L'étudiante nouvelle vie (2/3)
Récit érotique écrit par BAGOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 9 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 4.4
- • L'ensemble des récits érotiques de BAGOU ont reçu un total de 47 460 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 576 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L'étudiante nouvelle vie (2/3)
L’étudiante, nouvelle vie (2/3).
Elle revint en effet quelques jours plus tard, un dossier sous le bras, tandis que j’étais encore au bureau à travailler sur un article. Elle frappa de très légers coups à la porte et entra. Tout comme la fois précédente au moment de me quitter, elle me fit la bise, effleurant mes lèvres des siennes dans un élan qui la déstabilisa très légèrement. Spontanément, je tendis un bras pour la retenir, ce qui lui arracha un rire saccadé et me fit sourire intérieurement.
Nous discutâmes de nouveau de son projet avant de lui prendre des mains le dossier qu’elle me tendait ; et parlâmes de tout et de rien pendant plusieurs minutes. Je finis par l’inviter à prendre un café à l’extérieur et nous sortîmes. Compte tenu de l’heure (près de midi), ce fut à un déjeuner que je la conviais finalement dans un restaurant attenant au café. Nous poursuivîmes notre discussion en cours de route et au restaurant puis, de but en blanc, je lui dis dans une apostrophe on ne peut plus ambiguë : comment ça se passe avec ton mari ?
Elle se rembrunit de nouveau, comme la première fois où je fis allusion à son mariage. Mais très vite elle chassa l’ombre de son front et me répondit, comme si elle avait deviné mes pensées : je ne suis plus vierge tu sais ! Allusion à ce que j’avais invoqué jadis pour ne pas la dépuceler ou promesse de ce qu’elle allait m’offrir si je décidais de renouer avec notre passé ? Les deux probablement. J’en restai tout de même quelque peu interloqué et orientai la discussion sur de nombreux autres sujets.
Nous revînmes au bureau tout en discutant et, la porte à peine refermée sur nous, elle se jeta sur moi pour un baiser passionné que je lui rendis avec la même passion, sans réfléchir ni hésiter. Cette fois, c’est moi qui suit allé fermer la porte à clé et, revenu vers elle, je lui pris la tête entre mes mains pour un nouveau baiser profond, nos bouches s’étant ouvertes simultanément l’une à l’autre et nos langues s’enroulant l’une sur l’autre. Elle n’était plus aussi ignorante des choses du sexe et me le fit savoir dans ce baiser où elle laissa couler sa salive dans ma bouche tandis que j’aspirais sa langue au plus profond de mon palais. Elle s’esquiva prestement de notre étreinte, les lèvres encore brillantes de nos salives qui y formaient d’imperceptibles bulles, et vint se jucher sur le bureau dans une invite explicite à explorer son corps. Je le parcourus de mes mains à même ses vêtements en descendant rapidement vers son entrecuisse qu’elle avait assez largement ouvert. Je la fis asseoir plus confortablement sur le bureau pour accéder à sa fourche en relevant sa jupe à hauteur de ses hanches et plongeais ma tête. Je déposai de rapides baisers sur ses cuisses de l’intérieur puis sur son pubis dont elle avait légèrement taillé les poils. Elle s’accouda en arrière sur le bureau et releva les jambes. Ma bouche alla droit à sa chatte que je labourais littéralement par-dessus sa culotte. Tête renversée, elle émit d’inaudibles gémissements qui décuplèrent mon désir d’elle. D’un geste vigoureux, je fis descendre la culotte de mes deux mains en tirant sur l’élastique pour la lui enlever et replongeai la tête dans cet antre humide et chaud à souhait.
