Titre de l'histoire érotique : Il en avait une belle 2/2
Récit érotique écrit par Rollerbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Il en avait une belle 2/2
Sa femme le pensait quelques jours au calme dans leur maison de campagne. Cela lui donnait une liberté relative et il escomptait mettre son temps libre à profit. Le message était ainsi bien clair ; nous renfilâmes nos vêtements puis Guy me déposa à ma voiture avant de me suivre. Après une petite visite des lieux, il partit à la douche le premier, j’en profitais pour fumer une cigarette et nous préparer de quoi manger un peu. Quand à mon tour je sortis de la douche, je le retrouvais sur le canapé, vêtu seulement d’une serviette nouée autour du ventre.
Grignoter ne combla que nos estomacs et nous savions tous les deux que seule la suite nous importait. Je repensais à l’invraisemblable dose de sperme dont il m’avait gratifiée, à l’évidente puissance de son sexe, mais je tentais tout de même de garder la tête froide. Je lui proposai autre chose pour terminer ce pseudo-repas, mais il me fit son plus beau sourire en dénouant sa serviette. Sa queue à demi-bandée ne laissait planer aucun doute sur la suite du programme.
J’emportais Guy jusqu’à la chambre, laissant simplement une lampe allumée dans le salon. Les fenêtres grandes ouvertes laissaient la fraîcheur de la nuit entrer ; les voisins les plus proches étaient à un bon kilomètre de là, nos ébats ne gêneraient personne.
En un rien de temps, nos verges plongeaient dans nos bouches respectives. Je devais reconnaître sa réelle motivation à me sucer, il s’y prenait vraiment très bien. De mon côté, je savais qu’il ne jouirait pas en quelques minutes, mais qu’il attendait de ma part plus d’entreprises. Alors que je gobais ses bourses, un doigt inquisiteur parcourait son entre-fesse. Cette initiative ne lui déplut pas, bien au contraire, puisqu’il replia sa jambe pour m’offrir plus d’ouverture. J’entrepris donc de remplacer mon doigt par ma langue.
Pour être tout à fait honnête, ça n’a jamais été ma tasse de thé, avec un homme. Mais Guy était franc, honnête et il me semblait légitime de donner, c’est encore ainsi que l’on reçoit davantage. Ma verge glissait entre ses lèvres aussi facilement que ses deux doigts naviguaient dans mon anus lorsque d’une langue baveuse je remontai sa raie des bourses à l’anus. Sa queue instantanément se raidit entre mes doigts lorsque je revenais darder sa petite étoile plissée et un gémissement d’approbation confirma son adhésion.
Délaissant momentanément sa verge, j’écartais ses globes et décidais de me focaliser sur cette seule partir de son anatomie. Pendant de longues minutes, je suçais son petit trou, le pointais du bout de la langue, en faisais le tour pour mieux y revenir. Guy lâchait ma queue pour me dire qu’il appréciait et qu’il en rêvait depuis longtemps. Mes doigts le sondèrent et je le sentais s’ouvrir avec... appétit. Rapidement, ma langue parvenait à le pénétrer et je me rendais bien compte qu’il était prêt.
Sans un mot, j’attrapais un préservatif dans la table de chevet et le lui tendais. Il le plaça sur ma verge et à ma demande, le suça en mettant le plus de salive possible. Pendant ce temps, je salivais en léchant son cul, soucieux de lui donner du plaisir. Sans que j’aie à pronnoncer le moindre désir, il vint de lui-même se placer contre moi, son dos contre ma poitrine, en cuillère, guidant lui-même ma verge vers son anus.
Comme il prenait de l’initiative. Je saisissais sa verge dure comme de l’acier et le branlais lentement en sentant mon gland repousser sa chair. Il s’empalait seul et soudain, mon nœud eut raison de sa virginité. Je sentis un spasme parcourir son membre et lui dit de prendre tout son temps, que seul son plaisir m’importait. Après une bonne trentaine de secondes, il me dit qu’il se sentait prêt. À petits coups de reins, je gagnais du terrain. Son sphincter serrait agréablement ma hampe et la chaleur de son ventre me donnait envie d’aller de plus en plus loin.
Il saisit mes couilles en me disant qu’il aimait bien me sentir en lui. Je n’ai sodomisé que quelques hommes dans ma vie, mais Guy reste à ce jour mon meilleur souvenir. Il était si désireux de découvrir ce plaisir et si précautionneux ! Je branlais langoureusement sa longue et grosse queue en le pénétrant en longs va-et-vient, comme j’aime être pris moi-même. Je réussissais à passer mon bras libre sous lui et lui pinçais le sein, le faisant rouler entre mon pouce et mon index.
— Tu te sens bien ? Je ne te fais pas mal ? m’inquiétais-je à son oreille.
— Oh non, mais elle est grosse, ta queue.
— Hummmm... moins que la tienne. C’est ça qui est bon. C’est de se sentir rempli, distendu... De sentir cette masse aller et venir dans son ventre.
— J’ai l’impression que tu vas ressortir par la bouche tant tu me sembles immense.
— Si tu ne peux plus, je m’arrête ! insistais-je.
— Non, je veux te sentir jouir en moi. J’en ai vraiment envie.
— Et toi, tu jouiras dans ma bouche ? J’ai très envie de goûter ton sperme aussi.
— Ouiiii ! Mais viens d’abord en moi, s'il te plaît.
