L'histoire de Mme Müller

- Par l'auteur HDS Julie Moelle -
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Récit libertin : L'histoire de Mme Müller Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2023 dans la catégorie A dormir debout
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L'histoire de Mme Müller
Odette et Sergueï viennent à peine de se retrouver après des années de séparation quand ils font la connaissance de Do qui les invite à passer la soirée dans sa très belle maison. Là, ils se racontent des histoires à tour de rôle.


Dans le salon, nous attendaient une table basse chargé de petits bols et d'assiettes minuscules.
– J'espère que vous aimez la cuisine japonaise, dit notre parfaite hôtesse.

Assis en tailleur, sur les gros coussins qui entouraient la table, nos yukatas se faisaient complices de notre voyeurisme. Je pouvais voir, à demi cachés par le mince tissu, les petits seins pointus d'Odette dont les tétons roses durcissaient contre le tissu qui les frôlait. Il m'en venait le désir de les mordiller pour me rappeler leur goût. La lourde poitrine de Do ne faisait pas de façon et ses larges aréoles bistres invitaient d'autant plus à de rudes empoignades, à des torsions, et des pincements qu'ils semblaient en avoir fait souvent l'expérience. Je contemplai sa chatte dont les chairs violacées émergeant d'une touffe de poils noirs et frisés disaient une histoire assez semblable lorsqu'elle se pencha en arrière pour attraper quelque chose, offrant à mes regards la grotte brune et profonde qui s'ouvrait entre ses fesses. Le feu m'en monta aux joues et quand je croisai son regard, elle éclata de rire.

« Ne le prenez pas mal, cher Sergueï. Je ne me moque pas de vous, mais la chaleur de votre regard m'a chauffée si fort ! Odette, avez-vous senti cette caresse quand il vous regarde !
– Pas encore, ou pas encore assez. Vous savez, nous ne sommes que très peu vus jusqu'à présent.
– La première fois c'était au cinéma, ajoutais-je.
– Ah ! Une histoire ! C'est tout à fait dans la tradition japonaise. Ils placent le plaisir de la conversation au-dessus de tous les autres, ceux de la nourriture, de la musique, du vin et de la chair. Que diriez-vous de nous raconter des histoires ? 
– En mangeant ? plaisanta Odette, mais c'est très mal de parler la bouche pleine !
– Nous pourrions fixer quelques règles, proposais-je. Celui ou celle qui raconte doit obtenir un maximum d'effets sur son auditoire, mais l'auditoire ne peut pas le ou la toucher.
– C'est trop injuste, protesta Odette. Tu as beaucoup trop d'expérience dans ce domaine ! Tout à l'heure, je me suis branlée trois fois pendant ton concert. Et puis ça ne m'amuse pas du tout de ne pas avoir le droit de te toucher quand tu racontes !
– Les deux personnes de l'auditoire ne peuvent toucher le narrateur on la narratrice, intervint Do, mais entre elles, elles peuvent faire ce qu'elles veulent... insinua Do.
– Par exemple, précisai-je, pendant que tu racontes, je ne peux pas te toucher mais je peux baiser avec Do.
– Ah oui, commença à rêver Odette. Je n'avais pas vu les choses sous cet angle. »

L'idée nous parut excellente. Odette proposa de s'en remettre au hasard pour désigner qui commencerait.

« J'ai ce qu'il nous faut, dit Do. »
Dans le tiroir d'une commode elle prit une boite cylindrique et un petit sac de satin noir.
« Ce sont des billes de billard français que deux de mes hôtes m'ont laissées en souvenir. Il avaient un numéro de billard acrobatique tout à fait époustouflant dans lequel ils faisaient des prodiges avec leurs queues.
– Tous vos hôtes vous laissent des souvenirs ? demandais-je.
– D'une façon ou l'autre, oui. Tous ne sont pas visibles, bien sûr, certains sont incrustés dans ma chair... »
Tout en parlant elle mit les trois billes dans le sac. Puis elle remplit nos petits verres de saké tiède et tendit le sac à Odette.
« À vous l'honneur, chérie. La rouge commence. »
Odette tira la rouge.
« Kanpaï ! » dit Do en levant son verre.


