L'aimant 2

- Par l'auteur HDS Rollerbi -
Récit érotique écrit par Rollerbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'aimant 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'aimant 2
À peine la porte de mon appartement refermée, une seule idée occupait mon esprit : prendre une douche. Je ne risquais pas d’oublier mon torride week-end, le sperme d’Emmanuel s’est écoulé tout au long de la route me ramenant chez moi.
L’eau devrait me calmer et pourtant, mes doigts savonneux trouvent mon anus encore souple ; à genoux au fond de la douche, les yeux clos, trois doigts jouent avec mon sphincter alors que ma verge coulisse dans ma main vacante. La tête en arrière, je revis les puissants assauts de mon amant, ses multiples éjaculations, au fond de mon ventre comme entre mes lèvres, et cette seule pensée suffit à me faire jouir encore une fois. À peine séché, mes dernières ressources taries, le lit m’attend et il me semble même déjà dormir avant que ma tête n’atteigne l’oreiller.
La semaine débute normalement et si mon travail m’occupe énormément, mon esprit revient vers lui. Aussi difficile à croire que ce soit, c’est mon rectum qui le réclame le plus. Offrir mes fesses, je l’ai fait avec tant d’hommes. Avec les hypermembrés, il y a souvent surmenage à un moment donné et un temps de repos s’impose comme une évidence. Eh bien là, non. Au contraire, plus il me prend, plus je le désire en moi. Rien qu’à l’évocation des sensations que me procure son énorme gland qui glisse en moi me provoque des frissons. Avec lui, ce n’est pas “tirer un coup”, mais plutôt faire un voyage.
Enfin vendredi. Faire la route dans ce sens me convient beaucoup mieux : je vais retrouver mon amant ! Je retourne vers Emmanuel avec un tout autre état d'esprit, une sensation différente titille le bas de mon ventre et ce n'est pas que l'envie de me faire sauter. J'ai l'habitude d'avoir des plans réguliers et en me rendant à un rendez-vous, c'est principalement un sexe que je rejoins. Je choisis généralement mes mecs pour leurs grosses queues bien avant leurs physiques.
Si la plupart de mes amants n'avaient certainement pas remporté un concours de beauté, ils avaient tous des facultés bien supérieures à la normale. Emmanuel, lui, me plaît tellement que je me demande ce qui me tarde le plus de retrouver : son sourire fendant sa gueule d'ange, la chaleur de son corps musclé contre moi, la puissance de sa queue emplissant mon ventre ou encore l'abondance de son délicieux sperme gonflant mes joues ? Il remporte tous les scores, il a tout cela.
Son appel mercredi m'a fait un bien fou et qu'il me demande de revenir m'a instantanément fait bander. Après une longue discussion, émoustillé comme rarement rien que par le timbre de sa voix, je me suis senti si vide, seul dans mon grand lit. Même mon gode réaliste n'est pas parvenu à me combler tant sa façon de me prendre est sensuelle. Alors imaginez mon état tandis que je parcours les derniers kilomètres qu'il me reste pour arriver chez “mon aimant” !
Il est sur le pas de la porte lorsque je coupe le moteur ; en deux enjambées, le voilà qui m’ouvre la portière, exposant involontairement son beau paquet déformant son jean. Ses bras m'étreignent à peine suis-je debout face à lui, pressant nos corps l'un contre l'autre. À travers nos pantalons, nos sexes s'écrasent agréablement et sa main glisse de mon dos pour saisir mes fesses.
— Que c'est bon de te retrouver ! Dit-il en me serrant fort en déposant un baiser dans mon cou. Tu as fait bonne route ?
— Oui, merci. J'avais hâte d'être là.
À peine la porte refermée, nous sommes de nouveau enlacés, et pourtant ce n'est vraiment pas mon comportement habituel ! Mes mains s'acharnent à libérer la fermeture de son pantalon pendant qu’il retire mon tee-shirt.
— J'ai tellement envie de toi ! dis-je en retrouvant la chaleur de ses organes entre mes doigts. Je vais te la dévorer !
En moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire, mon jean glisse sur mes chevilles et mes fesses s'écartent comme par magie. Avec l’impétuosité de deux corps qui se réclament, qui se désirent, dans un doux désordre, nos affaires s’éparpillent et nous voilà affalés sur le canapé. Mes deux mains et ma bouche retrouvent avec délices sa puissante verge tandis que sa langue affole déjà mon anus fraîchement épilé.
Il ne nous faut qu'une poignée de secondes pour retrouver nos marques. Sa queue, solide comme un roc, coulisse entre mes doigts pendant que je masse ses belles bourses velues. Exalté, je voudrais qu'il décharge immédiatement entre mes lèvres, et qu'en même temps, il me prenne avec fougue, ou encore recevoir à cet instant tout le sperme que je n'ai pas reçu pendant la semaine.
Sa langue parcourt grassement ma raie, il me répète qu'il adore faire des cochonneries avec moi, qu'il ne s'est pas branlé depuis mon départ pour m'offrir toute sa semence que j'apprécie tellement. Je sais qu'il craquerait en peu de temps en le suçant. Il est sur le dos et je maîtrise parfaitement mes mouvements. Mais mon besoin de le sentir en moi est plus puissant.
Je me relève pour l'enjamber face à lui. Son sourire est lumineux et la douce lumière du soleil basculant derrière les collines donne un ton sépia à l'instant. Son bout turgescent se pose là où je le désire de tout mon être. Ses mains sur mes hanches m'invitent au voyage sans détours tandis que mes doigts se perdent entre les poils de sa poitrine pour venir pincer ses tétons. Son regard déjà me pénètre et lorsque je pousse pour l'accueillir, je sens le gland glisser en dilatant mon anus gluant de sa salive. La magie opère, il entre en moi d'une seule poussée continue.
— Oh, je vais jouir rien qu'à te savoir en moi ! Ta queue est magique !
— Je ne sais pas, mais qu’est-ce que c’est bon ! Quel cul !
— On est fait l’un pour l’autre.
— L’un dans l’autre, plutôt.
Toutes les terminaisons nerveuses de mon rectum s'affolent à son passage et mes muscles se contractent pour mieux l'apprécier, l'apprivoiser, le retrouver. Par de petits mouvements, je m’empale avec délice pour qu’il soit le plus profond possible et retrouve les bienfaits de son énorme nœud. Andromaque me permet toutes les variations possibles et génère un véritable massage de ma prostate.
Tout en branlant ma queue pourtant à demi-molle, il me stimule avec des mots crus. Je frissonne de la tête aux pieds et sans ma jouissance arriver en flèche. Le rythme s’accélère naturellement et me voilà parti au trot. Emmanuel n’hésite pas à m’envoyer des séries de coups de reins dont il a le secret, faisant alors claquer ses couilles contre ma croupe.
