L'amour par correspondance
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2010 dans la catégorie En solitaire
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L'amour par correspondance
Dans ce gentil couple, le mari travaille dans une grande entreprise de travaux publics comme ingénieur, il est souvent absent, sa présence sur place est requise sans arrêt. Pour ce chantier, il est loin de tout. Le seul moyen d’avoir des nouvelles est la poste.
Ils ne sont mariés que depuis peu, ils aiment faire l’amour souvent. La veille du départ a été bien animée, d’autant plus qu’ils savaient que l’absence serait longue. Aussi tout le répertoire amoureux y est passé. Il a commencé le premier à la prendre dans ses bras avant le repas. Il l’a embrassée sur la bouche et leurs langues se sont misent de la partie. Elle a prit la suite en lui sortant la queue du pantalon pour le masturber. Il l’a arrêté pour la lui mettre dans le cul, comme elle aime. Ensuite tous ce qu’ils peuvent faire en amour il l’ont fait.
Il lui a promis de lui écrire presque tous les jours. Il tient parole, le courrier a des à coup : elle peux recevoir une lettre juste avant la précédente. Au fond ça n’a que peu d’importance. Chaque lettre contient à peu près les même chose, il lui raconte ses désirs comment il se satisfait, combien de fois il s’est masturbé, comment il a fait pour jouir en pensant à elle qui doit également se satisfaire seule. Il lui donne même des directives, disons ses conseils.
Quand elle répond elle aussi lui raconte quand et comment elle s’est branlée et avec quoi. Il lui a demandé d’acheter un godemichet qui lui plaise, elle a choisi celui qui ressemble le plus à la bite de son homme.
La dernière lettre l’excite particulièrement. Son époux décrit comment il s’est branlé avec une simple bout de savon : il s’est enduite le gland avec pour être toujours bien glissant et sa main n’ai même pas eu besoin de faire descende plusieurs fois le prépuce, il ne l’a descendu qu’une seule fois, au début, ensuite sa main glissait le long de la bite. Il a fait durer son plaisir au moins 20 minutes, avant que son sperme sorte dans une feuille de papier à lettre. Il le fait sécher pour le lui envoyer.
Elle a tout d’abord senti le papier à lettre pour y reconnaitre le peu de senteur de sperme séché, par contre sa langue y a reconnue le goût de la semence.
Elle était excitée comme tous les soirs. Elle a retiré sa jupe et son t-shirt avant d’aller finir la fin de la lettre. Assise sur le divan, elle relisait encore et cette lettre et les autres, comme tous le soir. En fermant de temps en temps les yeux elle sentait le peu de sperme. Puis n’y tenant plus, elle enlève son soutien gorge. Assise dans le coin du divan elle commence à se toucher légèrement les tétons, juste les frôler. Elle aime bien se caresser les seins aussi, comme lui le fait si bien.
Elle commence à mouiller, elle sait parfaitement comment elle va finir.
Elle masse son sexe par dessus son string. Elle sent parfaitement qu’il est plus qu’humide. Elle n’en fait pas plus pour l’instant, l’attente des caresses est presque aussi jouissive que les caresses elles même. Elle oublie volontairement son corps pour reprendre les lettres, elle en est toute chose. Elle referme les yeux pour bien imaginer la bite de son chéri entre ses jambes. Elle enlève son string, nue maintenant, elle ouvre ses jambes pour poser deux doigts sur son bouton. Elle commence une masturbation qu’elle arrête avant de jouir.
Elle remonte sur ses seins : elle les prend maintenant à pleine main pour bien les caresser. Elle mouille deux doigts pour passer sur ses tétons. Ils grossissent encore un peu. Cette fois c’est la bonne, elle remet son clitoris en route pour jouir. Ses yeux fermés lui permette de voir la bite chérie, elle voit en rêve la main de son mari aller et venir sur la pine. Comme elle la voudrai dans son vagin. Elle jouis une première fois. Elle se doigte aussitôt cet orgasme terminé. Ce n’est pas la bonne position , elle se tourne pour avoir le haut du corps bloqué par le divan, elle passe ses mains sur ses fesses, met la droite entre ses globes pour arriver à son petit trou où elle commence à pénétrer, pas beaucoup, une seule phalange. Pour l’instant elle s’en contente, elle n’est pas pressée. Son autre main est à nouveau sur son clitoris. Elle y a mis trois doigts qui vont et viennent sur cet endroit où elle aime bien se caresser. Là, cette fois elle pousse jusqu’au bout, elle jouis pour cette masturbation.
Elle pense brusquement qu’elle aussi pourrai envoyé à son mari de la cyprine séchée dans la prochaine lettre, celle de demain par exemple. Elle se lève pour prendre une feuille de papier à lettre s’essuie son sexe pour y mettre le plus de son liquide intime. Elle lèche un peu sa cyprine : le goût est parfait.
