L'aimant
Récit érotique écrit par Rollerbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 29 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Rollerbi ont reçu un total de 168 910 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 200 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L'aimant
Ma rencontre avec Emmanuel a été une étape importante dans mes pérégrinations bisexuelles. Elle m’a permis de vivre plus intensément mes aventures masculines. Si je n’ai jamais douté de ma passivité lorsque je me trouve face à un homme, c’est en partie grâce à des partenaires de sa trempe. L’environnement de cette histoire a certes été un peu modifiée, mais l’intensité de nos étreintes est fidèlement restituée. Contrairement à “mes années d’insouciances” avec d’autres amants, nous utilisions des préservatifs — des boîtes ! ;-)— lors de la sodomie.
Certains diront qu’il s’agit encore d’un beau mec superbement membré... Entre nous, publier à propos des rencontres décevantes ou ne m’offrant aucun plaisir n’a que peu d’intérêt à mon sens. Donc en effet, il avait un sexe magnifique doté d’un gland spectaculaire, des éjaculations fort abondantes dont je me suis bien... nourri, puisque j’avalais son sperme. Nous avons passé deux jours à copuler dans tous les sens. Cet homme exceptionnel m’a permis de dépasser beaucoup de limites et a révélé une part de ma sexualité que je ne soupçonnais même pas : mon côté féminin. Sur ce, je vous souhaite... de bonnes mains ! ;-)
Était-ce sa barbe de 3 jours parfaitement dessinée ou ses mains qui m’ont fait spontanément lui trouver un intérêt, je ne saurais en être certain. Il se tenait simplement quelques mètres devant moi, de 3/4, conversant avec une fort belle femme. Imposant, le buste puissant, sa toison brune s’affichait harmonieusement entre les pans de sa chemise ouverte.
Dire qu’il était beau n’est ni vrai ni objectif ; je n’aime tout simplement pas les hommes. C’est uniquement ce qu’ils m’apportent qui les rend potentiellement intéressants. À partir de là, je ne saurais non plus dire si la salive qui soudain emplie ma bouche est générée par la faim ou si elle résulte de l’émulation d’un puissant désir.
Sa main. le verre qu’elle tient ne semble là que pour la mettre en valeur, la sublimer. D’un bord s’écrase son long pouce, d’une largeur très conséquente, d’un volume qui rassure autant qu’il force le respect. De l’autre bord du verre, trois doigts s’alignent. Ses mains sont celles d’un homme qui dirige, d’un homme de pouvoir. Remarque à moi-même : attention, tu es en mode “prédateur” pour t’attarder à de tels détails.
Cette soirée se veut mondaine. Il est vrai que je ne voulais pas vraiment y venir, et ne l’ai fait que pour faire plaisir à une amie. Cette dernière est tellement occupée qu’elle n’a même pas une seconde à m’accorder. Pour autant, je ne regrette pas d’être venu rien que pour avoir vu ce beau spécimen. Chacun y va de sa belle tenue, des sourires complaisants, des rires trop souvent forcés... cela fait partie des codes de ce genre de réunion. Mais de toutes les belles œuvres exposées ce soir, Ce mec est la plus belle.
Il me faut plusieurs secondes pour réaliser que l’on s’adresse à moi, tant cet homme me trouble. Je déglutis afin de pouvoir m’exprimer, observant du coin de l’œil la silhouette de mon perturbateur endocrinien se dirigeant vers le buffet. La dame qui me parle fut vraisemblablement un top modèle, car elle reste très belle. Sa longue crinière blanche lui sied à ravir et ses dents étincelantes ont dû faire fantasmer quelques beaux sexes forts en quête de plaisirs buccaux !
Sur d’autres femmes, la robe rouge fuseau eut été osée, mais elle la porte avec élégance et ses jambes ne semblent pas avoir subi le ravage du temps. Sa poitrine haute la rend d’ailleurs tout à fait désirable ! En lui tendant ma carte de visite, je me promets de revenir vers elle si la soirée s’éternise. Une femme de cette trempe ne sera certainement pas contre un peu de jeunesse dans sa nuit ! Les quelques minutes à converser avec elles me permettent de réaliser à quel point elle est désirable et surtout, que cela semble réciproque !
Mais par expérience, vitesse et précipitation ne me permettront jamais d’aboutir. Je m’excuse donc et reviendrai plus tard vers elle. Car pour l’heure, c’est de virilité dont j’ai besoin. L’Apollon aperçu dans mon périmètre de chalandise a déclenché en moi quelque chose de pavlovien. D’ailleurs, où est-il ?
Je n’ai pas à chercher longtemps. Son regard est planté dans le mien et semble m’avoir verrouillé. Plus que cela, même, il me semble qu’il vient de me jauger, comme s’il fouillait dans mes pensées et mettait à jour mes désirs les plus inavouables. J’accepte la coupe de champagne, elle me désinhibera quelque peu. Je hais les vernissages et autres réceptions du même acabit. L’hypocrisie y est presque toujours palpable et faire des courbettes ne m’excite pas vraiment. Comme à mon habitude, je me rapproche du buffet et par la même occasion, de ce bel homme.
Mais c’est sans compter sur les gens qui me tombent dessus de tous côtés au prétexte de me parler d’art, de couleurs et je ne sais trop quels noms d’artistes. Ayant du mal à être réceptif, je masque mon ennui avec du champagne. À la cinquième coupe, je dois constater que l’Apollon semble avoir disparu. Déçu, je traîne encore un moment. Mon amie est submergée lorsque je veux la prévenir de mon départ, je décide alors de m’éclipser discrètement. Je trouverai un prétexte bateau pour lui expliquer.
Retrouver l’air frais me fait du bien, et la cigarette que je m’octroie, n’en parlons même pas. Au bout du parking, les fesses sur le capot de ma voiture, les yeux dans le ciel étoilé, je perçois à peine quelques rires qui s’échappent de la réception. Un rapide bilan me fait réaliser que je sauterai pas la belle sexagénaire ni ne me taperai pas le beau mec. Je satellise ma cigarette en me redressant, ouvre grand mon pantalon face au néant et laisse voler dans les airs un interminable jet d’urine.
— Qu’elle envie ? s’exclame-t-on juste derrière moi. Combien de verre ?
Juste à ma droite se trouve... le fameux mec. Sans attendre ma réponse, il ouvre son bénard, saisit sa virilité et commence à pisser sans aucun complexe.
— 5 ! répondis-je en secouant ostensiblement les dernières gouttes. Qui dit mieux ?
— Pas mieux, mais lui faire prendre l’air est tellement agréable, non ?
La nuit ne me permet pas vraiment d’apprécier la chose, mais l’occasion est tellement inespérée, d’autant qu’il me tend... la perche.
— En effet, à condition qu’elle ne soit pas trop lourde à porter ! Le grand air requinque, c’est bien connu !
— Je ne suis pas contre un peu d’aide. lâche-t-il. Sinon, j’aurais pissé seul dans mon coin. Qu’en penses-tu ?
Sa phrase se termine en même temps que sa miction. Sans prendre la peine de ranger la mienne, je passe derrière lui et vient faire connaissance avec sa verge. D’une main délicate, j’étreins un sexe mou plutôt volumineux et en perçois immédiatement la réconfortante chaleur. Lourd et d’un bon diamètre, il semble se terminer par un nœud très conséquent et recouvert de son prépuce qui ne manque pas de m’arracher un grognement de satisfaction.
— C’est ce que j’ai pensé dès que je t’ai vu, ce soir. dis-je. Lui, c’est du lourd ! À peine t’ai-je vu que déjà j’avais envie d’en connaître davantage.
— Comme quoi les grands esprits se rencontrent... Tu ne veux pas qu’on bouge de là ? J’en ai assez pour ce soir des bla-blas.
— J’allais partir.
Je lâche à regret ma trouvaille alors qu’il m’invite à le suivre jusqu’à chez lui, à la seule condition d’assumer en me faisant comprendre de ne pas lui faire perdre son temps. Je relève le défi et compte bien exploiter ma découverte.
En quelques kilomètres nous arrivons dans la cour d’une petite ferme située en rase campagne. Le genre d’endroit où on ne craint pas réveiller les voisins ! À peine arrivé dans son salon, je le vois ouvrir sa chemise et comprends qu’il y a urgence. Il me propose pourtant un verre, mais alors que je découvre son torse aussi poilu que puissant, c’est bien de sexe que j’ai soif.
— Après, de préférence. Là...
— T’as raison, j’ai trop envie ! Quitte tes chaussures et suis-moi. dit-il d’un ton qui ne laisse aucun doute sur son côté directif.
Quelques marches et nous voici sur une mezzanine hyper cossue. Le lit en est l’élément central ; près du sol, il n’est collé à aucun mur. Comprenant ses désirs, je laisse tomber mes vêtements sans pudeur. Il en fait de même juste à côté de moi. Son corps est magnifique, juste musclé ce qu’il faut, sans une once de gras. Je n’ai quant à moi aucun complexe, je sais plaire aux femmes comme aux hommes, physiquement et sexuellement.
Mais lui, en plus d’avoir un corps hyper séduisant et une gueule d’ange, dispose d’un service trois-pièces prometteur. Sa verge est déjà d’une belle taille, mais elle se termine par un nœud d’un volume inquiétant —pour ne pas dire préoccupant— alors qu’il est caché sous son prépuce. J’ai déjà eu l’occasion de sucer quelques très beaux glands et j’en garde un excellent souvenir. Mais jamais aussi gros que celui-ci.
— Elle est magnifique, dis-je en passant ma main sous ses bourses tout en soupesant son vît. Beau morceau !
— Tu es plutôt bien équipé, toi aussi. Et costaud, en plus. Viens vite ! lâche l’homme en claquant ma fesse. Avec un cul pareil, on devrait bien s’amuser, et j’ai besoin de sexe, ce soir.
À peine suis-je allongé sur le lit qu’il se place à genoux, son bel organe face à moi. N’y résistant plus, je saisis la lourde queue et porte à mes lèvres la spectaculaire matraque.
Je me demande quelques secondes si ce gland va rentrer tant il est volumineux. Certes, j’ai très envie de me jeter dessus, de la décalotter pour goutter à ce phénomène, mais la raison m’impose de prendre mon temps. L’objet fermement tenu, seul le bout du gland dépasse ; j’en darde le méat du bout de la langue et glisse ensuite sous le prépuce, lui aussi très souple, le temps d’en apprécier la douceur. Cette queue prend lentement vie en gonflant et s’allongeant entre mes doigts. Une petite traction sur la hampe fait éclore la bête. Le prépuce glisse pour libérer un énorme champignon, coiffant cette grosse verge... d’un casque de pompier, tout aussi luisant et lisse. Son gland est une beauté indécente, et simplement disproportionnée.
Il me rappelle instantanément cet acteur porno italien très connu que l’on nomme “Champignon”, avec un très beau gros gland spongieux. C’est un sacré baiseur et je ne compte pas les fois où je me suis branlé en le regardant se faire pomper le nœud par de belles femmes. Pourtant déjà bien membré (et sacré queutard !), il ne fait pas le poids face aux organes de mon Apollon. Il ne reste plus qu’à voir ce qu’il donne au lit !
Je le lèche comme on lèche, enfant, ces sucettes géantes si fascinantes, ou plutôt comme une méga boule de glace fichée sur un cornet, et que l’on lèche de tous côtés quand elle commence à fondre. Lorsqu’il est bien humide, j’ouvre la bouche au maximum et fonds sur ma proie, ivre de désir. Énorme, il bute, s’écrase, se déforme contre mes lèvres, puis parvient pénétrer ma bouche. Il m’assure ne pas se formaliser, car il y est habitué et m’encourage à persévérer. Il est évident que ce n’est pas le candidat idéal pour tenter une gorge profonde !
Cependant, il est d’une douceur exquise, d’une incroyable souplesse, un régal pour un gourmand comme moi, même si j’en ai “plein la gueule”, je le branle en jouant “les ventouses”. Je sens raidir sa hampe fermement maintenue entre mes doigts, au fur et à mesure que je me dévisse la mâchoire pour le téter. Alors qu’il commente son ressenti, une main maintient ma tête et l’autre caresse mon dos en revenant régulièrement sur ma croupe.
— Hummmm... j’avais très envie d’une bonne bouche. souffle-t-il. Tu es un suceur, toi. Ça se sent immédiatement, que tu aimes ça. En plus, tu es super bien monté !
Lui répondre me permet de refermer la bouche quelques secondes. Il profite de cet instant pour se placer en 69 et prendre ma verge entre ses lèvres. S’il paraît autoritaire dans ses propos, sa bouche est délicate. D’une main, il m’écarte les fesses et me suce sensuellement. C’est si rare de la part d’un mec viril que j’apprécie d’autant plus.
