L'assistante intérimaire 1 (ou l’éducation de Faouzzia )
Récit érotique écrit par Misn1 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'assistante intérimaire 1 (ou l’éducation de Faouzzia )
Elle n’est pas comme toutes les autres intérimaires que j’ai embauchées jusque-là… La plupart des jeunes femmes envoyées par l’agence d’intérim sont le plus souvent peu expérimentées ou peu matures et même parfois mal embouchées, râleuses ou exigeantes au bout de quelques jours. A leurs décharges, je dois bien admettre aussi qu’être assistante d’un groupe de mecs dans un bureau d’étude de BTP, qui plus est avec 2 ou 3 jeunes branleurs dans le service mérite parfois une médaille !
Ce jour-là, cependant, je crois que l’agence a vu juste en nous envoyant Faouzzia, 25 ans, BAC + 4. Lors de l’entretien, je remarque aussitôt son aplomb et son sourire ; En bon connaisseur je vois que la nature l’a dotée d’une poitrine plus que généreuse, au bas mot – et d’après mes pauvres connaissances en lingerie – d’un 90 D…
Ce qui - si elle a un petit copain - doit lui offrir, avec ses gros nibards, la possibilité de faire des cravates de notaire…
Pas très grande, son visage est fin et régulier, et relevé d’une grosse lippe prête et bonne à tailler des pipes, ainsi que d’un regard bleu foncé. Une belle chevelure brune et frisée, complète un corps sublime à la peau mate et bronzée, aux jambes fines mais galbées et au cul bien cambré. Bref, une superbe femelle. C’est sûr, j’ai trouvé la perle rare ! Très intelligente, elle répond sans hésitations à toutes mes questions techniques et je me dis que derrière ce joli minois, il y a un cerveau... La beauté ne nuit pas à l’intelligence (et inversement d’ailleurs quand elle est bien utilisée…). L’entretien se déroule plus que bien, et alors que je l’écoute et admire ses formes à la dérobé, je me surprends, en posant machinalement mes questions et aussi ma main sur ma cuisse, à bander légèrement…
Je passe ce moment d’égarement sur la chaleur ambiante, et le fait que je n’ai pas fait l'amour avec mon épouse hier soir et ce matin, et suis donc convaincu ! Je lui explique donc ce que j’attends d’elle, le travail au bureau bien entendu, mais aussi les visites de chantiers avec les chefs de projet dans toute la France, avec obligation de dormir sur place à l’hôtel …
Ce qui est parfois difficile pour une jeune femme seule, surtout si elle a un petit ami qui reste à la maison... Je lui précise aussi les ‘inconvénients’ parfois rencontrés par les femmes dans ce milieu masculin et parfois aussi, il faut bien l’admettre, un peu macho… Et qu’elle n’hésite pas, bien entendu à m’en faire part si elle est trop importunée… Elle me répond que cela ne l’impressionne pas… Bien au contraire ! Et que, malgré son naturel timide, elle est là pour s’intégrer à l’équipe de travail, quelques soient les individus… Le contrat d’embauche de 3 mois est donc signé.
Quelques instants plus tard, je présente Faouzzia à mes collègues, pour la plupart hommes, au sein de l’open-space…
Inconsciemment, j’hésite entre 2 bureaux pour la placer, et soit je la mets près de moi afin de ‘l’avoir sous mon aile’, soit avec 2 mecs de son âge, bon chefs de projets mais un peu branleurs avec la gente féminine… Cependant, je me dis qu’elle sera plus à l’aise avec des collègues de son âge plutôt qu’avec un vieux briscard comme moi et que, intelligente comme elle est, elle saura les remettre à leurs places...
Deux semaines se sont écoulées, et professionnellement, ma petite protégée est parfaite.
Seule ombre au tableau, je la trouve un peu allumeuse. Au jour le jour, ses tenues sont de plus en plus courtes et provoquantes, un matin ce sont ses gros nibards trop mis en valeur par un chemisier ouvert très bas et sans soutif faisant apparaitre les coroles brunes et les tétons pointés…
Un autre jour, c’est la mini-jupe-écossaise-chemisier-décolleté de collégienne dévergondée qui excite les 2 sbires de service. Et même si ces 2 branleurs se comportent, à mon grand étonnement, comme de vrais gentlemen, ils ne peuvent - tout comme moi d’ailleurs – s’empêcher de mater la couleur du string journalier, en se penchant sous le bureau pour prendre un dossier bidon…
C’est sûr, cette petite chaudâsse a le feu au cul et, même si elle est très pro en BTP, n’a de cesse que d’exciter les mecs du bureau.
