L'AUBERGE DES CONFESSIONS (MAURICETTE)
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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L'AUBERGE DES CONFESSIONS (MAURICETTE)
Je venais de terminer mon récit dans un silence minéral. Les autres semblaient soufflés par mon histoire. Autour de nous, on riait, on discutait. C’est alors que Mauricette prit la parole. Elle fut la suivante à se confesser. Je commandai une bouteille de champagne. La nuit allait être très longue. Après que le serveur eut empli nos verres, elle se lança.
- Il m’a fallu attendre longtemps avant que mon souhait de trouver une partenaire pour m’aider à vivre ma sexualité se réalise. J’avais même fini par croire que cela ne se produirait jamais mais, un jour, mes parents ont organisé une réception pour fêter les quarante ans de ma mère. Elle avait invité des amis, des collègues et, évidemment, la famille. Je n’aimais pas trop voir du monde. Je préférais m’isoler dans mon univers. Je suis sortie dans le jardin alors que la fête battait son plein ».
« J’étais d’un côté de la piscine, avec un verre de jus d’orange à la main, quand j’ai aperçu une fille en face. Je l’ai détaillée. Elle n’était pas très grande, avec des cheveux noirs. Elle était plutôt menue, une poitrine inexistante, moulée dans un débardeur bleu de la même couleur que son jean bleu délavé. Voyant que je la regardais, elle m’a souri, de loin. De ce que je pouvais observer, elle était plutôt jolie.
Quelque chose de très fort émanait d’elle, et sa façon de me fixer, sans se donner la peine de se cacher, indiquait que je ne la laissais pas indifférente. Des filles m’avaient déjà fait des avances, mais jamais d’une manière aussi nette. Je me suis sentie toute drôle. J’ai alors songé, une fois de plus, à mes petits petons et à l’envie que j’avais que quelqu’un d’autre que moi les caresse ».
« C’était le moment ou jamais. J’ai planté mon regard dans celui de la petite brunette et, après une mimique de la bouche, comme si je lui envoyais un baiser, je lui ai fait signe de me rejoindre avant de m’éclipser en direction de la maison. Dans le miroir de l’entrée, j’ai vu qu’elle me suivait. Quand elle est arrivée dans ma chambre, j’étais déjà installée sur le lit. Ce jour-là, je portais un tee-shirt et une jupe courte avec un string dessous. J’aurais été incapable, je crois, de lui dire ce que je voulais avec des mots, mais en revanche, je pouvais le lui montrer. J’étais convaincue qu’elle comprendrait. Elle attendait sans doute autre chose, mais il était sûrement possible de trouver un arrangement entre ses aspirations et les miennes ».
« Quand elle s’est glissée dans la pièce, nous sommes restées quelques instants à nous fixer. Elle avait une manière de se mettre en valeur qui la rendait sensuelle jusqu’à en devenir obscène, tant ses vêtements étaient serrés. Son débardeur moulait une poitrine pas très grosse, mais suffisamment volumineuse pour être attirante, et les mamelons apparaissaient, preuve qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Ses hanches aussi étaient menues, mais le pantalon dessinait le renflement de son bas-ventre. Comme elle voyait que je l’examinais, elle s’est retournée pour me présenter un petit cul rond serré par le jean ».
« C’était très curieux, si j’avais envie qu’elle me caresse et qu’elle me fasse jouir, j’avais aussi envie de son corps, de l’explorer. Un tas d’idées vicieuses montaient dans ma tête, alors qu’auparavant, quand j’avais vu, ou su, que des copines se livraient à des jeux lesbiens, cela n’avait rien suscité en moi. Elle s’est retournée pour me fixer avec le même regard avide qu’au bord de la piscine. Cette fille était une gouine certes, mais qui plus est, du genre vicieux. Il ne fallait pas compter sur elle pour l’amour à l’eau de rose. Ça tombait bien, elle pourrait sans doute me comprendre. J’avais envie de lui en donner un maximum et, en même temps, de lui montrer ce que j’attendais d’elle ».