Face à moi, ses belles couilles velues pendent dangereusement, je ne peux les laisser plus longtemps souffrir et les gobe tant bien que mal. Elles non plus n’ont pas été épargnées par les hormones, l’homme dispose d’un sacré boulier. Et quelle drôle de sensation que celle de ma main branlant langoureusement sa verge, lorsque mes doigts butent... contre son gland ! Ma queue entre ses lèvres, la sienne qui revient tant que peu se faire dans ma bouche, je suis complètement grisé et augmente la cadence.
Je rêvais de ce beau mec et je me retrouve dans son lit ! Quand lui tailler une bonne pipe dans les toilettes m’aurait comblé, je l’ai nu à disposition ! Oubliant l’inconfort buccal que sa queue de Titan génère, je m’évertue de lui sucer le nœud le plus efficacement possible, en insistant sur le frein, zone sensible s’il en est une.
—Vas-y... oui ! lance mon sucé. Tu vas me faire décharger, continues ! J’ai les couilles pleines depuis trop longtemps !
Loin de moi l’idée de terminer en si bonne voie ! De plus, je suis plutôt fier qu’il jouisse assez vite, j’ai horreur de l’échec. Ses couilles dans une main, sa belle hampe dans l’autre, j’aspire le sommet de son gros bolet avec détermination. Mes bourses deviennent son nouveau centre d’intérêt, tout comme mon anus qui reçoit un gros doigt humide. L’espace de quelques secondes, je me demande s’il ne serait pas en train de me faire comprendre la suite du programme. Car si pour la hampe, je suis serein, son gland, lui, est préoccupant !
— Ooooooh... branle-moi fort ! Ooooouuuuuuiiiiii !
La queue se tend et sans autre forme de procès, un gros jet de sperme gicle dans ma bouche. Ce premier jet est assez salé, mais sa texture est agréablement crémeuse. Son doigt qui s’enfonce en moi m’indique la venue du deuxième. Son pubis part en avant et de nouveau, son sperme se déverse. Plus abondante, cette giclée me rend euphorique. J’aime recevoir le foutre de mes amants et m’en trémousse sur son doigt. L’avantage de ne pas prendre sa queue en bouche est que je ne suis pas pressé d’avaler ! Il me livre encore deux belles salves bien gluantes. Je donne de petits coups de langue circulaires en appréciant le goût de sa chaude semence avant de la laisser glisser dans ma gorge.
Sa verge commence à perdre de sa superbe, ma bouche se fait plus câline... Quelques lents va-et-vient sur sa hampe me permettent d’en extraire les dernières gouttes. Si ma verge n’est plus entre ses lèvres, son doigt, lui, occupe encore mon rectum. Émerveillé par son organe, je ne peux le lâcher et ne cesse de l’admirer. J’ai du mal à croire qu’un tel morceau soit entre mes doigts, là, devant mes yeux !
— Quelle bonne pipe tu m’as taillée ! lâche-t-il en basculant sur le dos. Du grand art, mec ! Et je ne connais même pas ton prénom !
— Max, uniquement pour les intimes. Et toi ?
— Emmanuel.
— Ton sperme est aussi bon que ta queue, et j’en avais trop envie. Rassure-moi, tout n’est pas fini ?
— Toi, je ne lâche pas. Mais là, on se fait un verre ? Whisky ? Vodka ?
— Whisky plutôt. Et une clope ! On peut descendre à poils ?
— J’y compte bien ! Rien que pour mater ton beau cul ! Je suis presque toujours à poils, chez moi.
Une bonne claque retentit de nouveau. Je le rassure en arguant que mon cul, je compte bien le lui montrer, même s’il me fait un peu peur avec sa matraque. J’admire son corps lorsque nous nous levons. La volée de marches descendues, il sort deux verres et me redemande ce qu’il doit y mettre.
— Un grand verre de ton meilleur foutre m’ira très bien, sinon, un whisky fera très bien l’affaire.
Un whisky reste toujours un bon interlude dans un plan cul. Déjà parce qu’il désinhibe et permet de se lâcher —ou de mieux se donner !—, mais aussi parce que c’est un bon vasodilatateur. On sirote nos verres assis sur deux tabourets hauts, accoudés au comptoir de sa cuisine ouverte. Mes yeux reviennent constamment sur son trois pièces pendu dans le vide, ce qui n’est pas pour lui déplaire, car il me dit en être très fier. Ce mec est un Top modèle de la tête aux pieds. Même ses bourses velues dépassant de chaque côté de sa lourde verge pourtant bien large sont à craquer.
J’adore l’instant d’après, l’entracte. On parle sans calcul après avoir partagé tant d’intimité et on sait que les affaires vont reprendre sous peu. Emmanuel est un très beau mec, plein d’atouts. L’intérieur de sa maison est hyper chaleureux, sans compter le fait d’être nus et libres comme l’air. Nous parlons de cul et de rien, de nos coups foireux ou des expériences désagréables. Il me confie qu’avec son gland si imposant, la sodomie n’est en général pas au menu et qu’après une turlutte, les mecs se débinent en le voyant rebander. D’autant qu’il aime beaucoup dominer et qu’au lit, en général, il prend les initiatives. Et les filles ? Un méchant coup dans le dos l’a blessé il y a quelques années. Et un concours de circonstances lui a permis de découvrir qu’entre hommes, il prenait largement autant de plaisir, la pluralité en plus. Sans compter que cela lui convient.
— Et quand le mec est fendu en deux, tu le jettes ? riais-je avec mon humour habituel. Parce que ton morceau, il faut se l’avaler !
— Il te fait peur ?
— Bien sûr que non, mais il faut reconnaître qu’elle, elle peut vite dérouter. Et pour te rassurer, j’aime bien être à la merci d’un mec, mais à condition qu’il assure. Du moment qu’il ne me prend pas pour “sa petite pute” ou “une chienne” et qu’il ne cherche pas à “me casser le cul” ! Sinon, c’est déjà l’heure de partir. On peut baiser comme des bêtes et se respecter, non ?
— Entièrement d’accord avec toi. Tu me plais, toi. Du coup, tu es partant pour remonter ? Parce que là... insiste-t-il en pointant de l’index Sa Majesté en pleine séance d’étirement.
— Pipe => whisky => clope => pipe ou... plus si affinité !
— Alors je prends une petite douche en t’attendant. dit-il en riant de ma boutade.
La nuit est belle, elle est sauvage... me dis-je en me retrouvant nu comme un ver et les pieds dans l’herbe pour tirer quelques lattes sur ma Camel par cette belle nuit étoilée. Est-ce que des extra-terrestres me regardent, à cet instant ? Je ris de ma pensée et me dis que je ne suis pas là pour admirer la Voie lactée. Et avec les atours d’Emmanuel, je préfère que ce soit ma voie arrière qui devienne... lactée.
J’arrive comme il sort de l’eau. Il me tend une serviette en me cédant la place. J’aurais préféré m’y glisser avec lui, mais la douche est plutôt petite. Je suis bref, mais insiste sur les zones sensibles. Mon “intérieur” est toujours propre lorsque je sors et que je compte draguer. Rien n’est pire pour moi que de tomber sur un homme qui me tente et de ne pas oser me laisser sauter parce que je ne suis préparé ! Maintenant, vais-je pour autant le laisser m’éventrer ?
Les lumières sont plus tamisées et rendent l’endroit vraiment sensuel. Une playlist plutôt cool est calée, la bouteille est remontée et nos verres servis. À la manière d’une sculpture grecque, je le trouve allongé en travers du lit. Je suis bi et les mecs ne m’intéressent généralement que pour leur organe. Mais lui me fait complètement chavirer, et pour peu, je me jetterais sur lui et baiserais chaque centimètre carré de son corps si je ne me retenais pas.
Pourtant, lorsque je m’agenouille sur le lit, il attrape nos verres fort remplis et trinque à notre rencontre. J’avale une grande gorgée, pose le verre sur la tête de lit et d’autorité l’oblige à rouler sur le dos. Je malaxe ses grosses bourses en me penchant sur son buste. Sans que je sache pourquoi, son téton m’excite et je le lui mordille. Je ressens un soubresaut à travers son sexe et une main vient immédiatement se poser au bas de mon dos. Je lui lèche grassement pendant que je lui saisis l’autre entre mes doigts, le pince, le fais rouler, quand je ne le tracte pas.
Sa queue s’allonge, je l’agrippe et l’écouter souffler m’excite au plus haut point. J’écarte alors largement mes jambes en me cambrant pour mettre mon cul bien offert en valeur. Je sais qu’il plaît énormément, que ceux qui se trouvent derrière ne cherchent pas à me doubler, mais plutôt à me sauter ! Et là, je veux qu’il me chauffe, qu’il me désire et vais tout mettre en œuvre pour le faire craquer, sans compter qu’il a intérêt à méchamment m’exciter pour pouvoir me la mettre. Ses doigts serrent virilement ma fesse, je sais donc où son regard se porte, j’avais vu juste. Sans lâcher ma pince sur son sein, je parcours sa toison pectorale en alternant jeux de langue, morsures et baisers.
C’est à cet instant qu’il me remet son doigt en me demandant de continuer. Je lui demande de me dire des mots crus. J’aime que l’on me stimule avec des mots. Je me retrouve à lui lécher le nombril alors que son gland turgescent vibre contre ma joue. Un mouvement de tête et je pourrais le baiser, le lécher, voir le gober ! Mais non, il m’a dit qu’il aimait diriger, je compte donc bien prendre la main jusqu’à ce que je sois hors de contrôle.
Je soulève sa matraque vers le ciel en lui lèche le pubis sur toute la largeur. La pointe de ma langue insiste bien sur le pourtour de sa verge. Il me demande de le sucer en plongeant maintenant deux doigts entre mes fesses.
— Oh oui, j’aime tes doigts. Tu me fais bander ! dis-je en lui tendant ma croupe. Claque-moi en une !
Sans se faire attendre, son autre main claque ma fesse modérément.
— Plus fort ! dis-je sur un ton péremptoire en branlant calmement sa verge.
Le coup résonne et son doigt coulisse. J’attrape sa main, la tire pour qu’elle quitte mon ventre et porte ses doigts à ma bouche. Tout en le branlant posément, je lui suce trois doigts en salivant copieusement et lui demande de les remettre. Il s’exécute comme je lui demande de me fesser de nouveau, ce qu’il fait à plusieurs reprises.
Je délaisse sa queue pour le chevaucher et pose mes bourses au niveau de son nombril. Ses doigts s’activent encore quand son autre main vient m’écarteler la raie. Je me prends tellement au jeu que j’ondule mon bassin sur ses abdominaux. Il ressort ses doigts, ce qui me permet de placer son nœud contre mon anus. J’oscille sciemment afin de le laisser s’imaginer que j’en suis rendu là.
— Tu veux me baiser ?
— Oh oui !
— Alors, fesse-moi fort. Plus fort ! Encore ! Tu as deux mains, non ?
Mon cul prend cher et les coups se succédant me font frémir. Ce qui est étonnant, c’est que je n’ai pourtant jamais eu un tel comportement avec un mec. Et le pire, c’est que ça me plaît ! Je force un peu plus contre sa verge en remuant du croupion et lui redemande s’il veut vraiment me baiser. À sa réponse positive, je me redresse, avance à genoux au-dessus de son torse et lui tends ma queue raide devant les lèvres.
— Alors, suce-moi.
Sa bouche s’ouvre et j’envoie les 2/3 de ma verge en lui. Sans lui laisser de répit, je lui suce quatre doigts et lui demande de me les mettre pendant que j’écarte mes fesses. Cela fait, j’attrape le verre de whisky, le porte à mes lèvres et le vide en trois grosses gorgées.
Je ne me reconnais plus. Mes fesses, mon trou de balle et mon pelvis sont ravagés par un incendie. Mon verre vide retrouve sa place. Je retire ma queue de sa douce bouche et lui demande s’il compte toujours me sauter.
— Plus que jamais, mec. Tu me rends dingue !
Je me lève et sens immédiatement les effets de l’alcool. Je me tourne et m’accroupis pour placer mon cul contre son visage. Sa langue agile ne demande pas son reste et lèche toute ma raie, se plante dans mon trou passablement ouvert. J’étreins sa grosse queue et présente son nœud entre mes lèvres. Je suis au paradis, mais putain qu’elle est grosse !!!
Il est bandé à rompre, les couilles gonflées dansent sous mes yeux comme je le branle et mon cœur bat si fort que je souffle du nez comme une locomotive pour ne pas m’étouffer. Mais je veux cette queue monstrueuse dans mon ventre. À demi saoul, je frotte ma croupe sur le visage d’Emmanuel en sentant sa langue plonger vers mon ventre. Son gland ressort de ma bouche gluant de salive, puissant, incroyablement large !
