L'inconnu de la rivière

Récit érotique écrit par aurélie69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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L'inconnu de la rivière
L’inconnu de la rivière.
On est début juillet 2025, la rivière se trouve à quelques mètres de la sortie du village.
Je suis assise au bord de la rivière, les pieds immergés dans l’eau fraîche qui enserre mes chevilles comme une caresse liquide. Le soleil déclinant un filtre à travers le feuillage, projetant des éclats dorés sur ma peau nue. Ma robe, ma culotte sont posées à mes côtés, tandis que mes doigts effleurent lentement mes épaules, ma poitrine, mes hanches, mon sexe. Je veux me faire du bien, comme pour me réapproprier chaque centimètre de mon corps. C’est un rituel secret, un moment volé au temps où je suis simplement moi, sans regard, sans jugement. La rivière est mon sanctuaire.
L’air est lourd des parfums de la forêt : mousse humide, terre noire, et cette odeur âcre de feuilles en décomposition qui parle de cycles et de renaissance. Je ferme les yeux, je me laisse aller, très active sur mon clito, laissant le bruissement de l’eau bercer mon esprit. Mon cœur bat au rythme lent de la rivière, une pulsation apaisante qui me rappelle que je suis vivante. Ici, je suis libre.
Mais la paix se brise en un instant. Un craquement de branche derrière moi. Mes yeux s’ouvrent d’un coup, et je me retourne, le souffle court. Un homme est là, immobile à quelques pas, sa silhouette découpée contre la lumière tamisée des bois. Mon cœur s’emballe, non de peur, mais de surprise. Comment n’ai-je rien entendu ? J’étais trop absorbée, trop enivrée par cette solitude.
Gênée, je saisis ma robe, la pressant contre moi comme un bouclier dérisoire. La chaleur monte à mes joues, une brûlure humiliante. Qui est-il ? Que fait-il ici ? La rivière est mon refuge, un lieu où je croyais être à l’abri des regards. Mais voilà qu’il est là, et sa présence me déstabilise, m’envahit.
Il avance, ses pas assurés, presque silencieux. Il est grand, ses épaules larges occupant l’espace avec une autorité naturelle. Ses cheveux sombres, légèrement ébouriffés par le vent, encadrent un visage aux traits taillés à la serpe. Ses yeux… ses yeux me fixent avec une intensité qui me transperce. Ce n’est pas un regard de convoitise, ni de menace, mais quelque chose de plus complexe, de plus troublant. Comme s’il voyait à travers moi, jusqu’à une part de moi que je ne connais pas encore.
Il murmure, d’une voix grave et rauque, comme du velours usé par le temps.
- Ne crains rien, je ne suis pas là pour te faire du mal.
Ses mots me rassurent un peu, mais je reste sur mes gardes. Je ne le connais pas. Son apparition soudaine est un coup de poignard dans mon havre de paix. Pourtant, il y a dans sa manière d’être, une confiance tranquille, une présence presque magnétique, qui me pousse à baisser légèrement ma garde.
Il continue à s’avancer, et je recule instinctivement, jusqu’à ce que mon dos heurte le tronc rugueux d’un arbre. Je suis coincée, et cette réalisation fait monter en moi une panique sourde. Que va-t-il faire ? Que veut-il ?
Sans prévenir, il pose ses mains de part et d’autre de ma tête, m’encadrant contre l’écorce. Son visage est maintenant si proche que je sens son souffle chaud effleurer ma peau. Mon cœur bat à tout rompre, et je tente de me dégager, mais sa poigne est ferme, implacable.
Je lui dis avec ma voix tremblante, presque suppliante. Mais mes mots semblent l’amuser, car un sourire se dessine sur ses lèvres, un sourire qui ne rassure pas, qui trouble.
- Laisse-moi partir !
- Tu ne veux pas partir.
Je ne comprends pas ce qu’il veut dire, mais avant que je puisse protester, il se penche vers moi. Ses lèvres effleurent les miennes, un baiser bref, à peine un frôlement, mais suffisant pour me faire perdre l’équilibre. Mon corps réagit malgré moi, une chaleur soudaine se propage en moi, une chaleur que je ne peux ignorer.