« J’étais couchée sur le dos. Les jambes écartées et la jupe retroussée au-dessus de la taille, j’exhibais mon entrejambe à peine voilé par le triangle de ma fine culotte. C’était la première fois que je me montrais aussi provocante. Je me révélai à moi-même ce jour-là, en découvrant que j’avais des penchants lesbiens que je ne soupçonnais pas. Sans la quitter des yeux, j’ai replié une jambe sur ma poitrine. Selon ma vieille habitude, pieds nus. D’une main, j’ai écarté le fond de ma minuscule culotte. De l’autre, je me suis caressée. Je n’insistais pas pour ne pas jouir trop vite, mais le résultat n’a pas traîné, la bouffée de chaleur bien connue est remontée à mon ventre. J’ai gémi, et une coulée de mouille suintant de ma fente a englué mes doigts qui tiraient ma culotte sur le côté. La fille m’a adressé un sourire complice, elle avait compris ce que j’attendais d’elle. La suite me l’a prouvé ».
« Elle s’est tournée, tendant ses fesses vers moi, avant de défaire son jean et de le baisser, tâche complexe parce qu’il était vraiment très serré. J’ai bien eu le temps de profiter de ce que je voyais, un petit cul qui m’a semblé très dur, bien rond et fendu en deux par une raie profonde. Elle le projetait vers moi, impudique et provocatrice. En haut de ses hanches, dans le creux juste en dessous du débardeur, sur une chair brune qui laissait penser qu’elle pratiquait le bronzage intégral, vu qu’en nul endroit sa chair n’était blanche, reposait le triangle noir absolu d’une culotte qui se prolongeait, en descendant, en un fin tissu avalé par la profondeur du sillon. On le voyait réapparaître plus bas, contre le périnée, et il s’élargissait pour recouvrir le renflement du mont de Vénus. J’en voyais bien le gonflement, avec le creux au milieu, et ça m’inspirait une envie que j’avais du mal à contrôler ».
« Elle a ôté complètement son jean. Gardant son débardeur, peut-être avait-elle honte de ses petits seins, mais aussi sa culotte, elle est venue sur le lit. Tout en elle éveillait mon désir, l’odeur forte de son parfum sensuel, la couleur de sa peau, ses tétons qui tendaient le tissu du débardeur et dont les pointes semblaient aiguisées jusqu’à percer le tissu, le renflement de son pubis entre ses cuisses, couvert par la délicate dentelle de sa culotte, et cette tache bien visible, sombre, au milieu de la surface du tissu. Son sourire aussi, et son regard vicieux. Elle a posé ses mains sur mon pied. Ça a été très différent de ce qui se passait quand je me massais. II y a eu le choc de la sensation, comme si de l’électricité était remontée dans mon corps à partir de ce point. J’avais affaire à une fille aux doigts légers ».
« J’ai pensé, alors qu’elle s’activait, que c’était exactement ce dont j’avais rêvé, c’était bien meilleur que quand je les touchais moi-même. Elle m’a massé sur les côtés, d’un mouvement extrêmement doux et sensuel, appuyé, mais plus effleurant par moments. Les sensations que j’éprouvais augmentaient de minute en minute. J’ai pensé que je devrais me lier à elle et satisfaire toutes ses envies, parce que je ne trouverais certainement jamais personne qui me caresse aussi bien. Pendant qu’elle s’occupait de mes pieds, j’étirais avec ardeur mon clitoris. Mes sensations étaient comme le prolongement, et d’une certaine manière, l’exacerbation de ce qui remontait le long de mes jambes. Cela faisait un bon moment que mon sexe n’avait pas été aussi trempé ».