Elle retourne sur le divan. Ce soir elle lui écrira aussi tout ce qu’elle se fait. Elle s’assoit au bord du divan les fesses presque dehors. Elle se met trois doigts dans le cul. Elle les fait aller et venir dans son anus. Elle jouit encore: elle en veut plus: elle prend le gode pour se baiser tout à l’heure. En attendant elle le prend dans sa bouche comme si elle faisait une fellation à son chéri. Elle aime bien le sucer et sentir le jet dans sa bouche qui lui montre qu’elle l’a bien fait jouir. Ils partagent toujours le sperme.
Le gode a du trouver la bonne température, elle le pose juste sur son vagin. Elle le rentre juste un ou deux centimètres, s’arrête en repensant encore à son mari et d’un seul coup elle le met là bas, tout au fond, comme le fait son époux. Elle reste un moment la fausse bite dans son sexe et fait aller et venir le gode avec une vitesse croissante jusqu’au moment de l’explosion d’un bel orgasme.
Elle est obligée d’arrêter un moment. Elle a gardé le gode dans son ventre. Elle se caresse à nouveau le clitoris: c’est bien meilleurs avec le gode en elle. Elle arrête tout, prête à aller de coucher. Brusquement une autre envie de réveille, elle sort le gode de sa cachette pour le mettre dans son anus. Elle s’encule avec la main droite pour le mettre le plus profond possible. La main gauche sert aussi: elle fait comme quand son mari la sodomie, elle se branle le clitoris en même temps.
Sagement elle arrête tout. Il lui faut raconter cette masturbation particulièrement longue à son mari. Elle ne passe aucun détail pour qu’en son tour il se masturbe en la lisant. Cette description l’excite encore: elle met le gode dans sa chatte, continue à écrire en expliquant qu’elle a le gode en elle. Elle arrête même d’écrire pour se masturber encore une fois: elle le dit aussi.
Il lui tarde de recevoir encore une lettre toujours aussi chaude avec les descriptions des masturbations de son mari.
………………………………………………….............
Le temps passe finalement vite, le mari enfin entre. Ils n’attendent même pas de ranger le contenu des valise: il veux la voir nue, sur le divan en se branlant. Elle en mouille bien avant de commencer. Elle a le gode en main. Elle reprend ses caresses intimes sans pudeur et elle jouit surtout quand elle voit la bite de son chéri dans ses mains, il fait comme elle : il se branle en la regardant. Ce premier « non contact » se fini par une bonne baise. Ils se retrouvent après cette longue séparation. Pratiquement sauf pour un 69, elle a en elle une vrai bite, devant derrière et encore devant.
Ils ne sont mariés que depuis peu, ils aiment faire l’amour souvent. La veille du départ a été bien animée, d’autant plus qu’ils savaient que l’absence serait longue. Aussi tout le répertoire amoureux y est passé. Il a commencé le premier à la prendre dans ses bras avant le repas. Il l’a embrassée sur la bouche et leurs langues se sont misent de la partie. Elle a prit la suite en lui sortant la queue du pantalon pour le masturber. Il l’a arrêté pour la lui mettre dans le cul, comme elle aime. Ensuite tous ce qu’ils peuvent faire en amour il l’ont fait.
Il lui a promis de lui écrire presque tous les jours. Il tient parole, le courrier a des à coup : elle peux recevoir une lettre juste avant la précédente. Au fond ça n’a que peu d’importance. Chaque lettre contient à peu près les même chose, il lui raconte ses désirs comment il se satisfait, combien de fois il s’est masturbé, comment il a fait pour jouir en pensant à elle qui doit également se satisfaire seule. Il lui donne même des directives, disons ses conseils.
Quand elle répond elle aussi lui raconte quand et comment elle s’est branlée et avec quoi. Il lui a demandé d’acheter un godemichet qui lui plaise, elle a choisi celui qui ressemble le plus à la bite de son homme.
La dernière lettre l’excite particulièrement. Son époux décrit comment il s’est branlé avec une simple bout de savon : il s’est enduite le gland avec pour être toujours bien glissant et sa main n’ai même pas eu besoin de faire descende plusieurs fois le prépuce, il ne l’a descendu qu’une seule fois, au début, ensuite sa main glissait le long de la bite. Il a fait durer son plaisir au moins 20 minutes, avant que son sperme sorte dans une feuille de papier à lettre. Il le fait sécher pour le lui envoyer.
Elle a tout d’abord senti le papier à lettre pour y reconnaitre le peu de senteur de sperme séché, par contre sa langue y a reconnue le goût de la semence.
Elle était excitée comme tous les soirs. Elle a retiré sa jupe et son t-shirt avant d’aller finir la fin de la lettre. Assise sur le divan, elle relisait encore et cette lettre et les autres, comme tous le soir. En fermant de temps en temps les yeux elle sentait le peu de sperme. Puis n’y tenant plus, elle enlève son soutien gorge. Assise dans le coin du divan elle commence à se toucher légèrement les tétons, juste les frôler. Elle aime bien se caresser les seins aussi, comme lui le fait si bien.
