sur ma rondelle. J’enfonçai un puis deux doigts dans mon rectum. C’était suffisant, cela allait passer sans résistance.
J’ai attrapé le concombre que j’ai tenu à la verticale. Je me sui accroupi et empalé sans aucuns problèmes.
Trop bon. Après un instant sans bouger, j’ai débuté un va et vient vertical. Parfait, mon cul était parfaitement lubrifié et je n’avais plus qu’à savourer.
J’avais les yeux fermés et je maintenais fermement le concombre à la verticale. Oh putain que c’était bon. Monter, descendre, monter, descendre… je savais comment jouer avec ma prostate.
Ma queue s’est mise à grossir et à durcir. Ce n’était pas la première fois et ce ne serait pas la dernière. Je savais que j’allais au devant d’un puissant et violent orgasme. La première fois j’en ai eu le souffle coupé. Je tremblais de partout. Lorsque la jouissance explosa, ma tête alla de droite à gauche, secouée par un immense séisme de plaisir.
J’attendis du bruit, j’ouvrais les yeux et j’ai vu la curieuse, la voyeuse.
Elle: putain, la vache c’est trop excitant, tu me fais mouiller.
Avant que je n’ai pu dire un mot elle dégrafa sa jupe et ôta sa culotte. Elle s’allongea tout près de moi, cuisses largement ouvertes. Je la vis se fourrer deux puis trois doigts dans sa chatte humide. Cette vision me fit bander encore plus. Je crois que j’aurais pu casser des noix avec mon chibre tellement il était dur.
Mes yeux ne quittaient pas le spectacle offert par cette inconnue.
J’accélérai le rythme. Oui j’étais sur la bonne voie. J’étais tout proche.
C’était fini. J’ai enfoncé le concombre en moi aussi profondément que le pouvais. Je contractais mes muscles fessier autour du légume. Une idée salace me traversa l’esprit. J’attrapais ma bite et la dirigeait vers le sexe de l’inconnue qui se frottait le clitoris de plus en plus vite.
Je poussais un râle à faire trembler les murs. J’y étais. Mon cul fut secoué au moment où je jouissais. Ma semence atterri sur les mains et la chatte de l’inconnue. De nouveau l’orgasme envoya valdinguer ma tête de droite à gauche alors que je ne cessais de pousser des râles de plaisir.
Puis je l’ai entendu gueuler, oh putain, je vais jouir, je vais jouir, je vais…
Elle a jouit. Je fut arrosé de plusieurs jets de je ne sais quoi sur mon visage, mon torse, ma bite.
J’en revenais pas, c’était la première fois de ma vie que j’avais à faire à une femme fontaine.
Oh la douche.
Moi: tu aurais pu prévenir, tu en as foutu partout!
Elle: désolée, j’ai oublié. Tu le sauras pour la prochaine fois.
On en était au tutoiement. Qu’est ce qu’elle venait de dire? La prochaine fois?
Je rêvais ou quoi?
Moi: ouais, un homme averti en vaut deux.
Elle: au fait, je m’appelle Élodie et toi?
Moi: moi c’est Nathan
Et je n’entend plus qu’une chose, c’est que tu dégages de chez-moi. Tu es venu, tu as vu et maintenant du balai!
J’ai retiré le concombre de mon anus. J’ai retiré le préservatif et lui ai tendu le légume. Tiens, tu peux le garder, je n’aime pas le goût.
Élodie: heu, merci. C’est très aimable, pas certaine de le manger.
Elle regarda autour d’elle et me tendit un boule de tissu.
Élodie: tient tu peux la garder, en souvenir.
Je dépliais la chose avec minutie. Sa petite culotte!
Moi: c’est très gentil à toi mais je pense que tu risque en avoir besoin pour rentrer chez toi.
Élodie: t’inquiètes, mon mari n’en sera rien.
Moi: tu devrais faire un peu de toilette, tu as du sperme sur le visage. Viens je te montre la salle de bain.
Élodie: merci, mais ça va aller comme ça.
Je l’ai regardé un instant pour voir si elle était sérieuse ou non.
Moi: que ton mari ne se rende pas compte de l’absence de ta culotte, c’est une chose, mais de là à rentrer avec du foutre sur le visage…
Élodie: si, je dis bien si, il se rend compte de quelque chose, je lui dirai ce qui s’est passé et peut-être que cela fera un déclic dans son slip.
J’avais toujours la culotte à la main, je me suis approché d’elle et essuyé le mélange de son jus et de mon sperme qui dégoulinaient de son minou ouvert.
Moi: Élodie, ravi d’avoir fait ta connaissance et d’avoir partagé ce moment de luxure.
Elle s’est levé à remis sa jupe.
Élodie: tout le plaisir était pour moi, j’ai vraiment adoré.
Moi: plaisir partagé.
Elle m’a déposé un baiser sur les lèvres et a fini par partir.
J’ai vérifié que la porte était bien fermée. J’ai mis mon portable en mode silence.
Puis je suis allé prendre une douche salvatrice.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe récit. Malgré quelques erreurs dûes à des défauts de langage. Jolie histoire, jolis personnages.
Merci pour ce bon moment
Merci pour ce bon moment
Il y a un passage qui me plaît particulièrement, inutile de préciser lequel ! Au moins 5 fruits et légumes par jour comme ils disent... Ça en fait déjà un.