Tentation du lac chapitre deux : Les deux frères blacks: Le retour.

Récit érotique écrit par aurélie69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Tentation du lac chapitre deux : Les deux frères blacks: Le retour.
Tentation au bord du lac
Chapitre deux
Les deux frères blacks : Le retour.
Vendredi 15 août 2025, je suis au lac avec Greg, mon homme, le soleil se lève à peine, ses premiers rayons caressent la surface du lac. La canicule nous a chassés de notre lit bien avant l’aube, et l’air frais du matin est une bénédiction. J’ajuste mon maillot de bain, un deux-pièces bleu ciel qui contraste avec ma peau dorée par les jours précédents. Greg est allongé à mes côtés, les yeux mi-clos, tandis que je fixais l’horizon, j’écoute le clapotis de l’eau contre la rive. Le lac est notre refuge, un endroit où le temps semble s’arrêter.
Mais ce matin, quelque chose dans l’air est différent. Une tension imperceptible, comme si le calme habituel était sur le point d’être brisé. Je secoue la tête pour chasser cette pensée, je me concentre sur la chaleur du soleil qui commence déjà à chauffer ma peau. Greg a murmuré quelque chose à propos de la chaleur, mais je ne l’écoute qu’à moitié. Mon esprit est ailleurs, attiré par un souvenir vif et brûlant.
C’est ici, dans ce même lac, début juillet 2025, que j’ai rencontré Abdel et Malik pour la première fois. Quelques heures passent et je vois s’installer au loin, Abdel et Malik. De les voir a été comme un coup de tonnerre dans un ciel serein. Deux frères, deux silhouettes familières qui ont réveillé en moi un désir brut et sauvage. Nous nous étions retrouvés dans le bosquet, à l’abri des regards, et ce qui s’était passé avait été intense, primal. Leur domination, leurs mots cruels, leurs corps athlétiques… tout avait été une tempête de sensations que je n’ai jamais oubliées.
Je les regarde, ils ne me captent pas. Abdel, avec sa carrure athlétique et son regard intense, et Malik, plus mince mais tout aussi charismatique. Leurs silhouettes se détachent contre la lumière dorée du matin. Mon cœur s’emballe, un mélange d’excitation et de nervosité m’envahit. Greg relève la tête, suit mon regard, mais il ne dit rien. Il le sait, je lui ai dit la première fois.
- Mon chéri, je vais aller leur dire bonjour, si ça ne te dérange pas.
- Non, vas-y, je sens que tu vas te les refaire. Je t’aime.
- Moi aussi je t’aime.
Je me lève, le sable chaud colle à mes pieds nus. Les frères viennent de me repérer immédiatement, je m’approche d’eux. Avec leurs sourires carnassiers, leurs regards me dévorent déjà. Abdel prend la parole, sa voix grave et autoritaire.
- Alors, la petite salope est de retour. Tu nous as manqué, tu sais.
- Salut mes beaux, ça va.
Je sens mes joues s’empourprer, mais je n’ai pas baissé les yeux. Malik a ri, un son bas et rauque, avant de se tourner vers moi. Malik me dit :
- Tu es prête pour une deuxième danse, ou tu as besoin qu’on te rappelle comment ça se passe ?
Leur présence, leurs mots, tout est une provocation. Mais c’est exactement ce que je veux. Ce que je désire. Greg est en arrière, à sa serviette. Il est spectateur, rien de plus. Mais ça m’excite qu’il me voie en chasse. Je réponds, d’une voix ferme.
- Vous savez que je ne dis jamais non.
Abdel rit, un son sec et sans joie.
- Bien sûr que oui. Tu es notre jouet, Aurélie. Et les jouets ne disent jamais non.
Leur domination est claire, et j’ai acceptée sans résistance. Ils m’ont prise par les bras, leurs mains fermes sur ma peau, et on va vers le bosquet. Le même endroit que la dernière fois. Le même endroit où je vais me perdre à nouveau.
Une fois à l’abri des regards, Abdel m’a plaquée contre son torse, son odeur masculine et enivrante m’envahissant. Il défait mon maillot de bain d’un geste brutal, me laisse nue et vulnérable. Je sens le regard de Malik sur moi, ses yeux parcourent chaque courbe de mon corps. Abdel murmure à son frère :
- Elle en veut encore, cette salope, regarde comme elle tremble.
- Oui, on va la baiser cette putain. Tu veux de la bite, de la fraîche, hein, sale pute.
- Oh oui, défonce-moi.
Je serre les poings, essaie de contrôler ma respiration. Leurs mots sont des coups, mais ils m’excitent plus qu’ils ne me blessent. Malik s’approche, son sourire malicieux illumine son visage. Il me dit avec autorité.
- On va te montrer ce que ça fait, d’être à notre merci.