« Il me faut quelques instants pour rassembler mes esprits, déclara Odette après avoir reposé sa tasse.
– Prenez tout votre temps ma chérie. »
Nous mangions en silence en attendant l'histoire. Je découvrais des goûts subtils et parfois très épicés mais la contemplation de ce que j'entrevoyais dans les échancrures des yukatas de mes compagnes m'empêchait de me concentrer. Odette piochait dans les plats d'un air distrait. Puis elle posa ses baguettes, but d'un trait sa tasse de saké et commença.


« Dans une maison de vacances voisine de celle de mes parents vivait une femme qui s'ennuyait. L'amie qui devait venir avec moi réviser le bac dans notre maison de vacances s'était décommandée à la dernière minute et moi étions comme seules au monde, madame Müller et moi, chacune dans son jardin et sous son parasol. Blonde, souriante, un peu grasse, on la sentait traquée par la vieillesse qui la menaçait comme une bête féroce. Le pli amer de sa bouche, sa chair trop molle, la graisse de son ventre disaient clairement que l'âge l'avait déjà mordue, mais on voyait aussi sa terreur de ne pas être désirée et les inquiétantes pulsions qu'elle retenait.  »

Comme pour se mettre en train, Do, de deux doigts, pétrissait doucement ses tétons qui s'allongeaient comme de la pâte à modeler. Ma queue grandissait à mesure.

« À travers la haie qui séparait nos deux jardins, je la voyais s'allonger au soleil dans des tenues toujours un peu ridicules et humiliantes, généralement des bikinis beaucoup trop petits pour sa vaste poitrine. Elle téléphonait à heures fixes à la même personne, son mari sans doute. Je ne comprenais pas les mots qu'elle employait, mais son ton était celui d'une petite fille geignarde et capricieuse. Après ces entretiens, elle revenait s'affaler tristement dans son transat. »

Do avait posé sa tête sur ma cuisse. Ma main caressait son cul à travers l'étoffe du yukata.

« Elle savait que je la regardais : les étirements qu'elle pratiquait quotidiennement la mettaient à quatre pattes, cuisses ouvertes et le cul tourné vers moi. Il me semblait percevoir l'odeur de la touffe de poils qui s'échappaient de son string. Sa main tentait de timides excursions vers le bas de son corps, ses doigts écartaient ses lèvres grasses et elle glissait parfois un doigt dans son vagin qui mouillait l'étoffe de son maillot, mais toujours elle cessait brutalement, la mine comme outragée par son propre jeu, se levait et disparaissait dans les profondeurs de sa grande maison. Seule avec ma main, je me faisais jouir tant bien que mal,en imaginant qu'elle me regardait. »

Do, appuyée sur un coude, caressait ma bite avec ses baguettes, ses seins reposant sur ma cuisse. Ma main allait de ses fesses à sa nuque.

« Un matin, je venais de me lever lorsque j'entendis crier madame Müller. Je me précipitai pour regarder à travers la haie ce qui se passait. Elle se tenait face à moi, appuyée sur le transat et son visage, bouche grande ouverte et les yeux clos, exprimait une souffrance intolérable tandis que derrière elle s'agitait un petit homme trapu. Le bleu de travail qu'il portait à même la peau laissait voir ses épaules puissantes et les muscles durs de ses bras velus dont les mains énormes crochées dans l'abondante chair des hanches de madame Müller la secouaient d'avant en arrière comme il aurait fait d'un tamis. Le sourire qui découvrait sa dentition douteuse exprimait la satisfaction de l'ouvrier qui abat de la bonne besogne. Chaque coup de boutoir qu'il lui donnait créait dans la chair molle des vastes fesses de madame Müller une onde de choc qui se propageait jusqu'à sa nuque et la faisait beugler comme une bête. »

À genoux sur son coussin, Do tenait fermement mes couilles tout en brandissant vers le plafond son cul largement ouvert. Je pianotai dans les babines de son con tout en contemplant les doigts en ciseau d'Odette qui se pinçait le clitoris.