Ses désirs devinrent des ordres. Je pris le temps qu’il fallait pour lui enfiler ma bite jusqu’aux couilles, mais par expérience, un préservatif sans pose lubrifiant... Il serrait les fesses, les envoyait contre mon pubis, m’excitait avec des mots choisis en me cajolant les bourses. Ne cherchant pas à m’éterniser, je jouissais longuement entre ses fesses, l’entendant me répéter que c’était trop bon, que je l’avais royalement dépucelé et qu’il m’enculera tant que je le désirerais.
Le courant d’air glissait sur nos corps échauffés. Immobile et plongé en lui, je caressais son torse venu à souhait. Ne voulant pas être inconfortable pour lui, je laissais glisser ma verge hors de lui. Il retira lui-même mon préservatif et caressa ma queue en me remerciant de ma douceur. Il me nettoya entre ses lèvres, ravissant les quelques gouttes restantes en me disant que “ça n’avait pas l’air mauvais”.
Sa queue me narguait toujours et même si je venais de jouir, le spectre de son éjaculation n’avait toujours pas quitté mon esprit. Je m’agenouillais entre ses jambes et lui demandais de tout me lâcher. Ses couilles dans une main, je le pris en bouche et me mis à le pomper comme un affamé. Ma main parcourait sa hampe dans un puissant mouvement hélicoïdal au rythme de ma bouche plongeant sur son vît.
— Tu veux tout mon jus ?
— Hummmm...
— Tu sais que j’en ai beaucoup !
— Hummmm...
— Oh oui, continue. Tu suces bien. Tu la trouves belle, ma queue ?
— Hummmm...
— Ooooh... je vais venir !
— Hummmm... hummmm...
— Ouiiii ! Attention, je viennnns !
Accompagné d’un puissant râle, son foutre jaillit comme le jet d’un pistolet à eau, remplissant ma bouche copieusement à chaque rasade. Je m’empressais de déglutir pour en avaler un maximum, mais il en renvoyait autant à chaque spasme, si bien qu’il en coula un peu le long de sa longue queue et que je terminais en léchant sa hampe, les yeux brillants. J’avais eu de gros juteurs à maintes reprises entre mes reins et mes lèvres. Mais avec Guy, tous avaient été battus, et c’était sa deuxième éjaculation !
— Là, tu m’as comblé. dis-je en étreignant sa longue queue amollissante comme un trophée. D’où en sors-tu autant ?
— Tout ce que je sais, c’est que tu es le premier à y voir une qualité. Ma femme, ça la fait fuir ! C’était bon ?
— J’adore ! Ce que tu m’as mis dans le ventre tout à l’heure, je l’aurais bien volontiers dégusté !
Il me répondit qu’on aura d’autres occasions. J’eus envie d’une cigarette et lui demandai s’il voulait venir dehors avec moi. Ramassant mes clopes au passage, je l’emmenais jusqu’à la piscine… Je n’allumais que les spots, et nous plongeâmes pour retrouver un peu de fraîcheur. C’était une belle nuit d’été et je n’avais pas encore pu profiter d’un homme aussi pleinement depuis longtemps. J’avais ma copine et si nous baisions presque tous les jours, j’aimais varier les plaisirs. Une femme n’a ni queue ni sperme, et ces deux choses viennent régulièrement se rappeler à moi.
Assis sur la margelle, j’en faisais part à Guy. Il me dit qu’en effet, être avec quelqu’un qui partage les mêmes points de vue a l’air très agréable. Je fumais ma cigarette, les pieds dans l’eau, la tête dans les étoiles, le cul en attente.... Un peu plus tard, confortablement calé dans le salon de jardin, il m’a très longuement enculé, répandant une dernière fois dans mon ventre son abondante semence.
Il dormait à poings fermés et le soleil était déjà haut lorsque j’ouvris les yeux. Je pris une longue douche et préparais mes intestins pour pouvoir m’offrir d’intenses pénétrations. Ceci fait, j’allai sur la terrasse boire mon café. L’endroit était vraiment calme et le simple fait de s’asseoir un instant permettait de se ressourcer. Lorsque Guy émergea, je préparai le petit déjeuner et c’est ainsi que débuta notre journée. Beaucoup de dialogue. Il n’hésitait pas à me poser des questions ni à dire ce qu’il pensait. Sa présence était des plus agréable et nous ne souffrions d’aucune ambiguïté.
Quelques longueurs de piscine furent les bienvenues avant de dorer au soleil sur fond musical. Guy comprenait maintenant l’absence de marques de maillot. Les propriétaires ne restaient jamais longtemps ici, trop occupés par leur business et leur goût du voyage. J’avais la belle vie et j’en profitais bien, d’ailleurs. Entretenir le jardin, la piscine et veiller à ce qu’il n’y ait pas d’intrusion ni de vol étaient mes seules contraintes. En contrepartie, j’étais logé et pouvais profiter des lieux.
Perdu dans ma rêverie, guy vint s’asseoir à côté de moi. Je savais que nous baiserions et n’avais surtout pas cherché à l’entreprendre. Sa main parcourait mon dos, mes fesses, mes cuisses offertes au soleil. Je me contentais de remuer mon croupion en signe d’acquiescement tout en grognant de plaisir. Ses caresses se firent plus appuyées, partant de mes pieds pour remonter à l’intérieur de mes cuisses, m’obligeant à soulever mes fesses tant la sensualité de son geste réveillait mes bas instincts.
— Quel cul superbe !
— Il se languissait de toi. Tu vas t’occuper de lui ?
— Demandé si gentiment... je peux ?
— Il est tout à toi, fais-en bon usage !
