L'assitante intérimaire 2 (ou l’éducation de Faouzzia )
Récit érotique écrit par Misn1 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'assitante intérimaire 2 (ou l’éducation de Faouzzia )
Notre petite assistante vient de repartir à la Courneuve pour préparer ses valises. Je décide donc de convoquer ‘Thierry-le-baiseur-de-service’ séance tenante afin de lui faire part de mon mécontentement. Tout sourire, celui-ci pénètre dans le bureau :
- ’Le dossier du personnel du Pont de l’Isère avance bien…’Commence-t-il…
- ‘Je sais, mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit, je lui réponds, mais de Faouzzia, je n’ai pas voulu vous surprendre tout à l’heure dans l’escalier de secours, mais enfin Thierry, qu’est-ce qui t’as pris ??? Sauter la petite … Au travail… A la hussarde dans cet escalier…Presque au vu et au su de tout le monde, avec le risque que ce connard de la sureté ou un autre de tes collègues vous surprenne en pleine action ! C’est sûr, si vous aviez été vus, vous étiez tous les deux collés au pilori. Heureusement que c’était moi ! Tu peux me remercier, je sais être discret et tenir ma langue… Bon… Entre nous, elle est bonne la petite ? Tu avais l’air de bien lui casser l’arrière-train, mon veinard ! Si j’avais su, je me serai bien joins à vous deux, ça commençait à bien m’exciter votre affaire !’
-Ah bon, mais pourquoi tu ne t’es pas joint à nous ? C’est une vrai chaudasse la nouvelle assistante.
Et sans se démonter, Thierry me raconte ses petites incartades, souvent au bureau avec les jeunes stagiaires, ou bien encore lors de ses déplacements avec les assistantes sur les chantiers en province, et toutes, ou presque y étant passée : Belles ou moches, jeunes ou plus âgées. Au bureau, dans les cabanes de chantier ou encore à l’arrière des véhicules de location, mais, à l’écouter, toujours vite fait, bien fait, sans réel plaisir, uniquement pour remplir son tableau de chasse composé de bons et mauvais coups.
Après une demi-heure d’entretien je prends conscience que c’est un vrai Dom Juan, un collectionneur de chattes, jamais rassasié ; Cependant, en bon chef, et après ce à quoi j’ai assisté ce matin, je lui conseille de ménager ses ardeurs et de prendre son temps avec ses collègues féminines. La baise à la hussarde, d’accord, mais que c’est beaucoup mieux avec un peu de douceur et de lenteur avec les jeunes culs jamais déflorés, sinon, il ira de refus en refus et restera toujours sur sa faim.
S’il veut faire grimper aux rideaux Faouzzia, et surtout la prendre par le chemin noir et serré, un minimum de préliminaires est requis… Comme un bon dossier BTP doit être préparé, une bonne partie de baise relève de la même démarche, la préparation avant tout, la sensualité et la douceur, on ne le dira jamais assez aux jeunes !
Le petit voit bien l’image… Et, sentant que ces 2 jeunots, méritent un ‘sexe-coaching’, je lui propose donc, à lui aussi, de nous accompagner à Montpellier dès demain matin, non sans lui préciser que notre lieu de villégiature sera le Cap d’Agde, dans un appartement prêté par un ami. En guise de réponse, un sourire carnassier se dessine sur ses lèvres, il lève les yeux au ciel, dodeline de la tête ; je crois qu’il a compris le message : il va falloir assurer, et pas seulement professionnellement. Il me lâche simplement :
-J’emmène les capotes avec moi ? Pas la peine, je lui réponds, j’ai tout le matos nécessaire.
