Le conseil de révision
Récit érotique écrit par Misn1 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le conseil de révision
Je viens de la recevoir cette convocation de l’armée sous enveloppe bleu blanc rouge, papier tant craint mais aussi tant attendu lors de ma 18ème année d’insouciance, en cette année 1980 : Je suis convoqué dans une caserne du Nord, aux « 3 jours » d’intégration du service militaire pour y effectuer des tests physiques et psychologiques en vue d’être intégré au sein d’un régiment pour y effectuer mon « service » militaire… Comme soldat fort ? Beau marin ? Ou bien aviateur courageux ? Je le saurai plus tard…
Là, c’est le jour de la convocation, en soirée je vais à la gare et prends le train militaire vers le centre de sélection, moitié ému - moitié confiant. En arrivant, la gare est remplie de mecs alcoolisés et surexcités. J’ai 18 ans, j’ai devancé l’appel, et à entendre tous ces cons brailler des conneries, je n’ai qu’une envie c’est de me tirer. En même temps, j’aime la compagnie des mecs et quelque chose me dit de ne pas faire le con et de le faire ce service national, et que si je n’y vais pas, je passerai sans doute à côté de pas mal… de bons plans !
Côté cul, j’ai des petites copines et je ne m’ennuie pas ! Et depuis déjà 6 ans, je m’envoie plus souvent en l’air que la plupart des jeunes de mon âge. Je suis précoce, et depuis 1 an, lors de vacances, j’ai même connu ma première partouze avec un groupe d’allemands et aussi l’amour au masculin durant 2 semaines avec un jeune israélien d’Haïfa, que j’ai d’ailleurs encore beaucoup de mal à me sortir de la tronche (mais ça, c’est une autre histoire) ...
Il est l’heure de partir, le train est blindé. J’avance dans les couloirs du wagon en cherchant une place libre et si possible avec des mecs pas trop alcoolisés ; Miracle ! Il reste une place dans ce compartiment, à côté d’un mec barbu et à l’allure virile. Nous sommes 8 et à part le bruit du train, c’est silencieux, les mecs font la gueule, mais n’ont pas l’air trop bourrins, c’est déjà ça.
La nuit est tombée dehors, ce mois de novembre est glacial et le train n’arrivera que vers 4h du matin, tout le monde s’endort ou somnole dans ce compartiment mal chauffé. Nous sommes très serrés, assis tous côte à côte et j’ai froid. Au travers de mon manteau, je sens la chaleur du mec à côté de moi. Il dort, ou plutôt, je crois qu’il fait semblant de dormir, je ne sais pas pourquoi.
Comme je suis glacé aux pieds et aux jambes, j’ai placé ma cuisse contre la sienne pour profiter un peu de sa chaleur. Dans la pénombre, je le regarde et je vois qu’il me fixe malgré ses yeux mi-clos, il est plutôt pas mal, il est barbu avec des traits réguliers et des lèvres épaisses, il semble plus vieux que moi, faut dire que j’ai devancé l’appel. Je sens son haleine un peu alcoolisée, il respire fort et vers moi, son souffle dans ma tronche me réchauffe, j’ai envie de l’embrasser, mais impossible dans cette promiscuité.
Ses traits sont reposés et il parait plutôt cool. Tout à l’heure j’ai vu son regard bleu et sympathique, il m’avait un peu dévisagé, mais j’avais baissé les yeux tellement ses yeux clairs contrastant avec son teint halé et brun, m’avaient impressionné. Sentant ma cuisse contre la sienne, il ne la retire pas, et dans la pénombre du compartiment, il colle sa jambe, plus fort, contre la mienne ; Il est bouillant. Je n’en reste pas là, j’ai froid - mais pas aux yeux - et j’ai aussi besoin de me rassurer contre n’importe qui en partant vers l’inconnu. Mais il y a aussi 6 autres mecs dans ce réduit et je ne connais pas leurs réactions, alors pour me dissimuler un peu plus, je défais mon manteau et le pose sur moi, ça me réchauffe un peu, et puis nos mains seront cachées, si elles sont baladeuses…
Mon voisin ne dort plus désormais, il fait seulement semblant mais je sens son corps tout contre le mien. Il a défait sa doudoune, et comme moi, l’a posée sur son torse, mine de rien… Nos mains, en même temps se frôlent et se rencontrent, un moment, très court, nous nous les serrons mutuellement, comme pour nous dire bonjour silencieusement et puis doucement, elles se séparent et remontent direct vers nos ceintures. Il est vachement poilu, même sur le dos de ses mains, j’adore, ça fait bien le pendant, par rapport à toutes les gonzesses que je me tape en ce moment.