— Que tu me baises bien ! Je vais jouir !
— Déjà ?
— Oh oui, mais baise-moi encore. Je te sens si gros en moi !
— Viens, lâche-toi ! dit-il en me branlant plus fort.
Il se transforme alors en bilboquet et je m’empale avec délice à chaque secousse. Mon cul est une matrice, qui ainsi sollicitée, libère une boule de feu qui incendie mon bas-ventre. D’un râle continue, la tête dans les étoiles, je jouis le contenu de mes vésicules séminales en broyant la verge de mon amant prisonnier de mes fesses. Il me branle et m’encule avec célérité jusqu’à ce que je m’effondre sur son buste, terrassé, en sueur, haletant comme si j’avais gravi plusieurs étages.
La tête dans son cou, le cul encore palpitant, je reviens lentement vers la surface.
— Que c’est bon de te voir jouir ! chuchote-t-il à mon oreille en me serrant affectueusement contre lui. J’adore te voir heureux. Tu as l’air d’avoir aimé ?
— Aimé ? dis-je, le souffle encore un peu court. Hummmmm... ta queue est monstrueusement bonne.
— Coucher avec toi... hummm, est monstrueusement bon ! Je me sens si “connecté”.
— J’imagine ce que peut ressentir une femme lors d’une pénétration vaginale. Je n’ai pas l’impression “d’être sodomisé”, avec toi. Dès que tu es en moi, ce n’est que jouissance.
— Quand tu sers ma queue, je me sens comme happé, aspiré !
— Pourtant tu n’as pas joui. dis-je en contractant mon rectum autour de sa verge toujours aussi dur.
— Non ! répond-il en riant tout en flattant ma croupe. Je me suis retenu pour mieux satisfaire ta gourmandise. Tout à l’heure, promis.
Je me redresse alors lentement et plante mon regard dans le sien. Son sexe, dur et vibrant, se rappelle à moi au moindre mouvement. Il me fait craquer, ce mec : beau, doux, gentil, un sexe de Titan... J’avance les lèvres et dépose un baiser juste à la commissure des siennes.
— Je ne vais pas pouvoir attendre, j’ai trop envie de te sucer.
Avec des gestes mesurés, son arme bien vaillante quitte la douce chaleur de mon ventre. La nuit est presque tombée et il semblerait que nous soyons seuls au monde. C’eut été le cas que je ne m’en plaindrais pas ! Assis par terre entre ses jambes, je retrouve avec plaisir sa verge raide à rompre. Avec tout l’amour que je lui voue, je m’évertue à le sucer goulûment, avec des bruits de succion, comme il l’aime. Il tient ma tête et commente les différents aspects de ma technique, insistant sur le fait qu’il va m’offrir six jours d’abstinence, puisque tel est mon désir !
Ses lourdes bourses virevoltent allègrement de bas en haut tandis que j’astique sa hampe en suçant son nœud de plus en plus vite. Lorsque son bassin part en avant, c’est pour expulser un énorme jet en criant son bonheur. Mes lèvres en ventouse, j’accélère ma masturbation et reçois un second jet qui vient à son tour remplir ma bouche. Comme son goût sucré se répand sur mes papilles, je déglutis pour accueillir une nouvelle salve. Son sperme est vraiment doux, légèrement crémeux, et m’englue la bouche comme j’aime avant de glisser vers mon estomac. Son ventre se tend à chaque giclée et de ses mains puissantes, il veille à ce que sa queue ne quitte pas mes lèvres, comme pour ne rien me faire perdre.
Il n’en finit plus de déverser ses chaudes rasades au fond de ma bouche, m’offrant une terrible éjaculation. Puis ses fesses finissent par se reposer sur le canapé, son orgasme l’a terrassé. En quelques minutes, son gland devient moins volumineux, je le prends entièrement en bouche, le cajole avec beaucoup de tendresse et l’y garde encore un long moment. Son nœud moelleux glisse sous ma langue et je me délecte des dernières gouttes de sa semence. Une douche chaleur partant de mon ventre parcourt mon être, assis à même le sol, nu, la tête posée sur les cuisses d’Emmanuel, le goût de son sperme en bouche, je ne peux me sentir mieux. Le temps s’est arrêté, la nuit nous enveloppe et... il nous reste deux jours pour nous aimer.
Lorsqu’il bascule l’interrupteur, j’en profite pour attraper mes clopes. Il m’invite à la fumer à l’intérieur, argumentant qu’il ne peut rien me refuser, surtout pas “la clope après la pipe” ! Nous restons ainsi à nous câliner, libre de tout préjugé, encore sidérés par la puissance de nos ébats. Nous en concluons que toutes ces émotions valaient bien un verre de vin blanc, la douche attendra.
Avant de décider d’un menu, nous restons un long moment sous la douche à nous savonner avec sensualité. Insatiables, au moindre contact de nos corps, nous démarrons au quart de tour. Comme tout nouveau couple, il n’y a qu’une chose qui nous intéresse : baiser et faire l’amour. À partir de ce concept, rien de bien étonnant au fait que, malgré l’étroitesse de la douche, je me retrouve face au carrelage pendant qu’il m’encule tendrement un long moment. Je me surprends encore à jouir sans pour autant éjaculer, juste à le sentir immense en moi — et il l’est, immense !—, lorsque ses coups de bassin soulèvent mes pieds et qu’il me murmure à l’oreille qu’il adore ma croupe et qu’il va me faire crier ainsi tout le week-end.. Et sur ce micro-orgasme qu’il me mord l’oreille en me disant qu’il compte encore me faire plaisir... après manger.
Petit repas en terminant la bouteille de vin blanc, assis sur les tabourets de bar, à parler de sexe. Moi, c’est son endurance qui m’interpelle, son contrôle semble total. Il l’explique par la grosseur de son gland qui, à force de frotter, est devenu moins sensible. Quant à lui, visiblement, ma tolérance à le recevoir suscite sa curiosité. Viennent alors les questions sur mes partenaires. Avant d’en parler, ma main glisse le long de sa cuisse pour étreindre amoureusement sa belle verge débandée. Mes yeux plantés au fond des siens, j’accepte d’en parler.
— Tu as remarqué que je n’étais plus vierge, j’espère ?
— Ah bon ? répond-il, ironique.
— Sincèrement, tu es le premier à me faire jouir à chaque fois.
— C’est vrai ? Enfin... tu as déjà pris ton pied en baisant avec des hommes ?