Ses couilles dans ma main, je peux prendre la mesure de son sexe en entier ; je tente d’imaginer les sensations procurées par son nœud glissant en moi jusqu'à ce que mes fesses rencontrent son pubis. Sa hampe ne fait pas plus de 5 cm et j’en ai pris des beaucoup plus épaisses. De même, il ne dépasse pas, ou guère, les 20 cm. Là encore, j’ai connu plus long ! Mais son nœud est si... proéminent, il dépasse tellement de sa verge qu’il semble être rapporté. L’absorber me galvanise un peu, alors l’alcool masque mon appréhension en cédant du terrain à mes pulsions. Et de toute façon, je l'ai trop allumé pour faire machine arrière ! Je me redresse et m'accroupis à ses côtés.
— Je suis prêt, tu as du gel ? J’ai trop besoin que tu me baises.
Un énorme sourire fend son visage pendant qu'il envoie sa main au pied du lit et la ressort victorieuse. Je lui présente mon séant qui aussitôt ressent la fraîcheur du lubrifiant. À ma demande, il envoie une bonne rasade directement dans mon rectum et en dépose également sur sa queue.
Sans réfléchir davantage, j’enfourche ma monture sur lui et place son vît contre ma porte dérobée. D'instinct, ses mains écartent mes fesses et je commence alors une lente danse du ventre que je veux très sensuelle. Chaque mouvement accentue la pression contre son gland. Mes yeux sont clos et je change complètement de ton pour lui chuchoter des choses salaces.
— Tu sens mon trou s'ouvrir pour ta bonne queue ? Dis, tu vas m'enculer comme un Dieu, hein ? J'aime qu'on m'encule longtemps, longtemps...
— Je vais te faire crier pour que tu n'oublies jamais cet instant. Pire, je veux t’entendre en redemander, tu vas vouloir que je te saute jusqu'à l'aube !
Plus que jamais hors de raison, je me couche sur son torse en plaçant ma tête dans son cou. Mes bras se glissent sous ses omoplates pour venir crocheter ses puissantes épaules. Enfin confortablement installé, je lui chuchote de m'enculer tout doucement. Je pousse de toute mes forces pour ouvrir mon sphincter au maximum et sens mon amant glisser en moi.
— ooooohhhhhh oui, Emmanuel ! Que c’est bon, oui, par petites poussées... Mais ne t'arrête surtout pas, je suis tout à toi !
Soudain une douleur sourde me fait planter mes ongles dans sa peau. Sa queue est sur le point de passer, mais il me faut une petite pause. En avançant mon bassin pour me soulager, la gêne s’estompe rapidement et je l’invite à me saillir de nouveau. Je respire un grand coup et le sens soudain gagner du terrain : le point critique est passé et mon sphincter se resserre autour de sa hampe, emprisonnant son nœud en moi.
Je le remercie pour sa délicatesse et sa patience en ponctuant mes mots de tendres baisers dans son cou. Je n'ai jamais eu ce comportement avec un homme et ne sais pas ce qui me fait être si tactile et si tendre ! Peu m’importe, ce soir, il en est ainsi et j'ai besoin de m'abandonner à mon amant. D’ailleurs, qui va me juger ?
Ses bras m'enserrent alors puissamment. Comme s'il s'agissait d'un signe, d'un code, cela semble m’indiquer qu’il est temps pour moi de lui laisser les commandes. J'ai fait ma part, a lui de mener le bal.
— Viens, oui, viens en moi. Pousse, je suis à toi, cette nuit... demain, tant que tu veux ! Mes reins t'appartiennent. Baisse-moi, oui... fais-moi jouir... remplie-moi de ta puissante queue et donne-moi tout ton foutre.
Pour signifier cette passation de pouvoir, je recule et son gland repousse mon rectum pour le dilater à son diamètre. Il s'engage alors de plusieurs centimètres en m’arrachant un cri de libération. Mes dents mordent ses trapèzes alors qu'il s'enfonce dans mon ventre en longues poussées. Je contracte mon sphincter pour l’aspirer et lui exprimer mon désir.
— Que c’est bon de baiser avec toi. susurre-t-il en plongeant dans mes reins. Tu as un cul merveilleux, tu me serres la queue si fort, mec !
À peine a-t-il terminé sa phrase qu'il nous fait basculer. Sans tout comprendre, je me retrouve sous son corps et par réflexe, je remonte mes jambes haut pour croiser mes pieds dans son dos. L’angle de mon bassin est ainsi parfait pour que nous nous emboitions. Sa queue recule jusqu’à ramener son gland contre mon anneau, mais ce n'est que pour mieux se renfoncer en moi. Tel un piston, il compresse mon ventre pour le transformer en terre de jouissance à chaque poussée, en propulsant des ondes de plaisir qui remonte jusque sous mes côtes.
— Alors, tu l'aimes ma queue ? Il n’est pas si gros, mon nœud, hein ? Tu vois comme il te fait du bien ?
— Oh oui, il est génial ! Aime-moi encore, ne jouis pas trop vite, je t’en prie !
— Tu ne regrettes pas d’être venu, alors ?
— Oh non, baise-moi doucement. Oui, comme ça. J’adore ta queue. Je n’aurais jamais pensé que ce puisse être aussi intense !
— C’est toi qui m’aspires. J’avais très envie de baiser de toi, tu m’excites !
Mes fesses vont maintenant à sa rencontre et ses bourses s’écrasent contre mon fessier. Il m'encule royalement jusqu'à la garde et les images de sa queue bandée dansent sous mes paupières closes. Couché sur moi, seul son ventre se décolle lorsqu’il soulève ses fesses pour manœuvrer son Timon. Malgré ses mensurations et le volume de son membre, il n'est absolument pas brutal et ce qu’il m’apporte est sans commune mesure.
Contrairement aux très grosses queues, cette pénétration n’est ni irritante ni douloureuse. Une hampe très large ou très renflée distend en permanence le sphincter, alors qu’avec lui, une fois son nœud passé, mon anneau se referme autour de lui pour mieux l’épouser. De même, une XXXL va souvent beaucoup trop loin dans mon ventre là où celle d’Emmanuel est d’une longueur parfaite, puisque son gland repousse délicieusement le fond de mon rectum quand son pubis arrive à mon contact. De son énorme piston, il chauffe graduellement mon moteur pour me faire monter dans les tours.
Je saisis ses flancs pour faire corps avec lui en criant mon bonheur d'être si bien pris, que jamais je n'avais ressenti autant un gland me travailler le ventre. Les premières sodomies irritent tellement le sphincter qu'il est difficile de penser à autre chose pendant et après l'acte. Alors qu'un rectum "habitué" reste souple et permet d'accueillir une verge en ne profitant que des sensations que celle-ci procure. Et Emmanuel est un “super-générateur”, car le moindre mouvement me fait frissonner.
Emmanuel est inépuisable. Il me prend depuis plus de 10 minutes en changeant régulièrement de cadence et d’angle. À l’écoute de la moindre de mes réactions, de la moindre contraction de mon ventre. Il m’accompagne vers le plaisir suprême avec énormément de tendresse et mon corps entier réclame ma jouissance.
Je lui crie que je vais jouir et que je voudrais que ce soit en même temps que lui. Il m’entraîne alors en douceur sur le côté et m’offre dans cette position de puissantes vagues de plaisir.À l’image d’une patelle qui s’arrime à son rocher, je l’étreins de toutes mes forces et serre fort les fesses pour emprisonner son sexe devenu immense et m’assénant maintenant de véritables coups de bélier, ses bourses ballotant contre ma croupe. D’une main protectrice, il attire ma tête contre lui. Ses coups de reins s’accélèrent encore, propulsant cette énorme masse de chair au fond d’un rectum rendu au point de non-retour. La longueur de son sexe est idéale, allant très loin sans générer la moindre douleur.
La tête dans son cou, je hurle son nom et ma jouissance, mes doigts plantés dans son dos alors que mon ventre est parcouru de spasmes. Au même instant, criant tout aussi fort que moi, je sens que chaque prodigieux coup de bite propulse en moi un puissant jet de foutre, se répandant dans mes entrailles en pétillant, comme s’il s’agissait de bulles de champagne. Il m’insémine à de multiples reprises avant de s’immobiliser, ses bourses collées contre mes fesses, épuisé par la puissance de son orgasme. Nos corps ne font qu’un, unis, emboités, soudés... Nos fluides se transférant, le sien chemine au creux de mes reins, le mien se répand entre nos ventres collés de sueur.
Le temps semble soudain ne plus être quantifiable. Nos souffles se stabilisent et notre étreinte lentement se relâche. Je sens le vît de mon amant devenir plus souple et un gargouillis significatif m’indique qu’Emmanuel à éjaculer une sacrée dose. De même que mon sperme se liquéfie pour s’écouler entre nous. Tout cela fait partie du sexe et ne fait qu’enrichir le souvenir de mon orgasme. Et quel orgasme !
Je voudrais qu’il reste en moi. Même partiellement débandé, son terrible nœud reste un point de référence, un repère en moi. Je dépose quelques baisers dans son cou pendant que d’une main tendre, je caresse affectueusement son dos et ses fesses. Je réalise ce que je suis en train de faire... à un homme ! Mon sang, saturé en endorphine et en cortisol, nourrit mes centres de plaisirs, le fameux “circuit de la récompense”. Plus concrètement, je viens d’avoir un orgasme à déchirer le ciel et... pourtant, j’ai encore envie de lui, peut-être encore davantage.
Le sentir glisser hors de moi est presque un déchirement et crée un grand vide. Il roule sur le dos et ne semble pas avoir plus envie que moi de parler. Assis sur le lit, je ne me lasse pas de regarder son corps si beau, si parfait. Sa verge amollissante repose sur le pli de a cuisse, s’octroyant le repos du valeureux guerrier. Je me penche sur son ventre et lèche avec méthode la flaque de sperme qui le macule. Sa peau sentant le mâle et le foutre a quelque chose de grisant qui le rend irrésistible.
Puis je prends sa verge revenue “à une taille humaine” et entreprends de la nettoyer avec la même attention. Lorsqu’elle n’a plus aucune trace de sperme, je prends soin de bien replacer son prépuce et dépose son sexe sur son ventre poilu.
— Tu n’es pas banal, toi. chuchote-t-il en me caressant. Quand tu le fais, ce n’est pas dans la demi-mesure !
— Tu m’as tellement fait de bien, je ne me rappelle pas avoir déjà autant joui !
— J’ai adoré, vraiment. confie-t-il en caressant ma joue.
— Impossible de m’arrêter avec toi. dis-je en prenant ses belles bourses pendantes dans ma main. Hummmm... t’es pas un amant, toi. T’es un véritable aimant !
— Je reconnais qu’il est difficile de te résister. Tu es... attirant. conclut l’homme en palpant ma croupe. Tu as la fesse attractive !
— C’est du Daho, ça.
— Il a écrit une chanson sur tes fesses ? t’as couché avec la terre entière ?
— Presque ! C’est des attractions désastre. Tu as déjà écouté les paroles ? En plus, je t’ai trouvé dans une exposition !
Daho !
M'avez-vous déjà vu quelque part ?
Rafraîchissez-vous donc la mémoire
Extasié devant une toile de Witsen
A Rome, Londres ou Rennes
Vous m'appeliez Etienne
Cherchant le magicien et sa dose
New York, Café Reggio, je suppose....
En plein cœur de l'ivresse
Au milieu du chaos
Accoudé à un bar, vous m'appeliez... Daho !
Vous en avez de bonnes à Lisbonne ?
De salaces à Paname, Amsterdam ?
Etais-ce une quille ou un glaçon, va savoir...
Dans le noir, dans le ton,
Quel que soit l'abandon
Pourvu qu'il soit le bon
Sur d'experts toboggans
Vous m'avez vu glisser
Mais y glisser avec délices
Certes !
Ooh j'aime tout
Je veux goûter à vous
Ooh j'aime tout
J'veux me donner à vous
Avant que j'm'en aille
Avant mes funérailles
De la vie faire ripaille
Avant que j'm'en aille
Les flèches que Cupidon m'a décrochées
N'étaient que des haches dans le dos
Et si j'ai rampé tout en bas
J'ai surfé aussi tout là-haut
Sur des cimes ondulantes...
Hop, j'enchaîne....