Le lendemain matin, mes deux protégés sont à l’heure au TGV. En déplacement pour le Sud, ils ont suivi mes conseils, et chacun d’eux est plus cools : Lui a troqué son costard cravate pour un polo-jean moulant mettant en valeur sa musculature, son torse épilé- bronzé et son entre-jambe, quant à Faouzzia, elle est juste revêtue d’une petite robe courte et ajustée, trop juste même surtout pour sa grosse paire de nibards. Sa chatte, comme à son habitude, devant sans doute être recouverte d’un mini string…
A voir leurs tenues, je me demande s’ils ne se sont pas téléphonés hier soir, afin de se mettre d’accord sur leurs fringues, histoire de m’exciter un peu et d’une certaine façon, de se faire pardonner leur incartade au bureau. Charmante attention… Quand on dit que la jeunesse est ingrate…
Je décide donc de rentrer dans le vif du sujet : « Je vous aime bien tous les deux, et après la visite du chantier de Lattes, je vais vous faire découvrir la région et ses plaisirs… Et puisque vous aimez bien l’amour au bureau, autant continuer la baise en déplacement ; Mais je voulais vous dire une chose importante après vous avoir observé : Que vous devez faire sauter les barrières, vous êtes jeunes, alors écouter les conseils de votre vieux chef. Je ne dis pas que des conneries y compris dans le domaine du cul, croyez-moi j’ai vécu pas mal de trucs, et quand je vous ai vu dans l’escalier, j’ai trouvé que c’était un peu rapide et négligé tout ça… ‘
En guise de réponse, Faouzzia qui se trouve en face de moi dans le carré, tend ses jambes, pour poser un pied sur ma braguette et l’autre pied sur celle de Thierry. C’est un bon début, car ses doigts de pied sont aussi agiles que les doigts d’une main. Et, sans pouvoir me saisir la bite franchement avec ses orteils, elle arrive à glisser le plat de son pied entre le pli de mon pantalon et ma queue, la faisant roidir immédiatement. Parfois montant et descendant ses doigts de pied sur ma bite, parfois soupesant mes couilles gonflées. Avec son pied droit, elle est aussi agile avec la tige de mon collègue et il subit le même traitement, lui transformant sa braguette en une bosse distendant le tissu du jean. Il n’y a pas trop de monde dans le wagon, du coup, je prends les choses en main, bien décidé à ‘coacher’ les petits jeunes durant le séjour.
Et tout en saisissant et appuyant le pied de Faouzzia encore plus sur ma gaule, je m’adresse à Thierry :
-‘Tends ton pied, toi aussi, et excites son clito avec ton orteil, toi, Faouzzia, orientes-toi vers Thierry, écarte les cuisses, libères ton string personne te voit, vires ta culotte, à poil sous ta robe, bouge ton cul, exhibes-toi, gonfles tes nibards, vite ! Je veux que Thierry le sente ton sexe épilé et qu’il bande bien dur avant d’aller te baiser dans les chiottes…’
Mes ordres sont fermes, précis et sans pour autant être agressif, je leur mets un peu la grosse pression. Ce qui a d’ailleurs l’air de les étonner car au bureau je suis un chef cool et ‘humain’ (du moins c’est la réputation que l’on me donne), mais là, c’est du pur fantasme sexuel, étant un peu dominateur sur ce plan, rien à voir avec le taf… Alors tous les deux s’exécutent et obéissent aux ordres. En bons élèves, ils se chauffent bien et j’ai comme l’impression qu’ils aiment être un peu être dominés.
Le TGV traverse la Provence à 300 km/h et dehors c’est plein soleil, il fera chaud au cap d’Agde, c’est bon signe. D’ailleurs Faouzzia, tout en nous astiquant avec ses pieds, ne s’est pas oubliée :
D’une main passée sous les bretelles de sa robe, elle caresse ses gros pamplemousses bruns, tandis que l’autre main écarte ses grosses lèvres mouillées et ajuste son clito dans l’axe de l’orteil de Thierry, histoire de se masturber un peu plus.
Pensif, tranquille, je tiens à ‘tester’ Thierry sur ses capacités d’adaptation aux rapports bisexuels…
En effet, il voulait forcer la petite à se faire enculer dans l’escalier, mais lui ? Est-il prêt à accepter les caresses masculines, voire plus ?