— Oui, bien sûr, plein de fois ! Mais jamais systématiquement à chaque rapport. Et depuis le week-end dernier, avec toi, c’est 100% gagnant. Je dirais même que c’est chaque fois un peu plus intense. Au point d’avoir tout le temps envie de toi.
— Tu es flatteur, Max. Je dois te dire que je ne me suis senti si osmotique qu’avec quelques copines. Jusqu’ici, les mecs, c’était soit “facile” soit “hygiénique”. J’adore être avec toi, en toi, et par-dessus tout, j’adore t’entendre et te voir jouir.
Sa verge gonfle déjà dans ma main. Nos regards toujours verrouillés, une irrésistible attraction nous rapproche. Sans réfléchir davantage, nous nous enlaçons. Nos mains nous caressent alors que nous nous bécotons. Pas de jeux de langue, non, mais nous nous embrassons chastement, pudiquement, brûlant de désir, impatient de faire l’amour, là, tout de suite.
Sans un mot, je m’effondre à ses pieds et embouche comme je le peux sa verge presque dure. Il ne lui faudra que quelque aller-retour pour être prêt à me prendre, englué de ma salive. L’instant d’après, je me retrouve allongé sur la table jambes écartées. Un peu de salive sur mon anus et son nœud lentement me pourfend en m’arrachant un râle.
— Oh mon Dieu ! Viens tout au fond. J’aime sentir tes couilles contre mes fesses.
En guise de réponse, il passe ses bras dans mon dos et me redresse contre lui. Je noue mes pieds dans son dos et m’agrippe à son coup, empalé sur 20 délicieux centimètres de chair brûlante et bien vivante. C’est la deuxième fois que je me retrouve ainsi suspendu. La première fois, c’était avec un black nommé Sydné. Ce soir, je suis de nouveau une poupée de chiffon et Emmanuel semble maître de la situation.
Ses mains tiennent fermement mes fesses et ses lents coups de bassin travaillent mon point G, à moins que ce ne soit mon point P... Pour l’heure, de toute façon, je m’en fiche, je crie mon plaisir et il me dit des choses magnifiques qui accentuent mon plaisir. Son gland forge à chaud mon rectum, m’irradiant de puissants flashs multicolores.
Nous ne pouvons garder longtemps cette posture. À peine mes fesses retrouvent-elles le contact du bois qu’il se retire pour me placer sur le ventre. Il aspire mes bourses et joue avec mes testicules un long moment avant que sa langue ne lape toute ma raie en se perdant dans mon trou béant. J’écarte les jambes au maximum, parcouru de frissons. Je tiens mes globes fessiers écartés en le suppliant de continuer.
— Tu vas me rendre dingue ! Que c’est bon !
— C’est toi qui me rends dingue avec un cul aussi beau, aussi bon et aussi profond !
Pendant je ne sais combien de temps, sa langue, telle une petite bite gluante de salive, plonge inlassablement dans mon anus, joue avec mon sphincter devenu hyperlaxe tandis que sa main masse mes couilles pendantes.
— Mets-la moi ! Viens, s'il te plaît. Donne-moi ta grosse queue magique !
Instantanément, cette sensation indéfinissable s’empare de moi. Son gland, en me pénétrant d’une lente poussée continue, agit sur moi comme le piston d’une seringue. Ivre de désir, la moindre poussée m’administre un puissant aphrodisiaque. Mon cul, rendu glissant par sa salive, reçoit ses longs et lents mouvements. J’en hurle mon plaisir et perds complètement la notion du temps. Emmanuel finit par venir me recouvrir sur la table et joue avec mes terminaisons nerveuses pendant une douce éternité.
— Ooooooh Max, j’adore te prendre, je resterais des heures en toi à te donner du plaisir. murmure-t-il à mon oreille d’une voix sensuelle.
Mes fesses remontent vers son pubis pour qu’il puisse mieux m’investir et je me contracte dès qu’il recule. Il accélère parfois, faisant retomber ses lourdes bourses sur les miennes, m’arrachant quelques cris de plaisirs, puis reprend ses longues courses. Ma main serre fort la sienne et je ne cesse de lui répéter tout le plaisir qu’il me donne.
— Tu vas jouir avec moi, dit ? l’implorais-je. Tu vas me remplir de ton amour ?
— Pas tout de suite, Max. J’aime trop te faire jouir.
— Aime-moi encore ! Ouiiii ! Ooooh, ta queue en moi... c’est si bon ! Comment... comment tu fait... pour m’en donner autant ?
— Tu aimes ? répète-t-il en mordillant mon épaule, sa verge plongeant toujours aussi régulièrement jusque dans mon ventre. Tu vas encore jouir ?
— Je jouis... déjà !
Son bras passe alors sous mon ventre, remontant encore plus ma croupe à sa rencontre. Ses mouvements s’intensifient et dispensent soudain de brutales ondes de plaisir. Mon souffle devient court et mes pensées s’embrument. Depuis l’intérieur de mon bassin, je ressens comme un mélange de pression et de chaleur, un incendie qui remonte le long de ma colonne vertébrale. Emmanuel vient de me faire jouir une nouvelle fois.
Presque inconscient, la tête dans du coton, c’est à peine si je sens mon amant ralentir la cadence. Seul mon anus semble encore pouvoir réagir, puisqu’il se contracte encore quelques fois en de multiples spasmes, comme pour emprisonner sa verge.
Seuls ses baisers et ses caresses me parviennent, le reste de mon corps semble anesthésié. Il est complètement immobile et se contente de promener ses doigts sur mon flan. Aucun son, aucune gêne ne viennent parasiter la magie de l’instant. Comme en apesanteur, j’ai l’impression de flotter quelque part entre deux états, aux limites de l’inconscience. Il me faut un long moment pour refaire surface et pouvoir réordonner mes pensées.
— Tu es un Dieu, Emmanuel. Un vrai étalon !
— J’adoooooore te prendre, c’est tout !
— Tu vas me tuer à me faire des trucs pareils.
— Ne serait-ce pas une belle mort ? conclut-il en baisant ma joue.
Imparable. Lorsqu’il sort de mon ventre, sa queue est encore bandée, et il me semble que l’air de toute la pièce entre en moi tant il m’a ouvert. Une flaque de sperme trône en plein milieu de la table. Après avoir nettoyé mon forfait, j’apprécie le grand verre de jus de fruits qu’Emmanuel vient de me servir.
— Épuisé ? me demande-t-il, radieux, la queue encore à l’horizontale. Tchin !
— Tchin, bel étalon. Non, pas épuisé, seulement... sous le charme. Tu es... tout ce que je n’ai jamais rencontré auparavant.