Elle se releva d’une main qu’elle porta sur ma tête pour l’enfoncer davantage dans son entrecuisse. J’appuyai à mon tour sur sa chatte que j’explorai de ma langue aussi loin que me le permettait notre position puis je me relevai, le visage barbouillé de sa mouille, pour venir l’embrasser de nouveau. Elle m’offrit sa bouche puis, dans un sourire ravageur, elle me repoussa de sa main libre. Pensant qu’elle voulait que je retourne à son entrecuisse, je descendis lentement en la regardant dans les yeux mais elle me mit la main au menton tout en me repoussant. Je me laissai faire tandis qu’elle relevait la tête et qu’elle décollait son arrière-train du bureau. Sa main descendait sur ma poitrine au fur et à mesure qu’elle se redressait et vint au final effleurer ma virilité qui formait une bosse monstrueuse dans mon pantalon. Elle s’agenouilla, jupe relevée, et défit la ceinture et le bouton de mon pantalon sans cesser de me regarder.
Sans prendre la peine de défaire tous les boutons de la braguette, elle fit descendre mon pantalon à mi-cuisses. Dans le slip maintenant entièrement découvert, mon pénis formait une protubérance en diagonale du vêtement : elle y porta une main et le redressa en sorte que le gland lui apparut à demi sous l’élastique. Posant sa joue sur mon bas-ventre, elle y porta les lèvres et l’embrassa d’un baiser furtif. Puis, prenant le slip des deux mains par l’élastique, elle l’abaissa brusquement, faisant bondir mon sexe comme s’il était mû par un ressort. D’une main, elle l’empoigna et se l’enfonça dans la bouche en faisant des va-et-vient lents jusqu’à mi-longueur de la hampe. Sa tête qui ne m’était plus visible que du dessus, montait et descendait et tant par son mouvement régulier que par les sensations que me procurait sa bouche, mon excitation alla crescendo. Je ne tardai pas à sentir venir ma sève et me retirai prestement de cette bouche accueillante. Quoique quelque peu contrariée ma jeune partenaire me regarda droit dans les yeux et me dit : prends-moi maintenant, j’attendais ce moment depuis si longtemps !!
Je pris son menton dans ma main pour la relever, mon pénis, resté à l’air, tendu comme un morceau de bois sec et lui dis : ici, comme ça, maintenant ? Voyons H, tu n’y penses pas. On risque de nous … Pour toute réponse, elle alla caler ses fesses contre la table-bureau, écarta les cuisses et attendit. Je la rejoignis sans plus de question et, relevant sa jupe de nouveau, je la fis monter un peu plus sur la table de façon à avoir juste son entrejambes hors du bord. Je pris mon sexe dans la main droite et le portai à la périphérie du sien en le frottant à ses grandes lèvres. Avec d’infinies précautions, je la pénétrai tout en portant ma main à sa bouche de crainte qu’elle crie ou qu’elle gémisse. Ma verge, entièrement en elle à présent, coulissait comme dans un pot de confiture tant sa chatte était lubrifiée par le désir. Je ne pus tenir très longtemps et déversai un long jet de ma semence dans sa chatte qui la fit se cabrer tout d’un coup. Avait-elle joui en même temps que moi ? Je n’osai le lui demander. Je me retirai et vins l’embrasser de nouveau : un long baiser qu’elle me rendit avec la fougue d’une adolescente.
Nous nous séparâmes enfin puis, chacun remettant ou rajustant ses vêtements. Nous allâmes nous asseoir l’un en face de l’autre, du même côté de la table-bureau. Je la remerciai pour cette offrande tandis qu’elle me disait pour la première fois qu’elle m’aimait. Tout en me levant, je lui demandai pour combien de temps elle serait encore là, une idée saugrenue me traversant la tête soudainement. Elle me dit qu’elle resterait encore quelques jours et ajouta, comme si elle lisait dans mes pensées : si tu veux on peut se revoir avant que je reparte. Je fis oui de la tête, et tout en griffonnant mon numéro de téléphone sur un bout de papier que je lui remis, je lui dis que j’allais faire le maximum pour terminer de lire et de corriger son projet de thèse d’ici là. Je me dirigeai vers la porte ; elle me suivit et, sans un mot, l’ouvrit elle-même et sortit. Je refermai la porte derrière elle, tout à mes pensées et à mes fantasmes dont déjà certains s’étaient réalisés.