Du lever du soleil brûler
Jusqu'au matin crème
Se frotter à tout c'qui bouge
De palaces en bouges
Non, je n'épargnerai ni moi, ni personne
La fièvre n'est pas un don, mais un dû
Les provocs de cette foutue ville
Rendent certains hyper hostiles
Mais moi, j'avoue qu'ça m'tente
Mais je n'ai pas le rouge au front
Et je ne suis pas sur le flanc
Et je ne suis pas si mauvais
Non, je ne suis pas si maudit
Mes 20 ans, sainte vierge...
Enfin bon, j'abrège....
Du lever du soleil briller
Jusqu'au matin grège
Avant que j'm'en aille
Jouer à qui perd gagne
Et de la vie faire ripaille
Avant que j'm'en aille
Mais dans ma ligne de fuite s'est brisé
Pour me mettre à la colle des tes 22 étés
J'abandonne aujourd'hui mes attractions
Désastre et tu viens avec moi, faire l'avion
Comme tout couple venant de déchirer le ciel, nous restons collés l’un à l’autre en laissant nos doigts parcourir nos corps avec tendresse. Nous convenons que ce que nous venons de vivre n’est pas banal et remarquons tous les deux qu’il y a une véritable attraction ! Il est vrai que je l’ai suivi en pensant vivre un plan cul de plus, et qu’atteindre un tel niveau de complicité était totalement impensable ! C’est la magie des rencontres et c’est pour cela que le sexe entre hommes m’attire autant. De là à pouvoir expliquer mon comportement avec lui... peut-être sont-ce les phéromones, ou alors ai-je trouvé LE mâle alpha.
Le sperme de l’alpha se rappelle à moi en s’écoulant le long de ma fesse. Il m’a tellement distendu que j’ai pour anus un hall de gare, et cela l’amuse. Moqueur, il s’échapppe quelques instants et revient avec mes clopes, un cendrier et deux Cocas. Alangui sur le lit l’un en face de l’autre, je me sens si bien. J’ai rarement été si à l’aise dès les premières heures avec un mec. Je conçois tout à fait le sens de l’expression “jeter la clef par la fenêtre”. Simplement rester enfermé avec lui et faire l’amour, encore et encore.
Avec délicatesse, je retourne m’occuper de son sexe, profitant qu’il est complètement débandé pour parvenir à le prendre entièrement entre mes lèvres. Tout en massant ses bourses, je le décalotte et promène ma langue sous sa couronne, reprends en bouche sa hampe molle avant qu’elle ne gonfle trop et tente de lui faire un vrai pompier, en vrillant bien ma succion afin lui offrir le meilleur rendu. Je m’habitue à son organe et trouve mes marques. Un calibre, ça s’apprivoise ! Il grossit cependant très vite, m’obligeant à revenir à son seul gland. Quelques minutes entre mes lèvres lui suffisent pour bander comme un taureau, et surtout faire naitre en moi l’envie de m’empaler sur lui.
Le sucer me remet littéralement le feu aux fesses ; mon ventre, pourtant mis à l’épreuve 1/2 heure plus tôt, en redemande, et Emmanuel semble prêt à reprendre là où nous avons... mis en pause.
— J'ai encore besoin de te sentir en moi. Ta queue hante déjà mon esprit. Elle m'obsède, me fascine et tu m’as si bien pris...
— Dis-toi que c'est un désir partagé, Max. Viens faire l’avion.
— Pendant que tu vas et viens en moi, je n’ai pas l’impression de baiser, mais celle de faire l'amour avec toi. Réellement. Enfin, c’est ce que je ressens, une sorte d’osmose.
— Ton corps me plaît, ta bouche me fait bander en une poignée de secondes et lorsque j'écarte tes fesses, que mon nœud te dilate... j'ai presque envie d'en ressortir pour recommencer. Et j’aime être collé contre toi également.
— Alors, fais-nous du bien. Encule-moi jusqu'à ce que j'en boite. dis-je en le reprenant entre mes lèvres pour bien le lubrifier.
Andromaque est une position que j'affectionne, et plus particulièrement avec les hommes fortement membrés. Je le chevauche donc, mais en lui tournant le dos cette fois, qu'il puisse admirer mes fesses absorbant son colosse, puisque ça le stimule.
— Avec ce que tu as joui, tu m’as graissé pour la nuit, je suis encore plein de sperme !
À peine mes fesses écartées, son sexe trouve place. Avide de plaisir pur, je descends à sa rencontre. Le sensationnel est au rendez-vous, et le sentir repousser mes chairs pour se frayer un chemin à un doux mélange de souffrance et d'extase, de naturellement contre nature ! Millimètre par millimètre, il force ma voie et glisse dans mon ampoule en m'arrachant des feulements, des râles d'extase.
— Tu le sens que c'est là ta place ? Rien que pour ça... je t'adore. Faisons l'amour, cette fois. Oh ouiiii ! Fais-moi l'amour, tout en douceur, j'aime sentir ta grosse queue glisser en moi.
À peine l'ai-je absorbé que je nous désunis, rien que pour qu'il puisse me la remettre. Et de nouveau, me revoilà sur le toboggan du bonheur. Je n'ai jamais compté le nombre d'hommes qui m'ont sodomisé. Bien plus d'une cinquantaine, assurément. Mais aucun, non, aucun ne m'a donné autant de sensations positives à la pénétration ! Certains étaient des amants d'exception, endurants et attentionnés, me faisant atteindre de multiples orgasmes. D’autres possédaient des queues incroyablement épaisses ou beaucoup plus longues que lui ! Mais Emmanuel possède "une dimension" que les précédents n'avaient pas, un plus sans pareil : un gland monumental, un véritable champignon, et comestible, qui plus est.
Je ne suis pas pressé et m'empale par de petits mouvements d'avant en arrière. Il me flatte de mots croquants et chauds en me couvrant le dos et les fesses de caresses pendant que les premières bouffées de chaleur envahissent progressivement mon ventre. Ses bourses me servent de Talisman, je les malaxe comme le religieux égraine son chapelet. Seule ma méthode de prière diffère, car le but reste commun : aller tout là-haut.
Je m'ouvre et me contracte autour de sa verge, remonte pour chaque fois gagner plus terrain. Il glisse en moi avec délice, tant je le désire de tout mon être. Lorsque mes fesses se posent sur son pubis, je n'ai qu'à osciller mon bassin pour crier de plaisir. Je lui jure d'allumer un cierge pour vénérer St Andromaque jusqu'à la fin de mes jours ! La longueur de sa queue est juste parfaite pour distendre délicieusement mon rectum et le volume de son nœud m’irradie de flashs multicolores. Je n'ai qu'à contracter et relâcher mes muscles en remuant mes fesses sur son ventre pour ressentir une intense jouissance. Ses mains sur mes hanches, ses pouces écartant largement mes fesses, il me donne de petits coups de reins en me répétant qu'il n'a jamais eu autant l'impression qu'un cul le suçait, l'aspirait. Je serre ses couilles en râlant d'extase, persuadé d'avoir trouvé mon point G et l'homme idéal. Dans un tourbillon de frissonnements, sans éjaculation et sans comprendre comment, je jouis.
L'égoïsme étant à proscrire en matière de sexe, je le laisse ressortir. Il bande à tout rompre, son gland semble suspendu au-dessus de son nombril, vibrant au rythme de ses pulsations cardiaques. Sa verge est marbrée d'écume par l'émulsion de son sperme. Je la lèche méticuleusement sous l'œil amusé de mon beau mâle, en terminant par quelques aller-retour autour de son gland. Lorsque je redresse la tête, son sourire me fait fondre. Jamais un homme, aussi viril soit-il, n'a déclenché en moi autant de paradoxes. Là, à travers son regard, je me sens soudainement... féminine, n’ayant pour envie que de recevoir son sexe en moi.
Est-ce accentué par un mélange de fatigue et d'hormones sexuelles ? Est-ce dû à notre indéniable attraction ? Pour la première fois de ma vie sexuelle, il me semble être capable de tomber amoureux d’un homme. Sans quitter son regard, sa splendide queue fermement tenue entre mes doigts, je lâche un long filet de salive au-dessus de son gland et viens m’empaler sur lui. Ma tête contre la sienne, il entre en moi d’une seule poussée. Nos petits mouvements mutuels nous unissent de plus en plus profondément. Je lui chuchote des choses terribles, des choses inédites pour moi, alors qu’il détient mes reins au bout de sa verge et mes fesses entre ses doigts.
Je me contorsionne pour accéder à son sein et le mordiller en remuant des fesses pour mieux lui appartenir. Je me surprends à retrouver des postures que mes maîtresses ont prises lorsque je les possédais, et j’y prends goût. Je me redresse et prends appui des deux mains sur ses cuisses ; ainsi penché en arrière, je ressens d’autres pressions, d’autres plaisirs. Ma queue alors entre ses mains ne me livre pas autant de bien-être que sa verge me fouillant ardemment. La tête fracassée de paradoxe, je lâche prise et danse sur son vît qui me fait voler d’orgasme en orgasme, râlant, couinant, hurlant même à certains moments en le chevauchant pendant ce qui me semble être une éternité.
Je retrouve sa verge luisante de son foutre et de mon plaisir avec délectation. Comme je le lui ai crié entre deux jouissances, il m’a prévenu de son envie de jouir. Agenouillé entre ses jambes, je m’évertue à le sucer le plus efficacement possible en le regardant droit dans les yeux. Ses couilles remontent de part et d’autre de sa hampe, m’indiquant qu’il est temps pour moi de placer ma bouche sur son nœud en le branlant fort, comme il aime. Une série de sons rauques venues du fond de ses poumons accompagnent de puissants jets de foutre que je m’empresse de recevoir en gloussant de plaisir. Mon étalon a craqué pour la troisième fois, me gratifiant pourtant d’une belle dose de son divin sperme. Je l’avale comme un alcool rare , puis accompagne la queue d’Emmanuel encore un long moment avant de lui rendre sa verge amollie et de venir m’étendre contre lui.
Un genou sur sa cuisse, mon sexe contre sa hanche et la tête sur son épaule, je dépose en baiser sur sa joue en promenant mes doigts sur son buste poilu. Comme son bras se referme sur mon dos, je le remercie pour tout ce qu’il vient de me procurer et nous glissons dans un profond sommeil... réparateur. L’idée que je puisse me rhabiller et repartir n’a même pas été abordée.
Une luminosité intense inonde la pièce lorsque je refais surface. Le soleil déjà très haut frappe un Vélux que je n’avais même pas remarqué. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir été sur le dos. Mon esprit lentement se restructure, revivant en quelques secondes les moments clés de ces dernières heures. Un regard vers ma droite me rassure instantanément : il est bien là et semble encore profondément assoupi.
Ses cheveux en bataille n’altèrent en rien sa beauté et les “doux désordres” de mon ventre ce matin me rappellent sa toute-puissance, le plaçant au rang de demi-dieu du sexe. Le désir soudain s’empare de moi et c’est avec une lenteur toute mesurée que je glisse sous le drap. Je m’emploie alors à lui prodiguer un doux rite sacerdotal jusqu’à ce qu’il déverse dans ma bouche sa divine semence.
Si la sodomie livre des plaisirs aussi multiples que variés, elle reste “étroitement” liée à la participation de son partenaire. En revanche, la fellation reste sous le contrôle de celui qui la prodigue. C’est pour cette raison que j’adore sucer et qu’à mes yeux, l’ultime récompense reste l’éjaculation buccale. Emmanuel me récompense copieusement et nous commençons ainsi tous les deux fort agréablement notre journée.
Celle-ci sera sous l’égide de la bonne humeur et ponctuée de complices moments de sexe. Son gland majestueux s’abritera à maintes reprises au fond de mon ventre avant que le soleil ne se couche et que je ne prenne congé. Les 150 kilomètres qui me ramenaient chez moi m’ont semblé interminables, mon corps accusait un certain surmenage. J’étais aussi vidé que j’avais été rempli.
Certains diront qu’il s’agit encore d’un beau mec superbement membré... Entre nous, publier à propos des rencontres décevantes ou ne m’offrant aucun plaisir n’a que peu d’intérêt à mon sens. Donc en effet, il avait un sexe magnifique doté d’un gland spectaculaire, des éjaculations fort abondantes dont je me suis bien... nourri, puisque j’avalais son sperme. Nous avons passé deux jours à copuler dans tous les sens. Cet homme exceptionnel m’a permis de dépasser beaucoup de limites et a révélé une part de ma sexualité que je ne soupçonnais même pas : mon côté féminin. Sur ce, je vous souhaite... de bonnes mains ! ;-)
Était-ce sa barbe de 3 jours parfaitement dessinée ou ses mains qui m’ont fait spontanément lui trouver un intérêt, je ne saurais en être certain. Il se tenait simplement quelques mètres devant moi, de 3/4, conversant avec une fort belle femme. Imposant, le buste puissant, sa toison brune s’affichait harmonieusement entre les pans de sa chemise ouverte.