Mais ce qui m’inquiète, à vrai dire depuis 3 ou 4 jours, ce sont ses absences répétées de 30- 40 minutes en même temps que Thierry, le petit ‘trou-du-cul’ des RH. Ce n’est pas que je sois contre les pauses -café, mais je ne voudrais pas que ça jase trop dans le bureau… Ce matin, donc, je me décide à les suivre discrètement et à mon grand étonnement, ce n’est pas la direction de la cafétéria qu’ils prennent, mais la porte de l’escalier intérieur de secours de la tour (le bureau est au 18ème).
Je me doute maintenant de leur petit manège érotique et n’y tenant pas, je me décide, après 10 minutes d’attente d’aller les ‘mâter’ et de voir jusqu’où ils vont , Afin, plus tard, de leur expliquer que l’escalier de service est interdit en dehors des cas d’urgence et surtout qu’ils pourraient se faire surprendre par le responsable sureté-sécurité incendie qui n’est pas très commode et surtout fouineur.
Sans bruit, je referme les doubles portes et pénètre dans l’escalier désert, je m’arrête un instant et tend l’oreille. C’est presque silencieux, mais bientôt je perçois tout de même des soupirs de jouissance étouffée et des ’Han Han’ bien évocateurs de l’amour à la hussarde. Bingo ! C’est eux, mais je ne compte pas les prendre sur le fait. Je descends donc encore plus silencieusement et sur le palier inférieur, en m’arrêtant dans l’escalier j’aperçois mes 2 collègues qui me tournent le dos :
Elle les 2 mains appuyées au mur, bien calée, et lui la fourrageant par derrière comme un étalon, bien aligné, avec le cul de la ‘miss’ en ligne de mire. Ils ne me voient pas et ne m’ont pas entendu, mais moi, je suis aux premières loges ! Ce sacré Thierry, moi qui le croyais puceau cet idiot ! Il s’active ce bougre et est bien monté de plus, malgré son jeune âge. Doté d’une bite longue et fine, sa queue est un peu arquée ‘à l’envers’, vers le sol. Bandant comme un âne, très raide, il n’a même pas pris le temps de virer le string de Faouzzia, qu’il a simplement baissé sur ses chevilles. Rapide et pressé, il n’a vraiment pas peur de salir son costard, et foutre des tâches de sperme sur le tergal de son fut car seule, sa bite dépasse de sa braguette !
Et Faouzzia, cette petite salope ! Moi qui la croyais Sainte Nitouche lors de l’entretien, elle étouffe ses cris sous les coups de butoir de son collègue, bien rudes, raides et profonds dans sa moule étroite et épilée…
C’est que ce petit salaud n’y va pas de main morte, à mon avis et vues les durées de pauses qu’ils s’accordent habituellement, il ne devrait pas tarder à décharger … A vrai dire, je profite un peu du spectacle et glisse, rêveur, une main dans ma braguette. Cependant, le travail les attend, je pense en bon chef, qu’ils ont bien raison, mais qu’ils n’oublient pas le taf!!!
Perdu dans mes pensées, je ne vois pas que Thierry-le-baiseur veut en finir une fois pour toutes et changer de ‘route’. Toujours calé derrière le cul de Faouzzia, celui-ci veut maintenant ajuster sa queue à l’entrée du cul fermé et épilé de la petite …
‘Arrête ! Aie ! Pas ça ! Je te l’ai déjà dit ! Jamais, jamais ! gros con, pervers !’ proteste-t-elle.
De mieux en mieux je pense à l’instant, c’est vrai, qu’il y va fort ce Thierry, à la hussarde et bien gaulé, il est bien décidé à la fourailler par les 2 trous cette petite novice, mais Faouzzia proteste et n’est pas disposée à priori pour l’enculage ...Comme je la comprends… J’ai connu ça, moi aussi, au début ça fait peur… Il faut qu’elle tombe avec un mec doux et pas avec un bourrin.
Ce mec, la baise bien , c’est un fait, mais la petite est encore jeune, et, même si elle n’a pas froid aux yeux, je comprends qu’elle n’a pas encore appris toutes les combinaisons possibles du plaisir charnel …
D’ailleurs, pour en finir, celle-ci, toujours en position contre le mur, saisi de sa main libre la queue de son collègue pour le branler et en finir…
J’en sais assez, et alors que cet imbécile jouit dans la main active de Faouzzia en étouffant ses cris et en larguant son jus dans un kleenex, discrètement, je remets ma gaule dans mon string et referme ma braguette, puis je recule sans faire de bruit et rejoint le bureau.
Les petits imbéciles ! Je suis bien décidé :
- D’une part, à les recadrer sévèrement par rapport aux incartades dans l’escalier de service
- Et d’autre part, à emmener, dès demain, Faouzzia-La-Novice-Sainte-Nitouche en déplacement près du Cap d’Agde, afin de parfaire sa formation et son éducation sexuelle…
Cet idiot de Thierry baise comme étalon, mais aussi comme un bourrin et ne sait pas satisfaire sa jeune collègue… Lors d’un entretien - en complice -je lui en ferais part...