 
Elle revint en effet quelques jours plus tard, un dossier sous le bras, tandis que j’étais encore au bureau à travailler sur un article. Elle frappa de très légers coups à la porte et entra. Tout comme la fois précédente au moment de me quitter, elle me fit la bise, effleurant mes lèvres des siennes dans un élan qui la déstabilisa très légèrement. Spontanément, je tendis un bras pour la retenir, ce qui lui arracha un rire saccadé et me fit sourire intérieurement.
Nous discutâmes de nouveau de son projet avant de lui prendre des mains le dossier qu’elle me tendait ; et parlâmes de tout et de rien pendant plusieurs minutes. Je finis par l’inviter à prendre un café à l’extérieur et nous sortîmes. Compte tenu de l’heure (près de midi), ce fut à un déjeuner que je la conviais finalement dans un restaurant attenant au café. Nous poursuivîmes notre discussion en cours de route et au restaurant puis, de but en blanc, je lui dis dans une apostrophe on ne peut plus ambiguë : comment ça se passe avec ton mari ?
Elle se rembrunit de nouveau, comme la première fois où je fis allusion à son mariage. Mais très vite elle chassa l’ombre de son front et me répondit, comme si elle avait deviné mes pensées : je ne suis plus vierge tu sais ! Allusion à ce que j’avais invoqué jadis pour ne pas la dépuceler ou promesse de ce qu’elle allait m’offrir si je décidais de renouer avec notre passé ? Les deux probablement. J’en restai tout de même quelque peu interloqué et orientai la discussion sur de nombreux autres sujets.
Nous revînmes au bureau tout en discutant et, la porte à peine refermée sur nous, elle se jeta sur moi pour un baiser passionné que je lui rendis avec la même passion, sans réfléchir ni hésiter. Cette fois, c’est moi qui suit allé fermer la porte à clé et, revenu vers elle, je lui pris la tête entre mes mains pour un nouveau baiser profond, nos bouches s’étant ouvertes simultanément l’une à l’autre et nos langues s’enroulant l’une sur l’autre. Elle n’était plus aussi ignorante des choses du sexe et me le fit savoir dans ce baiser où elle laissa couler sa salive dans ma bouche tandis que j’aspirais sa langue au plus profond de mon palais. Elle s’esquiva prestement de notre étreinte, les lèvres encore brillantes de nos salives qui y formaient d’imperceptibles bulles, et vint se jucher sur le bureau dans une invite explicite à explorer son corps. Je le parcourus de mes mains à même ses vêtements en descendant rapidement vers son entrecuisse qu’elle avait assez largement ouvert. Je la fis asseoir plus confortablement sur le bureau pour accéder à sa fourche en relevant sa jupe à hauteur de ses hanches et plongeais ma tête. Je déposai de rapides baisers sur ses cuisses de l’intérieur puis sur son pubis dont elle avait légèrement taillé les poils. Elle s’accouda en arrière sur le bureau et releva les jambes. Ma bouche alla droit à sa chatte que je labourais littéralement par-dessus sa culotte. Tête renversée, elle émit d’inaudibles gémissements qui décuplèrent mon désir d’elle. D’un geste vigoureux, je fis descendre la culotte de mes deux mains en tirant sur l’élastique pour la lui enlever et replongeai la tête dans cet antre humide et chaud à souhait.