Il ne lui en fallait pas davantage pour devenir plus entreprenant. Profitant que je me tends vers lui, il glissa un coussin sous mon ventre et vint caresser ma verge puis mes bourses pendantes… Puis il déposa de doux baisers sur mes fesses, la naissance de mes cuisses. Son souffle chaud glissait le long de ma raie quand de ses mains, il sépara mes globes, révélant mon anus lisse de tous poils soudain ivre de désir. Ses baisers se firent plus stratégiques, se rapprochant lentement de son centre d’intérêt. Une pointe de langue vint titiller les premiers plis et cela réveillait la bête qui sommeille en moi.
Il me massait tendrement les couilles en lapant d’une langue large du scrotum jusqu’à l’anus. Je sentais ma corole s’ouvrir comme les pétales d’une fleur dès qu’il pointait le bout de son organe, heureux de recevoir tant d’attention. Sa langue agile se faisait tantôt guêpe, tantôt bourdon pour mieux butiner ma fleur et l’intérêt d’une telle motivation me laissait présager d’un proche dénouement. Pendant de longue minute, il sembla prendre autant de plaisir que moi à rendre mon fondement humide et... disponible.
Sans chercher à bouger, je réclamai sa queue. Il se plaça devant moi, dur, gros, immense. Je remarquai son méat grand ouvert et du diamètre d’une grosse paille ; était-ce une des raisons du volume de ses éjaculations ? J’observais au grand jour cette imposante quille qui me fixait de son gros œil unique d’où perlait un peu de liquide séminal. L’ourlet renflé ceinturant la base de son gland, les deux belles veines sinueuses qui se disputaient la longueur de la hampe jusqu'aux plis que formant le prépuce, à cet instant fripé et ramassé par cette érection magistrale. J’allais sucer cette merveille anatomique, puis il allait m’enculer. Cette seule idée affolait mon sphincter et me mettait l’eau à la bouche.
Sans plus attendre, j’enfournai son bout cramoisi avec gourmandise, le léchant, le mordillant pendant qu’il pétrissait mes fesses tendues vers le soleil, et bientôt vers lui. Mes doigts astiquaient son mât de cocagne fin prêt à faire la fête, à ouvrir le bal. La chaleur, l’ambiance, le calme... tout concordait.
— Encule-moi, s'il te plaît. implorais-je entre deux coups de langue.
— Tes ordres sont des désirs !
Je sentis couler entre mes fesses un filet de salive, puis il quitta ma bouche pour enjamber le matelas. L’instant suivant, son gros bout s’aplatissait sur ma fleur, je tendis les fesses vers lui, acceptant mon sort sans aucune résistance autre que physiologique. Il fléchit les jambes, faisant de mon anneau une dépression, puis je forçai et l’ourlet céda. Aidé de sa salive, son dard foulait ma chair en m’arrachant un long cri, mélange de douleur, d’abandon et de satisfaction.
Ses pouces m’écartelaient et je savais son regard planté sur ce si beau spectacle. Après un court temps d’accoutumance, son vît plongeait en une lente poussée linéaire jusqu’à ce que ses cuisses embrassent l’extérieur de mes fesses. Le souffle coupé malgré ma bouche grande ouverte, les doigts tétanisés dans le tissu de ma couche, je sentis ses lourdes couilles terminer leur course en dessous de mon anus. Fin de la première manche.
Immobile en mon sein, je me cambrai et oscillai pour donner vie à notre coït. Son gland semblait encore plus gros que la veille et il fallait m’y habituer, j’en fis un défi. Guy apprenait très vite et son leitmotiv était d’en profiter un maximum. Tout comme moi, d’ailleurs. Il vint lentement me recouvrir de son buste et entreprit de me distiller de petits coups de bite en profondeur, ne reculant que de quelques centimètres. Dans cette position, je sentais ses couilles velues glisser et s’écraser à chaque fois que son membre me perforait. Il semblait rebondir sur mes fesses en prenant à chaque trajet un angle différent. Je lui contais le bien qu’il me faisait, lui interdisant seulement de jouir en moi. Son foutre, je voulais le boire.
Mon ventre se contractait pour comprimer ce membre arrogant qui glissait de plus en plus amplement, au point de sentir le bourrelet de son gland frotter. Nos sueurs se mêlaient le bas de mon dos collait bruyamment à son ventre. Il n’hésitait pas à jouer les sprinters quelques secondes pour revenir à un rythme plus langoureux. Je mordillais ses doigts, les suçais parfois, les yeux piquants de transpiration.
En nage, je relevai les genoux pour lui présenter ma croupe en levrette. Mes fesses devinrent des pare-chocs et il me tringlait bon train, propulsant son boulier contre le mien jusqu’à ce que je les lui agrippe. La nuit nous avait redonné des ressources, nous les exploitions. Il me sauta ainsi encore un long moment, manipulant mes jambes pour me changer de position et me pénétrer toujours plus intensément. J’adorais offrir mes fesses à ce bel étalon, mais il me fallait calmer le jeu. Nos corps étaient en feu, ma vessie se transformait en bain à remous et une douche s’imposait.
Je m’éclipsai quelques minutes vider ma vessie et m’envoyer une bonne dose de vaseline afin de graisser la mécanique. Je le retrouvai sous la douche de la piscine et vins me coller à lui sous le jet bienfaiteur.
— Tu veux encore de ma queue ? demandait-il en prenant ma fesse à pleine main, à la façon d’un mâle sûr de son effet.
— Oh que oui ! fis-je en sentant ses doigts glisser dans la vaseline.
— Hummmm... Tu as préparé ton terrain de jeu ?
— Là, tu vas pouvoir t’exprimer.
