L'étrangère
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'étrangère
Lui :
-Mon uniforme me porte encore vers une aventure, comme si je les cherchais. Les copains de la section m’envient. Est-ce ma faute si je tombe sur les bonnes occasions ? Nous suivons un sentier à flanc de coteaux. A droite un ruisseau. Si j’avais une cane, j’irais tenter ma chance près des poissons. Curieux je passe ma tête entre les interstices de la haie : des jeunes femmes se baignent. Ouah ! de belle femmes en juger par ce que je vois de leur nudité. Leur peau brille au soleil. Comme souvent, je m’attarde pour le plaisir des yeux. Dommage qu’une ne soit pas seule, j’irais bien lui conter fleurette : je n’aime pas partager mes conquêtes avec d’autres, même les meilleurs amis.
Nous continuons notre patrouille. Une autre chance, encore des filles qui se baignent. Je ne laisse pas mes yeux dans la musette. Et encore plus loin cette fois une fille seule, nue, comme une tentation. Avec mon harnachement, mon arme, je dois ressembler à un pirate. Tant pis je vais tenter ma chance. Je m’approche d’elle. Elle n’a pas l’air d’avoir peur de moi, du tueur potentiel (Si elle me connaissait mieux elle saurait que je suis vierge de tout mort dans la guerre). Je m’approche d’elle en faisant un bruit d’enfer ave mes godasses sur les galets. Elle en sourit. Tant mieux. Elle est nue, elle est belle, elle a tout ce qu’il faut, même sans doute un chouia de fesses en trop. Plus je m’approche plus elle rentre dans l’eau. J’ai perdu de vue ses mollets, reste que le reste est joli. Je ne sais que regarder : ses seins, sa fourrure noire, ses cuisses ?
Elle me donne envie de faire une chose que normalement je ne doit pas faire : je me mets nu, entièrement nu, je me précipite vers le ruisseau : j’y plonge : l’eau est glaciale. Il me semble que mes bijoux de familles sont entrés dans le ventre. Je me relève pour la voir éclater de rire. Et en plus elle se fout de moi. Je vais lui montrer ce qu’il en coute de se moquer de l’homme que je suis.
Qu’est ce que je pourrais faire pour venger mon « honneur » ? Elle rit encore de voir mon air déconfit. Et moi je lui souris amicalement. Elle répond, elle tend ses bras.
Je sens que je vais passer un bon moment.
Elle :
-Il en passe des étrangers en armes. Certains sont de beaux hommes, plus que ceux d’ici. Ont dit qu’ils ont des façons particulières d’aimer les filles. J’aimerais bien essayer une fois pour changer de l’époux qu’on m’a obligée à prendre.
Tiens en voilà un qui ne manque pas de culot. Il vient vers moi, il se met tout nu : pas mal : je vois sa bite elle ne me déplait pas. Il se jette dans l’eau elle est froide, l’imbécile il pouvait s’en douter. J’en ris trop fort peut-être. Il me répond. Je voudrais le voir de plus près : je tends mes bras, il comprend ce que je veut. Il arrive encore nu, il n’a pas honte ?
Lui :
-Je vais lui flanquer une bonne beigne, ça lui apprendra à se moquer de moi. Et puis après…. Non je le prends dans mes bras. Je la serre, elle se laisse faire (par peur sans doute) Tiens elle m’embrasse : elle n’a pas peur, elle enfonce sa langue dans la bouche. Elle cherche la mienne. Sa salive est agréablement chaude. Elle me tient la main, elle m’entraine à l’ombre d’un arbre où il y a de l’herbe.
Elle :
-On ne va pas rester sur les galets. Je préfère sous l’arbre à l’ombre sur l’herbe, j’y serais bien mieux. Quoi il bande déjà. Pas mal comme taille, il va me faire du bien. Ca sera mieux qu’avec mon mari : je suis obligé de me caresser après. Sa bouche est profonde, j’aime le gout de sa salive.
Non, il s’arrête il prend son fourniment. Il ne va pas m’égorger ? Non, il reste nu. C’est amusant sa queue qui se balance quand il marche. Je ne pensais pas qu’une queue qui bande fasse ces mouvements là.
Lui :
-Quel cul, je vais la lui mettre là pour voir si elle aime. Non je vais la baiser avant tout.
Elle :
-Je vais lui rendre la queue dans la main, je le branlerais un peu avant de la lui bouffer. Je connaitrai son gout. On dit qu’ils sentent fort ?
Voilà, je suis couchée : il est proche, il perd du temps à me regarder. Cette queue, je la veux dans la bouche, vite : je tend ma main. Je l’ai enfin.