« La fille m’a massé les deux pieds. Elle passait de l’un à l’autre, avec légèreté et habileté, en insistant sur la plante. C’était une zone particulièrement sensible, même si je préférais les caresses sur la partie latérale. J’ai perçu la montée de l’orgasme en moi, ce qui n’était pas toujours le cas. Il est arrivé, énorme, puissant, et je me suis sentie emportée par un raz-de-marée irrésistible qui m’a laissée pantelante. Je n’attendais pas le deuxième orgasme, qui est arrivé juste après. Il a été moins fort, mais plus prolongé. J’ai senti que du liquide sortait et coulait de moi, abondant, et que je ne maîtrisais plus rien. Il m’a fallu un certain temps pour retrouver mes esprits. J’étais éblouie. Je n’avais jamais rien connu d’aussi fort auparavant. Pour cela, l’inconnue aurait toute ma gratitude, et pour longtemps. J’ai réalisé que je ne connaissais même pas son nom. Dans le jardin, notre envie l’une de l’autre avait été trop forte pour que nous fassions connaissance dans les règles. J’ai comblé cette lacune en lui demandant comment elle s’appelait. Son prénom était Sandrine. Après me l’avoir donné, elle s’est mise à quatre pattes sur le lit. Le message était clair, maintenant, je devais lui rendre le plaisir qu’elle m’avait donné. Je me suis rendu compte que j’avais très envie d’elle ».
« J’ai plongé sur sa croupe que sa position entrouvrait, et j’ai tiré sur ses fesses à deux mains pour accroître l’entrebâillement. Son sillon envahi de poils noirs s’offrait à mon regard, avec le plissement de l’anus au milieu, comme une déchirure dans sa chair. Entre ses cuisses, son sexe s’était ouvert, pas autant que le mien mais presque. Elle aussi mouillait avec abondance, et les poils de sa toison étaient collés par petits paquets, de part et d’autre de ses lèvres intimes que l’excitation enflait. J’ai éprouvé un sentiment étrange. Je faisais l’amour à une fille pour la première fois, mais j’avais l’impression d’avoir toujours su comment je devrais m’y prendre, peut-être à cause de mes lectures et de ce que j’avais entendu raconter. J’avais aussi le sentiment, plus irrationnel, que Sandrine et moi étions faites l’une pour l’autre. Mes mains épousaient parfaitement la rondeur de ses fesses, dures comme si elles étaient destinées depuis toujours à cette tâche. Au fond, toutes ces pensées trahissaient surtout l’exaltation de mon esprit à cet instant. Il y avait de quoi, ce n’est pas tous les jours qu’on voit son rêve secret se réaliser ».
« Du bout de la langue, je suis descendue le long de sa raie des fesses, en évitant malgré tout l’anus, et je léchai les bords de son sexe. Le goût de sa mouille a envahi ma bouche. Il était bon mais plus âcre que le mien, que je connaissais pour avoir sucé plus d’une fois mes doigts après m’être masturbée. Sandrine s’est tortillée, et elle m’a traitée de petite vicieuse. Sa voix sensuelle a fouetté mon excitation. J’ai sorti ma langue au maximum, et je l’ai enfoncée entre ses fesses, du bas vers le haut. J’ai eu la sensation d’une saveur plus amère près des replis de son anus, mais j’étais trop échauffée pour que cela me rebute. J’ai posé mes mains sur ses hanches, et j’ai fouillé sa raie un long moment, montant et descendant, m’attardant sur les replis de son anus. J’avais envie de le forcer, et pas seulement de la langue. Mon esprit élaborait plein de scénarios que je pourrais proposer à Sandrine à mesure que le temps passerait et que la confiance s’établirait entre nous. J’ai éprouvé une profonde fierté quand elle s’est tordue dans tous les sens sous mes coups de langue. Je percevais, au bout de mes doigts, toutes les tensions qui parcouraient son corps ».
