L'étudiante (3/5)
Récit érotique écrit par BAGOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'étudiante (3/5)
L’étudiante (3/5).
Avec la rudesse calculée que j’adoptais pour la renvoyer, j’espérais qu’elle ne reviendrait pas malgré le feu que, par nos baisers incendiaires, nous avons allumé l’un en l’autre. Il y allait de ma réputation bâtie jusqu’alors sur une moralité à toute épreuve dans mon milieu professionnel, et de la sienne, encore plus exposée compte tenu de la place réservée à la femme dans notre société, marquée du sceau d’un traditionalisme étroit.
Elle mit plusieurs jours avant de reparaître en profitant de la porte entrebâillée (que venaient de quitter deux jeunes collègues après notre séance de travail) pour entrer sans frapper. Je fus surpris de la voir au pied de mon bureau alors que j’étais encore plongé dans un dossier. Elle me dit qu’elle avait obtenu son inscription à l’Université de * et qu’elle allait la rejoindre début septembre. On était mi-juin. Je l’ai félicitée en me levant pour lui serrer la main, mais elle était retournée prestement à la porte pour la fermer à clé. Elle revint, un sourire ravageur sur le visage et m’enlaça sans prévenir en me serrant fortement.
Je relevai son menton et plongé mon regard dans ses yeux. Elle était désirable comme jamais, très légèrement maquillée. J’ai pris le temps de la détailler cette fois : le voile fut remplacé par une tunique qui descendait jusqu’aux genoux sur un pantalon assorti genre habit indien. Un foulard couvrait ses cheveux sans enserrer sa tête comme avant. J’amenais sa bouche à la mienne et nous nous embrassâmes avec fougue comme les fois précédentes.
Tout en nous embrassant, elle prit une de mes mains et la porta sur son buste. Je me rendis compte alors que, hormis sa frimousse que j’ai comblée de caresses et de baisers, je ne l’avais quasiment pas touchée. Je fis courir ma main sur le haut de son buste, sur son cou et sa nuque avant de la faire redescendre dans le creux des seins où je rencontrai la bande de tissu reliant les deux globes de son soutien-gorge. Je passai délicatement ma main sur l’un puis l’autre à même le tissu de sa tunique dont je pus constater la finesse et la légèreté par opposition à son voile épais. Je descendis ma main sur son ventre par-dessus le tissu et alors, me prenant énergiquement cette main, elle releva légèrement sa tunique et la posa à même la peau. Elle ne portait rien sous ce vêtement suffisamment opaque pour qu’on ne puisse rien deviner, le soutien-gorge excepté. Je fis des mouvements concentriques sur son ventre tout en relevant de l’autre main, par touches successives, la tunique protectrice. Je le fis ensuite des deux mains, y allant franchement en l’enroulant sur ses épaules pour découvrir un ventre plat d’une couleur rose-pâle et un tout petit nombril qui attira ma bouche comme une fleur gorgée de nectar attire l’abeille. Poussant ma jeune partenaire vers le bureau en lui faisant faire un demi-tour sur elle-même pour la caler, je le titillai de ma langue et ma bouche, maintenant qu’elle y a accédé, ne se priva pas de donner des baisers sur tout le ventre en mordillant légèrement les chairs. Je descendis jusqu’à la lisière du pantalon en passant une main derrière le dos cambré de ma jeune partenaire. Je remontai vers le creux des seins dont je n’atteignis que la partie la plus évasée en raison de son vêtement en donnant tantôt des coups de langue, tantôt des baisers, lèvres fermés, sur tout ce m’était accessible de ses chairs. Elle n’émit pas un son ni ne bougea tant que je m’occupais ainsi de son corps à demi dénudé. Je mis fin à ce jeu pour venir l’embrasser de nouveau puis je dis : H (c’est l’initiale de son prénom), je voudrais tant te donner le plaisir que tu mérites. Je sais que tu es vierge. Je n’ai pas le droit de te dépuceler, tu courrais de grands risques d’être enceinte. Devinant qu’elle n’avait jamais vu un sexe d’homme hormis peut-être sur internet si tant est qu’elle ait internet à la maison, j’ajoutai dans un souffle pour ne