— Je suis aussi déstabilisé que toi, Max. fit-il en se plaçant à côté de moi. On baise comme des fous et à aucun moment je n’ai le sentiment de te baiser ! J’aime ta présence, ton corps, notre complicité.
— Pas mieux, tu me fais craquer, et j’avoue ne pas trop savoir comment le vivre ou... l’exprimer. Moi aussi, je n’ai connu ça qu’avec des filles. Quand tu es amoureux, tu as toujours envie de l’autre. Peu importe où, quand ou comment. Et je ressens exactement ça avec toi.
— Je suis dans le même état que toi, tu sais ? Profitons-en simplement, non ? Rien ne me dérange, venant de toi. Alors qu’avec d’autres, la moitié de ce que tu m’as dit aurait suffi à me faire débander. Là... j’en attends sans cesse davantage.
Quelle belle soirée ! Nous sommes collés l’un à l’autre à papoter sereinement de nos vies, de nos conquêtes et de nos sentiments. Pour répondre à ses questions, je me dois de lui parler de mes différents partenaires. Je n’en suis pas arrivé à me comporter de la sorte au lit sans avoir “validé certaines étapes”, comme les quelques mois à côtoyer Patrick. Avec ce dernier, nous n’étions complices qu’au lit, car c’était pour moi un excellent plan cul amélioré. Il est vrai que nous étions très très actifs et qu'il arrivait que nous passions nos week-ends à... baiser. Nous étions chauds comme la braise et il avait la particularité d'être toujours partant. C'est lui qui m'a vraiment fait apprécier les éjaculations buccales ; comme Emmanuel, il déchargeait des quantités impressionnantes et je lui taillais des pipes n'importe où, au lit comme à la ville. Je m'étais étonnamment habitué à son calibre, un morceau très très impressionnant. Mais il me fallait des pauses, parfois une semaine entière sans pénétration pour recouvrer ma “sérénité anale” ! Si je m'entendais bien avec lui, si j'avais plaisir à batifoler et que je prenais un certain pied, je ne jouissais pas comme avec Emmanuel, c’est-à-dire à chaque rapport. Ça, c'est totalement inédit.
— Quand tu parles de calibre ?
— Ben... pratiquement le diamètre de ton splendide nœud, mais sur toute la longueur, soit dans les 22.
— Wouah ! Je comprends mieux tes aptitudes ! Tu n'avais pas mal ?
— Pas spécialement, il savait y faire ! Mais c'était d'autres sensations, beaucoup plus confuses qu'avec toi.
— Comment ça ?
— Dès que tu entres en moi, ce n'est que du plaisir, mon sphincter vient se refermer autour de ta hampe. Avec un gourdin comme le sien, j’étais distendu en permanence avec une énorme pression. Quand il allait et venait, c’est un peu comme si j’allais manquer d’air. À force, tu t’habitues et certaines fois, tu finis par décoller. Mais cela relève plus de la performance et du mental, limite un peu maso !
Il est friand de mes croustilleries et me livre également certaines anecdotes personnelles, comme les deux fois où il a ressayé de faire l’amour avec des femmes. L’échec total. Plus il essayait de faire durer les préliminaires, moins il arrivait à bander. Après une belle période de déprime, il a fini par capituler et... voir des hommes. Il est vrai que les mecs cherchent principalement “des grosses” et que de ce côté-là, il ne déçoit pas ! Sauf qu’au moment de passer du fantasme à la réalité, la plupart abdiquent ou pire, sorte du Poppers. De me voir tant aimer le sperme l’intrigue aussi et il se demande d’où cela provient.
— Depuis mes 14/15 ans, je rêvais de grosses bites et de superbes éjaculations. Je me branlais en imaginant recevoir en bouche tout ce sperme que les acteurs pornos de mes bouquins de cul déchargeaient sur la croupe des filles. Quand j’ai voulu tailler ma première pipe, c’était bien sûr pour sucer, mais jusqu’au bout, pour recevoir le sperme en bouche et avaler.
— Tu as aimé de suite ou il t’a fallu du temps ?
— C’était mieux que je l’imaginais. Une révélation. C’est pour moi l’ultime récompense ! Et puis c’est toute une symbolique, le sentiment de recevoir un concentré de l’autre, une partie de sa puissance, surtout quand tu as un partenaire comme toi ou Patrick, qui balancent des doses hors du commun...
— C’est vrai que j’en ai toujours foutu de partout. Enfin, pour moi, je n’y vois rien d’exceptionnel, mais j’en ai impressionné certains.
— Autant, ce n’est pas courant. Crois-moi !
— Et tu aimes vraiment le goût ?
— Oui ! Enfin, certains plus que d’autres. Le tien, j’adore. Au-delà du goût, il y a une sorte de communion. Tu prolonges l’instant. Tu as déjà bu le sperme d’un de tes partenaires ?
— Non, jusque-là, je n’y ai jamais songé. Ni eu le sentiment de véritablement partager autant d’intimité.
La soirée est bien avancée et j’apprécie d’être à son contact. Nous buvons un verre de whisky que j’accompagne d’une cigarette. Il me laisse fumer dedans en me disant que pour chaque cigarette, je serai à l’amende d’une pipe, ce qui me convient parfaitement. Sur quoi je me lève et l’entraîne dans son lit.
— Tu dois être fatigué ? demande-t-il en s’allongeant contre moi.
— Non, mais d’avoir parler de tout ça...
Je me tourne pour lui faire face et passe une jambe par-dessus sa hanche en me blottissant dans ses bras. Lui faisant face, mes doigts dans ses cheveux, je lui demande de me faire l’amour tout en douceur, comme il le ferait à une femme. Ses lèvres alors s’approchent des miennes et je me surprends à fermer les yeux. C’est à cet instant que je me rends compte de la phrase que je viens de formuler. Comme une peur soudaine peut vous glacer le sang, une vague de chaleur se répand dans tout mon ventre et... mes lèvres s’écartent pour que sa langue rejoigne la mienne.
Les premières secondes sont confuses, J’embrasse... un homme ! Je fais ce que j’ai toujours détesté ! Puis les préjugés s’évanouissent. Ce n’est pas un homme, mais... Emmanuel. Son baiser devient fougueux, je le lui rends avec passion. Mon bassin se trémousse contre son pubis et son bras m’enserre en me caressant. Nos verges bandent à en claquer en frottant nos ventres. Sa main agrippe ma fesse et son majeur se pose d’autorité sur mon anus. Nos souffles se raccourcissent, nos cœurs s’emballent en se consumant de désir.
— Prends-moi ! dis-je en quittant ses lèvres.