« Bien que très curieuse de nature, je n'avais jamais assisté à pareil spectacle. L'horreur et la culpabilité me pétrifiaient. Elle semblait tant souffrir que je me demandais si je n'assistais pas pour de bon à un viol, mais les spasmes de mon ventre me commandèrent d'assister à la suite. Le petit homme s'arracha brutalement à son ouvrage et je vis s'élever la queue la plus repoussante et la plus diabolique que l'on puisse imaginer. Vous croyez peut-être que la jeune vierge que j'étais l'a faite plus monstrueuse dans son souvenir qu'elle n'était en réalité. Après tout, c'est possible, mais voici comme elle est gravée dans ma mémoire. »

Entre les doigts d'Odette, la petite boule de chair prenait la taille d'une olive. Odette tirait dessus à l'arracher.

« La verge noueuse et brune, aussi longue mais plus épaisse que mon avant-bras, portait un gland violacé comme une prune et épais comme mon poing. Une substance écumeuse recouvrait le tout et s'écoulait dans les broussailles roussâtres qui lui recouvraient les couilles. Il souleva madame Müller et la retourna comme une crêpe pour l'agenouiller devant lui. Elle se prêta à cette manœuvre avec un empressement qui me rassura et engloutit avec enthousiasme les baloches poilues tout en cambrant le cul vers moi. Et quel cul ! Au-dessus de la chatte qui dégorgeait de mouille, l'anus tuméfié béait et mon regard se perdait dans ses sombres profondeurs. Il eut quelques spasmes lorsque le petit homme enfonça son arme préhistorique dans la gorge de madame Müller. »

« Ah ! gémit Do quand je plongeai deux doigts dans sa chatte.
– Ah ! répondis-je quand elle mit deux des siens dans mon cul.
– Je vais m'arrêter là, sinon vous ne serez plus en état de raconter à votre tour, dit l'hypocrite Odette dont l'excitation avait enflammé le visage et les seins.
– C'est pas du jeu ! protestai-je.
– Odette est une salope » ajouta Do, tout en flairant sur ses doigts l'odeur de mon cul.

Il nous fallut un peu de temps pour reprendre nos esprits.
Do réchauffa du saké et apporta quelques confiseries. Je félicitai Odette pour ses talents de conteuse et elle m'avoua que son activité d'écrivaine pour enfants lui avait facilité les choses.
« Tu ne leur écris tout de même pas ce genre de trucs, j'espère !
– Bien sûr que non, idiot ! Mais les règles sont les mêmes pour une efficacité maximum, il faut aller droit au but. Apparemment, ça marche, ajouta-t-elle en regardant ma pine qui semblait ne plus jamais vouloir reprendre son apparence pacifique. »

L'alcool que Do versa dans nos tasses avait une apparence plus sombre, « Junmai daiginjō-shu » précisa-t-elle, comme si ça signifiait quelque chose pour nous.

Il y avait de l'électricité sous la peau de mon zob. Je soupçonnais Do d'avoir trempé ses baguettes dans une sauce aphrodisiaque avant de m'en caresser. J'avais littéralement la bite en feu.

« Bon, c'est pas tout ça ! Comment fait-on pour la suite ?
– Ah ! Serguei s'impatiente on dirait, s'amusa Do. Il veut qu'on s'occupe de son kokku.
– Do, sauf votre respect, vous commencez à me la courir avec vos trucs japonais à la con. Si vous continuez comme ça je vais vous défoncer la...
– Sergueï ! Qu'est-ce qui te prend ? s'écria Odette. Tu es devenu fou ?
– Oui ! criais-je à mon tour. Je bande comme un ours et je vais vous foutre pas plus tard que tout de suite ! »

À ce moment, quelque chose m'a fait perdre connaissance.


Quand je me suis réveillé, je ne voyais rien. On m'avait bandé les yeux, mes mains et mes pieds étaient retenus par des bracelets de cuir de part et d'autre de la planche sur laquelle j'étais allongé. Ma tête pendait en arrière, un coussin me soutenait les reins.