Il proposa d’essayer dans l’eau et je trouvai l’idée sympa. Je l’avais fait plusieurs fois, mais qu’avec des femmes. Aucun homme ne m’avait pris dans l’eau et j’étais curieux de découvrir cela avec lui. Allongé sur les marches, son périscope pointé vers les cieux, je le chevauchai en lui faisant face avant de nous laisser glisser dans l’eau fraîche. Baiser dans l’eau est sans comparaison, les mouvements sont si amples. Il s’agissait plus d’un délire qu’autre chose, où le seul réel plaisir était de nager tout en étant empalé. Je calai finalement mes bras sur la margelle pour qu’il puisse “tendrement m’aimer”. Il se montra si efficace que je finis par m’accrocher à son cou pour le sentir au mieux. Mes fesses dans ses mains, il me lamina si bien la prostate que je finis par être foudroyé par un puissant orgasme au milieu des vagues que produisaient nos ébats. Je criais mon plaisir, mordant son épaule en lâchant mon sperme contre son ventre musclé en serrant sa queue de mes multiples spasmes.
Il me tint encore longtemps contre lui, me chuchotant qu’il adorait baiser avec moi. Il m’allongea lentement dans l’eau et je restais ainsi, faisant la planche, encore habité par son sexe. Mon calme revenu, je me libérai de son emprise et le remercier en caressant sa verge et ses bourses. L’eau, elle, m’obligeait à serrer les fesses, n’étant plus étanche, mais je m’en fichais éperdument. Fin de la seconde manche.
Je craignais qu’il soit frustré et lui proposai de venir dans ma bouche, mais il m’assura ne pas être pressé de jouir et qu’une sieste crapuleuse nous ferait le plus grand bien. Je lui assurai mon entière coopération et nous sortions de l’eau. Mon Dieu qu’elle était belle, grosse, luisante de vaseline, bandée au 3/4...
Une bouteille de rosé bien fraîche, une salade et des grillades furent notre repas, dans la plus grande décontraction. Il ne revenait encore de la chance que nous avions et j’en convenais aisément. Je lui racontai qu’avec mes partenaires réguliers, j’étais véritablement mouillé à l’idée de me faire prendre et qu’avant de partir draguer, je faisais “le ménage” afin d’être toujours propre. La discussion entretenait notre excitation, le café réveilla notre envie de sieste et ma cigarette terminée, j’attendais mon pousse-café.
Même entièrement au repos, ses organes me liquéfiaient et je ne pouvais laisser mes mains tranquilles. Allongé sur le lit, Guy m’intima de me laisser faire. Il prodigua sa première fellation, avalant mon sperme jusqu’à la dernière goutte. Comblé, je savourai ma chance, goûtant abondamment au plaisir depuis la veille. Allongé à mes côtés, il me livrait ses sensations après m’avoir si bien sucé. Je lorgnais sa belle queue reposant sur sa cuisse et descendis m’occuper d’elle. Il banda en quelques minutes et désira revenir en moi. Il me prit tendrement en cuillère, ma jambe dans sa main. Il me traversait le ventre en me faisant parfois presque crier de plaisir. Commençant à me connaître, il me la mettait exactement comme il le fallait et prenait plaisir à m’emmener vers la jouissance. Toutes les positions y passèrent et je ne saurais dire combien de temps il me fit l’amour, parce qu’il me fit réellement l’amour, mais pendant au moins une heure, mon cul l’épousait, l’aspirait, le broyait parfois, mais surtout le réclamait.
Je vins m’asseoir sur lui en lui tournant le dos puisqu’il adorait voir mes fesses se jouer de son sexe. Je le sentais si loin en moi, ses couilles roulaient entre mes doigts alors qu’il caressait ma croupe bronzée. J’aimais son sexe et je crois que nous aurions pu continuer ainsi pendant des jours. Puis il me dit qu’il allait me donner son foutre. J’amplifiai alors mon déhanché sur sa boule de billard jusqu’à ce qu’il me donne le point de départ.
Je désarçonnai et vint poser mon anus grand ouvert sur son visage. Sa langue remplaça sa verge alors que religieusement, je suçai sa queue de stentor, rigide et veinée. Ses couilles fermement malaxées montèrent à plusieurs reprises comme je le branlais en vrillant sa hampe. Il se mit à souffler et je compris qu’il avait atteint le point de non-retour, que sa formidable pompe à foutre était amorcée. Ma bouche collée autour de son gland, j’étais également prêt.
Le bassin soulevé, le ventre creusé, son premier jet claqua le fond de mon palais comme s’il avait prévu de l’envoyer à l’autre bout de la pièce. Chaque giclée représentait déjà à elle seule ce que la plupart des mecs déchargent, emplissant ma bouche de ses subtiles saveurs salées et soufrées. Cette liqueur crémeuse coulait dans ma gorge presque en continu et il en revenait encore et encore, comme si trois amants déchargeaient en même temps. Je venais de recevoir un délicieux pousse-café.
Puis sa queue perdit soudain de sa rigidité, même si quelques spasmes la traversaient encore. Avec une infinie tendresse, je la cajolai en essorant les dernières gouttes que la longue hampe n’avait pu expulser. Ses bourses retrouvaient leur position basse, l’orage était terminé, et j’avais reçu une incroyable averse. Fin de la troisième manche.
Nous avons fini la journée à parler et à baiser. Avant que nous ne trouvions le sommeil, Guy m’a copieusement rempli le ventre de sperme, et j’avoue que de ressentir une aussi puissante éjaculation valait vraiment le détour. Le lendemain, je commençai ma journée en lui taillant une pipe à m’en dévisser la mâchoire avant qu’il ne prenne la route. Je voulais une dernière fois recevoir sa puissante éjaculation entre mes lèvres. Il osa revenir passer quelques heures chez moi avant que nos femmes ne rentrent ; évidemment, nous avons baisé comme des lapins, tantôt avec tendresse, mais surtout avec énergie. Puis je ne l’ai jamais revu. Oh, n’ayez crainte, il y en a eu d’autres ! Mais côté foutre, jamais je n’ai retrouvé un tel débit.
