L'Asservissement de Sarah - 3 G. & Ramzi (Histoire Vraie) - histoire érotique

Voir Sarah a genoux devant G. ou entre ses jambes était devenu un événement normal au cours du mois qui suivi. Grace aux visites fréquentes de G. et à l’ouverture d’esprit dont je fis preuve malgré mon jeune âge à l’époque, Sarah s’habitua petit à petit à la situation et bientôt, elle se laissait facilement peloter, embrasser même lécher devant moi. Elle prit aussi l’habitude d’administrer des fellations devant moi et de recevoir les éjaculations sur son visage ou tout autre partie de son corps. Bien entendu, elle se limitait à G. et c’était un secret bien gardé entre nous trois.

Il y avait encore à l’époque beaucoup de préjugés par rapport à ce genre de pratiques et surtout parmi les gens de notre âge qui étaient loin d’avoir autant d’expérience. Pour ma part, l’excitation que je ressentais à chaque nouvelle rencontre avec G. était toujours intense et ne faiblissait pas, et je baisais systématiquement Sarah après chacune d’elles. Parfois, je ressentais l’envie de faire partie du jeu et je lui tendais ma queue pour qu’elle nous suce simultanément. Parfois, je la baisais pendant qu’elle le suçait.

Cependant, pendant tout le long du mois, elle refusa catégoriquement de franchir le pas en baisant avec lui. Ça provoquait en moi une énorme frustration et également une peur, celle de ne jamais réussir à la faire franchir le cap. Elle avait pourtant couché avec beaucoup d’hommes à mon insu, il semblait qu’elle était devenue incapable de le faire depuis que j’ai découverts ce qu’elle avait fait.

G. aussi de son côté développait une certaine frustration par rapport à la situation. Il avait beau se servir d’elle comme il voulait quand il était chez nous, l’envie de passer aux choses sérieuses avec elle était devenue une idée omniprésente dans son esprit. Mais jamais il ne fit un geste dans ce sens et se montra respectueux envers nous deux jusqu’au bout.

Nous en parlions lui et moi très souvent et pensions comment faire pour la persuader à aller plus loin. Bref, toutes nos tentatives échouèrent lamentablement et moi j’avais peur qu’une certaine routine s’installe voire pire, que G. se désintéresse de Sarah.

Au bout du compte, il trouva une idée ingénieuse pour pimenter les choses sans avoir à coucher avec elle.

- Tony, me dit-il, Sarah est une salope qui ne s’assume plus. Je pense qu’en la poussant à s’assumer, elle finira par céder.
- Et à quoi tu penses ?

Il resta silencieux un moment ensuite me répondit.

- Et si je ramenais une tierce personne pour se faire sucer avec moi ?
Sur le coup, je rougis sous le coup de l’excitation que l’idée me procura, cependant je retrouvai vite mes esprits.

- Mais c’est dangereux G., lui répondis-je, je ne veux pas que ça s’ébruite ce que nous faisons, c’est d’ailleurs pour ça que j’ai fait appel à toi à la base car j’ai totale confiance en toi.

Mon père était un homme d’affaires assez connu et ce qui me faisait réellement peur, ce n’était pas qu’un scandale éclate et entache ma réputation, mais que mon père apprend ce que je fais et me tue lui-même. Il était donc essentiel pour moi de garder une ou plusieurs barrières de sécurité. G. connaissait bien la situation.

- En réalité, j’ai la solution pour ton problème, me dit-il.
- Je t’écoute.
- J’ai un pote étranger qui arrive bientôt ici, il restera quelques jours ensuite repartira. Il n’a ni à connaître vos noms ni rien du tout. C’est un queutard qui sait y faire avec les femmes et de toutes manières, il ne vient ici qu’une fois par an au mieux.
- Intéressant, je vais y réfléchir.

En réalité, je ne réfléchis pas beaucoup. Le soir même, je lui envoyai un SMS pour lui dire que j’étais partant. Une semaine plus tard, le gars était là et je le rencontrai avec G. dans un bar. Le courant passa très bien et nous nous sommes mis d’accord sur les détails et les choses à faire, après quoi nous prîmes la route de ma maison.