pas me rétracter : je vais quand même te montrer mon sexe pour que tu voies comment est fait un homme. N’aie pas peur, je ne te toucherai pas avec. Ce disant, j’entrepris de baisser mon pantalon jusqu’aux chevilles puis, inversant nos positions je pris place sur le bord de la table-bureau tandis qu’elle était debout en face de moi, plongée dans un mélange de curiosité et de fascination. Ayant, ce disant, déjà baissé mon slip par derrière, j’entrepris de le faire aussi par devant dans un mouvement d’une lenteur calculée, mon pénis entravant l’opération tant il était tendu comme un pieu de tente à l’intérieur du slip. Le gland apparut puis la hampe, le tout presqu’à la verticale compte tenu de ma position. Je laissai ma jeune partenaire admirer cette verge circoncise puis, en lui prenant naturellement la main et sans mot dire, je la posai sur mon sexe qui palpitait sous la pression sanguine comme s’il faisait partie du cœur. Je gardai ma main sur la sienne afin de ne pas l’effaroucher. Elle se laissa faire. Je ne lui demandai ni de me masturber, ni de me caresser ; juste le contact de sa main sur ma verge. Reprenant mon souffle et dans le souci réel de l’instruire, je lui dis alors : maintenant je vais éjaculer dans ta main. N’aie crainte : c’est naturel et bon pour moi. Me concentrant sous l’effet de cette main immobile mais douce et chaude à souhait, je me laissai aller à mon plaisir. Ma semence fit un bon de plus de vingt centimètres au jugé et retomba, partie sur nos deux mains enlacées, partie sur le carrelage. Je pris délicatement la sienne et la portai à ma bouche toute couverte de ma semence pour la lécher, puis je présentai la mienne à ses lèvres. Ma jeune partenaire fit de même avec ma main par imitation. Aucune réaction de dégoût de sa part : elle lécha ma semence comme elle eût fait d’un trop-plein de sucre de quelque fruit trop mûr.
Je me remis debout pour me rhabiller puis je déroulai la tunique de ma partenaire sur son ventre. Après un dernier baiser langoureux, je lui dis : H, sois gentille, ne reviens plus me voir. Je ne peux pas t’aimer comme tu le mérites. Trouve un mari qui te comblera d’amour. Fais ta vie sans perdre de temps. Donne libre cours à tes désirs et sois heureuse. Je t’aime mais c’est un amour interdit et impossible que je te voue. Lui ouvrant la porte, je la poussai doucement dehors par une pression entre ses omoplates tandis qu’elle manifestait une légère résistance. Mais elle partit et je me retrouvai à méditer toute cette aventure.
 
Avec la rudesse calculée que j’adoptais pour la renvoyer, j’espérais qu’elle ne reviendrait pas malgré le feu que, par nos baisers incendiaires, nous avons allumé l’un en l’autre. Il y allait de ma réputation bâtie jusqu’alors sur une moralité à toute épreuve dans mon milieu professionnel, et de la sienne, encore plus exposée compte tenu de la place réservée à la femme dans notre société, marquée du sceau d’un traditionalisme étroit.
Elle mit plusieurs jours avant de reparaître en profitant de la porte entrebâillée (que venaient de quitter deux jeunes collègues après notre séance de travail) pour entrer sans frapper. Je fus surpris de la voir au pied de mon bureau alors que j’étais encore plongé dans un dossier. Elle me dit qu’elle avait obtenu son inscription à l’Université de * et qu’elle allait la rejoindre début septembre. On était mi-juin. Je l’ai félicitée en me levant pour lui serrer la main, mais elle était retournée prestement à la porte pour la fermer à clé. Elle revint, un sourire ravageur sur le visage et m’enlaça sans prévenir en me serrant fortement.
Je relevai son menton et plongé mon regard dans ses yeux. Elle était désirable comme jamais, très légèrement maquillée. J’ai pris le temps de la détailler cette fois : le voile fut remplacé par une tunique qui descendait jusqu’aux genoux sur un pantalon assorti genre habit indien. Un foulard couvrait ses cheveux sans enserrer sa tête comme avant. J’amenais sa bouche à la mienne et nous nous embrassâmes avec fougue comme les fois précédentes.