Puis, d’un geste brusque, il m’enlève des mains ma robe. Le tissu se rompt avec un son sec, brutal, et je pousse un cri étouffé. Je suis maintenant nue, exposée à son regard. Il me dévisage, et cette fois, il n’y a plus rien de calme dans son expression. Il y a de la faim, de la possession, et quelque chose de plus primal, de plus sauvage, qui me fait reculer dans mon esprit.
Je tente de me dégager à nouveau. Mais il est implacable. Il me plaque contre l’arbre, sa main se referme sur ma hanche pour me maintenir en place. Je sens sa force, sa détermination, et je réalise que je ne peux rien faire pour l’arrêter.
Il m’embrasse à nouveau, mais cette fois, il n’y a rien de doux dans son baiser. C’est une invasion, une prise de possession. Ses lèvres sont fermes, exigeantes, et je sens ses dents effleurer ma lèvre inférieure. Je gémis malgré moi, un son qui est à la fois une protestation et une capitulation.
Ses mains parcourent mon corps, brutales et possessives. Il ne me touche pas avec douceur, mais avec une urgence qui me laisse sans souffle. Ses doigts se glissent sur mon corps, explorant ma peau avec une familiarité qui me fait frissonner. Je suis à la fois terrifiée et excitée, prise dans un tourbillon d’émotions contradictoires.
Je tente de résister, de pousser ses mains loin de moi, mais il est trop fort, trop déterminé. Il me domine complètement, et je réalise que je ne suis plus qu’un objet de désir pour lui. Il me traite comme une chose, sans retenue, sans considération pour mes sentiments. Et pourtant, malgré moi, je sens mon corps répondre à ses touches, à ses baisers.
Il me soulève, me presse contre l’arbre, et je sens son corps contre le mien, dur et chaud. Il m’embrasse à nouveau, et cette fois, je ne résiste pas. Je laisse mes lèvres répondre aux siennes, mes mains se poser sur ses épaules. Je ne sais pas ce qui m’arrive, mais je ne peux plus lutter contre cette force qui m’envahit.
Il me prend sauvagement, sans douceur, et je sens chaque mouvement, chaque friction. C’est brutal, presque douloureux, mais il y a quelque chose de libérateur dans cette intensité. Je suis emportée par l’instant, par la puissance de ses gestes, et je me laisse aller, abandonnant toute résistance.
Nos corps se mêlent dans une danse primitive, une danse qui ne laisse aucune place aux mots, aux explications. Il me domine complètement, et je suis à la fois effrayée et envoûtée. Je sens mon corps répondre à ses touches, à ses baisers, et je réalise que je ne veux plus que cela s’arrête. Là, il sort sa bite de son short, elle est grosse et assez longue.
- Viens me sucer !
Il me regarde avec une expression que je ne comprends pas. Il y a de la satisfaction dans ses yeux, mais aussi quelque chose de plus sombre, de plus troublant. Je suis à genoux sur ma robe, je le suce activement, mes craintes sont parties, je le veux !
- Suce sans les mains ! Montre la salope qui est en toi !
Je le suce, il me tient la tête, il fait des va-et-vient, il me baise la bouche au plus profond que je m’étouffe.
- Sale chienne ! Tu aimes ça !
Je hoche la tête pour dire oui, il sort sa queue de ma bouche, elle pleine de bave, et il me gifle avec. Il me possède. J’adore ça. Il veut me prendre, je lui dis :
- Tu as ce qu'il faut ?
- Oui !
Il sort de son portefeuille un préservatif, il le met, moi je suis prête à recevoir des coups de butoir comme un marteau piqueur. Je me retourne et je me baisse un peu, mes mains contre l’arbre. Je sens déjà son gland à mon entrée. Il rentre pour ressortir, pour y revenir d’un coup sec.
- Ah ! Putain ! Doucement quand même !