Grignoter ne combla que nos estomacs et nous savions tous les deux que seule la suite nous importait. Je repensais à l’invraisemblable dose de sperme dont il m’avait gratifiée, à l’évidente puissance de son sexe, mais je tentais tout de même de garder la tête froide. Je lui proposai autre chose pour terminer ce pseudo-repas, mais il me fit son plus beau sourire en dénouant sa serviette. Sa queue à demi-bandée ne laissait planer aucun doute sur la suite du programme.
J’emportais Guy jusqu’à la chambre, laissant simplement une lampe allumée dans le salon. Les fenêtres grandes ouvertes laissaient la fraîcheur de la nuit entrer ; les voisins les plus proches étaient à un bon kilomètre de là, nos ébats ne gêneraient personne.
En un rien de temps, nos verges plongeaient dans nos bouches respectives. Je devais reconnaître sa réelle motivation à me sucer, il s’y prenait vraiment très bien. De mon côté, je savais qu’il ne jouirait pas en quelques minutes, mais qu’il attendait de ma part plus d’entreprises. Alors que je gobais ses bourses, un doigt inquisiteur parcourait son entre-fesse. Cette initiative ne lui déplut pas, bien au contraire, puisqu’il replia sa jambe pour m’offrir plus d’ouverture. J’entrepris donc de remplacer mon doigt par ma langue.
Pour être tout à fait honnête, ça n’a jamais été ma tasse de thé, avec un homme. Mais Guy était franc, honnête et il me semblait légitime de donner, c’est encore ainsi que l’on reçoit davantage. Ma verge glissait entre ses lèvres aussi facilement que ses deux doigts naviguaient dans mon anus lorsque d’une langue baveuse je remontai sa raie des bourses à l’anus. Sa queue instantanément se raidit entre mes doigts lorsque je revenais darder sa petite étoile plissée et un gémissement d’approbation confirma son adhésion.
Délaissant momentanément sa verge, j’écartais ses globes et décidais de me focaliser sur cette seule partir de son anatomie. Pendant de longues minutes, je suçais son petit trou, le pointais du bout de la langue, en faisais le tour pour mieux y revenir. Guy lâchait ma queue pour me dire qu’il appréciait et qu’il en rêvait depuis longtemps. Mes doigts le sondèrent et je le sentais s’ouvrir avec... appétit. Rapidement, ma langue parvenait à le pénétrer et je me rendais bien compte qu’il était prêt.
Sans un mot, j’attrapais un préservatif dans la table de chevet et le lui tendais. Il le plaça sur ma verge et à ma demande, le suça en mettant le plus de salive possible. Pendant ce temps, je salivais en léchant son cul, soucieux de lui donner du plaisir. Sans que j’aie à pronnoncer le moindre désir, il vint de lui-même se placer contre moi, son dos contre ma poitrine, en cuillère, guidant lui-même ma verge vers son anus.
Comme il prenait de l’initiative. Je saisissais sa verge dure comme de l’acier et le branlais lentement en sentant mon gland repousser sa chair. Il s’empalait seul et soudain, mon nœud eut raison de sa virginité. Je sentis un spasme parcourir son membre et lui dit de prendre tout son temps, que seul son plaisir m’importait. Après une bonne trentaine de secondes, il me dit qu’il se sentait prêt. À petits coups de reins, je gagnais du terrain. Son sphincter serrait agréablement ma hampe et la chaleur de son ventre me donnait envie d’aller de plus en plus loin.
Il saisit mes couilles en me disant qu’il aimait bien me sentir en lui. Je n’ai sodomisé que quelques hommes dans ma vie, mais Guy reste à ce jour mon meilleur souvenir. Il était si désireux de découvrir ce plaisir et si précautionneux ! Je branlais langoureusement sa longue et grosse queue en le pénétrant en longs va-et-vient, comme j’aime être pris moi-même. Je réussissais à passer mon bras libre sous lui et lui pinçais le sein, le faisant rouler entre mon pouce et mon index.
— Tu te sens bien ? Je ne te fais pas mal ? m’inquiétais-je à son oreille.
— Oh non, mais elle est grosse, ta queue.
— Hummmm... moins que la tienne. C’est ça qui est bon. C’est de se sentir rempli, distendu... De sentir cette masse aller et venir dans son ventre.
— J’ai l’impression que tu vas ressortir par la bouche tant tu me sembles immense.
— Si tu ne peux plus, je m’arrête ! insistais-je.
— Non, je veux te sentir jouir en moi. J’en ai vraiment envie.
— Et toi, tu jouiras dans ma bouche ? J’ai très envie de goûter ton sperme aussi.
— Ouiiii ! Mais viens d’abord en moi, s'il te plaît.
Ses désirs devinrent des ordres. Je pris le temps qu’il fallait pour lui enfiler ma bite jusqu’aux couilles, mais par expérience, un préservatif sans pose lubrifiant... Il serrait les fesses, les envoyait contre mon pubis, m’excitait avec des mots choisis en me cajolant les bourses. Ne cherchant pas à m’éterniser, je jouissais longuement entre ses fesses, l’entendant me répéter que c’était trop bon, que je l’avais royalement dépucelé et qu’il m’enculera tant que je le désirerais.
