L'Américaine et la Russe
Récit érotique écrit par Monsieur V [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2013 dans la catégorie Plus on est
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L'Américaine et la Russe
Bonjour, chères lectrices et chers lecteurs. Je m'appelle Jacques. Pour vous parler un peu de moi, je suis un garçon brun aux yeux bruns, pas très grand (1,75m), pas très baraqué non plus (60kg) et d'une timidité maladive avec les filles. Mon histoire s'est déroulée lors d'un camp d'étudiants. J'avais alors 21 ans.
Depuis mon adolescence, je me suis toujours senti un peu complexé par le faible niveau de ma vie amoureuse. Je n'avais jamais connu le bonheur de prendre une fille dans mes bras et de lui susurrer des mots d'amour. Mes seules compagnes étaient mes fantasmes et mon imagination.
Je me sentais également très mal à l'aise en présence de couples. Surtout de couples d'adolescents de mon âge. Je regardais toujours les deux amoureux se dire leur amour avec une attention toute particulière, une pointe de souffrance dans le cœur. En voyant des couples aussi amoureux, je ne pouvais détourner mon esprit de leurs histoires, enviant jalousement le garçon et désirant ardemment la fille.
Voir et désirer secrètement. Tels furent les deux verbes qui résumaient ma vie amoureuse d'adolescent. Les années passèrent petit à petit et je commençais à grandir et à changer jusqu'à devenir celui que j'étais au moment de mon histoire.
À 21 ans, j'allais entrer en troisième année de faculté d'économie à la fac et, pour fêter notre réussite, un garçon de la classe avait cru bon d'organiser un week-end tous ensemble. Tout heureux de pouvoir nous changer les idées, nous avions accepté l'idée de bon cœur.
Le week-end suivant la remise de nos résultats, nous partîmes vers l'auberge d'un petit village de campagne dans laquelle nous allions passer nos petites vacances ensemble.
Dans le train qui nous amenait là-bas, je ne pouvais m'empêcher de jeter des regards pervers mais discrets sur les chemises et les mini shorts d'Alyson et d'Ilona en nourrissant un fantasme de triolisme.
Alyson était une jeune femme blonde du même âge que moi originaire d'Aspen, aux États-Unis. Ses tenues, toujours sexy et décontractées, me plaisaient beaucoup et alimentaient en partie mes fantasmes et mon imagination.
Ilona, elle, venait de Volgograd, en Russie. Âgée de 20 ans, elle était une belle jeune femme au regard noir profond et à la chevelure de jais. Toujours sûre d'elle-même, Ilona me faisait bonne impression et, assurance et beauté faisant bon ménage, elle m'avait très rapidement tapé dans l'œil.
Après deux heures de train, nous arrivâmes à l'auberge. Le gérant nous accueillit chaleureusement et nous donna les clés des chambres.
Au vu de notre petit nombre et du peu de touristes qui fréquentaient l'auberge, nous pûmes rester tous ensemble au même étage, deux par chambre afin de faire coïncider un maximum d'intimité avec le côté pratique.
Je m'étais retrouvé dans la même chambre que mon meilleur ami François, que je connaissais depuis le collège et Ilona et Alyson occupaient la chambre qui était juste en face de la nôtre.
Après avoir sorti nos affaires, François et moi décidâmes de prendre un peu l'air à l'extérieur.
« Alors? Elles te plaisent?
- Qui ça, elles?
- Ne fais pas l'innocent avec moi. Je suis ton pote. Je sais voir quand quelque chose ou quelqu'un te tracasse. Et j'ai vu comment tu matais Ilona et Alyson.
- Oui, bon, elles me plaisent. Et alors? C'est que du fantasme. Rien de sérieux.
- Je n'en serais pas si sûr. Depuis le temps que je te connais, tu n'as jamais essayé d'approcher une femme. C'est peut-être le moment de commencer. Va les voir. De toute manière, qu'est-ce que tu risques? Ça passe ou ça casse.
