L'Asservissement de Sarah - 5 Sven (Histoire Vraie) - histoire érotique

Ramzi, l’ami étranger de G., allait rester encore quelques semaines dans notre ville. Avec ma permission et le consentement de Sarah, il avait obtenu le droit de venir chez nous de temps en temps pour se faire sucer. Bien que j’avais accepté, la situation ne me satisfaisait pas beaucoup.

Certes Sarah avait le droit à de multiples orgasmes car Ramzi et parfois G. prenaient le temps de lui faire un cunnilingus dans les règles, mais il manquait toujours la pénétration sans laquelle, de mon point de vue, l’expérience n’était pas complète.

J’étais arrivé simplement à la conclusion que nos deux « amis » n’étaient que des bras cassés et qu’il fallait quelqu’un de plus ingénieux pour la séduire et la faire plier. J’avais donc décidé de bien prendre les choses en main afin d’arriver à ce but.

Avec ces nouvelles habitudes, les rapports sexuels entre Sarah et moi s’étaient grandement améliorés et je prenais beaucoup plus de plaisir à la baiser. Ici je dois souligner que je n’ai jamais été partisan de « Faire l’Amour ». Je trouvais beaucoup plus de satisfaction à baiser Sarah comme une chienne qu’à lui faire l’amour comme un gentil petit ami amoureux. Pendant nos ébats, nous ne parlions jamais. Après le sexe, on s’échangeait divers fantasmes. Elle fantasmait réellement sur le fait d’avoir un autre homme en elle, deux hommes, voire un véritable groupe mais il semblait que l’étape était devenue carrément infranchissable pour elle, surtout devant moi. Je sentais qu’elle disait la vérité et je trouvais ça très frustrant.

Qu’elle me trompe, ça elle pouvait le faire. Qu’elle essaie un rapport complet devant moi, soudainement, elle ne peut plus. Ça avait le don de m’énerver mais je gardais toujours mon calme afin de ne pas détruire la confiance qu’elle avait en moi. Mon pire cauchemar c’était qu’elle se remette à me faire des cachotteries et qu’elle ne partage plus avec moi ses désirs réels.

Il me fallait quelqu’un capable de la séduire entièrement. G. m’avait mit en garde contre la possibilité que Sarah tombe amoureuse de son amant et me quitte, mais j’étais persuadé que Sarah ne pourrait jamais me quitter. Nous n’étions pas encore mariés mais j’étais sa famille et elle n’avait que moi au monde. Pour ma part, je l’aimais plus que tout au monde et je n’avais pas la moindre intention de renoncer à elle ni sur le court terme ni à l’avenir. Je me suis donc plongé dans mes recherches.

J’avais créé des profils dans beaucoup de sites de rencontres à caractère libertin et j’ai annoncé que je cherchais un amant pour séduire et baiser ma copine. J’ai bien entendu expliqué le problème par lequel nous passions et que je serai donc très sélectif.

Au bout de vingt-quatre heures, j’étais submergé de messages et il fallait donc faire le tri.

J’avais une idée bien précise en tête en commençant cette opération de recherches. Sarah m’avait, apparemment, raconté toutes ses aventures. Ce qui avait retenu mon attention, c’était sa première fois. L’homme qui l’avait faite basculer alors qu’elle était encore jeune et totalement coincée. Ce Brésil qui l’avait faite venir à sa chambre dans la maison d’hôtes et qui avait ensuite « abusé » d’elle.

C’était la seule fois, lorsqu’elle me racontait ses aventures, qu’elle insistait à plusieurs reprises sur l’énormité du machin de l’homme. Et si c’était ça son réel point faible ? Peut-être qu’elle avait développé depuis ce jour-là une faiblesse par rapport aux sexes énormes. Les autres amants qu’elle a eu par la suite avait des pénis moyens.
Il me fallait donc ça. Un candidat séducteur et avec une queue de cheval. La tâche ne fut pas aussi simple que je l’espérais.

Ma déception fut énorme par rapport aux propositions que j’ai reçues et j’ai dû éliminer beaucoup de candidats directement. J’ai constaté à ce moment-là que certaines personnes, malgré les critères que j’avais spécifié dans l’annonce, se contentaient de tenter leurs chances. J’ai dû éliminer directement les personnes trop âgées, les pénis petits et mêmes moyens, et ensuite j’ai dû discuter un à un avec les prétendants.

Croyez moi, trouver un homme qui a la fois un gros pénis et un cerveau est une tâche très complexe. Bref, la recherche me prit littéralement un mois et je commençais à désespérer. Jusqu’à ce que je tombe sur Sven.

Sven était un italien de dix ans mon aîné, il avait trente-trois ans à l’époque et était dans notre ville de passage. Il allait y rester un mois le temps de finir une mission professionnelle et ensuite rentrer en Italie. Il n’était pas spécialement beau mais il avait un beau corps et prétendait avoir un pénis énorme.

J’ai longuement discuté avec lui et il semblait comprendre la situation ainsi que la mission. J’ai demandé à le rencontrer pour discuter des détails de vive voix avec lui mais avant ça, j’ai exigé de voir son pénis sur Skype pour être sûr que ce n’était pas un imposteur. Il ne l’était pas. Il avait vraiment le plus gros pénis que j’ai jamais vu de ma vie, vingt-cinq centimètres selon lui. Bien épais, bien droit. C’était parfait.

Deux jours après, je le rencontrais dans un bar à l’autre côté de la ville.

Avec G. j’avais totalement confiance et j’étais permissif. Mais cet homme était un inconnu plus âgé que moi et il était important que je lui fasse comprendre que c’était moi qui tenais les rênes et qu’il se devait de me respecter. J’étais grand et tout en muscles, à cela j’ai rejouté le regard dur et le tempérament sérieux. Il avait beau être un homme accompli, il était important pour moi à l’époque, qu’il sache que je pouvais être une réelle menace pour lui s’il s’avisait de violer notre accord ou de faire à sa guise.

Fort heureusement, il apparu que Sven était un homme très sympathique et très respectueux. Le courant passa très bien entre nous dès les premières minutes. Je fus surpris (et soulagé) d’apprendre qu’il était marié et amoureux de sa femme. Le fait qu’il développe des sentiments pour Sarah était donc peu probable. Il allait également partir pour retourner chez lui après quatre semaines ce qui était encore mieux. D’un autre côté, ça nous laissait très peu de temps pour agir.

Il fallait donc improviser un plan et vite.

J’allais donc faire passer Sven pour un ancien ami que j’ai connu lors de mes voyages. Nous allions le présenter comme un homme moins jeune, vingt-cinq ans maximum, célibataire, qui avant de venir ici me proposa d’aller en Weekend détente quelque part. Il allait ramener sa copine avec lui, donc ça nous ferait des vacances à quatre. C’était le début du plan. Nous nous sommes mis d’accord sur tous les détails mais je vous laisse le plaisir de les découvrir au fur et à mesure comme Sarah à l’époque.