Les autres mecs du compartiment dorment, il est minuit passé ; en silence, avec mon nouveau pote, on se dégrafe et l’on se caresse nos ventre, nos pectoraux, nos mains pincent aussi nos tétons tendrement ou tirent nos poils de torse : j’ai trouvé mon alter égo !
Il fait nuit maintenant et le compartiment n‘est pas éclairé. Nos ceintures sont défaites, pourquoi s’arrêter en si bon chemin alors que le plaisir n’est qu’à quelques centimètres… Je suis le premier à rentrer mes doigts dans son slip en coton, et sa bite est à la mesure du plaisir qui m’attend ; par tâtonnements, je l’estime bien dans les 20 centimètres plutôt fine mais très raide de l’énergie de nos 20 ans, comme un barreau de chaise avec un gland plutôt pointu… Ses jambes sont musclées et charnues, très poilues aussi, un vrai ours ! Ses doigts n’attendent plus et passent également sous mon slip. Je bande également, bien dur et malgré mon jeune âge, je présente une belle gaule, avant de partir, j’ai pourtant baisé ma copine tout l’après-midi, elle en a pris plein le cul, la chatte et la bouche, mais je suis encore chaud. L’émotion d’être à l’armée ajoutée à cette première aventure m’excite terriblement. Je mouille, lui aussi d’ailleurs, alors nos mouvement de va-et-vient commencent aussitôt, lents, doux et tout en longueur pour ne réveiller personne, comme de vrais pros… Dire que je pensai me retrouver seul dans ce monde militaire… Si c’est ça l’armée, je veux bien en prendre pour 24 mois !
Et puis, toujours en silence on accélère notre rythme, j’ai compris qu’on ne s’arrêtera pas en si bon chemin, il nous faut cracher notre jus avant d’arriver à Cambrai et tant pis pour les autres s’ils s’en aperçoivent… Ce mec est le premier à juter dans ma paume serrée en haut de son gland, Je sais qu’il serre les dents pour ne pas gueuler et je sens ses coups de queue accompagnés des jets de foutre, il accompagne bien son mouvement. Dans sa grande bonté, il ne me laisse pas en reste et même si mon jus mets un peu plus de temps à monter dans ma colonne, il tient à me faire jouir – solidarité masculine oblige… Il sait s’y prendre le bougre et a trouvé mon point faible et de non-retour en caressant mon frein, c’est trop bon. Alors, Ce n’est pas long, et je ne tarde pas, comme lui à exploser en silence, même si nos manteaux sont de plus en plus agités… Comme si de rien n’était, on se rajuste et on s’endort ; Un peu plus tard, le convoi arrive et toute la troupe de jeunes mâles descend ; la petite ville est glacée sous la nuit noire, des camions bâchés, moteurs démarrés nous attendent devant la gare et dans ce petit matin blême et givré, un sergent nous engueule pour aller plus vite… Bienvenue dans le monde viril de l’armée Française !
Plus tard, après un café ou plutôt une eau tiède colorée, on nous distribue un tee-shirt et un short. Malgré la fatigue, je suis excité, Direction le vestiaire, pour se foutre à poil et passer devant le médecin. Enfin un bon moment qui m’attend… Les gradés, biens vicelards, nous matent sans vergogne, et la plupart des mecs se sentent vraiment humiliés. Moi, je me retiens, mais surtout pour ne pas trop bander… Je sais par des « anciens », que la bisexualité est mal vue et que c’est une cause de réforme pour « déviance », en 1980 l’époque était différente… Il faut faire la queue donc, les uns derrières les autres ; un sergent, plus vicelard encore, se comporte comme un vrai kapo :
- « Les uns derrière les autres, Ducon, je t’ai dit, t’es jamais sorti des jupes de ta mère, l’armée va faire de toi un homme abruti.. .» s’adresse-t-il à certains, ou encore « bite au cul, à la queue leu leu, Regarde-moi ces branleurs, ces bleus-bites !! »... Je ne me fais pas remarquer, et pendant que d’autres se font engueuler, en fait, et enfin, je bois du petit lait, j’aime bien ces ambiances d’humiliations viriles, faite de contacts avec les torses, les sexes mous contre les culs et les odeurs de sueur... J’en profite bien de ces contacts, je ne les cherche pas, ils sont là, tout offerts à moi, sous les ordres du gradé! Des mecs chialent comme des gonzesses et alors qu’hier, à la gare, ils se comportaient comme des branleurs, ils ne supportent même pas quelques mots « fleuris » d’un gradé prenant sans aucun doute beaucoup de plaisir (et son pied) à humilier ses pairs.