- Bon, d'accord. J'y vais. Mais j'espère que tu seras là pour me soutenir quand je me serai pris le râteau le plus honteux de l'histoire.
- Oui, oui. T'inquiète. Vas-y maintenant. »
Sur ces derniers mots, je décidai de tenter le tout pour le tout et de draguer pour la première fois de ma vie. Je montai tranquillement les escaliers menant à la chambre des deux filles en me répétant mon "texte" que j'avais préparé mentalement durant ma discussion avec François.
Mais, en arrivant devant la porte d'Alyson et Ilona, je perçus des gémissements. J'hésitai entre l'option de me retirer et de tenter ma chance un peu plus tard et celle de frapper et d'entrer afin de voir si je pouvais faire quelque chose en expliquant poliment ce que j'avais entendu.
Après réflexion, j'optai finalement pour cette deuxième alternative. Je frappai trois coups et ouvris doucement la porte. Ce que j'y vis me figea de surprise.
Alyson et Ilona étaient toutes deux à genoux sur un lit, en sous-vêtements, dans les bras l'une de l'autre. Les deux filles me fixèrent d'un œil furieux. Je tentai de plaider ma cause.
« Oh... Je... Je suis désolé. Je croyais que... Qu'il y avait un problème. Je ne savais pas...»
Alyson et Ilona semblèrent se calmer un peu, pensant probablement que je les avais surprises par accident. Ilona se leva du lit et s'avança vers moi.
« On dirait qu'on a réussi notre coup, Alyson. Un garçon a enfin mordu à l'hameçon.» dit-elle à son amie.
Interloqué, j'essayai d'esquiver le sujet.
« Non, non. Je ne suis pas venu pour ça. Je voulais savoir si tout allait bien. C'est tout.»
Ilona haussa les épaules. Alyson traduisit le mouvement.
« On sait bien que tu avais de bonnes intentions mais, tu sais, les hommes ne sont pas les seuls à avoir des fantasmes. Les femmes aussi en ont. Et nous, le nôtre, c'est de coucher toutes les deux avec un mec. On dirait que c'est toi qui marques le point...»
Je ne sus que répondre. Mon fantasme le plus secret était partagé par les deux filles que j'appréciais le plus et ces dernières me proposaient de le réaliser. Mon cerveau s'ébouillantait dans ma tête. Que devais-je faire? Leur dire que j'étais puceau et risquer de tout faire foirer ou faire comme si de rien n'était et risquer de me rendre ridicule au lit?
Mon instinct me souffla de choisir la seconde option.
« Eh bien, on peut dire que vous savez vous y prendre pour réaliser vos fantasmes. Bon, ben, puisque je suis tombé dans vos filets, autant jouer le jeu...»
Les deux filles sourirent et s'avancèrent vers moi. Alyson me retira ma chemise tandis qu'Ilona s'occupait de m'enlever mon pantalon.
Lorsqu'il ne me resta plus que mon boxer, Alyson y fourra quatre doigts et le fit lentement descendre au sol. Une fois mon boxer au sol, Ilona se redressa et, dans une accolade romantique, m'embrassa à pleine bouche pendant qu'Alyson me branlait doucement d'une main experte.
Ce petit échauffement terminé, Alyson et Ilona retirèrent leurs sous-vêtements et, après s'être allongées sur l'un des lits, me firent érotiquement signe de les rejoindre. Je répondis à leur invitation et, aussitôt, les deux femmes prirent les devants.
Alyson vint sur moi et me roula une pelle magistrale tandis qu'Ilona avait pris mon sexe en bouche et m'administrait ma première fellation. Agréable et jouissive.
Pendant notre baiser, je caressai le dos d'Alyson puis je descendis jusqu'à ses fesses que je pétris à deux mains sans interrompre mon baiser pendant qu'Ilona me suçait.