Mine de rien, et alors que chacun s’active, je tends ma main gauche vers sa ceinture afin de sentir sa belle gaule tendue sous le jean. A mon grand étonnement, non seulement, celui-ci se laisse faire, mais réagit bien sous ma main, la bosse grossit encore un peu plus ! Ma main se déplace maintenant vers son cul, là, c’est sûr, il va réagir négativement, pensai-je … Que nenni ! Il soulève un peu plus ses fesses, pour que je lui glisse une main sous sa raie. Là, ils sont chauds bouillants tous les deux, c’est le moment de passer aux choses sérieuses et de sonner la 1ère récréation :
-‘Allez baiser ! Tout de suite ! Les WC sont libres et on vient déjà de passer Avignon, grouillez-vous, vous n’avez plus qu’une demi-heure … Mais avant 2 choses, écoutez-moi bien :
‘-Les chiottes du TGV sont petites, alors Toi, Thierry, tu vas te mettre face à Faouzzia et elle s’assoira sur le lavabo…C’est la position la plus pratique en train, et pour baiser et pour faire des cravates de notaire, j’ai déjà testé… Le mieux pour tous les deux étant de vous foutre à poil d’entrée de jeu. Si un contrôleur arrive, laissez le patienter un peu, rhabillez-vous et sortez en lui disant que vous aviez une chose importante à vous dire, il comprendra, d’ailleurs certains ou certaines sont parfois ‘open’, vive le chemin de fer...
‘-Quand à toi, Thierry, ne force pas Faouzzia à faire des trucs qu’elle n’a pas envie, en plus dans un réduit pareil, ce n’est pas l’endroit pour une sodomie, je vous en reparlerai, on verra ça plus tard, on a trois jours devant nous, des chantiers à visiter et sur les chantiers il y a … des cabanes… Si vous voyez ce que je veux dire…
Les 2 petits, bien sagement s’exécutent et afin de ne pas choquer les voyageurs du TGV, lui s’est plaqué la main sur la braguette afin de cacher plus ou moins la forme de son gros zob, et elle, toujours sans son string, tire un peu sur sa robe pour se réajuster difficilement, afin que son sexe épilé ne soit pas exposé au public… Pourtant, et bien qu’il n’y ait pas grand monde dans le wagon, les regards de certains en disent long sur les envies et fantasmes de chacun des voyageurs, il faut dire que les seins de Faouzzia, sortant presque de leurs logements ainsi que ses coroles brunes ne passent pas inaperçues...
30 minutes se passent, ce qui me laisse le temps d’aller prendre un café au bar, de regarder le paysage (et le gay serveur aussi, très mimi et bandant) et d’élaborer mon plan coaching. Je reviens à ma place, alors qu’ils ressortent enfin du réduit : C’est l’heure du bilan …
Et m’adressant à eux : ‘-Alors ? Vous avez bien baisé ? Thierry, réponds-moi, tu l’as baisée ? Faouzzia, commence, il ne bandait pas mou au moins ton petit collègue?
- Non me dis Faouzzia ravie, et j’ai suivi tes conseils, assise sur le lavabo, je l’ai senti bien profond, il était plus doux cette fois-ci, beaucoup plus calme qu’au bureau et moins pressé. En fait, j’ai pris mon pied en jouissant 3 fois. Etre prise assise c’est vraiment super - merci de tes conseils -en plus les trépidations du TGV et la peur d’être surpris, m’ont vraiment bien excitée. Thierry a pris tout son temps, y compris pour me faire un cunni et une feuille de rose, suivi d’un doigté … En fait, c’est un bon coup ce mec… Ça donne envie, ça me libère bien ton sexe-coaching.
-Bravo Faouzzia, dis-je en souriant, il y a du progrès et toi Thierry, quel est ton rapport, satisfait ?
-Plus que jamais chef, Faouzzia mouillait plus encore que d’habitude, elle est un super coup, elle-aussi.