Lui :
-Elle prend ma bite, dans sa main en plus. Elle va me branler, pourquoi pas après tout. Non, la garce, elle me prend dans la bouche. Ses lèvres entourent ma queue. Elle va me faire..
Elle :
-Je l’ai dans la bouche. Il a bon gout, un peu d’urine, c’est pas désagréable. Je vais l’amener presque à me donner son jus dans la bouche. S’il pouvait disposer de tout son temps, je l’avalerais, c’est parait-il bon leur jus.
Lui :
Pourquoi elle arrête de me sucer j’aurais jouis dans une bouche : il y a si longtemps que ma chérie ne me l’a pas fait avant que je parte. Elle caresse les fesses. J’aime moins même si elle passe des doigt vers mon cul.. Je ne peux pas dire que je déteste, mais je préférerais l’enculer elle.
Elle :
-Pourquoi il se crispe quand je veux lui mettre mon doigt dans son cul : c’est bon pourtant. S’il le demande je lui donnerais mon cul : j’aime ça. En attendant viens ici, guerrier !
Lui :
Elle m’attire vers elle, je me couche à coté. J’ai à nouveau sa bouche sur la mienne. Tiens elle sent ma queue, j’aurais du la laver ce matin. Elle l’aura voulu : je vais lui bouffer la chatte, qu’elle le veuille ou non. J’aime trop ces gouts de con.
Elle :
Ah non, il veut passer sa langue sur le con : c’est dégoutant… Oui, encore, c’est bon, il me fait jouir. Pourquoi il recommence encore. Il me fait jouir. Impie. Je vois sa queue qui palpite. Qu’est ce qu’il attend pour me la mettre. Pourtant j’écarte bien mes jambes, je lui montre mon besoin. Enfin il…
Lui
-Je la lui mets. Elle est étroite, c’est bon je la sens bien comme ça. Oh, elle me fait sortir, j’ai du lui faire mal. Elle me fait descendre la queue vers son, oui, vers son cul.
Elle :
-Il me sodomise : j’adore sentir une queue dans le cul. Je le sens jouir juste au moment ou moi aussi je jouis. Pourquoi part-il ?
Lui :
Encore une fois j’ai eu de la chance de tomber sur une vraie femme. Je suis obligé de trotter pour rattraper les autres : une habitue maintenant. N’empêche, quelle baiseuse !
-Mon uniforme me porte encore vers une aventure, comme si je les cherchais. Les copains de la section m’envient. Est-ce ma faute si je tombe sur les bonnes occasions ? Nous suivons un sentier à flanc de coteaux. A droite un ruisseau. Si j’avais une cane, j’irais tenter ma chance près des poissons. Curieux je passe ma tête entre les interstices de la haie : des jeunes femmes se baignent. Ouah ! de belle femmes en juger par ce que je vois de leur nudité. Leur peau brille au soleil. Comme souvent, je m’attarde pour le plaisir des yeux. Dommage qu’une ne soit pas seule, j’irais bien lui conter fleurette : je n’aime pas partager mes conquêtes avec d’autres, même les meilleurs amis.
Nous continuons notre patrouille. Une autre chance, encore des filles qui se baignent. Je ne laisse pas mes yeux dans la musette. Et encore plus loin cette fois une fille seule, nue, comme une tentation. Avec mon harnachement, mon arme, je dois ressembler à un pirate. Tant pis je vais tenter ma chance. Je m’approche d’elle. Elle n’a pas l’air d’avoir peur de moi, du tueur potentiel (Si elle me connaissait mieux elle saurait que je suis vierge de tout mort dans la guerre). Je m’approche d’elle en faisant un bruit d’enfer ave mes godasses sur les galets. Elle en sourit. Tant mieux. Elle est nue, elle est belle, elle a tout ce qu’il faut, même sans doute un chouia de fesses en trop. Plus je m’approche plus elle rentre dans l’eau. J’ai perdu de vue ses mollets, reste que le reste est joli. Je ne sais que regarder : ses seins, sa fourrure noire, ses cuisses ?
Elle me donne envie de faire une chose que normalement je ne doit pas faire : je me mets nu, entièrement nu, je me précipite vers le ruisseau : j’y plonge : l’eau est glaciale. Il me semble que mes bijoux de familles sont entrés dans le ventre. Je me relève pour la voir éclater de rire. Et en plus elle se fout de moi. Je vais lui montrer ce qu’il en coute de se moquer de l’homme que je suis.
Qu’est ce que je pourrais faire pour venger mon « honneur » ? Elle rit encore de voir mon air déconfit. Et moi je lui souris amicalement. Elle répond, elle tend ses bras.