« Ça va aller, Sergueï, » chuchota à mon oreille une voix que je ne reconnaissais pas.
J'entendais des rires. Nous étions bien plus que trois dans cette pièce. J'appelais :
« Odette ? Do ? » Mais seuls les petits rires me répondaient.
Lorsqu'une bouche goba mon gland je sus que j'étais nu et vulnérable et j'éjaculai à une vitesse honteuse au milieu des exclamations d'admiration.
Une bouche qui sentait le gingembre frais vint sur la mienne. Quand j'ouvris mes lèvres, elle y déversa une grande gorgée de sperme chaud.
Quelque part, la voix rieuse de Do disait :
« Il va rester comme ça tout le temps qu'il nous faudra. Chacune aura sa part, je vous le promets. »
Tout près de mon oreille, Odette chuchota.
« À toi de raconter Serguei. »

Mais j'étais toujours plein de rage et je leur crachai à la face toutes les insultes que je connaissais, je les traitais de truies, de putains, de grosses merdes, de sacs à foutre, de salopes, de radasses et bien d'autres choses encore. Je vomissais des horreurs depuis longtemps oubliées, je leur promettais des tourments innombrables, de les déchirer en deux avec ma bite, de leur chier dedans, de leur faire bouffer ma merde, et bien d'autres choses encore. Je criai à m'en déchirer la gorge et je finis par m'arrêter, hors d'haleine. Une vulve fraîche au parfum épicé me caressa le visage et je songeai aux saintes femmes essuyant la face du Christ qu'on conduisait au supplice. Je tendis la langue et un flot à la saveur fleurie vint me désaltérer tandis que mon nez s'enfonçait doucement dans un anus doux comme un nuage.

Alors je dis :
« D'accord. »

Et je repris l'histoire de madame Müller là où Odette l'avait laissée.


« Je connais bien madame Müller. Et si ce n'est pas elle, c'est certainement sa sœur. Elle vient souvent à mes concerts. »

Fichtre ! Elle ne perdent pas de temps. Ma queue s'enfonce dans un fourreau plein de miel. Une cavalière sans doute, dont je sens les bottes posées sur la planche de part et d'autre de mon corps. Bien qu'elle monte à l'envers, elle prend aussitôt le galop d'avant en arrière et d'arrière en avant.

« Diego l'amène dans sa voiture. Il est devenu chauffeur maintenant, chauffeur et garde du corps, la casquette sur la tête et la matraque dans le pantalon. Ils arrivent toujours en avance, quand les portes de la salle ne sont pas encore ouvertes. »

J'ai juté avec une hâte d'adolescent. Ma cavalière m'a mis du foutre plein le ventre. Une autre prend sa place mais elle me fait face, c'est dans son cul qu'elle m'enfonce, un cul plein d'imagination et parcouru de délicieuses contractions.

« Sans un mot, il lui bande les yeux avec un masque de soie noire, lui attache les mains dans le dos, redémarre la voiture et roule un petit moment. Quand il stoppe la limousine, elle ne sait pas du tout où elle se trouve. Il la fait descendre en la tenant par le bras. »

Ma contractile chante sa chanson d'enculée alors qu'une autre, tête-bêche avec moi, distribue au petit bonheur de grands coups de langue qui vont de la base de ma bite jusqu'à des sommets clitoresques. Les contractions passent à une fréquence de marteau piqueur.

« Parfois ses talons-aiguilles crissent dans des graviers, sonnent sur du béton ou s'enfoncent dans de la terre. Il lui ôte sa jupe noire ou bien la retrousse pour qu'on lui voie le cul. Si elle porte une culotte, il la punit. Elle ne sait jamais en quoi consiste la punition ni combien de temps elle durera, si elle sera fouettée, cravachée ou fessée, s'il se contentera d'offrir son cul ou sa bouche aux vagabonds qui rôdent, s'il lui fera porter les terribles pinces qui lui déchirent les lèvres. »

J'ai marqué un point. L'image a échauffé mes deux cavalières, ma pine de Terminator a fait orgasmer l'enculée et mes dents ont fait crier la lécheuse quand je lui ai mordu la vulve.

« La seule chose qu'elle sait, c'est que la prochaine punition sera plus terrible que toutes les autres, qu'elle pleurera, qu'elle suppliera, qu'elle se promettra que plus jamais... Mais elle ne peut pas s'en empêcher. »

À bas les cadences infernales ! Ma bite est si chaude que je m'étonne de ne pas entendre pschhh quand elle s'enfonce dans une nouvelle moule où une main douce et fine la rejoint et l'enserre. Mon dieu, quand ai-je rêvé tant de félicité ?