- Tu es une pute ! Je te prends comme je veux, ok ! Tu aimes ma queue, ça se voit.
- Oh oui, elle est bonne, putain c’est bon !
Il me défonce le minou, il me tient par les hanches, je m’empale sur sa bite en même temps, ses couilles me cognent la chatte. Je gémis, je crie, le désir monte en moi, je suis foudroyée. Il s'arrête, mais pourquoi. Il me retourne et me plaque contre l’arbre, il engage deux doigts en moi, je mouille comme une chienne, il engage le troisième. C’est trop, je me tiens à son bras qui s’active en moi, j’enfonce mes ongles.
- Oui ! Comme ça, je vais jouir ! Encore ! Encore ! Continue !
Je jouis comme une folle, étant fontaine, je gicle sur mes jambes, tout arrive sur ma robe qui est au sol. Il me fait lécher ses doigts, il me les remet, il ressort pour étaler mon jus si précieux sur mon corps.
- Tu es une salope ? Hein ?
- Oui, une pute, une chienne, une salope ! Ce que tu veux !
- On va voir ça ! Tu sais ce qu’il faut faire ?
- Oh oui !
Je me mets à genoux, j’enlève la capote, je prends son gourdin en mains, je le suce. Il se branle dans ma bouche, je le sens venir.
- Sale pute, je vais te gicler sur la gueule !
Il me prend par les cheveux d’une main, il me fait pencher ma tête en arrière. Il gicle, il me recouvre le visage, il se vide.
Il recule, remonte son short, me laissant glisser le long de l’arbre, et je me retrouve assise dans l’herbe, ma robe autour de moi. Il me regarde un instant de plus, puis, sans un mot, il se retourne et s’éloigne. Je le regarde partir, incapable de bouger, incapable de parler. Son sperme coule de mon visage.
Le silence qui suit est lourd, presque palpable. Je suis seule, tremblante, avec des questions sans réponses. Qui était-il ? Pourquoi m’a-t-il fait cela ? Et pourquoi est-ce que, malgré tout, je me sens si vivante, si éveillée ?
Je reste là, assise dans l’herbe, le regard fixé sur l’endroit où il a disparu. La rivière continue à couler, indifférente à ce qui vient de se passer. Les arbres chuchotent toujours leurs secrets, et le soleil commence à descendre derrière l’horizon, peignant le ciel de teintes orangées et violettes.
Je me relève lentement, ramasse ma robe. Je me nettoie comme je peux. Mes mains tremblent, mais ce n’est pas de peur. C’est quelque chose d’autre, quelque chose que je ne parviens pas à nommer. Une excitation étrange m’envahit, un sentiment d’anticipation que je ne comprends pas.
L’avenir est incertain, mais pour la première fois depuis longtemps, je me sens prête à l’affronter. Cet inconnu a laissé une marque en moi, une marque que je ne peux ignorer. Et alors que je m’éloigne de la rivière, le cœur encore battant, je sais que rien ne sera plus jamais comme avant.
La forêt semble différente maintenant, comme si elle aussi avait été témoin de quelque chose d’important. Les ombres s’allongent, et le vent chuchote des mots que je ne parviens pas à saisir. Mais une chose est sûre : je ne suis plus la même femme qui est venue ici cet après-midi.
Et alors que je marche vers les escaliers qui me permettent de revenir près des habitations, une question me hante, insistante, envoûtante : On se revoit ici, ou ailleurs ?
La réponse, je le sais, elle est déjà en moi.
Depuis je n’ai toujours pas revu cet inconnu, je vais toujours à la rivière, espérant le voir, pour une nouvelle aventure.
Merci d’avoir lu cette histoire.
Aurélie, bise à mes lecteurs.
On est début juillet 2025, la rivière se trouve à quelques mètres de la sortie du village.