Elle commence à mouiller, elle sait parfaitement comment elle va finir.
Elle masse son sexe par dessus son string. Elle sent parfaitement qu’il est plus qu’humide. Elle n’en fait pas plus pour l’instant, l’attente des caresses est presque aussi jouissive que les caresses elles même. Elle oublie volontairement son corps pour reprendre les lettres, elle en est toute chose. Elle referme les yeux pour bien imaginer la bite de son chéri entre ses jambes. Elle enlève son string, nue maintenant, elle ouvre ses jambes pour poser deux doigts sur son bouton. Elle commence une masturbation qu’elle arrête avant de jouir.
Elle remonte sur ses seins : elle les prend maintenant à pleine main pour bien les caresser. Elle mouille deux doigts pour passer sur ses tétons. Ils grossissent encore un peu. Cette fois c’est la bonne, elle remet son clitoris en route pour jouir. Ses yeux fermés lui permette de voir la bite chérie, elle voit en rêve la main de son mari aller et venir sur la pine. Comme elle la voudrai dans son vagin. Elle jouis une première fois. Elle se doigte aussitôt cet orgasme terminé. Ce n’est pas la bonne position , elle se tourne pour avoir le haut du corps bloqué par le divan, elle passe ses mains sur ses fesses, met la droite entre ses globes pour arriver à son petit trou où elle commence à pénétrer, pas beaucoup, une seule phalange. Pour l’instant elle s’en contente, elle n’est pas pressée. Son autre main est à nouveau sur son clitoris. Elle y a mis trois doigts qui vont et viennent sur cet endroit où elle aime bien se caresser. Là, cette fois elle pousse jusqu’au bout, elle jouis pour cette masturbation.
Elle pense brusquement qu’elle aussi pourrai envoyé à son mari de la cyprine séchée dans la prochaine lettre, celle de demain par exemple. Elle se lève pour prendre une feuille de papier à lettre s’essuie son sexe pour y mettre le plus de son liquide intime. Elle lèche un peu sa cyprine : le goût est parfait.
Elle retourne sur le divan. Ce soir elle lui écrira aussi tout ce qu’elle se fait. Elle s’assoit au bord du divan les fesses presque dehors. Elle se met trois doigts dans le cul. Elle les fait aller et venir dans son anus. Elle jouit encore: elle en veut plus: elle prend le gode pour se baiser tout à l’heure. En attendant elle le prend dans sa bouche comme si elle faisait une fellation à son chéri. Elle aime bien le sucer et sentir le jet dans sa bouche qui lui montre qu’elle l’a bien fait jouir. Ils partagent toujours le sperme.
Le gode a du trouver la bonne température, elle le pose juste sur son vagin. Elle le rentre juste un ou deux centimètres, s’arrête en repensant encore à son mari et d’un seul coup elle le met là bas, tout au fond, comme le fait son époux. Elle reste un moment la fausse bite dans son sexe et fait aller et venir le gode avec une vitesse croissante jusqu’au moment de l’explosion d’un bel orgasme.
Elle est obligée d’arrêter un moment. Elle a gardé le gode dans son ventre. Elle se caresse à nouveau le clitoris: c’est bien meilleurs avec le gode en elle. Elle arrête tout, prête à aller de coucher. Brusquement une autre envie de réveille, elle sort le gode de sa cachette pour le mettre dans son anus. Elle s’encule avec la main droite pour le mettre le plus profond possible. La main gauche sert aussi: elle fait comme quand son mari la sodomie, elle se branle le clitoris en même temps.
Sagement elle arrête tout. Il lui faut raconter cette masturbation particulièrement longue à son mari. Elle ne passe aucun détail pour qu’en son tour il se masturbe en la lisant. Cette description l’excite encore: elle met le gode dans sa chatte, continue à écrire en expliquant qu’elle a le gode en elle. Elle arrête même d’écrire pour se masturber encore une fois: elle le dit aussi.
Il lui tarde de recevoir encore une lettre toujours aussi chaude avec les descriptions des masturbations de son mari.
………………………………………………….............
Le temps passe finalement vite, le mari enfin entre. Ils n’attendent même pas de ranger le contenu des valise: il veux la voir nue, sur le divan en se branlant. Elle en mouille bien avant de commencer. Elle a le gode en main. Elle reprend ses caresses intimes sans pudeur et elle jouit surtout quand elle voit la bite de son chéri dans ses mains, il fait comme elle : il se branle en la regardant. Ce premier « non contact » se fini par une bonne baise. Ils se retrouvent après cette longue séparation. Pratiquement sauf pour un 69, elle a en elle une vrai bite, devant derrière et encore devant.
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