Sans que je bouge et sans savoir comment il y parvient, je sens ses doigts m’appliquer du gel. Alors qu’il me pousse sur le dos, je relève mes jambes pour les nouer au-dessus de ses fesses, plus que jamais prêt à l’accueillir en moi. Mes mains glissent sur ses hanches... je le réclame en moi de tout mon être.
— Viens, aime-moi. L’implorais-je en tirant son bassin pour nous unir.
Sa verge est encore plus puissante qu’une heure plus tôt et me fait hurler de joie lorsqu’il s’enfonce en moi. Sa bouche retrouve la mienne et il m’embrasse fiévreusement en coulissant doucement en moi, comme s’il prenait une vierge. Son gland s’échoue au fond de mes fesses, diffusant de petites ondes, tel un galet qui, à chaque ricochet, plisse harmonieusement la surface de l’eau en cercles concentriques. Nous ne faisons qu’un. Plus aucune confusion à propos de rôle, d’homosexualité et de concepts judéo-chrétiens. Nous sommes deux être en proie à leur désir et nous nous adonnons à notre envie.
Je mentirais en vous disant le temps qu’a duré notre étreinte, tant il m’a fait tourner la tête. Je ne me rappelle crier son nom en recevant toute sa jouissance. Je me souviens de son cou gonflé et des veines saillantes alors même qu’il me remplissait de son amour. Je ressens encore mes ongles crisser dans son dos en ressentant chacun de ses puissants jets se propager en moi. Je me souviens de notre sueur collant nos corps alors que nous nous embrassions éperdument, heureux de nous être ainsi offert, essoufflés, mais gorgés de plaisir. Je me souviens avoir décroisé mes pieds et avoir étendu la jambe droite pour que nous roulions sur le côté sans nous désunir. Je me souviens tenir son visage entre mes mains en le remerciant de m’avoir autant fait jouir. La dernière chose dont je me souvienne est cet indicible bien-être alors que je sombrais dans un profond sommeil.
C’est l’odeur du café qui m’éveille. Emmanuel s’affaire, j’imagine qu’il prépare le petit-déjeuner. Avant de descendre retrouver mon homme, je m’éclipse sous la douche. La radio diffusant une musique douce se mêle à la partie et je retrouve mon donneur d’orgasmes en pleine préparation du petit-déjeuner. Vêtu seulement d’un bas de jogging, il me paraît encore plus beau, surtout lorsqu’il se rend compte de ma présence et que son sourire illumine son visage. Il me prend dans ses bras, dépose un baiser sur mon front et me demande si je vais bien en laissant sa main glisser jusque sur mes fesses.
— Comment pourrait-il en être autrement ? C’était... tellement puissant !
— C’était sublime, simplement sublime. Merci.
Le soleil s’invite dans la pièce pour déjeuner avec nous et rendre le réveil encore plus agréable. Assis côte à côte à la grande table, j’apprécie la vue sur les champs et les forêts. Pas un toit, pas un clocher, pas un poteau de téléphone ni d’électricité ne viennent polluer le site. Cette ferme lui vient de son grand-père. Lorsque ses parents en ont hérité, en bons citadins, ils voulaient la mettre en vente. Emmanuel a tout fait pour les en dissuader. Toutes ses vacances, il les passait ici ; il connaît chaque recoin des bois alentour, chaque méandre de la rivière, la moindre clairière. C’est ainsi qu’il emménagea là 5 ans plus tôt.
Il a besoin de calme et de nature. Les quelques commerces du village voisin lui suffisent, quelques amis pour passer de bonnes soirées et sa grange pour bricoler, avec son petit atelier pour y faire quelques toiles lorsqu’il se sent suffisamment inspiré. Il a finalement la vie qu’il souhaite et qui correspond à son tempérament. Et cet environnement semble le mettre en valeur. À l’observer pendant qu’il me raconte tout cela, je le trouve irrésistible.
Tout en l’écoutant, ma main glisse sous l’élastique de son jogging pour saisir sa queue. Du pouce, je caresse le bout de son gland dépassant du prépuce. Le café que je bois par petite gorgée finit de me réveiller mon esprit. Par flashs, les torrides souvenirs d’hier soir viennent, rallumer le feu qui couve en moi. J’ai besoin de le sucer, là, tout de suite. Je me penche alors vers lui et lui murmure à l’oreille combien sa belle queue me manque.
Je m’affale dans le canapé et le regarde retirer son jogging. Ses yeux dans les miens, il me demande si je suis certain d’avoir envie de lui, si j’ai été assez sage pour mériter sa queue. Je lui promets de fumer un paquet complet de cigarettes pour le sucer ne serait-ce qu’une fois. Il doit comprendre que l’humeur de ma journée en dépend. Profitant du fond musical, il effectue un léger strip-tease, dévoilant lentement son beau sexe encore calotté. J’admire le spectacle en me masturbant langoureusement. À peine son pantalon ôté, il chevauche mon torse et pose la lourde verge sur mon front pour présenter ses bourses à ma bouche. Son odeur de mâle propre emplit mes narines comme j’aspire l’un après l’autre ses testicules que je suce, lèche et mordille en caressant son bas-ventre velu. Quel beau paquet pour bien débuter la journée.
Sa main dans mes cheveux, il me demande de le sucer et me promet qu’il a une belle récompense pour ma gueule d’ange. Je lèche alors sa hampe grossissante en insistant longuement sur son frein et la base de son gland. Avec douceur, il m’enfonce ce dernier entre les lèvres sans me quitter mes yeux, avec un sourire révélant sa dentition immaculée.
— Oh Max, ta bouche... te regarder me sucer me fais bander... Oh ouiiiii !
Ma langue cherche à laper son gland avec le peu d’espace qui lui reste tandis que d’une main je lui tient les bourses humides de salive et de l’autre branle sa hampe. À chaque fois qu’il quitte ma bouche, cela produit un fort bruit de ventouse que je m’évertue à entretenir. Jouisseur mais pas égoïste, il occupe sa main libre avec mes organes devenus forts demandeurs.
— Tu sais me faire jouir, hein ? siffle-t-il. Oh oui, branle-moi bien fort. Hummm... que c’est bon !
Comme si l’instant était sous-titré, Dire Straits s’invite soudain avec l’excellent morceau “Your latest trick” (ta dernière espièglerie).

I don't know how it happened
Je ne sais pas comment c'est arrivé
It all took place so quick
Tout s'est mis en place si vite
But all I can do is hand it to you
Mais tout ce que je peux faire, c'est m'en remettre à toi
And your latest trick
Et ta dernière espièglerie

Sa queue s’en remet à moi et mon branle s’accélère autant que ma bouche s’emballe et titille ce gros bout qui n’est plus loin de cracher. D’un geste suffisamment explicite, je le repousse et à son tour, il s’effondre sur le canapé. Qu’il est beau, nu, allongé de tout son long. Son sexe bandé suspendu au-dessus de son ventre...