Dire qu’il était beau n’est ni vrai ni objectif ; je n’aime tout simplement pas les hommes. C’est uniquement ce qu’ils m’apportent qui les rend potentiellement intéressants. À partir de là, je ne saurais non plus dire si la salive qui soudain emplie ma bouche est générée par la faim ou si elle résulte de l’émulation d’un puissant désir.
Sa main. le verre qu’elle tient ne semble là que pour la mettre en valeur, la sublimer. D’un bord s’écrase son long pouce, d’une largeur très conséquente, d’un volume qui rassure autant qu’il force le respect. De l’autre bord du verre, trois doigts s’alignent. Ses mains sont celles d’un homme qui dirige, d’un homme de pouvoir. Remarque à moi-même : attention, tu es en mode “prédateur” pour t’attarder à de tels détails.
Cette soirée se veut mondaine. Il est vrai que je ne voulais pas vraiment y venir, et ne l’ai fait que pour faire plaisir à une amie. Cette dernière est tellement occupée qu’elle n’a même pas une seconde à m’accorder. Pour autant, je ne regrette pas d’être venu rien que pour avoir vu ce beau spécimen. Chacun y va de sa belle tenue, des sourires complaisants, des rires trop souvent forcés... cela fait partie des codes de ce genre de réunion. Mais de toutes les belles œuvres exposées ce soir, Ce mec est la plus belle.
Il me faut plusieurs secondes pour réaliser que l’on s’adresse à moi, tant cet homme me trouble. Je déglutis afin de pouvoir m’exprimer, observant du coin de l’œil la silhouette de mon perturbateur endocrinien se dirigeant vers le buffet. La dame qui me parle fut vraisemblablement un top modèle, car elle reste très belle. Sa longue crinière blanche lui sied à ravir et ses dents étincelantes ont dû faire fantasmer quelques beaux sexes forts en quête de plaisirs buccaux !
Sur d’autres femmes, la robe rouge fuseau eut été osée, mais elle la porte avec élégance et ses jambes ne semblent pas avoir subi le ravage du temps. Sa poitrine haute la rend d’ailleurs tout à fait désirable ! En lui tendant ma carte de visite, je me promets de revenir vers elle si la soirée s’éternise. Une femme de cette trempe ne sera certainement pas contre un peu de jeunesse dans sa nuit ! Les quelques minutes à converser avec elles me permettent de réaliser à quel point elle est désirable et surtout, que cela semble réciproque !
Mais par expérience, vitesse et précipitation ne me permettront jamais d’aboutir. Je m’excuse donc et reviendrai plus tard vers elle. Car pour l’heure, c’est de virilité dont j’ai besoin. L’Apollon aperçu dans mon périmètre de chalandise a déclenché en moi quelque chose de pavlovien. D’ailleurs, où est-il ?
Je n’ai pas à chercher longtemps. Son regard est planté dans le mien et semble m’avoir verrouillé. Plus que cela, même, il me semble qu’il vient de me jauger, comme s’il fouillait dans mes pensées et mettait à jour mes désirs les plus inavouables. J’accepte la coupe de champagne, elle me désinhibera quelque peu. Je hais les vernissages et autres réceptions du même acabit. L’hypocrisie y est presque toujours palpable et faire des courbettes ne m’excite pas vraiment. Comme à mon habitude, je me rapproche du buffet et par la même occasion, de ce bel homme.
Mais c’est sans compter sur les gens qui me tombent dessus de tous côtés au prétexte de me parler d’art, de couleurs et je ne sais trop quels noms d’artistes. Ayant du mal à être réceptif, je masque mon ennui avec du champagne. À la cinquième coupe, je dois constater que l’Apollon semble avoir disparu. Déçu, je traîne encore un moment. Mon amie est submergée lorsque je veux la prévenir de mon départ, je décide alors de m’éclipser discrètement. Je trouverai un prétexte bateau pour lui expliquer.
Retrouver l’air frais me fait du bien, et la cigarette que je m’octroie, n’en parlons même pas. Au bout du parking, les fesses sur le capot de ma voiture, les yeux dans le ciel étoilé, je perçois à peine quelques rires qui s’échappent de la réception. Un rapide bilan me fait réaliser que je sauterai pas la belle sexagénaire ni ne me taperai pas le beau mec. Je satellise ma cigarette en me redressant, ouvre grand mon pantalon face au néant et laisse voler dans les airs un interminable jet d’urine.
— Qu’elle envie ? s’exclame-t-on juste derrière moi. Combien de verre ?
Juste à ma droite se trouve... le fameux mec. Sans attendre ma réponse, il ouvre son bénard, saisit sa virilité et commence à pisser sans aucun complexe.
— 5 ! répondis-je en secouant ostensiblement les dernières gouttes. Qui dit mieux ?
— Pas mieux, mais lui faire prendre l’air est tellement agréable, non ?
La nuit ne me permet pas vraiment d’apprécier la chose, mais l’occasion est tellement inespérée, d’autant qu’il me tend... la perche.
— En effet, à condition qu’elle ne soit pas trop lourde à porter ! Le grand air requinque, c’est bien connu !
— Je ne suis pas contre un peu d’aide. lâche-t-il. Sinon, j’aurais pissé seul dans mon coin. Qu’en penses-tu ?
Sa phrase se termine en même temps que sa miction. Sans prendre la peine de ranger la mienne, je passe derrière lui et vient faire connaissance avec sa verge. D’une main délicate, j’étreins un sexe mou plutôt volumineux et en perçois immédiatement la réconfortante chaleur. Lourd et d’un bon diamètre, il semble se terminer par un nœud très conséquent et recouvert de son prépuce qui ne manque pas de m’arracher un grognement de satisfaction.
— C’est ce que j’ai pensé dès que je t’ai vu, ce soir. dis-je. Lui, c’est du lourd ! À peine t’ai-je vu que déjà j’avais envie d’en connaître davantage.
— Comme quoi les grands esprits se rencontrent... Tu ne veux pas qu’on bouge de là ? J’en ai assez pour ce soir des bla-blas.
— J’allais partir.
Je lâche à regret ma trouvaille alors qu’il m’invite à le suivre jusqu’à chez lui, à la seule condition d’assumer en me faisant comprendre de ne pas lui faire perdre son temps. Je relève le défi et compte bien exploiter ma découverte.
En quelques kilomètres nous arrivons dans la cour d’une petite ferme située en rase campagne. Le genre d’endroit où on ne craint pas réveiller les voisins ! À peine arrivé dans son salon, je le vois ouvrir sa chemise et comprends qu’il y a urgence. Il me propose pourtant un verre, mais alors que je découvre son torse aussi poilu que puissant, c’est bien de sexe que j’ai soif.
— Après, de préférence. Là...
— T’as raison, j’ai trop envie ! Quitte tes chaussures et suis-moi. dit-il d’un ton qui ne laisse aucun doute sur son côté directif.
Quelques marches et nous voici sur une mezzanine hyper cossue. Le lit en est l’élément central ; près du sol, il n’est collé à aucun mur. Comprenant ses désirs, je laisse tomber mes vêtements sans pudeur. Il en fait de même juste à côté de moi. Son corps est magnifique, juste musclé ce qu’il faut, sans une once de gras. Je n’ai quant à moi aucun complexe, je sais plaire aux femmes comme aux hommes, physiquement et sexuellement.
Mais lui, en plus d’avoir un corps hyper séduisant et une gueule d’ange, dispose d’un service trois-pièces prometteur. Sa verge est déjà d’une belle taille, mais elle se termine par un nœud d’un volume inquiétant —pour ne pas dire préoccupant— alors qu’il est caché sous son prépuce. J’ai déjà eu l’occasion de sucer quelques très beaux glands et j’en garde un excellent souvenir. Mais jamais aussi gros que celui-ci.
— Elle est magnifique, dis-je en passant ma main sous ses bourses tout en soupesant son vît. Beau morceau !
— Tu es plutôt bien équipé, toi aussi. Et costaud, en plus. Viens vite ! lâche l’homme en claquant ma fesse. Avec un cul pareil, on devrait bien s’amuser, et j’ai besoin de sexe, ce soir.
À peine suis-je allongé sur le lit qu’il se place à genoux, son bel organe face à moi. N’y résistant plus, je saisis la lourde queue et porte à mes lèvres la spectaculaire matraque.
Je me demande quelques secondes si ce gland va rentrer tant il est volumineux. Certes, j’ai très envie de me jeter dessus, de la décalotter pour goutter à ce phénomène, mais la raison m’impose de prendre mon temps. L’objet fermement tenu, seul le bout du gland dépasse ; j’en darde le méat du bout de la langue et glisse ensuite sous le prépuce, lui aussi très souple, le temps d’en apprécier la douceur. Cette queue prend lentement vie en gonflant et s’allongeant entre mes doigts. Une petite traction sur la hampe fait éclore la bête. Le prépuce glisse pour libérer un énorme champignon, coiffant cette grosse verge... d’un casque de pompier, tout aussi luisant et lisse. Son gland est une beauté indécente, et simplement disproportionnée.
Il me rappelle instantanément cet acteur porno italien très connu que l’on nomme “Champignon”, avec un très beau gros gland spongieux. C’est un sacré baiseur et je ne compte pas les fois où je me suis branlé en le regardant se faire pomper le nœud par de belles femmes. Pourtant déjà bien membré (et sacré queutard !), il ne fait pas le poids face aux organes de mon Apollon. Il ne reste plus qu’à voir ce qu’il donne au lit !
Je le lèche comme on lèche, enfant, ces sucettes géantes si fascinantes, ou plutôt comme une méga boule de glace fichée sur un cornet, et que l’on lèche de tous côtés quand elle commence à fondre. Lorsqu’il est bien humide, j’ouvre la bouche au maximum et fonds sur ma proie, ivre de désir. Énorme, il bute, s’écrase, se déforme contre mes lèvres, puis parvient pénétrer ma bouche. Il m’assure ne pas se formaliser, car il y est habitué et m’encourage à persévérer. Il est évident que ce n’est pas le candidat idéal pour tenter une gorge profonde !
Cependant, il est d’une douceur exquise, d’une incroyable souplesse, un régal pour un gourmand comme moi, même si j’en ai “plein la gueule”, je le branle en jouant “les ventouses”. Je sens raidir sa hampe fermement maintenue entre mes doigts, au fur et à mesure que je me dévisse la mâchoire pour le téter. Alors qu’il commente son ressenti, une main maintient ma tête et l’autre caresse mon dos en revenant régulièrement sur ma croupe.
— Hummmm... j’avais très envie d’une bonne bouche. souffle-t-il. Tu es un suceur, toi. Ça se sent immédiatement, que tu aimes ça. En plus, tu es super bien monté !
Lui répondre me permet de refermer la bouche quelques secondes. Il profite de cet instant pour se placer en 69 et prendre ma verge entre ses lèvres. S’il paraît autoritaire dans ses propos, sa bouche est délicate. D’une main, il m’écarte les fesses et me suce sensuellement. C’est si rare de la part d’un mec viril que j’apprécie d’autant plus.
Face à moi, ses belles couilles velues pendent dangereusement, je ne peux les laisser plus longtemps souffrir et les gobe tant bien que mal. Elles non plus n’ont pas été épargnées par les hormones, l’homme dispose d’un sacré boulier. Et quelle drôle de sensation que celle de ma main branlant langoureusement sa verge, lorsque mes doigts butent... contre son gland ! Ma queue entre ses lèvres, la sienne qui revient tant que peu se faire dans ma bouche, je suis complètement grisé et augmente la cadence.
Je rêvais de ce beau mec et je me retrouve dans son lit ! Quand lui tailler une bonne pipe dans les toilettes m’aurait comblé, je l’ai nu à disposition ! Oubliant l’inconfort buccal que sa queue de Titan génère, je m’évertue de lui sucer le nœud le plus efficacement possible, en insistant sur le frein, zone sensible s’il en est une.
—Vas-y... oui ! lance mon sucé. Tu vas me faire décharger, continues ! J’ai les couilles pleines depuis trop longtemps !
Loin de moi l’idée de terminer en si bonne voie ! De plus, je suis plutôt fier qu’il jouisse assez vite, j’ai horreur de l’échec. Ses couilles dans une main, sa belle hampe dans l’autre, j’aspire le sommet de son gros bolet avec détermination. Mes bourses deviennent son nouveau centre d’intérêt, tout comme mon anus qui reçoit un gros doigt humide. L’espace de quelques secondes, je me demande s’il ne serait pas en train de me faire comprendre la suite du programme. Car si pour la hampe, je suis serein, son gland, lui, est préoccupant !