-‘Ses lèvres, décris-moi son sexe en détail…’
-‘Comme tu le sais, il est lisse et épilé et quand je suis rentré en elle, c’était … L’infini que je pénétrais, un univers serré, inconnu et mouillé. Assise, comme elle était, son tunnel glissant n’attendait que mon sexe, et comme tu le sais aussi, j’ai la queue recourbée à l’envers vers le sol… Je sentais mon méat frotter son point G. Je crois que c’est cela qui l’a fait grimper aux rideaux.
-‘T’as jouis, comment ? En elle ?
-‘Non, là aussi, on a suivi tes conseils, j’ai terminé debout sur les chiottes, face à elle, pour enfiler ses seins en cravates de notaire. Pour finir, j’ai arrosé son cou et sa bouche, histoire qu’elle goute aussi mon foutre…’
-‘Bien mes amis…’ En bon chef, je les félicite, ils ont bien baisé tous les deux, et, non sans leur avoir rappelé qu’ils sont là pour apprendre, je leur donne des conseils pratiques :
Ou draguer et comment repérer ses proies, ou baiser et que faire dans des endroits réduits ou lorsqu’il y a du passage. Comment chauffer et faire franchir le pas à un ou une hésitante. Que dire pour mettre au point un plan cocufiage et monter des scénars, faut-il enfin réaliser ou chercher à réaliser ses fantasmes.
Mes jeunes initiés écoutent avidement et n’en perdent pas une miette, mais déjà, le TGV entre en gare de Montpellier, il faut louer une bagnole et direction les chantiers à visiter ;
Ce soir, au Cap d’Agde, on passera enfin aux choses sérieuses, en l’occurrence, il s’agira de déflorer du cul, notre petite Faouzzia.
Et demain sera un autre jour, Faouzzia devra plancher au bureau de Montpellier sur ses planning travaux…Du coup, histoire de passer le temps, j’entends bien emmener Thierry dans les dunes, une petite séance de baise entre mecs lui fera perdre de sa superbe à ce ‘petit-baiseur-de-ses dames-de-service’…
La suite et fin bientôt… (N’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires, ça me fait toujours plaisir)
- ’Le dossier du personnel du Pont de l’Isère avance bien…’Commence-t-il…
- ‘Je sais, mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit, je lui réponds, mais de Faouzzia, je n’ai pas voulu vous surprendre tout à l’heure dans l’escalier de secours, mais enfin Thierry, qu’est-ce qui t’as pris ??? Sauter la petite … Au travail… A la hussarde dans cet escalier…Presque au vu et au su de tout le monde, avec le risque que ce connard de la sureté ou un autre de tes collègues vous surprenne en pleine action ! C’est sûr, si vous aviez été vus, vous étiez tous les deux collés au pilori. Heureusement que c’était moi ! Tu peux me remercier, je sais être discret et tenir ma langue… Bon… Entre nous, elle est bonne la petite ? Tu avais l’air de bien lui casser l’arrière-train, mon veinard ! Si j’avais su, je me serai bien joins à vous deux, ça commençait à bien m’exciter votre affaire !’
-Ah bon, mais pourquoi tu ne t’es pas joint à nous ? C’est une vrai chaudasse la nouvelle assistante.
Et sans se démonter, Thierry me raconte ses petites incartades, souvent au bureau avec les jeunes stagiaires, ou bien encore lors de ses déplacements avec les assistantes sur les chantiers en province, et toutes, ou presque y étant passée : Belles ou moches, jeunes ou plus âgées. Au bureau, dans les cabanes de chantier ou encore à l’arrière des véhicules de location, mais, à l’écouter, toujours vite fait, bien fait, sans réel plaisir, uniquement pour remplir son tableau de chasse composé de bons et mauvais coups.
Après une demi-heure d’entretien je prends conscience que c’est un vrai Dom Juan, un collectionneur de chattes, jamais rassasié ; Cependant, en bon chef, et après ce à quoi j’ai assisté ce matin, je lui conseille de ménager ses ardeurs et de prendre son temps avec ses collègues féminines. La baise à la hussarde, d’accord, mais que c’est beaucoup mieux avec un peu de douceur et de lenteur avec les jeunes culs jamais déflorés, sinon, il ira de refus en refus et restera toujours sur sa faim.