Je m’accroupis à cheval sur sa jambe et reprends ma pipe en admirant mon mec. Je branle sa queue qui pointe maintenant vers le ciel en m’occupant de ses couilles qui régulièrement remontent.
— Oh, tu es si doué ! J’y suis presque ! Et toi ?
– Laisse-toi faire, Emmanuel, donne-moi tout, s'il te plaît. Ensuite, tu me baiseras bien fort. Mes fesses réclament de l’action.
Bien déterminé à récolter une belle giclée, je l’astique bien énergiquement pour le faire monter dans les tours. Il souffle fort et son ventre se tend. Je peux voir les poils de ses bras se dresser. Encore quelques allers-retours achèvent mon amant qui ne faiblit pas. Il éjacule avec l’impétuosité que je lui connais de longues rasades en éructant toutes sortes de sons de gorge, propulsant son bassin compulsivement pour que ses fluides changent de propriétaire. Mes yeux n’ont pas quitté son visage en recueillant tout son foutre en bouche.
Je tire sur sa hampe pour en soustraire l’ultime goutte quand son regard verrouille de nouveau le mien. Qu'il est beau, détendu, illuminé par la douce lumière matinale. Avec la légèreté d'un chaton, je viens m'allonger tant bien que mal contre lui, mes yeux dans les siens. Son bras m'enlace et il me sourit en me disant que c'était délicieux. Sa poitrine s’élève encore et ma main pétrit tendrement ses couilles lorsque mes lèvres effleurent les siennes qui, après une légère hésitation, s'entrouvrent pour que nos langues s'emmêlent. “Ma dernière espièglerie" s’écoule lentement à lui dans un long baiser d'une infinie tendresse. À aucun moment il ne cherche à se retirer et l’intégralité de son sperme se mélange à nos salives avant que nous avalions les traces de notre forfait.
Mes doigts se perdent entre ses poils pubiens et ma tête se pose sur son épaule tandis que Francky goes to Hollywood scande l'incontournable "Relax”. Comme s'ils nous observaient.
— Je n'imaginais pas que la première fois, ça se ferait de cette façon ! lâche mon homme, passablement essoufflé.
— Moi non plus ! J'avais simplement besoin de partager ça avec toi. Tu comprends peut-être un peu mieux pourquoi j'adore ?
— Le goût n’est pas mauvais, mais c’est un peu étrange, comme texture. Et je ne pensais pas qu'il y en ait autant !
— Ça, c'est ta signature personnelle. Tu es un sacré producteur, ce n'est pas courant d'éjaculer de telles doses ! dis-je en pressant ses bourses. Monsieur a de belles ressources !
— Toi, tu sais si bien les exploiter. Tu as mérité une bonne clope !
— Pipe => clope => partie de jambes en l’air ! Non ?
— Avec un bon café, alors. conclut-il.
— Je t'en sers un où tu restes sur... tes protéines.
— Vas vite, tu commences déjà à me manquer... me dit-il en pinçant ma fesse.
— D’abord, dis-moi ce que tu vas me faire. ajoutais-je en faisant les yeux doux.
Pour toute réponse, il porte son majeur à mes lèvres pour que je le lui suce. Après quelques allers-retours, il me l’introduit directement entre les fesses. Message reçu.
Quel agréable début de journée. Alors qu’allongé, il boit son café, je bois le mien dehors, accompagné d’une Camel. Comme mes pieds nus retrouvent leur carré d’herbe, je me demande ce que penserait un extraterrestre voyeur, voire même un ramasseur de champignon, m’observant depuis l’orée du bois ou d’en haut. Pas banale comme vision et cette pensée me fait sourire : le plus beau champignon des bois alentour... m’attend à l’intérieur et devrait me baiser d’ici quelques minutes. Et puis à vrai dire, je m’en fiche d’être vu, au contraire. C’est très stimulant.
L'air frais et pur me fait plus de bien que ma satanée clope, mais ce n'est pas pour autant que je ne l’apprécie pas. Toujours en pleine cogitation, je réfléchis si la pipe n'est pas pire que la clope pour l'haleine, lorsque les protéines se dégradent en bouche. Il faudra que je lui en taille une autre, de pipe, pour m'en faire une idée. En jetant un œil par la fenêtre, Emmanuel, toujours dans le sofa, m'observe en souriant, son Mug de café à la main. La vue de ce corps parfait m'emplit instantanément de lubricité.
Sa queue molle ne le reste pas longtemps, entre mes lèvres. Et le fait qu’il ait joui 1/2 heure plus tôt n’altère pas vraiment ses fonctions érectiles ! À genoux devant le canapé, je le suce en veillant bien à lui tendre ma croupe. Avant qu’il ne soit entièrement développé, ma tête plonge à un rythme soutenu en maintenant fermement ses couilles. Lorsqu’un doigt humide s’invite en moi, j’en glousse de plaisir. J’ai vraiment le feu au cul, avec ce mec, me dis-je. Mais tout est si bon, avec lui !
— J’ai trop envie de ta grosse queue !
— Hummm... et que veux-tu qu’elle te fasse, ma grosse quéquette ? réplique-t-il.
— Qu'elle me baise jusqu’aux amygdales !
— Qu'elle te baise... tout doucement ? Comme cette nuit ? demande-t-il en me plantant un deuxième doigt.
— Non, plus fort. Viens, montons sur le lit. J’ai vraiment besoin de me faire sauter.
La radio qui depuis mon réveil distille ses formidables morceaux de musique envoie Kool and the Gang et “Get down on it” remplit l’espace.

Hey, hey, yeah, what you gonna do? You wanna get down?
Tell me, what you gonna do? Do you wanna get down?
What you gonna do? You wanna get down?
(Get your back up off the wall, dance, come on)
(Get your back up off the wall, dance, come on)

(Get down on it, get down on it)
(Get down on it, get down on it)
Come on and
(Get down on it, get down on it)
(Get down on it, get down on it)

How you gonna do it if you really don't wannna dance
By standing on the wall?
(Get your back up off the wall)
Tell me, how you gonna do it if you really don't wanna dance
By standing on the wall?
(Get your back up off the wall)

'Cause I heard all the people sayin'
(Get down on it)
Come on and
(Get down on it)
If you really want it
(Get down on it)
You gotta feel it
(Get down on it)
Get down on it

(Get down on it)
Come on and
(Get down on it)
Baby, baby
(Get down on it)
Get down on it
(Get down on it)

I say people
(What?)