Et puis on passe devant le toubib, alors Là, mon mimi je me dis, pas de gaffe, si t’es un mec et que tu veux partir en camp de vacances de mecs, 1 an gratos payé par la France, ne dis pas de connerie ! On est pesé, mesuré sous la toise (sauf la longueur de la bite, dommage…) et vacciné si besoin. Et puis le toubib, suspicieux, nous observe et nous pose les questions adéquate :
- « T’as une petite copine ? Tu vas aux putes ? Tu te branles ? » Il observe et observe bien ce bougre, d’ailleurs, je vois que mon compagnon de cette nuit est envoyé direct au psy, je ne le reverrai pas, la nuit suivante, il ne sera pas dans la chambrée...
Et puis c’est les épreuves sportives, il faut faire du foot, alors on se change, ou plutôt on s’habille du short et du tee-shirt, l’ambiance, après ce passage au médical est beaucoup plus détendue et la plupart des mecs sourient maintenant de cette « humiliation ». D’ailleurs rien ne presse et tout à chacun passe un peu plus de temps à rester à poil dans le vestiaire surchauffé. Et puis on fait le match, il y a du contact et là je kiffe ; deux trois mecs ne me laissent pas de marbre, ils sont vraiment sympa, et ça fait plaisir de discuter un peu avec eux, sans le savoir, dans 3 mois, j’en retrouverai un en Allemagne. On baisera d’ailleurs quelques fois pendant les tours de garde chez les commandos (mais ça, c’est aussi une autre histoire).
Un peu plus tard, l’officier recruteur me reçoit, je veux être marin, je lui dis, c’est raté, je serai commando. Il est suspicieux, mais j’ai passé le cap du médical, je sais, à ma grande joie (intérieure), que je suis pris, et puis les commandos c’est bien, je kiffe aussi le corps à corps…
La fin du séjour se termine, un film est projeté, à mes côté, un mec, sans trop se cacher se caresse doucement dans la pénombre, il sait que je le matte ; l’armée commence bien, mais je ne réponds pas à l’invite, j’ai tout mon temps maintenant pour partir tranquille parmi les militaires ou les PEFAT (personnel féminin de l’Armée de Terre) pour frayer et démonter des culs…
Ah, quel dommage que d’avoir supprimé ce sacré service national, il faisait de nous des hommes, des vrais !
Là, c’est le jour de la convocation, en soirée je vais à la gare et prends le train militaire vers le centre de sélection, moitié ému - moitié confiant. En arrivant, la gare est remplie de mecs alcoolisés et surexcités. J’ai 18 ans, j’ai devancé l’appel, et à entendre tous ces cons brailler des conneries, je n’ai qu’une envie c’est de me tirer. En même temps, j’aime la compagnie des mecs et quelque chose me dit de ne pas faire le con et de le faire ce service national, et que si je n’y vais pas, je passerai sans doute à côté de pas mal… de bons plans !
Côté cul, j’ai des petites copines et je ne m’ennuie pas ! Et depuis déjà 6 ans, je m’envoie plus souvent en l’air que la plupart des jeunes de mon âge. Je suis précoce, et depuis 1 an, lors de vacances, j’ai même connu ma première partouze avec un groupe d’allemands et aussi l’amour au masculin durant 2 semaines avec un jeune israélien d’Haïfa, que j’ai d’ailleurs encore beaucoup de mal à me sortir de la tronche (mais ça, c’est une autre histoire) ...
Il est l’heure de partir, le train est blindé. J’avance dans les couloirs du wagon en cherchant une place libre et si possible avec des mecs pas trop alcoolisés ; Miracle ! Il reste une place dans ce compartiment, à côté d’un mec barbu et à l’allure virile. Nous sommes 8 et à part le bruit du train, c’est silencieux, les mecs font la gueule, mais n’ont pas l’air trop bourrins, c’est déjà ça.
La nuit est tombée dehors, ce mois de novembre est glacial et le train n’arrivera que vers 4h du matin, tout le monde s’endort ou somnole dans ce compartiment mal chauffé. Nous sommes très serrés, assis tous côte à côte et j’ai froid. Au travers de mon manteau, je sens la chaleur du mec à côté de moi. Il dort, ou plutôt, je crois qu’il fait semblant de dormir, je ne sais pas pourquoi.
Comme je suis glacé aux pieds et aux jambes, j’ai placé ma cuisse contre la sienne pour profiter un peu de sa chaleur. Dans la pénombre, je le regarde et je vois qu’il me fixe malgré ses yeux mi-clos, il est plutôt pas mal, il est barbu avec des traits réguliers et des lèvres épaisses, il semble plus vieux que moi, faut dire que j’ai devancé l’appel. Je sens son haleine un peu alcoolisée, il respire fort et vers moi, son souffle dans ma tronche me réchauffe, j’ai envie de l’embrasser, mais impossible dans cette promiscuité.