Elle se releva d’une main qu’elle porta sur ma tête pour l’enfoncer davantage dans son entrecuisse. J’appuyai à mon tour sur sa chatte que j’explorai de ma langue aussi loin que me le permettait notre position puis je me relevai, le visage barbouillé de sa mouille, pour venir l’embrasser de nouveau. Elle m’offrit sa bouche puis, dans un sourire ravageur, elle me repoussa de sa main libre. Pensant qu’elle voulait que je retourne à son entrecuisse, je descendis lentement en la regardant dans les yeux mais elle me mit la main au menton tout en me repoussant. Je me laissai faire tandis qu’elle relevait la tête et qu’elle décollait son arrière-train du bureau. Sa main descendait sur ma poitrine au fur et à mesure qu’elle se redressait et vint au final effleurer ma virilité qui formait une bosse monstrueuse dans mon pantalon. Elle s’agenouilla, jupe relevée, et défit la ceinture et le bouton de mon pantalon sans cesser de me regarder.
Sans prendre la peine de défaire tous les boutons de la braguette, elle fit descendre mon pantalon à mi-cuisses. Dans le slip maintenant entièrement découvert, mon pénis formait une protubérance en diagonale du vêtement : elle y porta une main et le redressa en sorte que le gland lui apparut à demi sous l’élastique. Posant sa joue sur mon bas-ventre, elle y porta les lèvres et l’embrassa d’un baiser furtif. Puis, prenant le slip des deux mains par l’élastique, elle l’abaissa brusquement, faisant bondir mon sexe comme s’il était mû par un ressort. D’une main, elle l’empoigna et se l’enfonça dans la bouche en faisant des va-et-vient lents jusqu’à mi-longueur de la hampe. Sa tête qui ne m’était plus visible que du dessus, montait et descendait et tant par son mouvement régulier que par les sensations que me procurait sa bouche, mon excitation alla crescendo. Je ne tardai pas à sentir venir ma sève et me retirai prestement de cette bouche accueillante. Quoique quelque peu contrariée ma jeune partenaire me regarda droit dans les yeux et me dit : prends-moi maintenant, j’attendais ce moment depuis si longtemps !!
Je pris son menton dans ma main pour la relever, mon pénis, resté à l’air, tendu comme un morceau de bois sec et lui dis : ici, comme ça, maintenant ? Voyons H, tu n’y penses pas. On risque de nous … Pour toute réponse, elle alla caler ses fesses contre la table-bureau, écarta les cuisses et attendit. Je la rejoignis sans plus de question et, relevant sa jupe de nouveau, je la fis monter un peu plus sur la table de façon à avoir juste son entrejambes hors du bord. Je pris mon sexe dans la main droite et le portai à la périphérie du sien en le frottant à ses grandes lèvres. Avec d’infinies précautions, je la pénétrai tout en portant ma main à sa bouche de crainte qu’elle crie ou qu’elle gémisse. Ma verge, entièrement en elle à présent, coulissait comme dans un pot de confiture tant sa chatte était lubrifiée par le désir. Je ne pus tenir très longtemps et déversai un long jet de ma semence dans sa chatte qui la fit se cabrer tout d’un coup. Avait-elle joui en même temps que moi ? Je n’osai le lui demander. Je me retirai et vins l’embrasser de nouveau : un long baiser qu’elle me rendit avec la fougue d’une adolescente.
Nous nous séparâmes enfin puis, chacun remettant ou rajustant ses vêtements. Nous allâmes nous asseoir l’un en face de l’autre, du même côté de la table-bureau. Je la remerciai pour cette offrande tandis qu’elle me disait pour la première fois qu’elle m’aimait. Tout en me levant, je lui demandai pour combien de temps elle serait encore là, une idée saugrenue me traversant la tête soudainement. Elle me dit qu’elle resterait encore quelques jours et ajouta, comme si elle lisait dans mes pensées : si tu veux on peut se revoir avant que je reparte. Je fis oui de la tête, et tout en griffonnant mon numéro de téléphone sur un bout de papier que je lui remis, je lui dis que j’allais faire le maximum pour terminer de lire et de corriger son projet de thèse d’ici là. Je me dirigeai vers la porte ; elle me suivit et, sans un mot, l’ouvrit elle-même et sortit. Je refermai la porte derrière elle, tout à mes pensées et à mes fantasmes dont déjà certains s’étaient réalisés.
 
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par BAGOU
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...