What you gonna do?
You've gotta get on the groove
If you want your body to move, tell me, baby

Les mots deviennent crus et j’ai besoin d’être secoué. Cela ne l’offusque pas et je suis déjà sur le lit lorsqu’il arrive en haut, sa puissante arme luisante de désir. D’une façon totalement impudique, allongé sur le côté, je replie une jambe pour m’envoyer une bonne dose de gel glacé directement dans le rectum.
— Ne me demande pas d’où ça vient, mais je suis hyperexcité. lui confie-je en tirant ma fesse pour mieux m’offrir. Ne me fais plus attendre ! Malmène-moi un peu, s'il te plaît.
— Tu ne penses tout de même pas que je vais me plaindre de ta libido ?
Avec un sourire malicieux il vient se placer à cheval sur ma jambe. Ses couilles glissent le long de ma cuisse et son nœud s’écrase contre ma rondelle lubrifier. D’une traction sur ma hanche, il repousse mon sphincter et à peine passé, plonge d’une seule traite avant de s’immobiliser.
— C’est ça que tu voulais ? Tu as besoin d’action ?
— Oooooh oui ! Joue avec ma croupe. Avec toi, tout est si bon ! Encule-moi bien droit !
— Je ne te fais pas mal ?
— Oh non ! C’est... plein de choses... Vas-y !
Il recule et son gland s’arrête juste derrière mon anneau, plonge pour faire brutalement claquer son pubis contre ma croupe deux fois de suite et ressort complètement. Pendant que l’endorphine se diffuse dans mes veines, l’adrénaline me dicte d’attraper sa queue gluante de gel pour la guider en moi. Il m’envoie alors une dizaine de coups de queue avant de ralentir. Une forte claque cingle la peau de ma fesse et... c’est exactement ce dont j’avais besoin. Comme un courant électrique parcourt ma fesse, une de ces douleurs qui font du bien.
— C’est toi qui le demandais, le week-end dernier. T’en veux encore ?
— Ouiiiii ! Ça m’excite !
Ses couilles frottent de nouveau sur ma cuisse et une autre claque retentit tandis qu’il m’encule bien droit, comme je le lui ai demandé. Je ne sais pas pourquoi mon plaisir s’en trouve boosté, et j’en veux davantage. Comprenant ma pseudo-soumission, il joue le jeu et tout en me pilonnant, il me fesse encore plusieurs fois.
Puis il décule pour glisser un oreiller sous mon ventre, place ses genoux de part et d’autre de mes hanches pour me la remettre jusqu’aux couilles. Il ondule son bassin pour et m’enfonce sa queue presque dans ma gorge. Je sens ses couilles s’écraser contre les miennes et de ses pouces, il écarte mes fesses au maximum. Et moi, j’adore cela. Il me saute ainsi un bon moment pour mon plus grand plaisir.
Lorsque Emmanuel m’entraîne avec lui sur le dos, je me retrouve avec les fesses sur son pubis. Ma tête n’a qu’un quart de tour pour retrouver sa bouche. Le baiser que nous échangeons nous rapproche davantage et nous vivons de plus en plus notre sexualité d’une façon décontractée, désinhibée. Son champignon me traverse le ventre et mon plaisir pointe lentement le bout de son nez. Je me hisse alors sur mes bras et fléchis mes jambes. Ses mains me saisissent les hanches pour qu’il puisse m’asséner de grands coups de reins. Je serre les fesses pour l’emprisonner en moi et crie son nom, la tête bourdonnante, haletant, en sueur, répétant qu’il me baise trop bien.
Puis il sort de mon rectum pour me positionner en levrette. Alors que je m’attends à le recevoir, le cul en bombe et la tête dans les draps, c’est une bonne fessée qu’il m’administre. J’ai toujours eu des a priori négatifs à propos de ces scènes dans les films pornos, mais je dois avouer que pour m’y adonner pour la première fois, c’est extrêmement stimulant ! Ne rien voir et ne pas savoir d’où ça va venir, ni à quel moment, est une expérience inédite et jouissive pour moi. Chaque claque rebondissant sur ma fesse me procure une véritable décharge électrique. Du mal qui fait tant de bien, en sorte.
— Tu en veux encore !
— Oh oui, baise-moi !
J’en reprends une bonne claque et mon cul est en feu au moment où il me replante son arme. Ses mains rivées à mes hanches, il me pilonne sérieusement. Chaque impact de son nœud est accompagné d’un coup de bourse sur les miennes. Plus il me prend fort, plus je crie et je sens mon orgasme arriver. Je l’implore de m’achever et il accélère alors la cadence. Je serre comme je le peux mon sphincter, son bas-ventre claque ma croupe et un torrent de lave s’échappe de ma sphère anale pour s’écouler le long de ma colonne. Les dernières choses qui me parviennent sont ses cris rauques à l’instant où il se répand dans mon ventre et le poids de son corps lorsqu’il s’immobilise en moi et sur moi avant de m’entraîner avec lui sur le côté.
Une dizaine de minutes nous est nécessaire avant de vouloir communiquer. Sa verge amollissante remplit toujours mon cul échauffé. Je glisse mes doigts entre les siens et serre fort sa main contre moi.
— Quel homme ! chuchotais-je en déposant un tendre baiser sur sa main. Tu m'as mis le compte !
— Je n'y suis pas allé trop fort, au moins ? Demande-t-il en caressant mon ventre encore tendu. Tu étais si entreprenant !
— Tu as été parfait, comme à chaque fois. J’avais besoin de te sentir disons... autrement.
Son sexe a perdu de sa superbe, il glisse à présent lentement hors de moi, me laissant complètement ouvert après cette séance au triple galop. À peine suis-je sur le dos que je sens son sperme s'écouler en moi. J'adore cette sensation et je comprends certaines de mes copines lorsqu'elles me disent se sentir "délicieusement poisseuses". Pour moi, cela fait partie de l'acte et je le prends comme une offrande. C’est comme avaler à l’issue d’une bonne pipe, je ne me vois pas refuser qu'un homme se répande en moi après une étreinte digne de ce nom.
Alors que nous reprenons nos esprits, il propose de m'emmener manger dans un petit village des environs et en profiter pour me faire visiter le coin. Je suis partant, mais avant cela, je dois m'isoler un petit moment afin de "faire le ménage intestinal”, si nous voulons continuer à nous éclater. Il part donc seul se doucher, j'irai plus tard.