« Je me suis arrachée de son cul et je me suis couchée sur le dos pour glisser ma tête entre ses cuisses et ses jambes repliées. Dans sa position, à quatre pattes, ses lèvres de sexe se trouvaient juste au-dessus de ma bouche. En haut, son clitoris, pas très gros mais bien visible, était érigé. J’ai donné de grands coups de langue sur les bords de sa fente avant de remonter à son bouton, et de m’acharner dessus. Cela a été le coup de grâce, elle a joui, en poussant un long cri et en remuant comme une folle. J’ai eu peur que sa plainte n’ameute toute la maison, mais personne ne s’est manifesté. Nous nous sommes rhabillées et nous avons quitté ma chambre. Le temps s’était écoulé pendant nos jeux. Déjà, les premiers invités de mes parents s’en allaient. Tout comme moi, Sandrine avait de bonnes raisons de se montrer discrète sur notre aventure, mais nous avons promis de nous revoir »…
- Il m’a fallu attendre longtemps avant que mon souhait de trouver une partenaire pour m’aider à vivre ma sexualité se réalise. J’avais même fini par croire que cela ne se produirait jamais mais, un jour, mes parents ont organisé une réception pour fêter les quarante ans de ma mère. Elle avait invité des amis, des collègues et, évidemment, la famille. Je n’aimais pas trop voir du monde. Je préférais m’isoler dans mon univers. Je suis sortie dans le jardin alors que la fête battait son plein ».
« J’étais d’un côté de la piscine, avec un verre de jus d’orange à la main, quand j’ai aperçu une fille en face. Je l’ai détaillée. Elle n’était pas très grande, avec des cheveux noirs. Elle était plutôt menue, une poitrine inexistante, moulée dans un débardeur bleu de la même couleur que son jean bleu délavé. Voyant que je la regardais, elle m’a souri, de loin. De ce que je pouvais observer, elle était plutôt jolie.
Quelque chose de très fort émanait d’elle, et sa façon de me fixer, sans se donner la peine de se cacher, indiquait que je ne la laissais pas indifférente. Des filles m’avaient déjà fait des avances, mais jamais d’une manière aussi nette. Je me suis sentie toute drôle. J’ai alors songé, une fois de plus, à mes petits petons et à l’envie que j’avais que quelqu’un d’autre que moi les caresse ».
« C’était le moment ou jamais. J’ai planté mon regard dans celui de la petite brunette et, après une mimique de la bouche, comme si je lui envoyais un baiser, je lui ai fait signe de me rejoindre avant de m’éclipser en direction de la maison. Dans le miroir de l’entrée, j’ai vu qu’elle me suivait. Quand elle est arrivée dans ma chambre, j’étais déjà installée sur le lit. Ce jour-là, je portais un tee-shirt et une jupe courte avec un string dessous. J’aurais été incapable, je crois, de lui dire ce que je voulais avec des mots, mais en revanche, je pouvais le lui montrer. J’étais convaincue qu’elle comprendrait. Elle attendait sans doute autre chose, mais il était sûrement possible de trouver un arrangement entre ses aspirations et les miennes ».
« Quand elle s’est glissée dans la pièce, nous sommes restées quelques instants à nous fixer. Elle avait une manière de se mettre en valeur qui la rendait sensuelle jusqu’à en devenir obscène, tant ses vêtements étaient serrés. Son débardeur moulait une poitrine pas très grosse, mais suffisamment volumineuse pour être attirante, et les mamelons apparaissaient, preuve qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Ses hanches aussi étaient menues, mais le pantalon dessinait le renflement de son bas-ventre. Comme elle voyait que je l’examinais, elle s’est retournée pour me présenter un petit cul rond serré par le jean ».
« C’était très curieux, si j’avais envie qu’elle me caresse et qu’elle me fasse jouir, j’avais aussi envie de son corps, de l’explorer. Un tas d’idées vicieuses montaient dans ma tête, alors qu’auparavant, quand j’avais vu, ou su, que des copines se livraient à des jeux lesbiens, cela n’avait rien suscité en moi. Elle s’est retournée pour me fixer avec le même regard avide qu’au bord de la piscine. Cette fille était une gouine certes, mais qui plus est, du genre vicieux. Il ne fallait pas compter sur elle pour l’amour à l’eau de rose. Ça tombait bien, elle pourrait sans doute me comprendre. J’avais envie de lui en donner un maximum et, en même temps, de lui montrer ce que j’attendais d’elle ».
