L'Allumeuse
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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L'Allumeuse
Ce récit est court, volontairement. Je venais de connaitre celle qui devait devenir ma femme. Elle avait une sale réputation d’allumeuse. C’est vrai qu’elle acceptait les flirts plus que poussés pour finalement refuser la suite logique: au lit. Quand je l’ai rencontré je ne demandais qu’une seule chose, essayer à mon tour sa tactique, en sachant fort bien que j’allais droit dans un mur.
Le premier jour nous nous sommes embrassés longuement: elle savait sacrément bien embrasser, à me faire bander dès le début. Moi, bander en embrassant une seule fois: pas possible. Le deuxième jour je n’essayais même pas d’aller plus loin. J’aimais sa langue dans ma bouche et la mienne dans la sienne. Je frôlais sa poitrine sans le faire exprès. Le troisième jour je savais qu’elle laissait tomber ses « relations » à ce moment là quand encore je me contentais de ses lèvres. Au baiser j’ajoutais seulement ma langue lui léchant les lèvres.
J’ai fait durer notre relation platonique plusieurs semaines. Je la rendais folle de moi. C’est-ce qu’elle m’a dit plus tard. Un jour je décidais de la masturber sans rien lui demander. Nous étions dans un café plein, cachés derrière tous les consommateurs. Je posais ma main directement sur un genou, passais cette main entre ses cuisses pour monter rapidement vers son entrejambe. J’allais vite et elle ne pouvait se soustraire à ma main. J’arrivais enfin au but que je trouvais nu: elle ne portait pas de dessous. Je ne cherchais pas longtemps son clitoris. Une fois sous mon doigt je le caressais longuement sans trop appuyer.
Ce n’est qu’à ce moment là qu’engin elle me parlait de plaisir charnel.
- Vas plus vite, s’il de plait, ce sera bien meilleur.
- C’est comme ça que tu fais ?
- Oui, chaque soir.
- Et tu penses à quoi ?
- A toi.
- Pourquoi tu penses à moi particulièrement ,
- Tu es le premier qui a eu la patience d’attendre que je sois prête.
- Tu es prête pour baiser avec moi.
- Oui, quand tu veux.
- Maintenant ?
- Quand tu veux.
Nous sommes allés chez moi, dans ma chambre. Je l’ai embrassé avant de la déshabiller. Je l’ai caressée partout où c’est possible. Je l’ai léchée entre les jambes sur sa chatte, mis un doigt dans son cul et un autre dans sa chatte en même temps: elle en a jouit
J‘ai remplacé mes mains par ma bite. J’allais la baiser, comme c’était normal. Je n’ai pas pu de suite: elle m’a demandé d’aller doucement: j’étais son premier amant.
De surprise j’allais débander quand elle m’a branlé un peu: ça elle savait le faire. J’ai pu la dépuceler facilement, surtout qu’elle attendait cette « formalité » avec impatience.
Je l’ai baisée tendrement: j’ai pu la faire jouir pour cette première fois: elle m’a dit un mot que je n’attendais pas du tout:
- Je t’aime.
Le premier jour nous nous sommes embrassés longuement: elle savait sacrément bien embrasser, à me faire bander dès le début. Moi, bander en embrassant une seule fois: pas possible. Le deuxième jour je n’essayais même pas d’aller plus loin. J’aimais sa langue dans ma bouche et la mienne dans la sienne. Je frôlais sa poitrine sans le faire exprès. Le troisième jour je savais qu’elle laissait tomber ses « relations » à ce moment là quand encore je me contentais de ses lèvres. Au baiser j’ajoutais seulement ma langue lui léchant les lèvres.
J’ai fait durer notre relation platonique plusieurs semaines. Je la rendais folle de moi. C’est-ce qu’elle m’a dit plus tard. Un jour je décidais de la masturber sans rien lui demander. Nous étions dans un café plein, cachés derrière tous les consommateurs. Je posais ma main directement sur un genou, passais cette main entre ses cuisses pour monter rapidement vers son entrejambe. J’allais vite et elle ne pouvait se soustraire à ma main. J’arrivais enfin au but que je trouvais nu: elle ne portait pas de dessous. Je ne cherchais pas longtemps son clitoris. Une fois sous mon doigt je le caressais longuement sans trop appuyer.
Ce n’est qu’à ce moment là qu’engin elle me parlait de plaisir charnel.
- Vas plus vite, s’il de plait, ce sera bien meilleur.
- C’est comme ça que tu fais ?
- Oui, chaque soir.
- Et tu penses à quoi ?
- A toi.
- Pourquoi tu penses à moi particulièrement ,
- Tu es le premier qui a eu la patience d’attendre que je sois prête.
- Tu es prête pour baiser avec moi.
- Oui, quand tu veux.
- Maintenant ?
- Quand tu veux.
Nous sommes allés chez moi, dans ma chambre. Je l’ai embrassé avant de la déshabiller. Je l’ai caressée partout où c’est possible. Je l’ai léchée entre les jambes sur sa chatte, mis un doigt dans son cul et un autre dans sa chatte en même temps: elle en a jouit
J‘ai remplacé mes mains par ma bite. J’allais la baiser, comme c’était normal. Je n’ai pas pu de suite: elle m’a demandé d’aller doucement: j’étais son premier amant.
De surprise j’allais débander quand elle m’a branlé un peu: ça elle savait le faire. J’ai pu la dépuceler facilement, surtout qu’elle attendait cette « formalité » avec impatience.
Je l’ai baisée tendrement: j’ai pu la faire jouir pour cette première fois: elle m’a dit un mot que je n’attendais pas du tout:
- Je t’aime.
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Pour être court, c'est court et, sans offusquer l'auteur, sans grand intérêt no génie