— Ooooooh... branle-moi fort ! Ooooouuuuuuiiiiii !
La queue se tend et sans autre forme de procès, un gros jet de sperme gicle dans ma bouche. Ce premier jet est assez salé, mais sa texture est agréablement crémeuse. Son doigt qui s’enfonce en moi m’indique la venue du deuxième. Son pubis part en avant et de nouveau, son sperme se déverse. Plus abondante, cette giclée me rend euphorique. J’aime recevoir le foutre de mes amants et m’en trémousse sur son doigt. L’avantage de ne pas prendre sa queue en bouche est que je ne suis pas pressé d’avaler ! Il me livre encore deux belles salves bien gluantes. Je donne de petits coups de langue circulaires en appréciant le goût de sa chaude semence avant de la laisser glisser dans ma gorge.
Sa verge commence à perdre de sa superbe, ma bouche se fait plus câline... Quelques lents va-et-vient sur sa hampe me permettent d’en extraire les dernières gouttes. Si ma verge n’est plus entre ses lèvres, son doigt, lui, occupe encore mon rectum. Émerveillé par son organe, je ne peux le lâcher et ne cesse de l’admirer. J’ai du mal à croire qu’un tel morceau soit entre mes doigts, là, devant mes yeux !
— Quelle bonne pipe tu m’as taillée ! lâche-t-il en basculant sur le dos. Du grand art, mec ! Et je ne connais même pas ton prénom !
— Max, uniquement pour les intimes. Et toi ?
— Emmanuel.
— Ton sperme est aussi bon que ta queue, et j’en avais trop envie. Rassure-moi, tout n’est pas fini ?
— Toi, je ne lâche pas. Mais là, on se fait un verre ? Whisky ? Vodka ?
— Whisky plutôt. Et une clope ! On peut descendre à poils ?
— J’y compte bien ! Rien que pour mater ton beau cul ! Je suis presque toujours à poils, chez moi.
Une bonne claque retentit de nouveau. Je le rassure en arguant que mon cul, je compte bien le lui montrer, même s’il me fait un peu peur avec sa matraque. J’admire son corps lorsque nous nous levons. La volée de marches descendues, il sort deux verres et me redemande ce qu’il doit y mettre.
— Un grand verre de ton meilleur foutre m’ira très bien, sinon, un whisky fera très bien l’affaire.
Un whisky reste toujours un bon interlude dans un plan cul. Déjà parce qu’il désinhibe et permet de se lâcher —ou de mieux se donner !—, mais aussi parce que c’est un bon vasodilatateur. On sirote nos verres assis sur deux tabourets hauts, accoudés au comptoir de sa cuisine ouverte. Mes yeux reviennent constamment sur son trois pièces pendu dans le vide, ce qui n’est pas pour lui déplaire, car il me dit en être très fier. Ce mec est un Top modèle de la tête aux pieds. Même ses bourses velues dépassant de chaque côté de sa lourde verge pourtant bien large sont à craquer.
J’adore l’instant d’après, l’entracte. On parle sans calcul après avoir partagé tant d’intimité et on sait que les affaires vont reprendre sous peu. Emmanuel est un très beau mec, plein d’atouts. L’intérieur de sa maison est hyper chaleureux, sans compter le fait d’être nus et libres comme l’air. Nous parlons de cul et de rien, de nos coups foireux ou des expériences désagréables. Il me confie qu’avec son gland si imposant, la sodomie n’est en général pas au menu et qu’après une turlutte, les mecs se débinent en le voyant rebander. D’autant qu’il aime beaucoup dominer et qu’au lit, en général, il prend les initiatives. Et les filles ? Un méchant coup dans le dos l’a blessé il y a quelques années. Et un concours de circonstances lui a permis de découvrir qu’entre hommes, il prenait largement autant de plaisir, la pluralité en plus. Sans compter que cela lui convient.
— Et quand le mec est fendu en deux, tu le jettes ? riais-je avec mon humour habituel. Parce que ton morceau, il faut se l’avaler !
— Il te fait peur ?
— Bien sûr que non, mais il faut reconnaître qu’elle, elle peut vite dérouter. Et pour te rassurer, j’aime bien être à la merci d’un mec, mais à condition qu’il assure. Du moment qu’il ne me prend pas pour “sa petite pute” ou “une chienne” et qu’il ne cherche pas à “me casser le cul” ! Sinon, c’est déjà l’heure de partir. On peut baiser comme des bêtes et se respecter, non ?
— Entièrement d’accord avec toi. Tu me plais, toi. Du coup, tu es partant pour remonter ? Parce que là... insiste-t-il en pointant de l’index Sa Majesté en pleine séance d’étirement.
— Pipe => whisky => clope => pipe ou... plus si affinité !
— Alors je prends une petite douche en t’attendant. dit-il en riant de ma boutade.
La nuit est belle, elle est sauvage... me dis-je en me retrouvant nu comme un ver et les pieds dans l’herbe pour tirer quelques lattes sur ma Camel par cette belle nuit étoilée. Est-ce que des extra-terrestres me regardent, à cet instant ? Je ris de ma pensée et me dis que je ne suis pas là pour admirer la Voie lactée. Et avec les atours d’Emmanuel, je préfère que ce soit ma voie arrière qui devienne... lactée.
J’arrive comme il sort de l’eau. Il me tend une serviette en me cédant la place. J’aurais préféré m’y glisser avec lui, mais la douche est plutôt petite. Je suis bref, mais insiste sur les zones sensibles. Mon “intérieur” est toujours propre lorsque je sors et que je compte draguer. Rien n’est pire pour moi que de tomber sur un homme qui me tente et de ne pas oser me laisser sauter parce que je ne suis préparé ! Maintenant, vais-je pour autant le laisser m’éventrer ?
Les lumières sont plus tamisées et rendent l’endroit vraiment sensuel. Une playlist plutôt cool est calée, la bouteille est remontée et nos verres servis. À la manière d’une sculpture grecque, je le trouve allongé en travers du lit. Je suis bi et les mecs ne m’intéressent généralement que pour leur organe. Mais lui me fait complètement chavirer, et pour peu, je me jetterais sur lui et baiserais chaque centimètre carré de son corps si je ne me retenais pas.
Pourtant, lorsque je m’agenouille sur le lit, il attrape nos verres fort remplis et trinque à notre rencontre. J’avale une grande gorgée, pose le verre sur la tête de lit et d’autorité l’oblige à rouler sur le dos. Je malaxe ses grosses bourses en me penchant sur son buste. Sans que je sache pourquoi, son téton m’excite et je le lui mordille. Je ressens un soubresaut à travers son sexe et une main vient immédiatement se poser au bas de mon dos. Je lui lèche grassement pendant que je lui saisis l’autre entre mes doigts, le pince, le fais rouler, quand je ne le tracte pas.
Sa queue s’allonge, je l’agrippe et l’écouter souffler m’excite au plus haut point. J’écarte alors largement mes jambes en me cambrant pour mettre mon cul bien offert en valeur. Je sais qu’il plaît énormément, que ceux qui se trouvent derrière ne cherchent pas à me doubler, mais plutôt à me sauter ! Et là, je veux qu’il me chauffe, qu’il me désire et vais tout mettre en œuvre pour le faire craquer, sans compter qu’il a intérêt à méchamment m’exciter pour pouvoir me la mettre. Ses doigts serrent virilement ma fesse, je sais donc où son regard se porte, j’avais vu juste. Sans lâcher ma pince sur son sein, je parcours sa toison pectorale en alternant jeux de langue, morsures et baisers.
C’est à cet instant qu’il me remet son doigt en me demandant de continuer. Je lui demande de me dire des mots crus. J’aime que l’on me stimule avec des mots. Je me retrouve à lui lécher le nombril alors que son gland turgescent vibre contre ma joue. Un mouvement de tête et je pourrais le baiser, le lécher, voir le gober ! Mais non, il m’a dit qu’il aimait diriger, je compte donc bien prendre la main jusqu’à ce que je sois hors de contrôle.
Je soulève sa matraque vers le ciel en lui lèche le pubis sur toute la largeur. La pointe de ma langue insiste bien sur le pourtour de sa verge. Il me demande de le sucer en plongeant maintenant deux doigts entre mes fesses.
— Oh oui, j’aime tes doigts. Tu me fais bander ! dis-je en lui tendant ma croupe. Claque-moi en une !
Sans se faire attendre, son autre main claque ma fesse modérément.
— Plus fort ! dis-je sur un ton péremptoire en branlant calmement sa verge.
Le coup résonne et son doigt coulisse. J’attrape sa main, la tire pour qu’elle quitte mon ventre et porte ses doigts à ma bouche. Tout en le branlant posément, je lui suce trois doigts en salivant copieusement et lui demande de les remettre. Il s’exécute comme je lui demande de me fesser de nouveau, ce qu’il fait à plusieurs reprises.
Je délaisse sa queue pour le chevaucher et pose mes bourses au niveau de son nombril. Ses doigts s’activent encore quand son autre main vient m’écarteler la raie. Je me prends tellement au jeu que j’ondule mon bassin sur ses abdominaux. Il ressort ses doigts, ce qui me permet de placer son nœud contre mon anus. J’oscille sciemment afin de le laisser s’imaginer que j’en suis rendu là.
— Tu veux me baiser ?
— Oh oui !
— Alors, fesse-moi fort. Plus fort ! Encore ! Tu as deux mains, non ?
Mon cul prend cher et les coups se succédant me font frémir. Ce qui est étonnant, c’est que je n’ai pourtant jamais eu un tel comportement avec un mec. Et le pire, c’est que ça me plaît ! Je force un peu plus contre sa verge en remuant du croupion et lui redemande s’il veut vraiment me baiser. À sa réponse positive, je me redresse, avance à genoux au-dessus de son torse et lui tends ma queue raide devant les lèvres.
— Alors, suce-moi.
Sa bouche s’ouvre et j’envoie les 2/3 de ma verge en lui. Sans lui laisser de répit, je lui suce quatre doigts et lui demande de me les mettre pendant que j’écarte mes fesses. Cela fait, j’attrape le verre de whisky, le porte à mes lèvres et le vide en trois grosses gorgées.
Je ne me reconnais plus. Mes fesses, mon trou de balle et mon pelvis sont ravagés par un incendie. Mon verre vide retrouve sa place. Je retire ma queue de sa douce bouche et lui demande s’il compte toujours me sauter.
— Plus que jamais, mec. Tu me rends dingue !
Je me lève et sens immédiatement les effets de l’alcool. Je me tourne et m’accroupis pour placer mon cul contre son visage. Sa langue agile ne demande pas son reste et lèche toute ma raie, se plante dans mon trou passablement ouvert. J’étreins sa grosse queue et présente son nœud entre mes lèvres. Je suis au paradis, mais putain qu’elle est grosse !!!
Il est bandé à rompre, les couilles gonflées dansent sous mes yeux comme je le branle et mon cœur bat si fort que je souffle du nez comme une locomotive pour ne pas m’étouffer. Mais je veux cette queue monstrueuse dans mon ventre. À demi saoul, je frotte ma croupe sur le visage d’Emmanuel en sentant sa langue plonger vers mon ventre. Son gland ressort de ma bouche gluant de salive, puissant, incroyablement large !
Ses couilles dans ma main, je peux prendre la mesure de son sexe en entier ; je tente d’imaginer les sensations procurées par son nœud glissant en moi jusqu'à ce que mes fesses rencontrent son pubis. Sa hampe ne fait pas plus de 5 cm et j’en ai pris des beaucoup plus épaisses. De même, il ne dépasse pas, ou guère, les 20 cm. Là encore, j’ai connu plus long ! Mais son nœud est si... proéminent, il dépasse tellement de sa verge qu’il semble être rapporté. L’absorber me galvanise un peu, alors l’alcool masque mon appréhension en cédant du terrain à mes pulsions. Et de toute façon, je l'ai trop allumé pour faire machine arrière ! Je me redresse et m'accroupis à ses côtés.
— Je suis prêt, tu as du gel ? J’ai trop besoin que tu me baises.
Un énorme sourire fend son visage pendant qu'il envoie sa main au pied du lit et la ressort victorieuse. Je lui présente mon séant qui aussitôt ressent la fraîcheur du lubrifiant. À ma demande, il envoie une bonne rasade directement dans mon rectum et en dépose également sur sa queue.
Sans réfléchir davantage, j’enfourche ma monture sur lui et place son vît contre ma porte dérobée. D'instinct, ses mains écartent mes fesses et je commence alors une lente danse du ventre que je veux très sensuelle. Chaque mouvement accentue la pression contre son gland. Mes yeux sont clos et je change complètement de ton pour lui chuchoter des choses salaces.