Le courant d’air glissait sur nos corps échauffés. Immobile et plongé en lui, je caressais son torse venu à souhait. Ne voulant pas être inconfortable pour lui, je laissais glisser ma verge hors de lui. Il retira lui-même mon préservatif et caressa ma queue en me remerciant de ma douceur. Il me nettoya entre ses lèvres, ravissant les quelques gouttes restantes en me disant que “ça n’avait pas l’air mauvais”.
Sa queue me narguait toujours et même si je venais de jouir, le spectre de son éjaculation n’avait toujours pas quitté mon esprit. Je m’agenouillais entre ses jambes et lui demandais de tout me lâcher. Ses couilles dans une main, je le pris en bouche et me mis à le pomper comme un affamé. Ma main parcourait sa hampe dans un puissant mouvement hélicoïdal au rythme de ma bouche plongeant sur son vît.
— Tu veux tout mon jus ?
— Hummmm...
— Tu sais que j’en ai beaucoup !
— Hummmm...
— Oh oui, continue. Tu suces bien. Tu la trouves belle, ma queue ?
— Hummmm...
— Ooooh... je vais venir !
— Hummmm... hummmm...
— Ouiiii ! Attention, je viennnns !
Accompagné d’un puissant râle, son foutre jaillit comme le jet d’un pistolet à eau, remplissant ma bouche copieusement à chaque rasade. Je m’empressais de déglutir pour en avaler un maximum, mais il en renvoyait autant à chaque spasme, si bien qu’il en coula un peu le long de sa longue queue et que je terminais en léchant sa hampe, les yeux brillants. J’avais eu de gros juteurs à maintes reprises entre mes reins et mes lèvres. Mais avec Guy, tous avaient été battus, et c’était sa deuxième éjaculation !
— Là, tu m’as comblé. dis-je en étreignant sa longue queue amollissante comme un trophée. D’où en sors-tu autant ?
— Tout ce que je sais, c’est que tu es le premier à y voir une qualité. Ma femme, ça la fait fuir ! C’était bon ?
— J’adore ! Ce que tu m’as mis dans le ventre tout à l’heure, je l’aurais bien volontiers dégusté !
Il me répondit qu’on aura d’autres occasions. J’eus envie d’une cigarette et lui demandai s’il voulait venir dehors avec moi. Ramassant mes clopes au passage, je l’emmenais jusqu’à la piscine… Je n’allumais que les spots, et nous plongeâmes pour retrouver un peu de fraîcheur. C’était une belle nuit d’été et je n’avais pas encore pu profiter d’un homme aussi pleinement depuis longtemps. J’avais ma copine et si nous baisions presque tous les jours, j’aimais varier les plaisirs. Une femme n’a ni queue ni sperme, et ces deux choses viennent régulièrement se rappeler à moi.
Assis sur la margelle, j’en faisais part à Guy. Il me dit qu’en effet, être avec quelqu’un qui partage les mêmes points de vue a l’air très agréable. Je fumais ma cigarette, les pieds dans l’eau, la tête dans les étoiles, le cul en attente.... Un peu plus tard, confortablement calé dans le salon de jardin, il m’a très longuement enculé, répandant une dernière fois dans mon ventre son abondante semence.
Il dormait à poings fermés et le soleil était déjà haut lorsque j’ouvris les yeux. Je pris une longue douche et préparais mes intestins pour pouvoir m’offrir d’intenses pénétrations. Ceci fait, j’allai sur la terrasse boire mon café. L’endroit était vraiment calme et le simple fait de s’asseoir un instant permettait de se ressourcer. Lorsque Guy émergea, je préparai le petit déjeuner et c’est ainsi que débuta notre journée. Beaucoup de dialogue. Il n’hésitait pas à me poser des questions ni à dire ce qu’il pensait. Sa présence était des plus agréable et nous ne souffrions d’aucune ambiguïté.
Quelques longueurs de piscine furent les bienvenues avant de dorer au soleil sur fond musical. Guy comprenait maintenant l’absence de marques de maillot. Les propriétaires ne restaient jamais longtemps ici, trop occupés par leur business et leur goût du voyage. J’avais la belle vie et j’en profitais bien, d’ailleurs. Entretenir le jardin, la piscine et veiller à ce qu’il n’y ait pas d’intrusion ni de vol étaient mes seules contraintes. En contrepartie, j’étais logé et pouvais profiter des lieux.
Perdu dans ma rêverie, guy vint s’asseoir à côté de moi. Je savais que nous baiserions et n’avais surtout pas cherché à l’entreprendre. Sa main parcourait mon dos, mes fesses, mes cuisses offertes au soleil. Je me contentais de remuer mon croupion en signe d’acquiescement tout en grognant de plaisir. Ses caresses se firent plus appuyées, partant de mes pieds pour remonter à l’intérieur de mes cuisses, m’obligeant à soulever mes fesses tant la sensualité de son geste réveillait mes bas instincts.
— Quel cul superbe !
— Il se languissait de toi. Tu vas t’occuper de lui ?
— Demandé si gentiment... je peux ?
— Il est tout à toi, fais-en bon usage !
Il ne lui en fallait pas davantage pour devenir plus entreprenant. Profitant que je me tends vers lui, il glissa un coussin sous mon ventre et vint caresser ma verge puis mes bourses pendantes… Puis il déposa de doux baisers sur mes fesses, la naissance de mes cuisses. Son souffle chaud glissait le long de ma raie quand de ses mains, il sépara mes globes, révélant mon anus lisse de tous poils soudain ivre de désir. Ses baisers se firent plus stratégiques, se rapprochant lentement de son centre d’intérêt. Une pointe de langue vint titiller les premiers plis et cela réveillait la bête qui sommeille en moi.