Ilona interrompit sa fellation et caressa lentement le dos de son amie américaine, lui faisant ainsi signe qu'elle voulait changer les rôles. Alyson prit mon sexe en bouche et entama une série de va et vient. Ilona vint sur moi et m'embrassa. Comme avec Alyson, je lui caressai le dos et descendis lentement vers ses fesses que je massai à deux mains.
La Russe interrompit son baiser et se positionna au-dessus de moi de manière à ce que son sein arrive à hauteur de ma bouche. Instinctivement, j'en approchai ma bouche et me mis à le lécher comme une boule de glace avant de le sucer goulûment. Ilona ronronna de plaisir.
Alyson s'arrêta de me sucer. L'Américaine s'accroupit au-dessus de moi, ma queue en main, et s'empala. Elle commença à faire de lents mouvements d'ascenseur sur mon sexe avant d'accélérer progressivement la cadence de ma bite dans sa chatte.
Ilona et moi jouions toujours au même jeu pendant qu'Alyson s'empalait sur moi. Le plaisir d'embrasser les seins d'Ilona et celui de sentir les parois du vagin d'Alyson comprimer mon pénis combinés ne tardèrent pas à me faire perdre les dernières ondes de stress que je pouvais encore avoir.
Après quelques va et vient, sentant mon sexe palpiter en elle, Alyson se retira et caressa doucement Ilona pour lui dire qu'elle souhaitait prendre sa place. La Russe laissa sa place à l'Américaine et entama une série de puissants va et vient.
Alyson se positionna au-dessus de moi et, comme son amie l'avait fait quelques instants auparavant, me donna ses seins à sucer. Notre petit jeu à trois dura encore quelque temps puis je sentis mon sexe palpiter dans le vagin d'Ilona et le sperme monter en moi. La Russe se retira et prévint l'Américaine de ma jouissance imminente.
Les deux jeunes femmes s'agenouillèrent en face de ma queue et se mirent à me masturber à deux mains. Il ne leur fallut que quelques secondes pour me faire jouir sur leurs cuisses et leurs seins dans un râle de plaisir.
Alyson et Ilona sourirent et, apaisés, nous nous rhabillâmes tranquillement avant d'aller rejoindre les autres pour le dîner en nous promettant de remettre ce que nous avions fait.
Pour une première fois, je ne m'en étais pas trop mal tiré...
Depuis mon adolescence, je me suis toujours senti un peu complexé par le faible niveau de ma vie amoureuse. Je n'avais jamais connu le bonheur de prendre une fille dans mes bras et de lui susurrer des mots d'amour. Mes seules compagnes étaient mes fantasmes et mon imagination.
Je me sentais également très mal à l'aise en présence de couples. Surtout de couples d'adolescents de mon âge. Je regardais toujours les deux amoureux se dire leur amour avec une attention toute particulière, une pointe de souffrance dans le cœur. En voyant des couples aussi amoureux, je ne pouvais détourner mon esprit de leurs histoires, enviant jalousement le garçon et désirant ardemment la fille.
Voir et désirer secrètement. Tels furent les deux verbes qui résumaient ma vie amoureuse d'adolescent. Les années passèrent petit à petit et je commençais à grandir et à changer jusqu'à devenir celui que j'étais au moment de mon histoire.
À 21 ans, j'allais entrer en troisième année de faculté d'économie à la fac et, pour fêter notre réussite, un garçon de la classe avait cru bon d'organiser un week-end tous ensemble. Tout heureux de pouvoir nous changer les idées, nous avions accepté l'idée de bon cœur.
Le week-end suivant la remise de nos résultats, nous partîmes vers l'auberge d'un petit village de campagne dans laquelle nous allions passer nos petites vacances ensemble.
Dans le train qui nous amenait là-bas, je ne pouvais m'empêcher de jeter des regards pervers mais discrets sur les chemises et les mini shorts d'Alyson et d'Ilona en nourrissant un fantasme de triolisme.