S’il veut faire grimper aux rideaux Faouzzia, et surtout la prendre par le chemin noir et serré, un minimum de préliminaires est requis… Comme un bon dossier BTP doit être préparé, une bonne partie de baise relève de la même démarche, la préparation avant tout, la sensualité et la douceur, on ne le dira jamais assez aux jeunes !
Le petit voit bien l’image… Et, sentant que ces 2 jeunots, méritent un ‘sexe-coaching’, je lui propose donc, à lui aussi, de nous accompagner à Montpellier dès demain matin, non sans lui préciser que notre lieu de villégiature sera le Cap d’Agde, dans un appartement prêté par un ami. En guise de réponse, un sourire carnassier se dessine sur ses lèvres, il lève les yeux au ciel, dodeline de la tête ; je crois qu’il a compris le message : il va falloir assurer, et pas seulement professionnellement. Il me lâche simplement :
-J’emmène les capotes avec moi ? Pas la peine, je lui réponds, j’ai tout le matos nécessaire.
Le lendemain matin, mes deux protégés sont à l’heure au TGV. En déplacement pour le Sud, ils ont suivi mes conseils, et chacun d’eux est plus cools : Lui a troqué son costard cravate pour un polo-jean moulant mettant en valeur sa musculature, son torse épilé- bronzé et son entre-jambe, quant à Faouzzia, elle est juste revêtue d’une petite robe courte et ajustée, trop juste même surtout pour sa grosse paire de nibards. Sa chatte, comme à son habitude, devant sans doute être recouverte d’un mini string…
A voir leurs tenues, je me demande s’ils ne se sont pas téléphonés hier soir, afin de se mettre d’accord sur leurs fringues, histoire de m’exciter un peu et d’une certaine façon, de se faire pardonner leur incartade au bureau. Charmante attention… Quand on dit que la jeunesse est ingrate…
Je décide donc de rentrer dans le vif du sujet : « Je vous aime bien tous les deux, et après la visite du chantier de Lattes, je vais vous faire découvrir la région et ses plaisirs… Et puisque vous aimez bien l’amour au bureau, autant continuer la baise en déplacement ; Mais je voulais vous dire une chose importante après vous avoir observé : Que vous devez faire sauter les barrières, vous êtes jeunes, alors écouter les conseils de votre vieux chef. Je ne dis pas que des conneries y compris dans le domaine du cul, croyez-moi j’ai vécu pas mal de trucs, et quand je vous ai vu dans l’escalier, j’ai trouvé que c’était un peu rapide et négligé tout ça… ‘
En guise de réponse, Faouzzia qui se trouve en face de moi dans le carré, tend ses jambes, pour poser un pied sur ma braguette et l’autre pied sur celle de Thierry. C’est un bon début, car ses doigts de pied sont aussi agiles que les doigts d’une main. Et, sans pouvoir me saisir la bite franchement avec ses orteils, elle arrive à glisser le plat de son pied entre le pli de mon pantalon et ma queue, la faisant roidir immédiatement. Parfois montant et descendant ses doigts de pied sur ma bite, parfois soupesant mes couilles gonflées. Avec son pied droit, elle est aussi agile avec la tige de mon collègue et il subit le même traitement, lui transformant sa braguette en une bosse distendant le tissu du jean. Il n’y a pas trop de monde dans le wagon, du coup, je prends les choses en main, bien décidé à ‘coacher’ les petits jeunes durant le séjour.