Il me massait tendrement les couilles en lapant d’une langue large du scrotum jusqu’à l’anus. Je sentais ma corole s’ouvrir comme les pétales d’une fleur dès qu’il pointait le bout de son organe, heureux de recevoir tant d’attention. Sa langue agile se faisait tantôt guêpe, tantôt bourdon pour mieux butiner ma fleur et l’intérêt d’une telle motivation me laissait présager d’un proche dénouement. Pendant de longue minute, il sembla prendre autant de plaisir que moi à rendre mon fondement humide et... disponible.
Sans chercher à bouger, je réclamai sa queue. Il se plaça devant moi, dur, gros, immense. Je remarquai son méat grand ouvert et du diamètre d’une grosse paille ; était-ce une des raisons du volume de ses éjaculations ? J’observais au grand jour cette imposante quille qui me fixait de son gros œil unique d’où perlait un peu de liquide séminal. L’ourlet renflé ceinturant la base de son gland, les deux belles veines sinueuses qui se disputaient la longueur de la hampe jusqu'aux plis que formant le prépuce, à cet instant fripé et ramassé par cette érection magistrale. J’allais sucer cette merveille anatomique, puis il allait m’enculer. Cette seule idée affolait mon sphincter et me mettait l’eau à la bouche.
Sans plus attendre, j’enfournai son bout cramoisi avec gourmandise, le léchant, le mordillant pendant qu’il pétrissait mes fesses tendues vers le soleil, et bientôt vers lui. Mes doigts astiquaient son mât de cocagne fin prêt à faire la fête, à ouvrir le bal. La chaleur, l’ambiance, le calme... tout concordait.
— Encule-moi, s'il te plaît. implorais-je entre deux coups de langue.
— Tes ordres sont des désirs !
Je sentis couler entre mes fesses un filet de salive, puis il quitta ma bouche pour enjamber le matelas. L’instant suivant, son gros bout s’aplatissait sur ma fleur, je tendis les fesses vers lui, acceptant mon sort sans aucune résistance autre que physiologique. Il fléchit les jambes, faisant de mon anneau une dépression, puis je forçai et l’ourlet céda. Aidé de sa salive, son dard foulait ma chair en m’arrachant un long cri, mélange de douleur, d’abandon et de satisfaction.
Ses pouces m’écartelaient et je savais son regard planté sur ce si beau spectacle. Après un court temps d’accoutumance, son vît plongeait en une lente poussée linéaire jusqu’à ce que ses cuisses embrassent l’extérieur de mes fesses. Le souffle coupé malgré ma bouche grande ouverte, les doigts tétanisés dans le tissu de ma couche, je sentis ses lourdes couilles terminer leur course en dessous de mon anus. Fin de la première manche.
Immobile en mon sein, je me cambrai et oscillai pour donner vie à notre coït. Son gland semblait encore plus gros que la veille et il fallait m’y habituer, j’en fis un défi. Guy apprenait très vite et son leitmotiv était d’en profiter un maximum. Tout comme moi, d’ailleurs. Il vint lentement me recouvrir de son buste et entreprit de me distiller de petits coups de bite en profondeur, ne reculant que de quelques centimètres. Dans cette position, je sentais ses couilles velues glisser et s’écraser à chaque fois que son membre me perforait. Il semblait rebondir sur mes fesses en prenant à chaque trajet un angle différent. Je lui contais le bien qu’il me faisait, lui interdisant seulement de jouir en moi. Son foutre, je voulais le boire.
Mon ventre se contractait pour comprimer ce membre arrogant qui glissait de plus en plus amplement, au point de sentir le bourrelet de son gland frotter. Nos sueurs se mêlaient le bas de mon dos collait bruyamment à son ventre. Il n’hésitait pas à jouer les sprinters quelques secondes pour revenir à un rythme plus langoureux. Je mordillais ses doigts, les suçais parfois, les yeux piquants de transpiration.
En nage, je relevai les genoux pour lui présenter ma croupe en levrette. Mes fesses devinrent des pare-chocs et il me tringlait bon train, propulsant son boulier contre le mien jusqu’à ce que je les lui agrippe. La nuit nous avait redonné des ressources, nous les exploitions. Il me sauta ainsi encore un long moment, manipulant mes jambes pour me changer de position et me pénétrer toujours plus intensément. J’adorais offrir mes fesses à ce bel étalon, mais il me fallait calmer le jeu. Nos corps étaient en feu, ma vessie se transformait en bain à remous et une douche s’imposait.
Je m’éclipsai quelques minutes vider ma vessie et m’envoyer une bonne dose de vaseline afin de graisser la mécanique. Je le retrouvai sous la douche de la piscine et vins me coller à lui sous le jet bienfaiteur.
— Tu veux encore de ma queue ? demandait-il en prenant ma fesse à pleine main, à la façon d’un mâle sûr de son effet.
— Oh que oui ! fis-je en sentant ses doigts glisser dans la vaseline.
— Hummmm... Tu as préparé ton terrain de jeu ?
— Là, tu vas pouvoir t’exprimer.
Il proposa d’essayer dans l’eau et je trouvai l’idée sympa. Je l’avais fait plusieurs fois, mais qu’avec des femmes. Aucun homme ne m’avait pris dans l’eau et j’étais curieux de découvrir cela avec lui. Allongé sur les marches, son périscope pointé vers les cieux, je le chevauchai en lui faisant face avant de nous laisser glisser dans l’eau fraîche. Baiser dans l’eau est sans comparaison, les mouvements sont si amples. Il s’agissait plus d’un délire qu’autre chose, où le seul réel plaisir était de nager tout en étant empalé. Je calai finalement mes bras sur la margelle pour qu’il puisse “tendrement m’aimer”. Il se montra si efficace que je finis par m’accrocher à son cou pour le sentir au mieux. Mes fesses dans ses mains, il me lamina si bien la prostate que je finis par être foudroyé par un puissant orgasme au milieu des vagues que produisaient nos ébats. Je criais mon plaisir, mordant son épaule en lâchant mon sperme contre son ventre musclé en serrant sa queue de mes multiples spasmes.