Je sens que je vais passer un bon moment.
Elle :
-Il en passe des étrangers en armes. Certains sont de beaux hommes, plus que ceux d’ici. Ont dit qu’ils ont des façons particulières d’aimer les filles. J’aimerais bien essayer une fois pour changer de l’époux qu’on m’a obligée à prendre.
Tiens en voilà un qui ne manque pas de culot. Il vient vers moi, il se met tout nu : pas mal : je vois sa bite elle ne me déplait pas. Il se jette dans l’eau elle est froide, l’imbécile il pouvait s’en douter. J’en ris trop fort peut-être. Il me répond. Je voudrais le voir de plus près : je tends mes bras, il comprend ce que je veut. Il arrive encore nu, il n’a pas honte ?
Lui :
-Je vais lui flanquer une bonne beigne, ça lui apprendra à se moquer de moi. Et puis après…. Non je le prends dans mes bras. Je la serre, elle se laisse faire (par peur sans doute) Tiens elle m’embrasse : elle n’a pas peur, elle enfonce sa langue dans la bouche. Elle cherche la mienne. Sa salive est agréablement chaude. Elle me tient la main, elle m’entraine à l’ombre d’un arbre où il y a de l’herbe.
Elle :
-On ne va pas rester sur les galets. Je préfère sous l’arbre à l’ombre sur l’herbe, j’y serais bien mieux. Quoi il bande déjà. Pas mal comme taille, il va me faire du bien. Ca sera mieux qu’avec mon mari : je suis obligé de me caresser après. Sa bouche est profonde, j’aime le gout de sa salive.
Non, il s’arrête il prend son fourniment. Il ne va pas m’égorger ? Non, il reste nu. C’est amusant sa queue qui se balance quand il marche. Je ne pensais pas qu’une queue qui bande fasse ces mouvements là.
Lui :
-Quel cul, je vais la lui mettre là pour voir si elle aime. Non je vais la baiser avant tout.
Elle :
-Je vais lui rendre la queue dans la main, je le branlerais un peu avant de la lui bouffer. Je connaitrai son gout. On dit qu’ils sentent fort ?
Voilà, je suis couchée : il est proche, il perd du temps à me regarder. Cette queue, je la veux dans la bouche, vite : je tend ma main. Je l’ai enfin.
Lui :
-Elle prend ma bite, dans sa main en plus. Elle va me branler, pourquoi pas après tout. Non, la garce, elle me prend dans la bouche. Ses lèvres entourent ma queue. Elle va me faire..
Elle :
-Je l’ai dans la bouche. Il a bon gout, un peu d’urine, c’est pas désagréable. Je vais l’amener presque à me donner son jus dans la bouche. S’il pouvait disposer de tout son temps, je l’avalerais, c’est parait-il bon leur jus.
Lui :
Pourquoi elle arrête de me sucer j’aurais jouis dans une bouche : il y a si longtemps que ma chérie ne me l’a pas fait avant que je parte. Elle caresse les fesses. J’aime moins même si elle passe des doigt vers mon cul.. Je ne peux pas dire que je déteste, mais je préférerais l’enculer elle.
Elle :
-Pourquoi il se crispe quand je veux lui mettre mon doigt dans son cul : c’est bon pourtant. S’il le demande je lui donnerais mon cul : j’aime ça. En attendant viens ici, guerrier !
Lui :
Elle m’attire vers elle, je me couche à coté. J’ai à nouveau sa bouche sur la mienne. Tiens elle sent ma queue, j’aurais du la laver ce matin. Elle l’aura voulu : je vais lui bouffer la chatte, qu’elle le veuille ou non. J’aime trop ces gouts de con.
Elle :
Ah non, il veut passer sa langue sur le con : c’est dégoutant… Oui, encore, c’est bon, il me fait jouir. Pourquoi il recommence encore. Il me fait jouir. Impie. Je vois sa queue qui palpite. Qu’est ce qu’il attend pour me la mettre. Pourtant j’écarte bien mes jambes, je lui montre mon besoin. Enfin il…
Lui
-Je la lui mets. Elle est étroite, c’est bon je la sens bien comme ça. Oh, elle me fait sortir, j’ai du lui faire mal. Elle me fait descendre la queue vers son, oui, vers son cul.
Elle :
-Il me sodomise : j’adore sentir une queue dans le cul. Je le sens jouir juste au moment ou moi aussi je jouis. Pourquoi part-il ?
Lui :
Encore une fois j’ai eu de la chance de tomber sur une vraie femme. Je suis obligé de trotter pour rattraper les autres : une habitue maintenant. N’empêche, quelle baiseuse !
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