Je suis assise au bord de la rivière, les pieds immergés dans l’eau fraîche qui enserre mes chevilles comme une caresse liquide. Le soleil déclinant un filtre à travers le feuillage, projetant des éclats dorés sur ma peau nue. Ma robe, ma culotte sont posées à mes côtés, tandis que mes doigts effleurent lentement mes épaules, ma poitrine, mes hanches, mon sexe. Je veux me faire du bien, comme pour me réapproprier chaque centimètre de mon corps. C’est un rituel secret, un moment volé au temps où je suis simplement moi, sans regard, sans jugement. La rivière est mon sanctuaire.
L’air est lourd des parfums de la forêt : mousse humide, terre noire, et cette odeur âcre de feuilles en décomposition qui parle de cycles et de renaissance. Je ferme les yeux, je me laisse aller, très active sur mon clito, laissant le bruissement de l’eau bercer mon esprit. Mon cœur bat au rythme lent de la rivière, une pulsation apaisante qui me rappelle que je suis vivante. Ici, je suis libre.
Mais la paix se brise en un instant. Un craquement de branche derrière moi. Mes yeux s’ouvrent d’un coup, et je me retourne, le souffle court. Un homme est là, immobile à quelques pas, sa silhouette découpée contre la lumière tamisée des bois. Mon cœur s’emballe, non de peur, mais de surprise. Comment n’ai-je rien entendu ? J’étais trop absorbée, trop enivrée par cette solitude.
Gênée, je saisis ma robe, la pressant contre moi comme un bouclier dérisoire. La chaleur monte à mes joues, une brûlure humiliante. Qui est-il ? Que fait-il ici ? La rivière est mon refuge, un lieu où je croyais être à l’abri des regards. Mais voilà qu’il est là, et sa présence me déstabilise, m’envahit.
Il avance, ses pas assurés, presque silencieux. Il est grand, ses épaules larges occupant l’espace avec une autorité naturelle. Ses cheveux sombres, légèrement ébouriffés par le vent, encadrent un visage aux traits taillés à la serpe. Ses yeux… ses yeux me fixent avec une intensité qui me transperce. Ce n’est pas un regard de convoitise, ni de menace, mais quelque chose de plus complexe, de plus troublant. Comme s’il voyait à travers moi, jusqu’à une part de moi que je ne connais pas encore.
Il murmure, d’une voix grave et rauque, comme du velours usé par le temps.
- Ne crains rien, je ne suis pas là pour te faire du mal.
Ses mots me rassurent un peu, mais je reste sur mes gardes. Je ne le connais pas. Son apparition soudaine est un coup de poignard dans mon havre de paix. Pourtant, il y a dans sa manière d’être, une confiance tranquille, une présence presque magnétique, qui me pousse à baisser légèrement ma garde.
Il continue à s’avancer, et je recule instinctivement, jusqu’à ce que mon dos heurte le tronc rugueux d’un arbre. Je suis coincée, et cette réalisation fait monter en moi une panique sourde. Que va-t-il faire ? Que veut-il ?
Sans prévenir, il pose ses mains de part et d’autre de ma tête, m’encadrant contre l’écorce. Son visage est maintenant si proche que je sens son souffle chaud effleurer ma peau. Mon cœur bat à tout rompre, et je tente de me dégager, mais sa poigne est ferme, implacable.
Je lui dis avec ma voix tremblante, presque suppliante. Mais mes mots semblent l’amuser, car un sourire se dessine sur ses lèvres, un sourire qui ne rassure pas, qui trouble.
- Laisse-moi partir !
- Tu ne veux pas partir.
Je ne comprends pas ce qu’il veut dire, mais avant que je puisse protester, il se penche vers moi. Ses lèvres effleurent les miennes, un baiser bref, à peine un frôlement, mais suffisant pour me faire perdre l’équilibre. Mon corps réagit malgré moi, une chaleur soudaine se propage en moi, une chaleur que je ne peux ignorer.
Puis, d’un geste brusque, il m’enlève des mains ma robe. Le tissu se rompt avec un son sec, brutal, et je pousse un cri étouffé. Je suis maintenant nue, exposée à son regard. Il me dévisage, et cette fois, il n’y a plus rien de calme dans son expression. Il y a de la faim, de la possession, et quelque chose de plus primal, de plus sauvage, qui me fait reculer dans mon esprit.