— Tu sens mon trou s'ouvrir pour ta bonne queue ? Dis, tu vas m'enculer comme un Dieu, hein ? J'aime qu'on m'encule longtemps, longtemps...
— Je vais te faire crier pour que tu n'oublies jamais cet instant. Pire, je veux t’entendre en redemander, tu vas vouloir que je te saute jusqu'à l'aube !
Plus que jamais hors de raison, je me couche sur son torse en plaçant ma tête dans son cou. Mes bras se glissent sous ses omoplates pour venir crocheter ses puissantes épaules. Enfin confortablement installé, je lui chuchote de m'enculer tout doucement. Je pousse de toute mes forces pour ouvrir mon sphincter au maximum et sens mon amant glisser en moi.
— ooooohhhhhh oui, Emmanuel ! Que c’est bon, oui, par petites poussées... Mais ne t'arrête surtout pas, je suis tout à toi !
Soudain une douleur sourde me fait planter mes ongles dans sa peau. Sa queue est sur le point de passer, mais il me faut une petite pause. En avançant mon bassin pour me soulager, la gêne s’estompe rapidement et je l’invite à me saillir de nouveau. Je respire un grand coup et le sens soudain gagner du terrain : le point critique est passé et mon sphincter se resserre autour de sa hampe, emprisonnant son nœud en moi.
Je le remercie pour sa délicatesse et sa patience en ponctuant mes mots de tendres baisers dans son cou. Je n'ai jamais eu ce comportement avec un homme et ne sais pas ce qui me fait être si tactile et si tendre ! Peu m’importe, ce soir, il en est ainsi et j'ai besoin de m'abandonner à mon amant. D’ailleurs, qui va me juger ?
Ses bras m'enserrent alors puissamment. Comme s'il s'agissait d'un signe, d'un code, cela semble m’indiquer qu’il est temps pour moi de lui laisser les commandes. J'ai fait ma part, a lui de mener le bal.
— Viens, oui, viens en moi. Pousse, je suis à toi, cette nuit... demain, tant que tu veux ! Mes reins t'appartiennent. Baisse-moi, oui... fais-moi jouir... remplie-moi de ta puissante queue et donne-moi tout ton foutre.
Pour signifier cette passation de pouvoir, je recule et son gland repousse mon rectum pour le dilater à son diamètre. Il s'engage alors de plusieurs centimètres en m’arrachant un cri de libération. Mes dents mordent ses trapèzes alors qu'il s'enfonce dans mon ventre en longues poussées. Je contracte mon sphincter pour l’aspirer et lui exprimer mon désir.
— Que c’est bon de baiser avec toi. susurre-t-il en plongeant dans mes reins. Tu as un cul merveilleux, tu me serres la queue si fort, mec !
À peine a-t-il terminé sa phrase qu'il nous fait basculer. Sans tout comprendre, je me retrouve sous son corps et par réflexe, je remonte mes jambes haut pour croiser mes pieds dans son dos. L’angle de mon bassin est ainsi parfait pour que nous nous emboitions. Sa queue recule jusqu’à ramener son gland contre mon anneau, mais ce n'est que pour mieux se renfoncer en moi. Tel un piston, il compresse mon ventre pour le transformer en terre de jouissance à chaque poussée, en propulsant des ondes de plaisir qui remonte jusque sous mes côtes.
— Alors, tu l'aimes ma queue ? Il n’est pas si gros, mon nœud, hein ? Tu vois comme il te fait du bien ?
— Oh oui, il est génial ! Aime-moi encore, ne jouis pas trop vite, je t’en prie !
— Tu ne regrettes pas d’être venu, alors ?
— Oh non, baise-moi doucement. Oui, comme ça. J’adore ta queue. Je n’aurais jamais pensé que ce puisse être aussi intense !
— C’est toi qui m’aspires. J’avais très envie de baiser de toi, tu m’excites !
Mes fesses vont maintenant à sa rencontre et ses bourses s’écrasent contre mon fessier. Il m'encule royalement jusqu'à la garde et les images de sa queue bandée dansent sous mes paupières closes. Couché sur moi, seul son ventre se décolle lorsqu’il soulève ses fesses pour manœuvrer son Timon. Malgré ses mensurations et le volume de son membre, il n'est absolument pas brutal et ce qu’il m’apporte est sans commune mesure.
Contrairement aux très grosses queues, cette pénétration n’est ni irritante ni douloureuse. Une hampe très large ou très renflée distend en permanence le sphincter, alors qu’avec lui, une fois son nœud passé, mon anneau se referme autour de lui pour mieux l’épouser. De même, une XXXL va souvent beaucoup trop loin dans mon ventre là où celle d’Emmanuel est d’une longueur parfaite, puisque son gland repousse délicieusement le fond de mon rectum quand son pubis arrive à mon contact. De son énorme piston, il chauffe graduellement mon moteur pour me faire monter dans les tours.
Je saisis ses flancs pour faire corps avec lui en criant mon bonheur d'être si bien pris, que jamais je n'avais ressenti autant un gland me travailler le ventre. Les premières sodomies irritent tellement le sphincter qu'il est difficile de penser à autre chose pendant et après l'acte. Alors qu'un rectum "habitué" reste souple et permet d'accueillir une verge en ne profitant que des sensations que celle-ci procure. Et Emmanuel est un “super-générateur”, car le moindre mouvement me fait frissonner.
Emmanuel est inépuisable. Il me prend depuis plus de 10 minutes en changeant régulièrement de cadence et d’angle. À l’écoute de la moindre de mes réactions, de la moindre contraction de mon ventre. Il m’accompagne vers le plaisir suprême avec énormément de tendresse et mon corps entier réclame ma jouissance.
Je lui crie que je vais jouir et que je voudrais que ce soit en même temps que lui. Il m’entraîne alors en douceur sur le côté et m’offre dans cette position de puissantes vagues de plaisir.À l’image d’une patelle qui s’arrime à son rocher, je l’étreins de toutes mes forces et serre fort les fesses pour emprisonner son sexe devenu immense et m’assénant maintenant de véritables coups de bélier, ses bourses ballotant contre ma croupe. D’une main protectrice, il attire ma tête contre lui. Ses coups de reins s’accélèrent encore, propulsant cette énorme masse de chair au fond d’un rectum rendu au point de non-retour. La longueur de son sexe est idéale, allant très loin sans générer la moindre douleur.
La tête dans son cou, je hurle son nom et ma jouissance, mes doigts plantés dans son dos alors que mon ventre est parcouru de spasmes. Au même instant, criant tout aussi fort que moi, je sens que chaque prodigieux coup de bite propulse en moi un puissant jet de foutre, se répandant dans mes entrailles en pétillant, comme s’il s’agissait de bulles de champagne. Il m’insémine à de multiples reprises avant de s’immobiliser, ses bourses collées contre mes fesses, épuisé par la puissance de son orgasme. Nos corps ne font qu’un, unis, emboités, soudés... Nos fluides se transférant, le sien chemine au creux de mes reins, le mien se répand entre nos ventres collés de sueur.
Le temps semble soudain ne plus être quantifiable. Nos souffles se stabilisent et notre étreinte lentement se relâche. Je sens le vît de mon amant devenir plus souple et un gargouillis significatif m’indique qu’Emmanuel à éjaculer une sacrée dose. De même que mon sperme se liquéfie pour s’écouler entre nous. Tout cela fait partie du sexe et ne fait qu’enrichir le souvenir de mon orgasme. Et quel orgasme !
Je voudrais qu’il reste en moi. Même partiellement débandé, son terrible nœud reste un point de référence, un repère en moi. Je dépose quelques baisers dans son cou pendant que d’une main tendre, je caresse affectueusement son dos et ses fesses. Je réalise ce que je suis en train de faire... à un homme ! Mon sang, saturé en endorphine et en cortisol, nourrit mes centres de plaisirs, le fameux “circuit de la récompense”. Plus concrètement, je viens d’avoir un orgasme à déchirer le ciel et... pourtant, j’ai encore envie de lui, peut-être encore davantage.
Le sentir glisser hors de moi est presque un déchirement et crée un grand vide. Il roule sur le dos et ne semble pas avoir plus envie que moi de parler. Assis sur le lit, je ne me lasse pas de regarder son corps si beau, si parfait. Sa verge amollissante repose sur le pli de a cuisse, s’octroyant le repos du valeureux guerrier. Je me penche sur son ventre et lèche avec méthode la flaque de sperme qui le macule. Sa peau sentant le mâle et le foutre a quelque chose de grisant qui le rend irrésistible.
Puis je prends sa verge revenue “à une taille humaine” et entreprends de la nettoyer avec la même attention. Lorsqu’elle n’a plus aucune trace de sperme, je prends soin de bien replacer son prépuce et dépose son sexe sur son ventre poilu.
— Tu n’es pas banal, toi. chuchote-t-il en me caressant. Quand tu le fais, ce n’est pas dans la demi-mesure !
— Tu m’as tellement fait de bien, je ne me rappelle pas avoir déjà autant joui !
— J’ai adoré, vraiment. confie-t-il en caressant ma joue.
— Impossible de m’arrêter avec toi. dis-je en prenant ses belles bourses pendantes dans ma main. Hummmm... t’es pas un amant, toi. T’es un véritable aimant !
— Je reconnais qu’il est difficile de te résister. Tu es... attirant. conclut l’homme en palpant ma croupe. Tu as la fesse attractive !
— C’est du Daho, ça.
— Il a écrit une chanson sur tes fesses ? t’as couché avec la terre entière ?
— Presque ! C’est des attractions désastre. Tu as déjà écouté les paroles ? En plus, je t’ai trouvé dans une exposition !
Daho !
M'avez-vous déjà vu quelque part ?
Rafraîchissez-vous donc la mémoire
Extasié devant une toile de Witsen
A Rome, Londres ou Rennes
Vous m'appeliez Etienne
Cherchant le magicien et sa dose
New York, Café Reggio, je suppose....
En plein cœur de l'ivresse
Au milieu du chaos
Accoudé à un bar, vous m'appeliez... Daho !
Vous en avez de bonnes à Lisbonne ?
De salaces à Paname, Amsterdam ?
Etais-ce une quille ou un glaçon, va savoir...
Dans le noir, dans le ton,
Quel que soit l'abandon
Pourvu qu'il soit le bon
Sur d'experts toboggans
Vous m'avez vu glisser
Mais y glisser avec délices
Certes !
Ooh j'aime tout
Je veux goûter à vous
Ooh j'aime tout
J'veux me donner à vous
Avant que j'm'en aille
Avant mes funérailles
De la vie faire ripaille
Avant que j'm'en aille
Les flèches que Cupidon m'a décrochées
N'étaient que des haches dans le dos
Et si j'ai rampé tout en bas
J'ai surfé aussi tout là-haut
Sur des cimes ondulantes...
Hop, j'enchaîne....
Du lever du soleil brûler
Jusqu'au matin crème
Se frotter à tout c'qui bouge
De palaces en bouges
Non, je n'épargnerai ni moi, ni personne
La fièvre n'est pas un don, mais un dû
Les provocs de cette foutue ville
Rendent certains hyper hostiles
Mais moi, j'avoue qu'ça m'tente
Mais je n'ai pas le rouge au front
Et je ne suis pas sur le flanc
Et je ne suis pas si mauvais
Non, je ne suis pas si maudit
Mes 20 ans, sainte vierge...
Enfin bon, j'abrège....
Du lever du soleil briller
Jusqu'au matin grège
Avant que j'm'en aille
Jouer à qui perd gagne
Et de la vie faire ripaille
Avant que j'm'en aille
Mais dans ma ligne de fuite s'est brisé
Pour me mettre à la colle des tes 22 étés
J'abandonne aujourd'hui mes attractions
Désastre et tu viens avec moi, faire l'avion
Comme tout couple venant de déchirer le ciel, nous restons collés l’un à l’autre en laissant nos doigts parcourir nos corps avec tendresse. Nous convenons que ce que nous venons de vivre n’est pas banal et remarquons tous les deux qu’il y a une véritable attraction ! Il est vrai que je l’ai suivi en pensant vivre un plan cul de plus, et qu’atteindre un tel niveau de complicité était totalement impensable ! C’est la magie des rencontres et c’est pour cela que le sexe entre hommes m’attire autant. De là à pouvoir expliquer mon comportement avec lui... peut-être sont-ce les phéromones, ou alors ai-je trouvé LE mâle alpha.
