L'Asservissement de Sarah - 1 (Histoire Vraie) - histoire érotique

Depuis les aventures de la maison d’hôtes (), j’ai pensé écrire étape par étape les nombreuses tromperies que Sarah m’avait faites pendant les premières années jusqu’à arriver au jour où ses activités ont cessé d’être clandestines et que nous avons commencé à faire ça en tant que couple, cependant, l’évolution de l’histoire pendant les premières années seraient longues et ennuyeuses à écrire et surtout à lire.

Pour résumer, nous dirons que Sarah a découvert très vite son penchant pour la soumission, pour les amants puissants et égoïstes mais surtout, pour les gros engins. Quand j’ai fini par découvrir ses infidélités au bout de deux ans ensemble, c’était en 2013 et elle venait d’avoir 21 ans. Moi j’en avais 23 à l’époque.

Pour, au lieu de rompre avec elle, j’ai cherché à comprendre ses tendances. Peut-être surprise par le fait de ne pas s’être fait jetée et se disant qu’elle n’avait plus rien à perdre à ce niveau, elle commença à me raconter petit à petit ce qu’elle avait fait.

J’étais certes très en colère et pendant des semaines notre relation s’était refroidie, mais d’un autre côté, le peu qu’elle m’avait raconté sur ses aventures m’avait honteusement excité et je commençais à vouloir connaître davantage de détails, davantage d’histoires.

Elle fut surprise par ma requête et évita par tous les moyens de m’en dire trop, mais au fil du temps, comprenant que j’avais développé plus de curiosité que de colère pour le sujet, elle commença à s’ouvrir petit à petit et me raconter de plus en plus ouvertement ce qu’elle avait fait pendant les deux premières années de notre relation à mon insu.

Je ne lui ai pas avoué pendant les premières semaines, mais ses histoires m’excitaient de plus en plus et il m’arrivait de me toucher en imaginant les scénarios qu’elle me racontait. Je me suis penché sur le sujet encore plus jusqu’à ce que ça devienne une addiction de l’écouter mais très vite, elle avait déjà épuisé son stock d’histoires et de détails. Je connaissais ses aventures aussi bien qu’elle et quelque part ça m’a déçu.

Jusqu’au jour où l’idée de la voir baiser avec un autre était devenue omniprésente dans mon esprit, plus que cela, c’était devenu un fantasme permanent que je devais réaliser à tout prix. Quand je lui fis part de mon idée elle refusa catégoriquement :

- C’est hors de question, je ne peux pas faire ça et encore moins devant toi.

Je lui ai expliqué que ça serait dans le cadre d’un jeu et que si jamais l’expérience serait désagréable pour moi, on ne recommencera plus. Je lui ai également expliqué que j’avais découvert l’existence de qu’on appelait le « Candaulisme » et que j’étais curieux de découvrir ce que ça faisait en réalité. J’ai également ajouté qu’elle en avait forcément envie et que la seule chose qui l’empêchait de coopérer c’était la peur de me perdre, or je lui avais donné ma parole d’honneur que quoiqu’il arrive pendant cette expérience, je ferais comme si ça ne s’était jamais passé.

Au bout d’un long dîner et d’un nombre incalculable de verres, nous avions fini par trouver un accord. Elle était d’accord pour essayer mais sans que ça aille à la pénétration, l’acte devait se limiter aux préliminaires. C’était un grand pas déjà. J’ai accepté.

- Et puis d’ailleurs, où trouveras tu quelqu’un pour une pareille expérience ?
- Je vais me débrouiller, lui répondis je tout simplement.

A l’époque, nous venions d’aménager ensemble depuis quelques mois dans appartement dans une région un peu éloignée où personne ne nous connaissait, ça allait faciliter les choses.
Le sujet était déjà traité dans mon esprit. J’avais énormément d’amis dont certaines très proches et quelques profils étaient selon moi très adéquats à ce que je cherchais. Il me fallait juste un mec en qui j’avais confiance, qui ne risquerait pas de me trahir et dont la queue n’est pas ridicule.

Mon choix s’était porté sur G. à l’époque. C’était un ami très proche que je connaissais depuis de longues années et qui me racontait souvent ses exploits au lit. Sans prendre la peine de réfléchir ou de méditer sur le sujet, je l’ai invité à sortir le lendemain en tête à tête pour lui parler d’un sujet personnel.

Le lendemain, sans prendre de gants, je lui explosai tout le sujet et d’une traite. Il me regardait d’un air hébété.

- Ça alors, je m’attendais à tout sauf à ça.

La situation était gênante pour moi mais je faisais tout pour ne pas le lui montrer.

- Tu es partant oui ou non ?

Il hocha la tête un instant et il me répondit :

- Je t’ai toujours dit que tu avais de la chance d’avoir une femme comme Sarah, je ne vais pas te mentir, je suis tenté mais au même temps je n’ai pas envie que ça foute la merde entre nous deux.

Je secouai la tête :

- C’est moi qui ai proposé et tant que tu ne ferais rien contre son gré ou sans m’en informer, tout ira nickel. Alors ?

Il hésita un instant ensuite me répondit :

- D’accord. On procède comment ?


Nous avions établi un plan.
Le Vendredi soir, je l’ai invité chez nous pour dîner et boire quelques verres. Sarah se doutait forcément que sa présence devait avoir quelque chose avec notre accord mais elle se comporta normalement, très amicalement.

Le dîner fini, j’ai proposé d’aller au salon pour jouer à Action Vérité. J’ai omis de préciser qu’il s’agissait d’une version « hot » que j’avais concocté moi-même. Après quelques tours où des gages bidons avaient été prononcés, j’avais décidé de passer aux choses sérieuses. C’était à G. que j’allais proposer un gage. Il demanda vérité.