« J’étais couchée sur le dos. Les jambes écartées et la jupe retroussée au-dessus de la taille, j’exhibais mon entrejambe à peine voilé par le triangle de ma fine culotte. C’était la première fois que je me montrais aussi provocante. Je me révélai à moi-même ce jour-là, en découvrant que j’avais des penchants lesbiens que je ne soupçonnais pas. Sans la quitter des yeux, j’ai replié une jambe sur ma poitrine. Selon ma vieille habitude, pieds nus. D’une main, j’ai écarté le fond de ma minuscule culotte. De l’autre, je me suis caressée. Je n’insistais pas pour ne pas jouir trop vite, mais le résultat n’a pas traîné, la bouffée de chaleur bien connue est remontée à mon ventre. J’ai gémi, et une coulée de mouille suintant de ma fente a englué mes doigts qui tiraient ma culotte sur le côté. La fille m’a adressé un sourire complice, elle avait compris ce que j’attendais d’elle. La suite me l’a prouvé ».
« Elle s’est tournée, tendant ses fesses vers moi, avant de défaire son jean et de le baisser, tâche complexe parce qu’il était vraiment très serré. J’ai bien eu le temps de profiter de ce que je voyais, un petit cul qui m’a semblé très dur, bien rond et fendu en deux par une raie profonde. Elle le projetait vers moi, impudique et provocatrice. En haut de ses hanches, dans le creux juste en dessous du débardeur, sur une chair brune qui laissait penser qu’elle pratiquait le bronzage intégral, vu qu’en nul endroit sa chair n’était blanche, reposait le triangle noir absolu d’une culotte qui se prolongeait, en descendant, en un fin tissu avalé par la profondeur du sillon. On le voyait réapparaître plus bas, contre le périnée, et il s’élargissait pour recouvrir le renflement du mont de Vénus. J’en voyais bien le gonflement, avec le creux au milieu, et ça m’inspirait une envie que j’avais du mal à contrôler ».
« Elle a ôté complètement son jean. Gardant son débardeur, peut-être avait-elle honte de ses petits seins, mais aussi sa culotte, elle est venue sur le lit. Tout en elle éveillait mon désir, l’odeur forte de son parfum sensuel, la couleur de sa peau, ses tétons qui tendaient le tissu du débardeur et dont les pointes semblaient aiguisées jusqu’à percer le tissu, le renflement de son pubis entre ses cuisses, couvert par la délicate dentelle de sa culotte, et cette tache bien visible, sombre, au milieu de la surface du tissu. Son sourire aussi, et son regard vicieux. Elle a posé ses mains sur mon pied. Ça a été très différent de ce qui se passait quand je me massais. II y a eu le choc de la sensation, comme si de l’électricité était remontée dans mon corps à partir de ce point. J’avais affaire à une fille aux doigts légers ».
« J’ai pensé, alors qu’elle s’activait, que c’était exactement ce dont j’avais rêvé, c’était bien meilleur que quand je les touchais moi-même. Elle m’a massé sur les côtés, d’un mouvement extrêmement doux et sensuel, appuyé, mais plus effleurant par moments. Les sensations que j’éprouvais augmentaient de minute en minute. J’ai pensé que je devrais me lier à elle et satisfaire toutes ses envies, parce que je ne trouverais certainement jamais personne qui me caresse aussi bien. Pendant qu’elle s’occupait de mes pieds, j’étirais avec ardeur mon clitoris. Mes sensations étaient comme le prolongement, et d’une certaine manière, l’exacerbation de ce qui remontait le long de mes jambes. Cela faisait un bon moment que mon sexe n’avait pas été aussi trempé ».
« La fille m’a massé les deux pieds. Elle passait de l’un à l’autre, avec légèreté et habileté, en insistant sur la plante. C’était une zone particulièrement sensible, même si je préférais les caresses sur la partie latérale. J’ai perçu la montée de l’orgasme en moi, ce qui n’était pas toujours le cas. Il est arrivé, énorme, puissant, et je me suis sentie emportée par un raz-de-marée irrésistible qui m’a laissée pantelante. Je n’attendais pas le deuxième orgasme, qui est arrivé juste après. Il a été moins fort, mais plus prolongé. J’ai senti que du liquide sortait et coulait de moi, abondant, et que je ne maîtrisais plus rien. Il m’a fallu un certain temps pour retrouver mes esprits. J’étais éblouie. Je n’avais jamais rien connu d’aussi fort auparavant. Pour cela, l’inconnue aurait toute ma gratitude, et pour longtemps. J’ai réalisé que je ne connaissais même pas son nom. Dans le jardin, notre envie l’une de l’autre avait été trop forte pour que nous fassions connaissance dans les règles. J’ai comblé cette lacune en lui demandant comment elle s’appelait. Son prénom était Sandrine. Après me l’avoir donné, elle s’est mise à quatre pattes sur le lit. Le message était clair, maintenant, je devais lui rendre le plaisir qu’elle m’avait donné. Je me suis rendu compte que j’avais très envie d’elle ».