« Ce soir, un string complètement ouvert passe de part et d'autre de sa chatte. Il l'a arraché si violemment qu'il lui a blessé l'entrejambe. Elle marche devant lui en se demandant si c'est du sang ou de la mouille qui lui coule le long des cuisses. Ses talons résonnent comme dans un parking, une église ou une usine désaffectée. L'odeur pourrait faire la différence si elle ne s'était pas aspergée de parfum. »

Je me demande comment il est possible de garder le fil de mon histoire dans une ambiance aussi relâchée. Ce doit être l'habitude du piano. Souvent la tête ignore ce que fait la main. Je n'ai pas pour autant ignoré longtemps celle qui me serrait le chibre dans les entrailles de son amie. J'ai joui, avec une abondance toujours égale. La baisée m'a pissé dans la bouche, de reconnaissance sans doute. Je pense qu'elle avait mangé des asperges.

« Elle sent sa grosse main gantée de cuir qui lui tient le bras. Il ne serre pas, ce n'est pas nécessaire. Elle sait sa force et de toutes façons, elle ne cherchera pas à s'enfuir quoi qu'il arrive. Ils s'arrêtent. Il lui attache les poignets dans le dos puis les tire vers le haut et l'oblige à se pencher en avant. Elle écarte les jambes pour conserver son équilibre. Quand elle sent qu'il est devant elle, elle ouvre grand la bouche et, sans surprise, il s'y enfonce lentement jusqu'à la garde, puis ressort tout aussi lentement et recommence. »

Un autre cul ! Ça ne fait qu'un de plus, mais une main me tient les couilles, mon enculée décule et la main m'enconne. J'aime beaucoup ce jeu. Chaque orifice enfoncé à tour de rôle ressert un peu l'autre, c'est très agréable. Ça n'aurait qu'un temps si une bouche brûlante et glaciale ne s'emparait de ma queue sortant du cul. La salope à dû y mettre du menthol, c'est délicieusement atroce ! Je crie en jouissant de toutes mes forces.

« La punition la prend par surprise. Deux mains aux ongles acérés lui ouvrent la chatte, s'acharnent sur ses lèvres fragiles et les étirent à la limite de la rupture. Son cri se perd dans le membre qui lui plonge jusqu'à l’œsophage. Elle pleure et son rimmel ruiné tombe sur le béton. Quand il s'arrache de sa gorge, elle vomit un flot de salive qui se mêle à ses larmes. Il passe derrière elle pour finir, comme toujours, dans son cul. »

Cette fois, c'est la fin. Mes officiantes me font la toilette mortuaire. Je ne compte plus les langues qui fouillent les moindres recoins de mon intimité, me titillent les couilles, me fouillent le fondement, s'insinuent dans le méat, le nombril, la bouche, les narines, les oreilles. Peu m'importe les sexes des anges s'ils ont des langues aussi habiles.

« Il y a bien longtemps que son membre monstrueux lui a élargi le rectum. Son anus cerné de bistre ne se referme jamais tout à fait. Il y entre aisément et elle lâche un petit pet.. Il vient à peine d'y plonger son gourdin qu'elle sent les ongles de toute à l'heure s'attaquer à ses seins qui ballottent, attraper ses tétons, les pincer jusqu'au sang, les tirer à les arracher. Par réflexe, la douleur contracte son anus autour du pilon qui lui pistonne le cul. Elle hurle dans sa nuit et ses sanglots résonnent dans l'église ou l'usine ou le parking, elle ne saura jamais. »

De profundis. Des profondeurs j'éjacule à ta face Seigneur, encor et encore.

« Elle arrive toujours la dernière, parfois après le début du concert. Mais même si je suis en train de jouer, je sens dès qu'elle entre, l'odeur de sa jouissance et celle de son cul plein de foutre. »

J'ai autant d'énergie qu'une huître lorsqu'elles me détachent et d'ailleurs, je ne bande plus.
« T'inquiète ! Ça va revenir, me rassure Odette.
– Où sont les autres ? je demande.
– Quelles autres ? » répondent-elles à l'unisson avec des regards pleins d'innocence.

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