- Comment trouves tu les seins de Sarah ? Lui demandais je.

Sarah rougit sur le coup mais lui, qui était déjà préparé mentalement me répondit du tac au tac.

- Appétissants pour être honnête.

Sarah portait une chemisette blanche sous laquelle elle portait tout de même un soutien-gorge mais elle avait un beau 85C et le compliment de G. n’était pas du baratin. Elle rougit encore et ne répondit rien. Bientôt, ce fut à son tour d’avoir un gage.

- Vérité, demanda-t-elle.
- Navré chérie, lui répondis je, tu as déjà épuisé tes deux vérités réglementaires. Tu es obligée de choisir « Action ».
- Soit, répondit elle en évitant mon regard.
De tout évidence, elle sentait que quelque chose arrivait.
- Tu vas aller dans la chambre enlever ton soutien-gorge et passer le reste de la soirée sans.

Il y eut un instant de silence. Sur le coup, je craignis qu’elle refuse et que la soirée soit totalement fichue. Sans dire un mot, elle se leva et alla dans la chambre. Une minute plus tard, elle était revenue sans son soutien, j’étais aux anges. Mon plan marchait.
Quelques tours encore et ce fut à G. de demander à Sarah un gage. Ce gage-là, même moi je ne m’y attendais pas. Il avait décidé de passer directement au physique.

- Tu vas me rouler une pelle Sarah, dit-il.

Sarah s’affola un moment et me regarda avec de gros yeux. Essayant au maximum de garder la tête froide et une apparence calme, je lui fis signe de la tête qu’elle pouvait y aller. Elle hésita un court un instant et ensuite se rapprocha de G. et tendit ses lèvres, ce fut un baiser très court d’à peine deux secondes, au moment où elle allait se retirer il l’a retenu par la taille.

- J’ai dit une « pelle », pas un bisou d’enfants.

Et d’un geste vigoureux il la ramena vers lui et l’embrassa à pleine bouche. Le baiser dura peut-être une quinzaine de seconde mais pour moi il dura une heure. Hypnotisé, je regardais ma femme embrasser à pleine bouche un autre que moi et je sentais une chaleur inconnue monter en moi. A partir de là, le jeu s’accéléra.

Ce fut à mon tour d’embrasser Sarah, ensuite Sarah d’embrasser G. encore, ensuite je lui demandai de lui caresser les seins et ensuite je lui demandai à elle de caresser sa bosse, etc etc. Puis brusquement arriva un moment auquel G. ne m’avait pas préparé mais sur lequel il avait clairement bien médité.

Quand ce fut à son tour de demander un gage à Sarah, il se leva, baissa son pantalon ensuite son boxeur pour exhiber une queue respectable de vingt bons centimètres à moitié en érection.

- Maintenant tu vas me sucer, lui dit-il sur un ton qui n’admettait aucune objection.
Sarah me jeta un regard paniqué mais je voyais depuis un moment à la manière avec laquelle elle se trémoussait qu’elle était elle-même très certainement excitée. Je le fis encore une fois un signe de tête pour lui indiquer que j’étais d’accord.
Elle se retourna vers la grosse queue qui se tenait devant elle et alors qu’elle se préparait mentalement à sauter le pas ce fut G. qui s’exprima :

- Tu ne m’avais pas dit qu’elle adorait sucer les grosses queues ? dit-il sur un ton moqueur.

Et tout en disant ça il se rapprocha vivement d’elle de sorte à lui mettre sa queue à quelques centimètres de son visage.

- Suce ma queue maintenant, ton mec a dit qu’il était d’accord alors exécution.
Il prit sa queue en main et la présenta à l’entrée de ses lèvres, elle n’eut pas d’autre choix que d’ouvrir la bouche.

Il s’enfonça dans sa bouche avec un râle de plaisir.

- Ah enfin, dit-il, tu m’as bien chauffé ce soir, tu as intérêt bien me soulager maintenant.

Je ne suis capable de me remémorer fidèlement cet instant mais j’étais totalement envouté par le spectacle qui s’offrait à moi. Ma petite amie qui avait commencé à sucer avec embarras mon ami et qui au bout de quelques minutes, le suçait corps et âme en y mettant science et conscience alors qu’il profitait.

Bien que pour ma part ça avait duré longtemps mais en réalité c’était moins que dix minutes car la technique de Sarah dans la pratique de la fellation était extraordinaire mais il se mit soudainement à râler et retirant vivement sa queue de la bouche de de Sarah, il tira brutalement sa chemisette faisant voler deux boutons et se mit à se décharger en abondance sur ses beaux seins. Au bout de quelques secondes, plusieurs jets de sperme blanc décoraient ses magnifiques seins et il lui il essayait de reprendre ses esprits.
Il enfonça à nouveau sa queue dans la bouche de Sarah.
- Nettoies moi ça.

Elle se mit à avaler avec gourmandise son dard et le nettoya jusqu’à la moindre goutte et ce fut à ce moment que je commençais à réaliser quelle salope soumise était ma femme.
Tout se passa très vite et à peine cinq minutes plus tard encore, il nous remerciait pour cette belle soirée, déposa un baiser sur les lèvres de Sarah et s’en alla sans demander son reste. Cette dernière ne s’était pas encore nettoyée et avait encore la semence de mon ami sur ses seins.

Ce n’était encore que le début de beaucoup d’aventures qui nous restait à vivre et pour ma part, je découvrais un tout nouvel aspect de ma partenaire.