Quand j’ai ouvert la porte, je vis que Sarah était dans la cuisine en train de laver la vaisselle. Elle me salua sans se retourner, je lui répondis sans annoncer que j’avais des visiteurs avec moi. Sur la pointe des pieds on se rapprocha d’elle sans qu’elle s’en rende compte.

Je vins derrière elle et la prit dans mes bras. Tout en déposant un baiser sur son coup, je lui dis à l’oreille :

- Nous avons des invités, chérie.

Elle se retourna vivement et laissa échapper un hoquet de surprise. Son regard se porta sur G. ensuite sur le visiteur qu’elle ne connaissait pas. Elle s’attarda un moment sur lui comme pour essayer de se rappeler si elle le connaissait ou pas ensuite elle me regarda sans rien comprendre. Je fis un pas en arrière et ce fut G. qui prit la parole en s’adressant à son pote :

- Voici la salope dont je t’ai parlé. Elle est sexy n’est-ce pas ?

Son pote hocha la tête avec un grand sourire.

- Magnifique en effet.

G. se rapprocha de Sarah, la plaqua contre le lavabo et l’embrassa à pleine bouche.

- J’ai raconté à mon pote quelle superbe suceuse tu es, alors il m’a demandé s’il pouvait essayer ta bouche de salope et comme Tony n’avait rien contre alors nous sommes venus.

Sarah le regardait avec de grands yeux et ne disait rien. Ramzi, l’ami de G., se rapprocha et posa directement sa main sur le sein de Sarah.

- Dis donc, dit-il, cette salope ne porte même pas de soutien-gorge sous son t-shirt.
Et il pressa son sein, la faisant gémir.

- Tu aimes qu’on te torture les seins petite pute ? Lui dit-il.

Sous mes yeux ravis, je voyais ces deux mecs peloter Sarah devant moi. Leurs mains avides courant le long de son corps, touchant ses seins, son cou, ses hanches, ses cuisses. Sarah respirait fort et se laissait faire. Tour à tour, ils l’embrassaient à pleine bouche tout en la coinçant entre eux.

Ce G. qui glissa sa main dans son short en direction de sa chatte.

- Dis donc, tu mouilles petite pute. Tu aimes ce qu’on te fait là n’est-ce pas ?
Et sans attendre de réponse, il la tira par le bras en direction du salon ou la jeta brutalement sur le canapé. Il commença à défaire son pantalon et Ramzi l’imita. Moi, je sorti également ma queue et je commençais à me masturber doucement.

Ramzi avait une queue comparable à la mienne, dans les dix-sept centimètres et bien épaisse. Les deux s’acharnèrent à lui baiser son beau visage tour à tour en l’inondant d’insultes et de remarques salaces. Encore dix minutes après et Sarah était complétement nue, complètement allongée sur G. à qui elle suçait la queue pendant lui léchait la chatte alors Ramzi la tenait par les cheveux et l’obligeait aussi par moments à prendre sa queue en bouche. C’était un spectacle magnifique.

Au bout du compte, ils la mirent à genoux devant eux et se préparèrent à éjaculer.

- Tu ne veux pas venir arroser ta pute avec nous, me demanda Ramzi.

J’hésitai un instant. J’adorais généralement la baiser après que G. en avait fini avec elle mais cette fois, la tentation était trop grande pour refuser. Je me mis en ligne avec eux et on se mit à branler en direction de son visage.

Ramzi fut le premier a jouir suivi par moi et finalement par G. Tous les trois nous avions la chance d’avoir des éjaculations abondantes et à la fin, le visage de Sarah était totalement recouvert de sperme. Ramzi s’enfonça à nouveau dans sa bouche pour qu’elle le nettoie. Moi je me laissai affaler sur le canapé pour reprendre mon souffle.

Quelques minutes plus tard, les deux étaient partis et Sarah était encore toute nue au milieu du salon, le visage collant.

- Je vais me doucher, me dit-elle.

Je ne répondis pas. Je venais de passer un moment très excitant mais j’étais encore frustré car je voulais la voir se faire prendre. Il fallait que je trouve une solution et vite. Bientôt, j’allais arriver à mes fins.