Ses traits sont reposés et il parait plutôt cool. Tout à l’heure j’ai vu son regard bleu et sympathique, il m’avait un peu dévisagé, mais j’avais baissé les yeux tellement ses yeux clairs contrastant avec son teint halé et brun, m’avaient impressionné. Sentant ma cuisse contre la sienne, il ne la retire pas, et dans la pénombre du compartiment, il colle sa jambe, plus fort, contre la mienne ; Il est bouillant. Je n’en reste pas là, j’ai froid - mais pas aux yeux - et j’ai aussi besoin de me rassurer contre n’importe qui en partant vers l’inconnu. Mais il y a aussi 6 autres mecs dans ce réduit et je ne connais pas leurs réactions, alors pour me dissimuler un peu plus, je défais mon manteau et le pose sur moi, ça me réchauffe un peu, et puis nos mains seront cachées, si elles sont baladeuses…
Mon voisin ne dort plus désormais, il fait seulement semblant mais je sens son corps tout contre le mien. Il a défait sa doudoune, et comme moi, l’a posée sur son torse, mine de rien… Nos mains, en même temps se frôlent et se rencontrent, un moment, très court, nous nous les serrons mutuellement, comme pour nous dire bonjour silencieusement et puis doucement, elles se séparent et remontent direct vers nos ceintures. Il est vachement poilu, même sur le dos de ses mains, j’adore, ça fait bien le pendant, par rapport à toutes les gonzesses que je me tape en ce moment.
Les autres mecs du compartiment dorment, il est minuit passé ; en silence, avec mon nouveau pote, on se dégrafe et l’on se caresse nos ventre, nos pectoraux, nos mains pincent aussi nos tétons tendrement ou tirent nos poils de torse : j’ai trouvé mon alter égo !
Il fait nuit maintenant et le compartiment n‘est pas éclairé. Nos ceintures sont défaites, pourquoi s’arrêter en si bon chemin alors que le plaisir n’est qu’à quelques centimètres… Je suis le premier à rentrer mes doigts dans son slip en coton, et sa bite est à la mesure du plaisir qui m’attend ; par tâtonnements, je l’estime bien dans les 20 centimètres plutôt fine mais très raide de l’énergie de nos 20 ans, comme un barreau de chaise avec un gland plutôt pointu… Ses jambes sont musclées et charnues, très poilues aussi, un vrai ours ! Ses doigts n’attendent plus et passent également sous mon slip. Je bande également, bien dur et malgré mon jeune âge, je présente une belle gaule, avant de partir, j’ai pourtant baisé ma copine tout l’après-midi, elle en a pris plein le cul, la chatte et la bouche, mais je suis encore chaud. L’émotion d’être à l’armée ajoutée à cette première aventure m’excite terriblement. Je mouille, lui aussi d’ailleurs, alors nos mouvement de va-et-vient commencent aussitôt, lents, doux et tout en longueur pour ne réveiller personne, comme de vrais pros… Dire que je pensai me retrouver seul dans ce monde militaire… Si c’est ça l’armée, je veux bien en prendre pour 24 mois !
Et puis, toujours en silence on accélère notre rythme, j’ai compris qu’on ne s’arrêtera pas en si bon chemin, il nous faut cracher notre jus avant d’arriver à Cambrai et tant pis pour les autres s’ils s’en aperçoivent… Ce mec est le premier à juter dans ma paume serrée en haut de son gland, Je sais qu’il serre les dents pour ne pas gueuler et je sens ses coups de queue accompagnés des jets de foutre, il accompagne bien son mouvement. Dans sa grande bonté, il ne me laisse pas en reste et même si mon jus mets un peu plus de temps à monter dans ma colonne, il tient à me faire jouir – solidarité masculine oblige… Il sait s’y prendre le bougre et a trouvé mon point faible et de non-retour en caressant mon frein, c’est trop bon. Alors, Ce n’est pas long, et je ne tarde pas, comme lui à exploser en silence, même si nos manteaux sont de plus en plus agités… Comme si de rien n’était, on se rajuste et on s’endort ; Un peu plus tard, le convoi arrive et toute la troupe de jeunes mâles descend ; la petite ville est glacée sous la nuit noire, des camions bâchés, moteurs démarrés nous attendent devant la gare et dans ce petit matin blême et givré, un sergent nous engueule pour aller plus vite… Bienvenue dans le monde viril de l’armée Française !