Alyson était une jeune femme blonde du même âge que moi originaire d'Aspen, aux États-Unis. Ses tenues, toujours sexy et décontractées, me plaisaient beaucoup et alimentaient en partie mes fantasmes et mon imagination.
Ilona, elle, venait de Volgograd, en Russie. Âgée de 20 ans, elle était une belle jeune femme au regard noir profond et à la chevelure de jais. Toujours sûre d'elle-même, Ilona me faisait bonne impression et, assurance et beauté faisant bon ménage, elle m'avait très rapidement tapé dans l'œil.
Après deux heures de train, nous arrivâmes à l'auberge. Le gérant nous accueillit chaleureusement et nous donna les clés des chambres.
Au vu de notre petit nombre et du peu de touristes qui fréquentaient l'auberge, nous pûmes rester tous ensemble au même étage, deux par chambre afin de faire coïncider un maximum d'intimité avec le côté pratique.
Je m'étais retrouvé dans la même chambre que mon meilleur ami François, que je connaissais depuis le collège et Ilona et Alyson occupaient la chambre qui était juste en face de la nôtre.
Après avoir sorti nos affaires, François et moi décidâmes de prendre un peu l'air à l'extérieur.
« Alors? Elles te plaisent?
- Qui ça, elles?
- Ne fais pas l'innocent avec moi. Je suis ton pote. Je sais voir quand quelque chose ou quelqu'un te tracasse. Et j'ai vu comment tu matais Ilona et Alyson.
- Oui, bon, elles me plaisent. Et alors? C'est que du fantasme. Rien de sérieux.
- Je n'en serais pas si sûr. Depuis le temps que je te connais, tu n'as jamais essayé d'approcher une femme. C'est peut-être le moment de commencer. Va les voir. De toute manière, qu'est-ce que tu risques? Ça passe ou ça casse.
- Bon, d'accord. J'y vais. Mais j'espère que tu seras là pour me soutenir quand je me serai pris le râteau le plus honteux de l'histoire.
- Oui, oui. T'inquiète. Vas-y maintenant. »
Sur ces derniers mots, je décidai de tenter le tout pour le tout et de draguer pour la première fois de ma vie. Je montai tranquillement les escaliers menant à la chambre des deux filles en me répétant mon "texte" que j'avais préparé mentalement durant ma discussion avec François.
Mais, en arrivant devant la porte d'Alyson et Ilona, je perçus des gémissements. J'hésitai entre l'option de me retirer et de tenter ma chance un peu plus tard et celle de frapper et d'entrer afin de voir si je pouvais faire quelque chose en expliquant poliment ce que j'avais entendu.
Après réflexion, j'optai finalement pour cette deuxième alternative. Je frappai trois coups et ouvris doucement la porte. Ce que j'y vis me figea de surprise.
Alyson et Ilona étaient toutes deux à genoux sur un lit, en sous-vêtements, dans les bras l'une de l'autre. Les deux filles me fixèrent d'un œil furieux. Je tentai de plaider ma cause.
« Oh... Je... Je suis désolé. Je croyais que... Qu'il y avait un problème. Je ne savais pas...»
Alyson et Ilona semblèrent se calmer un peu, pensant probablement que je les avais surprises par accident. Ilona se leva du lit et s'avança vers moi.
« On dirait qu'on a réussi notre coup, Alyson. Un garçon a enfin mordu à l'hameçon.» dit-elle à son amie.
Interloqué, j'essayai d'esquiver le sujet.
« Non, non. Je ne suis pas venu pour ça. Je voulais savoir si tout allait bien. C'est tout.»
Ilona haussa les épaules. Alyson traduisit le mouvement.
« On sait bien que tu avais de bonnes intentions mais, tu sais, les hommes ne sont pas les seuls à avoir des fantasmes. Les femmes aussi en ont. Et nous, le nôtre, c'est de coucher toutes les deux avec un mec. On dirait que c'est toi qui marques le point...»