Je tente de me dégager à nouveau. Mais il est implacable. Il me plaque contre l’arbre, sa main se referme sur ma hanche pour me maintenir en place. Je sens sa force, sa détermination, et je réalise que je ne peux rien faire pour l’arrêter.
Il m’embrasse à nouveau, mais cette fois, il n’y a rien de doux dans son baiser. C’est une invasion, une prise de possession. Ses lèvres sont fermes, exigeantes, et je sens ses dents effleurer ma lèvre inférieure. Je gémis malgré moi, un son qui est à la fois une protestation et une capitulation.
Ses mains parcourent mon corps, brutales et possessives. Il ne me touche pas avec douceur, mais avec une urgence qui me laisse sans souffle. Ses doigts se glissent sur mon corps, explorant ma peau avec une familiarité qui me fait frissonner. Je suis à la fois terrifiée et excitée, prise dans un tourbillon d’émotions contradictoires.
Je tente de résister, de pousser ses mains loin de moi, mais il est trop fort, trop déterminé. Il me domine complètement, et je réalise que je ne suis plus qu’un objet de désir pour lui. Il me traite comme une chose, sans retenue, sans considération pour mes sentiments. Et pourtant, malgré moi, je sens mon corps répondre à ses touches, à ses baisers.
Il me soulève, me presse contre l’arbre, et je sens son corps contre le mien, dur et chaud. Il m’embrasse à nouveau, et cette fois, je ne résiste pas. Je laisse mes lèvres répondre aux siennes, mes mains se poser sur ses épaules. Je ne sais pas ce qui m’arrive, mais je ne peux plus lutter contre cette force qui m’envahit.
Il me prend sauvagement, sans douceur, et je sens chaque mouvement, chaque friction. C’est brutal, presque douloureux, mais il y a quelque chose de libérateur dans cette intensité. Je suis emportée par l’instant, par la puissance de ses gestes, et je me laisse aller, abandonnant toute résistance.
Nos corps se mêlent dans une danse primitive, une danse qui ne laisse aucune place aux mots, aux explications. Il me domine complètement, et je suis à la fois effrayée et envoûtée. Je sens mon corps répondre à ses touches, à ses baisers, et je réalise que je ne veux plus que cela s’arrête. Là, il sort sa bite de son short, elle est grosse et assez longue.
- Viens me sucer !
Il me regarde avec une expression que je ne comprends pas. Il y a de la satisfaction dans ses yeux, mais aussi quelque chose de plus sombre, de plus troublant. Je suis à genoux sur ma robe, je le suce activement, mes craintes sont parties, je le veux !
- Suce sans les mains ! Montre la salope qui est en toi !
Je le suce, il me tient la tête, il fait des va-et-vient, il me baise la bouche au plus profond que je m’étouffe.
- Sale chienne ! Tu aimes ça !
Je hoche la tête pour dire oui, il sort sa queue de ma bouche, elle pleine de bave, et il me gifle avec. Il me possède. J’adore ça. Il veut me prendre, je lui dis :
- Tu as ce qu'il faut ?
- Oui !
Il sort de son portefeuille un préservatif, il le met, moi je suis prête à recevoir des coups de butoir comme un marteau piqueur. Je me retourne et je me baisse un peu, mes mains contre l’arbre. Je sens déjà son gland à mon entrée. Il rentre pour ressortir, pour y revenir d’un coup sec.
- Ah ! Putain ! Doucement quand même !
- Tu es une pute ! Je te prends comme je veux, ok ! Tu aimes ma queue, ça se voit.
- Oh oui, elle est bonne, putain c’est bon !
Il me défonce le minou, il me tient par les hanches, je m’empale sur sa bite en même temps, ses couilles me cognent la chatte. Je gémis, je crie, le désir monte en moi, je suis foudroyée. Il s'arrête, mais pourquoi. Il me retourne et me plaque contre l’arbre, il engage deux doigts en moi, je mouille comme une chienne, il engage le troisième. C’est trop, je me tiens à son bras qui s’active en moi, j’enfonce mes ongles.