Plus tard, après un café ou plutôt une eau tiède colorée, on nous distribue un tee-shirt et un short. Malgré la fatigue, je suis excité, Direction le vestiaire, pour se foutre à poil et passer devant le médecin. Enfin un bon moment qui m’attend… Les gradés, biens vicelards, nous matent sans vergogne, et la plupart des mecs se sentent vraiment humiliés. Moi, je me retiens, mais surtout pour ne pas trop bander… Je sais par des « anciens », que la bisexualité est mal vue et que c’est une cause de réforme pour « déviance », en 1980 l’époque était différente… Il faut faire la queue donc, les uns derrières les autres ; un sergent, plus vicelard encore, se comporte comme un vrai kapo :
- « Les uns derrière les autres, Ducon, je t’ai dit, t’es jamais sorti des jupes de ta mère, l’armée va faire de toi un homme abruti.. .» s’adresse-t-il à certains, ou encore « bite au cul, à la queue leu leu, Regarde-moi ces branleurs, ces bleus-bites !! »... Je ne me fais pas remarquer, et pendant que d’autres se font engueuler, en fait, et enfin, je bois du petit lait, j’aime bien ces ambiances d’humiliations viriles, faite de contacts avec les torses, les sexes mous contre les culs et les odeurs de sueur... J’en profite bien de ces contacts, je ne les cherche pas, ils sont là, tout offerts à moi, sous les ordres du gradé! Des mecs chialent comme des gonzesses et alors qu’hier, à la gare, ils se comportaient comme des branleurs, ils ne supportent même pas quelques mots « fleuris » d’un gradé prenant sans aucun doute beaucoup de plaisir (et son pied) à humilier ses pairs.
Et puis on passe devant le toubib, alors Là, mon mimi je me dis, pas de gaffe, si t’es un mec et que tu veux partir en camp de vacances de mecs, 1 an gratos payé par la France, ne dis pas de connerie ! On est pesé, mesuré sous la toise (sauf la longueur de la bite, dommage…) et vacciné si besoin. Et puis le toubib, suspicieux, nous observe et nous pose les questions adéquate :
- « T’as une petite copine ? Tu vas aux putes ? Tu te branles ? » Il observe et observe bien ce bougre, d’ailleurs, je vois que mon compagnon de cette nuit est envoyé direct au psy, je ne le reverrai pas, la nuit suivante, il ne sera pas dans la chambrée...
Et puis c’est les épreuves sportives, il faut faire du foot, alors on se change, ou plutôt on s’habille du short et du tee-shirt, l’ambiance, après ce passage au médical est beaucoup plus détendue et la plupart des mecs sourient maintenant de cette « humiliation ». D’ailleurs rien ne presse et tout à chacun passe un peu plus de temps à rester à poil dans le vestiaire surchauffé. Et puis on fait le match, il y a du contact et là je kiffe ; deux trois mecs ne me laissent pas de marbre, ils sont vraiment sympa, et ça fait plaisir de discuter un peu avec eux, sans le savoir, dans 3 mois, j’en retrouverai un en Allemagne. On baisera d’ailleurs quelques fois pendant les tours de garde chez les commandos (mais ça, c’est aussi une autre histoire).
Un peu plus tard, l’officier recruteur me reçoit, je veux être marin, je lui dis, c’est raté, je serai commando. Il est suspicieux, mais j’ai passé le cap du médical, je sais, à ma grande joie (intérieure), que je suis pris, et puis les commandos c’est bien, je kiffe aussi le corps à corps…
La fin du séjour se termine, un film est projeté, à mes côté, un mec, sans trop se cacher se caresse doucement dans la pénombre, il sait que je le matte ; l’armée commence bien, mais je ne réponds pas à l’invite, j’ai tout mon temps maintenant pour partir tranquille parmi les militaires ou les PEFAT (personnel féminin de l’Armée de Terre) pour frayer et démonter des culs…
Ah, quel dommage que d’avoir supprimé ce sacré service national, il faisait de nous des hommes, des vrais !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
pas mal comme récit, sauf qu'en 1980 cela ne s'appelait plus le conseil de révision depuis bien longtemps, et que les mecs n'étaient plus à poil en file indienne mais en slip, eh oui cela a changé dans le début des années 70, et puis les "3 jours" pour moi se sont réduit à 1 jour : arrivé le matin, reparti le soir.
J'ai de merveilleux souvenir du service militaire ou j'ai bésé avec un mec de ma section en Corse, Merci au militaires
slt oui excellent ton récit vite la suite
salut a toi vive le service militaire ses chaud j espere lire une suite
trop exit temps bisous a toi jose
trop exit temps bisous a toi jose