L'étudiante (2/5)
Récit érotique écrit par BAGOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'étudiante (2/5)
L’étudiante (2/5).
Par souci de ne pas la rencontrer, j’évitai depuis de me rendre au service de scolarité en transmettant au personnel copies et notes par l’intermédiaire du chef de département que j’invitai à l’occasion sous un faux prétexte à passer dans mon bureau. Par bonheur, je ne fis pas sa rencontre dans la cour ou dans les couloirs de la faculté. Je m’en félicitai et repris le cours de mes activités en m’efforçant de ne plus penser à elle.
Un jour que je venais d’entrer au bureau en milieu de matinée après un cours, elle frappa à la porte avec insistance et se précipita dans le bureau quand je lui ouvris, la mine réjouie et un large sourire sur les lèvres. Je tendis instantanément la main au maximum pour rétablir virtuellement une distance entre nous, distance que nous n’aurions jamais dû franchir et elle la prit en me la secouant énergiquement à la manière d’un garçon. J’en fus intérieurement ravi en me disant que les choses étaient rentrées dans l’ordre et que nous pouvions discuter sans arrière-pensées. Je refermai la porte à clé derrière elle sans autre intention que de ne pas être dérangés par les étudiants sous des motifs nombreux et variés.
Elle m’annonça qu’elle venait de recevoir une réponse favorable de deux universités étrangères pour des études doctorales et qu’elle n’avait plus que l’embarras di choix à présent. J’ouvris les bras, tendus vers le ciel, en signe de sincère satisfaction en lui disant combien j’étais heureux pour elle. Elle vint instantanément se blottir contre ma poitrine, la tête sur mon épaule et les bras autour de ma taille. Je n’eus d’autre option que d’entourer ses épaules de mes bras et nous restâmes ainsi longtemps, moi attendant qu’elle desserrât l’étreinte, elle attendant un signe de ma part pour la serrer davantage.
Elle ne la desserra pas mais releva la tête pour me regarder par en-dessous, étant de plus petite taille que moi. Je baissai naturellement les yeux vers elle et, lentement, dans un mouvement millimétré, elle se souleva pour coller sa bouche à la mienne qui ne la refusa pas.
Je n’eus pas besoin de lui dire de l’ouvrir cette fois et nos langues se rencontrèrent pour entamer une dance frénétique. Je forçais imperceptiblement son palais, à la recherche de la source de salive qu’elle m’offrit en abondance, ayant dû apprendre de notre premier baiser. Je labourai littéralement sa petite bouche de baisers tandis que, ramenant ses bras vers mon torse, elle se mit à me prodiguer des caresses aériennes par-dessus la chemise. J’entrouvris d’une main celle-ci pour la laisser accéder à ma peau et elle y introduit la sienne tout en nous embrassant. Je décollai ma bouche de la sienne et la fis baisser vers mon torse à demi nu sous sa main.
Elle y alla franchement pour remplacer la main par la bouche tout en ouvrant plus largement les pans de la chemise. Comme la première fois où nous nous embrassâmes, je lui murmurai à l’oreille dans cette langue si pudique en matière de sexe mais dont les mots s’y rapportant sont des monuments d’érotisme : mouille-moi de ta salive. Je n’eus pas besoin de le lui répéter. Elle me parcourut de sa langue mouillée à souhait en laissant une trainée de salive brillante comme la bave de l’escargot sur une herbe fine. Mes poils se couchaient sous sa langue pour se soulever ensuite telles des antennes rétractables de quelque animal de prairie. Elle descendit à la lisière de mon ventre marquée par la ceinture du pantalon. Je la laissai brouter tout autour puis je la relevai d’un geste franc. Nos bouches se rencontrèrent de nouveau pour un long, long baiser. Enfin je la repoussai légèrement mais fermement. Je me rajustai devant elle en défaisant la ceinture et le bouton du pantalon dans lequel apparut un slip blanc immaculé, gonflé par mon sexe en érection. Je refermai prestement mon pantalon pour qu’elle ne se fasse pas d’illusion sur mes intentions et la poussai insensiblement vers la porte que j’ouvris en la priant sans mot dire de sortir. Elle l’ouvrit et partit, me laissant songeur et perplexe. Je n’avais même pas remarqué cette fois comment elle était habillée, hormis le fait qu’elle était voilée comme à son habitude. Je ne fis aucun geste pour m’emparer de son corps ne serait-ce qu’en caresses par-dessus son voile.