« J’ai plongé sur sa croupe que sa position entrouvrait, et j’ai tiré sur ses fesses à deux mains pour accroître l’entrebâillement. Son sillon envahi de poils noirs s’offrait à mon regard, avec le plissement de l’anus au milieu, comme une déchirure dans sa chair. Entre ses cuisses, son sexe s’était ouvert, pas autant que le mien mais presque. Elle aussi mouillait avec abondance, et les poils de sa toison étaient collés par petits paquets, de part et d’autre de ses lèvres intimes que l’excitation enflait. J’ai éprouvé un sentiment étrange. Je faisais l’amour à une fille pour la première fois, mais j’avais l’impression d’avoir toujours su comment je devrais m’y prendre, peut-être à cause de mes lectures et de ce que j’avais entendu raconter. J’avais aussi le sentiment, plus irrationnel, que Sandrine et moi étions faites l’une pour l’autre. Mes mains épousaient parfaitement la rondeur de ses fesses, dures comme si elles étaient destinées depuis toujours à cette tâche. Au fond, toutes ces pensées trahissaient surtout l’exaltation de mon esprit à cet instant. Il y avait de quoi, ce n’est pas tous les jours qu’on voit son rêve secret se réaliser ».
« Du bout de la langue, je suis descendue le long de sa raie des fesses, en évitant malgré tout l’anus, et je léchai les bords de son sexe. Le goût de sa mouille a envahi ma bouche. Il était bon mais plus âcre que le mien, que je connaissais pour avoir sucé plus d’une fois mes doigts après m’être masturbée. Sandrine s’est tortillée, et elle m’a traitée de petite vicieuse. Sa voix sensuelle a fouetté mon excitation. J’ai sorti ma langue au maximum, et je l’ai enfoncée entre ses fesses, du bas vers le haut. J’ai eu la sensation d’une saveur plus amère près des replis de son anus, mais j’étais trop échauffée pour que cela me rebute. J’ai posé mes mains sur ses hanches, et j’ai fouillé sa raie un long moment, montant et descendant, m’attardant sur les replis de son anus. J’avais envie de le forcer, et pas seulement de la langue. Mon esprit élaborait plein de scénarios que je pourrais proposer à Sandrine à mesure que le temps passerait et que la confiance s’établirait entre nous. J’ai éprouvé une profonde fierté quand elle s’est tordue dans tous les sens sous mes coups de langue. Je percevais, au bout de mes doigts, toutes les tensions qui parcouraient son corps ».
« Je me suis arrachée de son cul et je me suis couchée sur le dos pour glisser ma tête entre ses cuisses et ses jambes repliées. Dans sa position, à quatre pattes, ses lèvres de sexe se trouvaient juste au-dessus de ma bouche. En haut, son clitoris, pas très gros mais bien visible, était érigé. J’ai donné de grands coups de langue sur les bords de sa fente avant de remonter à son bouton, et de m’acharner dessus. Cela a été le coup de grâce, elle a joui, en poussant un long cri et en remuant comme une folle. J’ai eu peur que sa plainte n’ameute toute la maison, mais personne ne s’est manifesté. Nous nous sommes rhabillées et nous avons quitté ma chambre. Le temps s’était écoulé pendant nos jeux. Déjà, les premiers invités de mes parents s’en allaient. Tout comme moi, Sandrine avait de bonnes raisons de se montrer discrète sur notre aventure, mais nous avons promis de nous revoir »…
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