Dès l’après-midi, je donne congé à ma petite protégée et lui précise de faire sa valise pour 4 jours afin de visiter les chantiers du Languedoc que nous rejoindrons dès demain…
Ce jour-là, cependant, je crois que l’agence a vu juste en nous envoyant Faouzzia, 25 ans, BAC + 4. Lors de l’entretien, je remarque aussitôt son aplomb et son sourire ; En bon connaisseur je vois que la nature l’a dotée d’une poitrine plus que généreuse, au bas mot – et d’après mes pauvres connaissances en lingerie – d’un 90 D…
Ce qui - si elle a un petit copain - doit lui offrir, avec ses gros nibards, la possibilité de faire des cravates de notaire…
Pas très grande, son visage est fin et régulier, et relevé d’une grosse lippe prête et bonne à tailler des pipes, ainsi que d’un regard bleu foncé. Une belle chevelure brune et frisée, complète un corps sublime à la peau mate et bronzée, aux jambes fines mais galbées et au cul bien cambré. Bref, une superbe femelle. C’est sûr, j’ai trouvé la perle rare ! Très intelligente, elle répond sans hésitations à toutes mes questions techniques et je me dis que derrière ce joli minois, il y a un cerveau... La beauté ne nuit pas à l’intelligence (et inversement d’ailleurs quand elle est bien utilisée…). L’entretien se déroule plus que bien, et alors que je l’écoute et admire ses formes à la dérobé, je me surprends, en posant machinalement mes questions et aussi ma main sur ma cuisse, à bander légèrement…
Je passe ce moment d’égarement sur la chaleur ambiante, et le fait que je n’ai pas fait l'amour avec mon épouse hier soir et ce matin, et suis donc convaincu ! Je lui explique donc ce que j’attends d’elle, le travail au bureau bien entendu, mais aussi les visites de chantiers avec les chefs de projet dans toute la France, avec obligation de dormir sur place à l’hôtel …
Ce qui est parfois difficile pour une jeune femme seule, surtout si elle a un petit ami qui reste à la maison... Je lui précise aussi les ‘inconvénients’ parfois rencontrés par les femmes dans ce milieu masculin et parfois aussi, il faut bien l’admettre, un peu macho… Et qu’elle n’hésite pas, bien entendu à m’en faire part si elle est trop importunée… Elle me répond que cela ne l’impressionne pas… Bien au contraire ! Et que, malgré son naturel timide, elle est là pour s’intégrer à l’équipe de travail, quelques soient les individus… Le contrat d’embauche de 3 mois est donc signé.
Quelques instants plus tard, je présente Faouzzia à mes collègues, pour la plupart hommes, au sein de l’open-space…
Inconsciemment, j’hésite entre 2 bureaux pour la placer, et soit je la mets près de moi afin de ‘l’avoir sous mon aile’, soit avec 2 mecs de son âge, bon chefs de projets mais un peu branleurs avec la gente féminine… Cependant, je me dis qu’elle sera plus à l’aise avec des collègues de son âge plutôt qu’avec un vieux briscard comme moi et que, intelligente comme elle est, elle saura les remettre à leurs places...
Deux semaines se sont écoulées, et professionnellement, ma petite protégée est parfaite.
Seule ombre au tableau, je la trouve un peu allumeuse. Au jour le jour, ses tenues sont de plus en plus courtes et provoquantes, un matin ce sont ses gros nibards trop mis en valeur par un chemisier ouvert très bas et sans soutif faisant apparaitre les coroles brunes et les tétons pointés…
Un autre jour, c’est la mini-jupe-écossaise-chemisier-décolleté de collégienne dévergondée qui excite les 2 sbires de service. Et même si ces 2 branleurs se comportent, à mon grand étonnement, comme de vrais gentlemen, ils ne peuvent - tout comme moi d’ailleurs – s’empêcher de mater la couleur du string journalier, en se penchant sous le bureau pour prendre un dossier bidon…
C’est sûr, cette petite chaudâsse a le feu au cul et, même si elle est très pro en BTP, n’a de cesse que d’exciter les mecs du bureau.
Mais ce qui m’inquiète, à vrai dire depuis 3 ou 4 jours, ce sont ses absences répétées de 30- 40 minutes en même temps que Thierry, le petit ‘trou-du-cul’ des RH. Ce n’est pas que je sois contre les pauses -café, mais je ne voudrais pas que ça jase trop dans le bureau… Ce matin, donc, je me décide à les suivre discrètement et à mon grand étonnement, ce n’est pas la direction de la cafétéria qu’ils prennent, mais la porte de l’escalier intérieur de secours de la tour (le bureau est au 18ème).