Par souci de ne pas la rencontrer, j’évitai depuis de me rendre au service de scolarité en transmettant au personnel copies et notes par l’intermédiaire du chef de département que j’invitai à l’occasion sous un faux prétexte à passer dans mon bureau. Par bonheur, je ne fis pas sa rencontre dans la cour ou dans les couloirs de la faculté. Je m’en félicitai et repris le cours de mes activités en m’efforçant de ne plus penser à elle.
Un jour que je venais d’entrer au bureau en milieu de matinée après un cours, elle frappa à la porte avec insistance et se précipita dans le bureau quand je lui ouvris, la mine réjouie et un large sourire sur les lèvres. Je tendis instantanément la main au maximum pour rétablir virtuellement une distance entre nous, distance que nous n’aurions jamais dû franchir et elle la prit en me la secouant énergiquement à la manière d’un garçon. J’en fus intérieurement ravi en me disant que les choses étaient rentrées dans l’ordre et que nous pouvions discuter sans arrière-pensées. Je refermai la porte à clé derrière elle sans autre intention que de ne pas être dérangés par les étudiants sous des motifs nombreux et variés.
Elle m’annonça qu’elle venait de recevoir une réponse favorable de deux universités étrangères pour des études doctorales et qu’elle n’avait plus que l’embarras di choix à présent. J’ouvris les bras, tendus vers le ciel, en signe de sincère satisfaction en lui disant combien j’étais heureux pour elle. Elle vint instantanément se blottir contre ma poitrine, la tête sur mon épaule et les bras autour de ma taille. Je n’eus d’autre option que d’entourer ses épaules de mes bras et nous restâmes ainsi longtemps, moi attendant qu’elle desserrât l’étreinte, elle attendant un signe de ma part pour la serrer davantage.
Elle ne la desserra pas mais releva la tête pour me regarder par en-dessous, étant de plus petite taille que moi. Je baissai naturellement les yeux vers elle et, lentement, dans un mouvement millimétré, elle se souleva pour coller sa bouche à la mienne qui ne la refusa pas.
Je n’eus pas besoin de lui dire de l’ouvrir cette fois et nos langues se rencontrèrent pour entamer une dance frénétique. Je forçais imperceptiblement son palais, à la recherche de la source de salive qu’elle m’offrit en abondance, ayant dû apprendre de notre premier baiser. Je labourai littéralement sa petite bouche de baisers tandis que, ramenant ses bras vers mon torse, elle se mit à me prodiguer des caresses aériennes par-dessus la chemise. J’entrouvris d’une main celle-ci pour la laisser accéder à ma peau et elle y introduit la sienne tout en nous embrassant. Je décollai ma bouche de la sienne et la fis baisser vers mon torse à demi nu sous sa main.
Elle y alla franchement pour remplacer la main par la bouche tout en ouvrant plus largement les pans de la chemise. Comme la première fois où nous nous embrassâmes, je lui murmurai à l’oreille dans cette langue si pudique en matière de sexe mais dont les mots s’y rapportant sont des monuments d’érotisme : mouille-moi de ta salive. Je n’eus pas besoin de le lui répéter. Elle me parcourut de sa langue mouillée à souhait en laissant une trainée de salive brillante comme la bave de l’escargot sur une herbe fine. Mes poils se couchaient sous sa langue pour se soulever ensuite telles des antennes rétractables de quelque animal de prairie. Elle descendit à la lisière de mon ventre marquée par la ceinture du pantalon. Je la laissai brouter tout autour puis je la relevai d’un geste franc. Nos bouches se rencontrèrent de nouveau pour un long, long baiser. Enfin je la repoussai légèrement mais fermement. Je me rajustai devant elle en défaisant la ceinture et le bouton du pantalon dans lequel apparut un slip blanc immaculé, gonflé par mon sexe en érection. Je refermai prestement mon pantalon pour qu’elle ne se fasse pas d’illusion sur mes intentions et la poussai insensiblement vers la porte que j’ouvris en la priant sans mot dire de sortir. Elle l’ouvrit et partit, me laissant songeur et perplexe. Je n’avais même pas remarqué cette fois comment elle était habillée, hormis le fait qu’elle était voilée comme à son habitude. Je ne fis aucun geste pour m’emparer de son corps ne serait-ce qu’en caresses par-dessus son voile.
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