Il me tint encore longtemps contre lui, me chuchotant qu’il adorait baiser avec moi. Il m’allongea lentement dans l’eau et je restais ainsi, faisant la planche, encore habité par son sexe. Mon calme revenu, je me libérai de son emprise et le remercier en caressant sa verge et ses bourses. L’eau, elle, m’obligeait à serrer les fesses, n’étant plus étanche, mais je m’en fichais éperdument. Fin de la seconde manche.
Je craignais qu’il soit frustré et lui proposai de venir dans ma bouche, mais il m’assura ne pas être pressé de jouir et qu’une sieste crapuleuse nous ferait le plus grand bien. Je lui assurai mon entière coopération et nous sortions de l’eau. Mon Dieu qu’elle était belle, grosse, luisante de vaseline, bandée au 3/4...
Une bouteille de rosé bien fraîche, une salade et des grillades furent notre repas, dans la plus grande décontraction. Il ne revenait encore de la chance que nous avions et j’en convenais aisément. Je lui racontai qu’avec mes partenaires réguliers, j’étais véritablement mouillé à l’idée de me faire prendre et qu’avant de partir draguer, je faisais “le ménage” afin d’être toujours propre. La discussion entretenait notre excitation, le café réveilla notre envie de sieste et ma cigarette terminée, j’attendais mon pousse-café.
Même entièrement au repos, ses organes me liquéfiaient et je ne pouvais laisser mes mains tranquilles. Allongé sur le lit, Guy m’intima de me laisser faire. Il prodigua sa première fellation, avalant mon sperme jusqu’à la dernière goutte. Comblé, je savourai ma chance, goûtant abondamment au plaisir depuis la veille. Allongé à mes côtés, il me livrait ses sensations après m’avoir si bien sucé. Je lorgnais sa belle queue reposant sur sa cuisse et descendis m’occuper d’elle. Il banda en quelques minutes et désira revenir en moi. Il me prit tendrement en cuillère, ma jambe dans sa main. Il me traversait le ventre en me faisant parfois presque crier de plaisir. Commençant à me connaître, il me la mettait exactement comme il le fallait et prenait plaisir à m’emmener vers la jouissance. Toutes les positions y passèrent et je ne saurais dire combien de temps il me fit l’amour, parce qu’il me fit réellement l’amour, mais pendant au moins une heure, mon cul l’épousait, l’aspirait, le broyait parfois, mais surtout le réclamait.
Je vins m’asseoir sur lui en lui tournant le dos puisqu’il adorait voir mes fesses se jouer de son sexe. Je le sentais si loin en moi, ses couilles roulaient entre mes doigts alors qu’il caressait ma croupe bronzée. J’aimais son sexe et je crois que nous aurions pu continuer ainsi pendant des jours. Puis il me dit qu’il allait me donner son foutre. J’amplifiai alors mon déhanché sur sa boule de billard jusqu’à ce qu’il me donne le point de départ.
Je désarçonnai et vint poser mon anus grand ouvert sur son visage. Sa langue remplaça sa verge alors que religieusement, je suçai sa queue de stentor, rigide et veinée. Ses couilles fermement malaxées montèrent à plusieurs reprises comme je le branlais en vrillant sa hampe. Il se mit à souffler et je compris qu’il avait atteint le point de non-retour, que sa formidable pompe à foutre était amorcée. Ma bouche collée autour de son gland, j’étais également prêt.
Le bassin soulevé, le ventre creusé, son premier jet claqua le fond de mon palais comme s’il avait prévu de l’envoyer à l’autre bout de la pièce. Chaque giclée représentait déjà à elle seule ce que la plupart des mecs déchargent, emplissant ma bouche de ses subtiles saveurs salées et soufrées. Cette liqueur crémeuse coulait dans ma gorge presque en continu et il en revenait encore et encore, comme si trois amants déchargeaient en même temps. Je venais de recevoir un délicieux pousse-café.
Puis sa queue perdit soudain de sa rigidité, même si quelques spasmes la traversaient encore. Avec une infinie tendresse, je la cajolai en essorant les dernières gouttes que la longue hampe n’avait pu expulser. Ses bourses retrouvaient leur position basse, l’orage était terminé, et j’avais reçu une incroyable averse. Fin de la troisième manche.
Nous avons fini la journée à parler et à baiser. Avant que nous ne trouvions le sommeil, Guy m’a copieusement rempli le ventre de sperme, et j’avoue que de ressentir une aussi puissante éjaculation valait vraiment le détour. Le lendemain, je commençai ma journée en lui taillant une pipe à m’en dévisser la mâchoire avant qu’il ne prenne la route. Je voulais une dernière fois recevoir sa puissante éjaculation entre mes lèvres. Il osa revenir passer quelques heures chez moi avant que nos femmes ne rentrent ; évidemment, nous avons baisé comme des lapins, tantôt avec tendresse, mais surtout avec énergie. Puis je ne l’ai jamais revu. Oh, n’ayez crainte, il y en a eu d’autres ! Mais côté foutre, jamais je n’ai retrouvé un tel débit.
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merci a toi tres belle suite bien chaud et directe et du bon sexe je kiff