- Suce nos bites, sale putain.
Puis ils s’allongent sur le dos, leurs corps puissants devant moi. Je me mets à genoux entre deux Abdel m’attrape par mes cheveux, me force à me pencher vers lui.
- Suce-moi, sale pute. Montre-moi à quel point tu as envie.
Je me le prends en bouche, je suis une gourmande. Je le suce farouchement, je sens sa taille et sa fermeté contre ma langue. Malik rit, un son moqueur, avant de m’attirer vers lui.
- Mon tour, maintenant. Suce-moi aussi, salope.
Je les branle tous les deux, une bite dans chaque main, je les suce un coup l’un et un coup l’autre. Je salive sur leurs bites bien dures. Abdel me dit sauvagement et met une capote :
- Viens sur ma bite et défonce-toi dessus.
Me voilà sur sa queue, je m’empale dessus comme une chienne, Abdel me voit de dos. Je le chevauche, je crie, je me défonce sur sa bite bien dure et grosse. Je vois Malik se branler, il se prépare, il enfile une capote. Je le vois prêt, sa bite dressée comme un building, je bascule sur sa queue, je le chevauche comme je viens de faire sur Abdel. Je vois le préservatif d’Abdel déchiré, je lui dis avec une envie folle qu’il me démonte :
- Change ta capote, elle est déchirée.
- Yes, bien vu
Une fois Abdel avec un nouveau préservatif, ils me passent de main en main, ils me forcent à chevaucher leurs sexes à tour de rôle avec plus de puissance. J’obéis, je chevauche encore plus fort, je sens venir, je vais jouir comme une pute, je le sais. Je leur dis :
- Je vais jouir, putain oui, c’est trop bon.
Je me retire de Malik et j’explose debout. Je gicle entre les deux, je me vide, ça coule sur mes jambes. Les insultes fusent, violentes et cruelles, mais je ne résiste pas à écouter, comme : Sale pute, putain, chienne blanche, salope. Je suis abandonnée à leur domination, mon corps répond à chaque ordre, à chaque touche. Malik finit par me dire.
- Plus fort, salope. Tu peux faire mieux que ça. Reviens sur ma queue, dépêche-toi !
J’obéis, mes mouvements deviennent encore plus forts, je vais tellement fort que leurs glands me quittent avant de se réintroduire en moi jusqu’aux couilles. Et on recommence, je bascule sur un après sur l’autre. Leur plaisir était mon seul objectif, leur satisfaction ma seule récompense. Abdel m’a retournée, me pousse sur les mains et les genoux.
- Prépare-toi à prendre ce qu’on va te donner.
Abdel se place derrière moi, son sexe entre en moi avec une brutalité qui me fait gémir. Malik a attendu son tour, c’est à lui, il s’enfonce en moi, sa bite prend de la place dans ma chatte. Abdel revient, il veut que je prenne les deux bites dans mon minou trempé. La double pénétration, oh oui. Je sens Abdel essayer de s’introduire, il force mais ça ne passe pas. Abdel abandonne l’idée comme un gentleman, mais il dit :
- Tu es à nous, Aurélie. Tu es notre pute. Je veux t’entendre t’insulter pendant que mon frère te baise.
J’obéis, excitée, j’ai deux belles queues de black rien que pour moi
- Je suis votre pute, une salope, une grosse chienne, oh oui putain, défonce-moi plus fort.
Leurs mots sont des coups, mais ils résonnent en moi comme une vérité que j’aime entendre. Je suis à eux, et je le veux, je suis leurs jouets. Leur rythme s’est accéléré, leurs mouvements deviennent plus violents. Je sens l’orgasme monter, une vague de plaisir qui me submerge. Je crie, mon corps se cambre sous leur emprise.
Ils se branlent au-dessus de moi. Malik m’arrose tout le dos de foutre, Abdel suit derrière, lui arrose avec application la raie de mes fesses, leurs cris se mêlant aux miens. Épuisée, je me suis effondrée sur le sol, le corps enduit de leur sperme chaud par leur passage. Les frères se relèvent, leurs regards satisfaits.
Malik dit avec un sourire aux lèvres, comme un champion.
- C’était mieux que la dernière fois, merci ma salope.
Abdel a hoché la tête, avant de se tourner vers moi.
- N’oublie pas, Aurélie. Tu es à nous. La prochaine fois, on vient avec des potes si tu veux, un jour ça arrivera, j’ai confiance.
Ils partent sans un mot de plus, ils me laissent seule dans le bosquet. Je remets le maillot de bain, le corps souillé et l’esprit mission accomplie. Je me baigne pour me laver. Je sais que cette rencontre est la dernière, mais aussi la plus intense. Du moins je pense.