À peine ai-je terminé mes ablutions que je retrouve Emmanuel habillé. J'enfile un jean sans sous-vêtements, comme d'habitude, et me voilà fin près. La surprise est que nous y allons à moto. De sa grange, il sort un XT 500 et me prête un casque. Le gros monocylindrique démarre en deux coups de kicks et nous partons sous un beau soleil sur les routes de compagne. Je n'ai pas l'habitude d'être passager, mais il conduit bien, je deviens vite assez confiant.
Le restaurant est sur une petite place et nous mangeons sur la terrasse. C'est vraiment très rare que je me sente aussi bien avec un mec, surtout en dehors d'un lit ! Mais Emmanuel n'est pas un gars banal ; il est un de ceux qui ne jouent aucun jeu et rien qu'à l'entendre ou le regarder, mon ventre se réchauffe, ma queue se réveille...
La jolie serveuse nous offre les cafés en même temps qu’un délicieux sourire. En voyant mes yeux rivés sur son joli cul, il fait semblant de s’offusquer en souriant. En allumant une cigarette, je me justifie en lui disant que je ne pourrais jamais fermer la porte à la gent féminine, même si j’adore m’éclater avec lui. Ce qu’il conçoit, somme toute.
— Tu as une idée de l’endroit où je pourrais prendre mon pousse-café ? dis-je en écrasant mon mégot.
— Gourmand ! Je connais un coin de rêve pour ce genre de truc.
C’est au sommet d’une colline plutôt escarpée, gravit à la force du piston via un sentier muletier, qu’il m’a offert mon digestif préféré. D’en haut, la vue est à couper le souffle et l’on voit à des kilomètres à la ronde. Difficile de nous isoler davantage ! Assis dans l’herbe contre un rocher, nous savourons le calme autant que le panorama. Sa main sur ma cuisse, il me confit venir parfois ici lorsqu’il a le blues et qu’il est heureux de partager “son coin” avec moi.
Mes doigts se perdent dans ses cheveux bruns et je me sens complètement fondre ; l’homme, son charisme, l’endroit.... Que nos lèvres se rapprochent est en quelque sorte une obligation ! Jamais un homme n’a suscité autant d’intérêt et de désir en moi. Sans que nos langues se séparent, ma main glisse sous sa chemise et remonte vers sa poitrine pour exciter la pointe de ses seins. Lui, plus polisson, ouvre habilement mon pantalon pour plonger sa main sur mes fesses qu’il palpe d’une façon explicite.
— J’ai très envie de toi... lui dis-je, enflammé.
— Autant que moi ? demande-t-il en posant un doigt sur mon anus à sec.
Sans que ses doigts ne cessent de m’exciter, je dégrafe son pantalon pour accéder à mon dessert. Sa grosse queue dans ma main ferme, je déguste son nœud prenant rapidement de l’embonpoint, heureux de retrouver mon jouet préféré. Ma langue s’enroule autour son vit. Pendant ce temps, mon pantalon glisse et mes fesses sont écartelées, offertes aux rayons du soleil, devenant précipitamment l’objet de sa convoitise. Ses doigts reviennent m’humecter de salive, mais je reste persuadé qu’il entrerait en moi sans la moindre lubrification.
Je vire chaussures et falzar en le regardant baisser le sien. Je reviens lui faire face en le chevauchant. Pendant qu’il m’écarte les fesses, je dépose un peu de ma salive sur mon anus et guide sa queue brûlante. Quelle exquise sensation que de sentir le gland d’une queue désirée s’écraser contre sa petite porte. La chaleur de ce membre qui se transfert à cette zone si sensible, à cet instant, juste avant “l’attaque”. Puis soudain, en une poussée, les chairs qui se distendent lorsque ce pieu se déforme est impressionnant. Puis son nœud s’engage en glissant. C’est à cet instant qu’il faut pousser très fort pour l’accueillir, comme le fourreau d’un vérin, sans heurt, emportant tout sur son passage : le temps, la réserve, la crainte...
Nos yeux s’affrontent, nous nous observons en souriant. De langoureux coups de bassin m’empalent sur son solide mât. Ses seins roulent entre mes pouces et ses couilles échouent contre ma croupe offerte. Les premières bouffées de chaleur colorent probablement mes joues alors qu’il serre fort mes fesses dans ses mains.
— Oooooooh... que tu m’encules bien ! dis-je dans un souffle.
Sa queue frotte tout le long de mon rectum et Emmanuel me gratifie à chaque fois du petit coup de reins en fin de course, m’enfonçant bien son champignon au fond de mon rectum. Son organe est absolument parfait et il a le don de me faire monter en pression au moindre mouvement. Au bout de quelques minutes, je me redresse pour prendre appui sur ses genoux repliés. Ainsi offert, il se saisit de mes bourses en branlant méthodiquement ma verge en me disant que ce soir, il goûtera mon sperme, qu’il en a très envie, qu’il veut que je sois “son premier”. Mais ses mots ne font pas le poids face à son mandrin laminant ma prostate dans ce mouvement alternatif vertical et les frissons qu’il me procure.
Je m’emballe et ma croupe s’écrase contre ses cuisses. Ses bourses enserrées dans ma main frottent contre mon cul pendant que j’oscille autour de sa queue. Il me perfore le ventre en m’écoutant lui dire que je suis amoureux de son vît autant que de lui, qu’il pourra me baiser jusqu’à ma mort. Lui aussi s’emballe et me propulse de longues tirades en me criant qu’il va jouir plus vite que d’habitude.
Ces paroles me dynamisent et précipitent ma propre jouissance. Nos cris se confondent et je perçois son gland libérant de véritables geysers. Comme si la foudre s’abattait sur moi, chaque jet déclenche comme un éclair. Chaque puissant coup de queue me met un peu plus en apesanteur, ou plutôt sur orbite. Mon corps n’est plus, je suis dématérialisé. Seules ses bourses chaudes et sa puissante verge m’assénant les dernières secousses me rattachent encore à ce monde. Ai-je déchargé ? Je n’en sais rien ; cela n’a aucune importance.
À bout de souffle, il s’immobilise et je m’écroule sur sa poitrine, terrassé, vaincu, mais si heureux d’être là, d’entendre son cœur frapper si fort sa poitrine, de sentir sa virilité déformer mon ventre et sa semence le réchauffer. Seuls en haut de cette colline, nous venons de prendre une fois encore un pied d’enfer.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Félicitations pour l'écriture!

J'ai merveilleusement joui...

Un "confrère" (Erotipaul)

Histoire Erotique
Bien que je soit hétéro peut être «très curieux»
Votre histoire m'a touché...et même fait fait b....r!!!! Merci cest tout a votre honneur!!!
Merci de m'avoir transporté et intrigué dans votre monde...



Texte coquin : L'aimant 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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