Je me doute maintenant de leur petit manège érotique et n’y tenant pas, je me décide, après 10 minutes d’attente d’aller les ‘mâter’ et de voir jusqu’où ils vont , Afin, plus tard, de leur expliquer que l’escalier de service est interdit en dehors des cas d’urgence et surtout qu’ils pourraient se faire surprendre par le responsable sureté-sécurité incendie qui n’est pas très commode et surtout fouineur.
Sans bruit, je referme les doubles portes et pénètre dans l’escalier désert, je m’arrête un instant et tend l’oreille. C’est presque silencieux, mais bientôt je perçois tout de même des soupirs de jouissance étouffée et des ’Han Han’ bien évocateurs de l’amour à la hussarde. Bingo ! C’est eux, mais je ne compte pas les prendre sur le fait. Je descends donc encore plus silencieusement et sur le palier inférieur, en m’arrêtant dans l’escalier j’aperçois mes 2 collègues qui me tournent le dos :
Elle les 2 mains appuyées au mur, bien calée, et lui la fourrageant par derrière comme un étalon, bien aligné, avec le cul de la ‘miss’ en ligne de mire. Ils ne me voient pas et ne m’ont pas entendu, mais moi, je suis aux premières loges ! Ce sacré Thierry, moi qui le croyais puceau cet idiot ! Il s’active ce bougre et est bien monté de plus, malgré son jeune âge. Doté d’une bite longue et fine, sa queue est un peu arquée ‘à l’envers’, vers le sol. Bandant comme un âne, très raide, il n’a même pas pris le temps de virer le string de Faouzzia, qu’il a simplement baissé sur ses chevilles. Rapide et pressé, il n’a vraiment pas peur de salir son costard, et foutre des tâches de sperme sur le tergal de son fut car seule, sa bite dépasse de sa braguette !
Et Faouzzia, cette petite salope ! Moi qui la croyais Sainte Nitouche lors de l’entretien, elle étouffe ses cris sous les coups de butoir de son collègue, bien rudes, raides et profonds dans sa moule étroite et épilée…
C’est que ce petit salaud n’y va pas de main morte, à mon avis et vues les durées de pauses qu’ils s’accordent habituellement, il ne devrait pas tarder à décharger … A vrai dire, je profite un peu du spectacle et glisse, rêveur, une main dans ma braguette. Cependant, le travail les attend, je pense en bon chef, qu’ils ont bien raison, mais qu’ils n’oublient pas le taf!!!
Perdu dans mes pensées, je ne vois pas que Thierry-le-baiseur veut en finir une fois pour toutes et changer de ‘route’. Toujours calé derrière le cul de Faouzzia, celui-ci veut maintenant ajuster sa queue à l’entrée du cul fermé et épilé de la petite …
‘Arrête ! Aie ! Pas ça ! Je te l’ai déjà dit ! Jamais, jamais ! gros con, pervers !’ proteste-t-elle.
De mieux en mieux je pense à l’instant, c’est vrai, qu’il y va fort ce Thierry, à la hussarde et bien gaulé, il est bien décidé à la fourailler par les 2 trous cette petite novice, mais Faouzzia proteste et n’est pas disposée à priori pour l’enculage ...Comme je la comprends… J’ai connu ça, moi aussi, au début ça fait peur… Il faut qu’elle tombe avec un mec doux et pas avec un bourrin.
Ce mec, la baise bien , c’est un fait, mais la petite est encore jeune, et, même si elle n’a pas froid aux yeux, je comprends qu’elle n’a pas encore appris toutes les combinaisons possibles du plaisir charnel …
D’ailleurs, pour en finir, celle-ci, toujours en position contre le mur, saisi de sa main libre la queue de son collègue pour le branler et en finir…
J’en sais assez, et alors que cet imbécile jouit dans la main active de Faouzzia en étouffant ses cris et en larguant son jus dans un kleenex, discrètement, je remets ma gaule dans mon string et referme ma braguette, puis je recule sans faire de bruit et rejoint le bureau.
Les petits imbéciles ! Je suis bien décidé :
- D’une part, à les recadrer sévèrement par rapport aux incartades dans l’escalier de service
- Et d’autre part, à emmener, dès demain, Faouzzia-La-Novice-Sainte-Nitouche en déplacement près du Cap d’Agde, afin de parfaire sa formation et son éducation sexuelle…
Cet idiot de Thierry baise comme étalon, mais aussi comme un bourrin et ne sait pas satisfaire sa jeune collègue… Lors d’un entretien - en complice -je lui en ferais part...
Dès l’après-midi, je donne congé à ma petite protégée et lui précise de faire sa valise pour 4 jours afin de visiter les chantiers du Languedoc que nous rejoindrons dès demain…
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