Je ne sus que répondre. Mon fantasme le plus secret était partagé par les deux filles que j'appréciais le plus et ces dernières me proposaient de le réaliser. Mon cerveau s'ébouillantait dans ma tête. Que devais-je faire? Leur dire que j'étais puceau et risquer de tout faire foirer ou faire comme si de rien n'était et risquer de me rendre ridicule au lit?
Mon instinct me souffla de choisir la seconde option.
« Eh bien, on peut dire que vous savez vous y prendre pour réaliser vos fantasmes. Bon, ben, puisque je suis tombé dans vos filets, autant jouer le jeu...»
Les deux filles sourirent et s'avancèrent vers moi. Alyson me retira ma chemise tandis qu'Ilona s'occupait de m'enlever mon pantalon.
Lorsqu'il ne me resta plus que mon boxer, Alyson y fourra quatre doigts et le fit lentement descendre au sol. Une fois mon boxer au sol, Ilona se redressa et, dans une accolade romantique, m'embrassa à pleine bouche pendant qu'Alyson me branlait doucement d'une main experte.
Ce petit échauffement terminé, Alyson et Ilona retirèrent leurs sous-vêtements et, après s'être allongées sur l'un des lits, me firent érotiquement signe de les rejoindre. Je répondis à leur invitation et, aussitôt, les deux femmes prirent les devants.
Alyson vint sur moi et me roula une pelle magistrale tandis qu'Ilona avait pris mon sexe en bouche et m'administrait ma première fellation. Agréable et jouissive.
Pendant notre baiser, je caressai le dos d'Alyson puis je descendis jusqu'à ses fesses que je pétris à deux mains sans interrompre mon baiser pendant qu'Ilona me suçait.
Ilona interrompit sa fellation et caressa lentement le dos de son amie américaine, lui faisant ainsi signe qu'elle voulait changer les rôles. Alyson prit mon sexe en bouche et entama une série de va et vient. Ilona vint sur moi et m'embrassa. Comme avec Alyson, je lui caressai le dos et descendis lentement vers ses fesses que je massai à deux mains.
La Russe interrompit son baiser et se positionna au-dessus de moi de manière à ce que son sein arrive à hauteur de ma bouche. Instinctivement, j'en approchai ma bouche et me mis à le lécher comme une boule de glace avant de le sucer goulûment. Ilona ronronna de plaisir.
Alyson s'arrêta de me sucer. L'Américaine s'accroupit au-dessus de moi, ma queue en main, et s'empala. Elle commença à faire de lents mouvements d'ascenseur sur mon sexe avant d'accélérer progressivement la cadence de ma bite dans sa chatte.
Ilona et moi jouions toujours au même jeu pendant qu'Alyson s'empalait sur moi. Le plaisir d'embrasser les seins d'Ilona et celui de sentir les parois du vagin d'Alyson comprimer mon pénis combinés ne tardèrent pas à me faire perdre les dernières ondes de stress que je pouvais encore avoir.
Après quelques va et vient, sentant mon sexe palpiter en elle, Alyson se retira et caressa doucement Ilona pour lui dire qu'elle souhaitait prendre sa place. La Russe laissa sa place à l'Américaine et entama une série de puissants va et vient.
Alyson se positionna au-dessus de moi et, comme son amie l'avait fait quelques instants auparavant, me donna ses seins à sucer. Notre petit jeu à trois dura encore quelque temps puis je sentis mon sexe palpiter dans le vagin d'Ilona et le sperme monter en moi. La Russe se retira et prévint l'Américaine de ma jouissance imminente.
Les deux jeunes femmes s'agenouillèrent en face de ma queue et se mirent à me masturber à deux mains. Il ne leur fallut que quelques secondes pour me faire jouir sur leurs cuisses et leurs seins dans un râle de plaisir.
Alyson et Ilona sourirent et, apaisés, nous nous rhabillâmes tranquillement avant d'aller rejoindre les autres pour le dîner en nous promettant de remettre ce que nous avions fait.
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