- Oui ! Comme ça, je vais jouir ! Encore ! Encore ! Continue !
Je jouis comme une folle, étant fontaine, je gicle sur mes jambes, tout arrive sur ma robe qui est au sol. Il me fait lécher ses doigts, il me les remet, il ressort pour étaler mon jus si précieux sur mon corps.
- Tu es une salope ? Hein ?
- Oui, une pute, une chienne, une salope ! Ce que tu veux !
- On va voir ça ! Tu sais ce qu’il faut faire ?
- Oh oui !
Je me mets à genoux, j’enlève la capote, je prends son gourdin en mains, je le suce. Il se branle dans ma bouche, je le sens venir.
- Sale pute, je vais te gicler sur la gueule !
Il me prend par les cheveux d’une main, il me fait pencher ma tête en arrière. Il gicle, il me recouvre le visage, il se vide.
Il recule, remonte son short, me laissant glisser le long de l’arbre, et je me retrouve assise dans l’herbe, ma robe autour de moi. Il me regarde un instant de plus, puis, sans un mot, il se retourne et s’éloigne. Je le regarde partir, incapable de bouger, incapable de parler. Son sperme coule de mon visage.
Le silence qui suit est lourd, presque palpable. Je suis seule, tremblante, avec des questions sans réponses. Qui était-il ? Pourquoi m’a-t-il fait cela ? Et pourquoi est-ce que, malgré tout, je me sens si vivante, si éveillée ?
Je reste là, assise dans l’herbe, le regard fixé sur l’endroit où il a disparu. La rivière continue à couler, indifférente à ce qui vient de se passer. Les arbres chuchotent toujours leurs secrets, et le soleil commence à descendre derrière l’horizon, peignant le ciel de teintes orangées et violettes.
Je me relève lentement, ramasse ma robe. Je me nettoie comme je peux. Mes mains tremblent, mais ce n’est pas de peur. C’est quelque chose d’autre, quelque chose que je ne parviens pas à nommer. Une excitation étrange m’envahit, un sentiment d’anticipation que je ne comprends pas.
L’avenir est incertain, mais pour la première fois depuis longtemps, je me sens prête à l’affronter. Cet inconnu a laissé une marque en moi, une marque que je ne peux ignorer. Et alors que je m’éloigne de la rivière, le cœur encore battant, je sais que rien ne sera plus jamais comme avant.
La forêt semble différente maintenant, comme si elle aussi avait été témoin de quelque chose d’important. Les ombres s’allongent, et le vent chuchote des mots que je ne parviens pas à saisir. Mais une chose est sûre : je ne suis plus la même femme qui est venue ici cet après-midi.
Et alors que je marche vers les escaliers qui me permettent de revenir près des habitations, une question me hante, insistante, envoûtante : On se revoit ici, ou ailleurs ?
La réponse, je le sais, elle est déjà en moi.
Depuis je n’ai toujours pas revu cet inconnu, je vais toujours à la rivière, espérant le voir, pour une nouvelle aventure.
Merci d’avoir lu cette histoire.
Aurélie, bise à mes lecteurs.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Absence totale de consentement.
L'histoire débute plutôt bien, la description du décor et des sentiments de cette jeune femme est un sans faute.
Mais tout se gâte ensuite...
Agression de l'homme, initialement sans brutalité qui monte au fur et à mesure.
Absence totale de consentement, et vocabulaire masculin tristement habituel :
* Pute, mais la jeune femme se fait pas payer...
* Salope, équivalent de salaud au masculin..
* Chienne, mais elle n'aboie pas...
Mais tout se gâte ensuite...
Agression de l'homme, initialement sans brutalité qui monte au fur et à mesure.
Absence totale de consentement, et vocabulaire masculin tristement habituel :
* Pute, mais la jeune femme se fait pas payer...
* Salope, équivalent de salaud au masculin..
* Chienne, mais elle n'aboie pas...