Et tout en saisissant et appuyant le pied de Faouzzia encore plus sur ma gaule, je m’adresse à Thierry :
-‘Tends ton pied, toi aussi, et excites son clito avec ton orteil, toi, Faouzzia, orientes-toi vers Thierry, écarte les cuisses, libères ton string personne te voit, vires ta culotte, à poil sous ta robe, bouge ton cul, exhibes-toi, gonfles tes nibards, vite ! Je veux que Thierry le sente ton sexe épilé et qu’il bande bien dur avant d’aller te baiser dans les chiottes…’
Mes ordres sont fermes, précis et sans pour autant être agressif, je leur mets un peu la grosse pression. Ce qui a d’ailleurs l’air de les étonner car au bureau je suis un chef cool et ‘humain’ (du moins c’est la réputation que l’on me donne), mais là, c’est du pur fantasme sexuel, étant un peu dominateur sur ce plan, rien à voir avec le taf… Alors tous les deux s’exécutent et obéissent aux ordres. En bons élèves, ils se chauffent bien et j’ai comme l’impression qu’ils aiment être un peu être dominés.
Le TGV traverse la Provence à 300 km/h et dehors c’est plein soleil, il fera chaud au cap d’Agde, c’est bon signe. D’ailleurs Faouzzia, tout en nous astiquant avec ses pieds, ne s’est pas oubliée :
D’une main passée sous les bretelles de sa robe, elle caresse ses gros pamplemousses bruns, tandis que l’autre main écarte ses grosses lèvres mouillées et ajuste son clito dans l’axe de l’orteil de Thierry, histoire de se masturber un peu plus.
Pensif, tranquille, je tiens à ‘tester’ Thierry sur ses capacités d’adaptation aux rapports bisexuels…
En effet, il voulait forcer la petite à se faire enculer dans l’escalier, mais lui ? Est-il prêt à accepter les caresses masculines, voire plus ?
Mine de rien, et alors que chacun s’active, je tends ma main gauche vers sa ceinture afin de sentir sa belle gaule tendue sous le jean. A mon grand étonnement, non seulement, celui-ci se laisse faire, mais réagit bien sous ma main, la bosse grossit encore un peu plus ! Ma main se déplace maintenant vers son cul, là, c’est sûr, il va réagir négativement, pensai-je … Que nenni ! Il soulève un peu plus ses fesses, pour que je lui glisse une main sous sa raie. Là, ils sont chauds bouillants tous les deux, c’est le moment de passer aux choses sérieuses et de sonner la 1ère récréation :
-‘Allez baiser ! Tout de suite ! Les WC sont libres et on vient déjà de passer Avignon, grouillez-vous, vous n’avez plus qu’une demi-heure … Mais avant 2 choses, écoutez-moi bien :
‘-Les chiottes du TGV sont petites, alors Toi, Thierry, tu vas te mettre face à Faouzzia et elle s’assoira sur le lavabo…C’est la position la plus pratique en train, et pour baiser et pour faire des cravates de notaire, j’ai déjà testé… Le mieux pour tous les deux étant de vous foutre à poil d’entrée de jeu. Si un contrôleur arrive, laissez le patienter un peu, rhabillez-vous et sortez en lui disant que vous aviez une chose importante à vous dire, il comprendra, d’ailleurs certains ou certaines sont parfois ‘open’, vive le chemin de fer...
‘-Quand à toi, Thierry, ne force pas Faouzzia à faire des trucs qu’elle n’a pas envie, en plus dans un réduit pareil, ce n’est pas l’endroit pour une sodomie, je vous en reparlerai, on verra ça plus tard, on a trois jours devant nous, des chantiers à visiter et sur les chantiers il y a … des cabanes… Si vous voyez ce que je veux dire…
Les 2 petits, bien sagement s’exécutent et afin de ne pas choquer les voyageurs du TGV, lui s’est plaqué la main sur la braguette afin de cacher plus ou moins la forme de son gros zob, et elle, toujours sans son string, tire un peu sur sa robe pour se réajuster difficilement, afin que son sexe épilé ne soit pas exposé au public… Pourtant, et bien qu’il n’y ait pas grand monde dans le wagon, les regards de certains en disent long sur les envies et fantasmes de chacun des voyageurs, il faut dire que les seins de Faouzzia, sortant presque de leurs logements ainsi que ses coroles brunes ne passent pas inaperçues...