Le sperme de l’alpha se rappelle à moi en s’écoulant le long de ma fesse. Il m’a tellement distendu que j’ai pour anus un hall de gare, et cela l’amuse. Moqueur, il s’échapppe quelques instants et revient avec mes clopes, un cendrier et deux Cocas. Alangui sur le lit l’un en face de l’autre, je me sens si bien. J’ai rarement été si à l’aise dès les premières heures avec un mec. Je conçois tout à fait le sens de l’expression “jeter la clef par la fenêtre”. Simplement rester enfermé avec lui et faire l’amour, encore et encore.
Avec délicatesse, je retourne m’occuper de son sexe, profitant qu’il est complètement débandé pour parvenir à le prendre entièrement entre mes lèvres. Tout en massant ses bourses, je le décalotte et promène ma langue sous sa couronne, reprends en bouche sa hampe molle avant qu’elle ne gonfle trop et tente de lui faire un vrai pompier, en vrillant bien ma succion afin lui offrir le meilleur rendu. Je m’habitue à son organe et trouve mes marques. Un calibre, ça s’apprivoise ! Il grossit cependant très vite, m’obligeant à revenir à son seul gland. Quelques minutes entre mes lèvres lui suffisent pour bander comme un taureau, et surtout faire naitre en moi l’envie de m’empaler sur lui.
Le sucer me remet littéralement le feu aux fesses ; mon ventre, pourtant mis à l’épreuve 1/2 heure plus tôt, en redemande, et Emmanuel semble prêt à reprendre là où nous avons... mis en pause.
— J'ai encore besoin de te sentir en moi. Ta queue hante déjà mon esprit. Elle m'obsède, me fascine et tu m’as si bien pris...
— Dis-toi que c'est un désir partagé, Max. Viens faire l’avion.
— Pendant que tu vas et viens en moi, je n’ai pas l’impression de baiser, mais celle de faire l'amour avec toi. Réellement. Enfin, c’est ce que je ressens, une sorte d’osmose.
— Ton corps me plaît, ta bouche me fait bander en une poignée de secondes et lorsque j'écarte tes fesses, que mon nœud te dilate... j'ai presque envie d'en ressortir pour recommencer. Et j’aime être collé contre toi également.
— Alors, fais-nous du bien. Encule-moi jusqu'à ce que j'en boite. dis-je en le reprenant entre mes lèvres pour bien le lubrifier.
Andromaque est une position que j'affectionne, et plus particulièrement avec les hommes fortement membrés. Je le chevauche donc, mais en lui tournant le dos cette fois, qu'il puisse admirer mes fesses absorbant son colosse, puisque ça le stimule.
— Avec ce que tu as joui, tu m’as graissé pour la nuit, je suis encore plein de sperme !
À peine mes fesses écartées, son sexe trouve place. Avide de plaisir pur, je descends à sa rencontre. Le sensationnel est au rendez-vous, et le sentir repousser mes chairs pour se frayer un chemin à un doux mélange de souffrance et d'extase, de naturellement contre nature ! Millimètre par millimètre, il force ma voie et glisse dans mon ampoule en m'arrachant des feulements, des râles d'extase.
— Tu le sens que c'est là ta place ? Rien que pour ça... je t'adore. Faisons l'amour, cette fois. Oh ouiiii ! Fais-moi l'amour, tout en douceur, j'aime sentir ta grosse queue glisser en moi.
À peine l'ai-je absorbé que je nous désunis, rien que pour qu'il puisse me la remettre. Et de nouveau, me revoilà sur le toboggan du bonheur. Je n'ai jamais compté le nombre d'hommes qui m'ont sodomisé. Bien plus d'une cinquantaine, assurément. Mais aucun, non, aucun ne m'a donné autant de sensations positives à la pénétration ! Certains étaient des amants d'exception, endurants et attentionnés, me faisant atteindre de multiples orgasmes. D’autres possédaient des queues incroyablement épaisses ou beaucoup plus longues que lui ! Mais Emmanuel possède "une dimension" que les précédents n'avaient pas, un plus sans pareil : un gland monumental, un véritable champignon, et comestible, qui plus est.
Je ne suis pas pressé et m'empale par de petits mouvements d'avant en arrière. Il me flatte de mots croquants et chauds en me couvrant le dos et les fesses de caresses pendant que les premières bouffées de chaleur envahissent progressivement mon ventre. Ses bourses me servent de Talisman, je les malaxe comme le religieux égraine son chapelet. Seule ma méthode de prière diffère, car le but reste commun : aller tout là-haut.
Je m'ouvre et me contracte autour de sa verge, remonte pour chaque fois gagner plus terrain. Il glisse en moi avec délice, tant je le désire de tout mon être. Lorsque mes fesses se posent sur son pubis, je n'ai qu'à osciller mon bassin pour crier de plaisir. Je lui jure d'allumer un cierge pour vénérer St Andromaque jusqu'à la fin de mes jours ! La longueur de sa queue est juste parfaite pour distendre délicieusement mon rectum et le volume de son nœud m’irradie de flashs multicolores. Je n'ai qu'à contracter et relâcher mes muscles en remuant mes fesses sur son ventre pour ressentir une intense jouissance. Ses mains sur mes hanches, ses pouces écartant largement mes fesses, il me donne de petits coups de reins en me répétant qu'il n'a jamais eu autant l'impression qu'un cul le suçait, l'aspirait. Je serre ses couilles en râlant d'extase, persuadé d'avoir trouvé mon point G et l'homme idéal. Dans un tourbillon de frissonnements, sans éjaculation et sans comprendre comment, je jouis.
L'égoïsme étant à proscrire en matière de sexe, je le laisse ressortir. Il bande à tout rompre, son gland semble suspendu au-dessus de son nombril, vibrant au rythme de ses pulsations cardiaques. Sa verge est marbrée d'écume par l'émulsion de son sperme. Je la lèche méticuleusement sous l'œil amusé de mon beau mâle, en terminant par quelques aller-retour autour de son gland. Lorsque je redresse la tête, son sourire me fait fondre. Jamais un homme, aussi viril soit-il, n'a déclenché en moi autant de paradoxes. Là, à travers son regard, je me sens soudainement... féminine, n’ayant pour envie que de recevoir son sexe en moi.
Est-ce accentué par un mélange de fatigue et d'hormones sexuelles ? Est-ce dû à notre indéniable attraction ? Pour la première fois de ma vie sexuelle, il me semble être capable de tomber amoureux d’un homme. Sans quitter son regard, sa splendide queue fermement tenue entre mes doigts, je lâche un long filet de salive au-dessus de son gland et viens m’empaler sur lui. Ma tête contre la sienne, il entre en moi d’une seule poussée. Nos petits mouvements mutuels nous unissent de plus en plus profondément. Je lui chuchote des choses terribles, des choses inédites pour moi, alors qu’il détient mes reins au bout de sa verge et mes fesses entre ses doigts.
Je me contorsionne pour accéder à son sein et le mordiller en remuant des fesses pour mieux lui appartenir. Je me surprends à retrouver des postures que mes maîtresses ont prises lorsque je les possédais, et j’y prends goût. Je me redresse et prends appui des deux mains sur ses cuisses ; ainsi penché en arrière, je ressens d’autres pressions, d’autres plaisirs. Ma queue alors entre ses mains ne me livre pas autant de bien-être que sa verge me fouillant ardemment. La tête fracassée de paradoxe, je lâche prise et danse sur son vît qui me fait voler d’orgasme en orgasme, râlant, couinant, hurlant même à certains moments en le chevauchant pendant ce qui me semble être une éternité.
Je retrouve sa verge luisante de son foutre et de mon plaisir avec délectation. Comme je le lui ai crié entre deux jouissances, il m’a prévenu de son envie de jouir. Agenouillé entre ses jambes, je m’évertue à le sucer le plus efficacement possible en le regardant droit dans les yeux. Ses couilles remontent de part et d’autre de sa hampe, m’indiquant qu’il est temps pour moi de placer ma bouche sur son nœud en le branlant fort, comme il aime. Une série de sons rauques venues du fond de ses poumons accompagnent de puissants jets de foutre que je m’empresse de recevoir en gloussant de plaisir. Mon étalon a craqué pour la troisième fois, me gratifiant pourtant d’une belle dose de son divin sperme. Je l’avale comme un alcool rare , puis accompagne la queue d’Emmanuel encore un long moment avant de lui rendre sa verge amollie et de venir m’étendre contre lui.
Un genou sur sa cuisse, mon sexe contre sa hanche et la tête sur son épaule, je dépose en baiser sur sa joue en promenant mes doigts sur son buste poilu. Comme son bras se referme sur mon dos, je le remercie pour tout ce qu’il vient de me procurer et nous glissons dans un profond sommeil... réparateur. L’idée que je puisse me rhabiller et repartir n’a même pas été abordée.
Une luminosité intense inonde la pièce lorsque je refais surface. Le soleil déjà très haut frappe un Vélux que je n’avais même pas remarqué. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir été sur le dos. Mon esprit lentement se restructure, revivant en quelques secondes les moments clés de ces dernières heures. Un regard vers ma droite me rassure instantanément : il est bien là et semble encore profondément assoupi.
Ses cheveux en bataille n’altèrent en rien sa beauté et les “doux désordres” de mon ventre ce matin me rappellent sa toute-puissance, le plaçant au rang de demi-dieu du sexe. Le désir soudain s’empare de moi et c’est avec une lenteur toute mesurée que je glisse sous le drap. Je m’emploie alors à lui prodiguer un doux rite sacerdotal jusqu’à ce qu’il déverse dans ma bouche sa divine semence.
Si la sodomie livre des plaisirs aussi multiples que variés, elle reste “étroitement” liée à la participation de son partenaire. En revanche, la fellation reste sous le contrôle de celui qui la prodigue. C’est pour cette raison que j’adore sucer et qu’à mes yeux, l’ultime récompense reste l’éjaculation buccale. Emmanuel me récompense copieusement et nous commençons ainsi tous les deux fort agréablement notre journée.
Celle-ci sera sous l’égide de la bonne humeur et ponctuée de complices moments de sexe. Son gland majestueux s’abritera à maintes reprises au fond de mon ventre avant que le soleil ne se couche et que je ne prenne congé. Les 150 kilomètres qui me ramenaient chez moi m’ont semblé interminables, mon corps accusait un certain surmenage. J’étais aussi vidé que j’avais été rempli.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Rollerbi
5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je viens de relire votre récit et j'adore tout autant!!! Superbdement bien écrit! Je me demande... Vous avez à présent quel âge...?Et qu,est devenu par la suite le beau Emmanuel?
Bonjour vous tous !
Je vous remercie pour ces gentils commentaires !
Emmanuel avait la trentaine et moi 27 ou 28 ans. Nous nous étions rencontrés lors d'un vernissage, comme il l'est expliqué dans le texte.
Pour ce qui est de la Fanfiction, eh bien je viens d'apprendre quelque chose. Je n'en avais jamais entendu le terme et le côté "lemon", c'est ma façon d'essayer de vous retranscrire au plus juste ce que nous avions vécu et ressentis.
Des bises à vous tous et mille mercis !
Rollerbi
Je vous remercie pour ces gentils commentaires !
Emmanuel avait la trentaine et moi 27 ou 28 ans. Nous nous étions rencontrés lors d'un vernissage, comme il l'est expliqué dans le texte.
Pour ce qui est de la Fanfiction, eh bien je viens d'apprendre quelque chose. Je n'en avais jamais entendu le terme et le côté "lemon", c'est ma façon d'essayer de vous retranscrire au plus juste ce que nous avions vécu et ressentis.
Des bises à vous tous et mille mercis !
Rollerbi
Dans le language des fanfiction on appelle ça un lemon,mais vue que c'est une histoire vrai ça n'en est pas un!Tout ce que je peux dire,c'est que c'étais magnifique!!! D'une puissance intense!!!! J'ai tout simplement adoré
Franchement c'était magnifique certains n'y verrons que du sexe, mais moi j'y vois tout. Ton style d'écriture est vraiment delicieux, toutes ces figures de style donne à ce récit un dimension que j'ai envie d'appeler lyrique. Je ne sais pas ton age je ne te connais pas et pourtant je l'apprécie déjà . Cette histoire, ce moment j'espère un jour pouvoir en vivre un similaire avec un homme qui me plait. Je finirais la dessus, j'ai souvent lu t'est textes pourtant je n'y avait jamais trouvé autant d'émotions que dans celui-ci peut être étais moi qui été aveugle ? J'espère pouvoir te relire avec les même émotions merci beaucoup.
beau récit très bien écrit et tout en détails, juste manque quelques précisions au niveau de lage du mec et aussi au début le lieu de cette rencontre.
néamoins superbe, en attente de pouvoir lire la suite ...
néamoins superbe, en attente de pouvoir lire la suite ...