Tout en nous embrassant, elle prit une de mes mains et la porta sur son buste. Je me rendis compte alors que, hormis sa frimousse que j’ai comblée de caresses et de baisers, je ne l’avais quasiment pas touchée. Je fis courir ma main sur le haut de son buste, sur son cou et sa nuque avant de la faire redescendre dans le creux des seins où je rencontrai la bande de tissu reliant les deux globes de son soutien-gorge. Je passai délicatement ma main sur l’un puis l’autre à même le tissu de sa tunique dont je pus constater la finesse et la légèreté par opposition à son voile épais. Je descendis ma main sur son ventre par-dessus le tissu et alors, me prenant énergiquement cette main, elle releva légèrement sa tunique et la posa à même la peau. Elle ne portait rien sous ce vêtement suffisamment opaque pour qu’on ne puisse rien deviner, le soutien-gorge excepté. Je fis des mouvements concentriques sur son ventre tout en relevant de l’autre main, par touches successives, la tunique protectrice. Je le fis ensuite des deux mains, y allant franchement en l’enroulant sur ses épaules pour découvrir un ventre plat d’une couleur rose-pâle et un tout petit nombril qui attira ma bouche comme une fleur gorgée de nectar attire l’abeille. Poussant ma jeune partenaire vers le bureau en lui faisant faire un demi-tour sur elle-même pour la caler, je le titillai de ma langue et ma bouche, maintenant qu’elle y a accédé, ne se priva pas de donner des baisers sur tout le ventre en mordillant légèrement les chairs. Je descendis jusqu’à la lisière du pantalon en passant une main derrière le dos cambré de ma jeune partenaire. Je remontai vers le creux des seins dont je n’atteignis que la partie la plus évasée en raison de son vêtement en donnant tantôt des coups de langue, tantôt des baisers, lèvres fermés, sur tout ce m’était accessible de ses chairs. Elle n’émit pas un son ni ne bougea tant que je m’occupais ainsi de son corps à demi dénudé. Je mis fin à ce jeu pour venir l’embrasser de nouveau puis je dis : H (c’est l’initiale de son prénom), je voudrais tant te donner le plaisir que tu mérites. Je sais que tu es vierge. Je n’ai pas le droit de te dépuceler, tu courrais de grands risques d’être enceinte. Devinant qu’elle n’avait jamais vu un sexe d’homme hormis peut-être sur internet si tant est qu’elle ait internet à la maison, j’ajoutai dans un souffle pour ne pas me rétracter : je vais quand même te montrer mon sexe pour que tu voies comment est fait un homme. N’aie pas peur, je ne te toucherai pas avec. Ce disant, j’entrepris de baisser mon pantalon jusqu’aux chevilles puis, inversant nos positions je pris place sur le bord de la table-bureau tandis qu’elle était debout en face de moi, plongée dans un mélange de curiosité et de fascination. Ayant, ce disant, déjà baissé mon slip par derrière, j’entrepris de le faire aussi par devant dans un mouvement d’une lenteur calculée, mon pénis entravant l’opération tant il était tendu comme un pieu de tente à l’intérieur du slip. Le gland apparut puis la hampe, le tout presqu’à la verticale compte tenu de ma position. Je laissai ma jeune partenaire admirer cette verge circoncise puis, en lui prenant naturellement la main et sans mot dire, je la posai sur mon sexe qui palpitait sous la pression sanguine comme s’il faisait partie du cœur. Je gardai ma main sur la sienne afin de ne pas l’effaroucher. Elle se laissa faire. Je ne lui demandai ni de me masturber, ni de me caresser ; juste le contact de sa main sur ma verge. Reprenant mon souffle et dans le souci réel de l’instruire, je lui dis alors : maintenant je vais éjaculer dans ta main. N’aie crainte : c’est naturel et bon pour moi. Me concentrant sous l’effet de cette main immobile mais douce et chaude à souhait, je me laissai aller à mon plaisir. Ma semence fit un bon de plus de vingt centimètres au jugé et retomba, partie sur nos deux mains enlacées, partie sur le carrelage. Je pris délicatement la sienne et la portai à ma bouche toute couverte de ma semence pour la lécher, puis je présentai la mienne à ses lèvres. Ma jeune partenaire fit de même avec ma main par imitation. Aucune réaction de dégoût de sa part : elle lécha ma semence comme elle eût fait d’un trop-plein de sucre de quelque fruit trop mûr.
Je me remis debout pour me rhabiller puis je déroulai la tunique de ma partenaire sur son ventre. Après un dernier baiser langoureux, je lui dis : H, sois gentille, ne reviens plus me voir. Je ne peux pas t’aimer comme tu le mérites. Trouve un mari qui te comblera d’amour. Fais ta vie sans perdre de temps. Donne libre cours à tes désirs et sois heureuse. Je t’aime mais c’est un amour interdit et impossible que je te voue. Lui ouvrant la porte, je la poussai doucement dehors par une pression entre ses omoplates tandis qu’elle manifestait une légère résistance. Mais elle partit et je me retrouvai à méditer toute cette aventure.
 
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