30 minutes se passent, ce qui me laisse le temps d’aller prendre un café au bar, de regarder le paysage (et le gay serveur aussi, très mimi et bandant) et d’élaborer mon plan coaching. Je reviens à ma place, alors qu’ils ressortent enfin du réduit : C’est l’heure du bilan …
Et m’adressant à eux : ‘-Alors ? Vous avez bien baisé ? Thierry, réponds-moi, tu l’as baisée ? Faouzzia, commence, il ne bandait pas mou au moins ton petit collègue?
- Non me dis Faouzzia ravie, et j’ai suivi tes conseils, assise sur le lavabo, je l’ai senti bien profond, il était plus doux cette fois-ci, beaucoup plus calme qu’au bureau et moins pressé. En fait, j’ai pris mon pied en jouissant 3 fois. Etre prise assise c’est vraiment super - merci de tes conseils -en plus les trépidations du TGV et la peur d’être surpris, m’ont vraiment bien excitée. Thierry a pris tout son temps, y compris pour me faire un cunni et une feuille de rose, suivi d’un doigté … En fait, c’est un bon coup ce mec… Ça donne envie, ça me libère bien ton sexe-coaching.
-Bravo Faouzzia, dis-je en souriant, il y a du progrès et toi Thierry, quel est ton rapport, satisfait ?
-Plus que jamais chef, Faouzzia mouillait plus encore que d’habitude, elle est un super coup, elle-aussi.
-‘Ses lèvres, décris-moi son sexe en détail…’
-‘Comme tu le sais, il est lisse et épilé et quand je suis rentré en elle, c’était … L’infini que je pénétrais, un univers serré, inconnu et mouillé. Assise, comme elle était, son tunnel glissant n’attendait que mon sexe, et comme tu le sais aussi, j’ai la queue recourbée à l’envers vers le sol… Je sentais mon méat frotter son point G. Je crois que c’est cela qui l’a fait grimper aux rideaux.
-‘T’as jouis, comment ? En elle ?
-‘Non, là aussi, on a suivi tes conseils, j’ai terminé debout sur les chiottes, face à elle, pour enfiler ses seins en cravates de notaire. Pour finir, j’ai arrosé son cou et sa bouche, histoire qu’elle goute aussi mon foutre…’
-‘Bien mes amis…’ En bon chef, je les félicite, ils ont bien baisé tous les deux, et, non sans leur avoir rappelé qu’ils sont là pour apprendre, je leur donne des conseils pratiques :
Ou draguer et comment repérer ses proies, ou baiser et que faire dans des endroits réduits ou lorsqu’il y a du passage. Comment chauffer et faire franchir le pas à un ou une hésitante. Que dire pour mettre au point un plan cocufiage et monter des scénars, faut-il enfin réaliser ou chercher à réaliser ses fantasmes.
Mes jeunes initiés écoutent avidement et n’en perdent pas une miette, mais déjà, le TGV entre en gare de Montpellier, il faut louer une bagnole et direction les chantiers à visiter ;
Ce soir, au Cap d’Agde, on passera enfin aux choses sérieuses, en l’occurrence, il s’agira de déflorer du cul, notre petite Faouzzia.
Et demain sera un autre jour, Faouzzia devra plancher au bureau de Montpellier sur ses planning travaux…Du coup, histoire de passer le temps, j’entends bien emmener Thierry dans les dunes, une petite séance de baise entre mecs lui fera perdre de sa superbe à ce ‘petit-baiseur-de-ses dames-de-service’…
La suite et fin bientôt… (N’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires, ça me fait toujours plaisir)
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Trop cool de te lire en esperant te revoir tres vite
Nos ebats me manquent
Michel de belgique
Nos ebats me manquent
Michel de belgique
Trop bien, super de ce faire de bonne nana comme celle là et de ce faire prendre le cul aussi. J'aimerais bien être à ça place. A très vite bisous a tous.