Le lac retrouve son calme, comme si rien ne s’est passé. Mais pour moi, tout a changé. Je suis marquée par leurs queues, corps et âme, par leur passage. Et je sais que si je les revois, je voudrais me les faire, sûre et certaine.
Merci d’avoir lu ce deuxième chapitre. Si je les revois, il y aura peut-être un chapitre trois.
Bisous, Aurélie.
Chapitre deux
Les deux frères blacks : Le retour.
Vendredi 15 août 2025, je suis au lac avec Greg, mon homme, le soleil se lève à peine, ses premiers rayons caressent la surface du lac. La canicule nous a chassés de notre lit bien avant l’aube, et l’air frais du matin est une bénédiction. J’ajuste mon maillot de bain, un deux-pièces bleu ciel qui contraste avec ma peau dorée par les jours précédents. Greg est allongé à mes côtés, les yeux mi-clos, tandis que je fixais l’horizon, j’écoute le clapotis de l’eau contre la rive. Le lac est notre refuge, un endroit où le temps semble s’arrêter.
Mais ce matin, quelque chose dans l’air est différent. Une tension imperceptible, comme si le calme habituel était sur le point d’être brisé. Je secoue la tête pour chasser cette pensée, je me concentre sur la chaleur du soleil qui commence déjà à chauffer ma peau. Greg a murmuré quelque chose à propos de la chaleur, mais je ne l’écoute qu’à moitié. Mon esprit est ailleurs, attiré par un souvenir vif et brûlant.
C’est ici, dans ce même lac, début juillet 2025, que j’ai rencontré Abdel et Malik pour la première fois. Quelques heures passent et je vois s’installer au loin, Abdel et Malik. De les voir a été comme un coup de tonnerre dans un ciel serein. Deux frères, deux silhouettes familières qui ont réveillé en moi un désir brut et sauvage. Nous nous étions retrouvés dans le bosquet, à l’abri des regards, et ce qui s’était passé avait été intense, primal. Leur domination, leurs mots cruels, leurs corps athlétiques… tout avait été une tempête de sensations que je n’ai jamais oubliées.
Je les regarde, ils ne me captent pas. Abdel, avec sa carrure athlétique et son regard intense, et Malik, plus mince mais tout aussi charismatique. Leurs silhouettes se détachent contre la lumière dorée du matin. Mon cœur s’emballe, un mélange d’excitation et de nervosité m’envahit. Greg relève la tête, suit mon regard, mais il ne dit rien. Il le sait, je lui ai dit la première fois.
- Mon chéri, je vais aller leur dire bonjour, si ça ne te dérange pas.
- Non, vas-y, je sens que tu vas te les refaire. Je t’aime.
- Moi aussi je t’aime.
Je me lève, le sable chaud colle à mes pieds nus. Les frères viennent de me repérer immédiatement, je m’approche d’eux. Avec leurs sourires carnassiers, leurs regards me dévorent déjà. Abdel prend la parole, sa voix grave et autoritaire.
- Alors, la petite salope est de retour. Tu nous as manqué, tu sais.
- Salut mes beaux, ça va.
Je sens mes joues s’empourprer, mais je n’ai pas baissé les yeux. Malik a ri, un son bas et rauque, avant de se tourner vers moi. Malik me dit :
- Tu es prête pour une deuxième danse, ou tu as besoin qu’on te rappelle comment ça se passe ?
Leur présence, leurs mots, tout est une provocation. Mais c’est exactement ce que je veux. Ce que je désire. Greg est en arrière, à sa serviette. Il est spectateur, rien de plus. Mais ça m’excite qu’il me voie en chasse. Je réponds, d’une voix ferme.
- Vous savez que je ne dis jamais non.
Abdel rit, un son sec et sans joie.
- Bien sûr que oui. Tu es notre jouet, Aurélie. Et les jouets ne disent jamais non.
Leur domination est claire, et j’ai acceptée sans résistance. Ils m’ont prise par les bras, leurs mains fermes sur ma peau, et on va vers le bosquet. Le même endroit que la dernière fois. Le même endroit où je vais me perdre à nouveau.
Une fois à l’abri des regards, Abdel m’a plaquée contre son torse, son odeur masculine et enivrante m’envahissant. Il défait mon maillot de bain d’un geste brutal, me laisse nue et vulnérable. Je sens le regard de Malik sur moi, ses yeux parcourent chaque courbe de mon corps. Abdel murmure à son frère :
- Elle en veut encore, cette salope, regarde comme elle tremble.
- Oui, on va la baiser cette putain. Tu veux de la bite, de la fraîche, hein, sale pute.
- Oh oui, défonce-moi.
Je serre les poings, essaie de contrôler ma respiration. Leurs mots sont des coups, mais ils m’excitent plus qu’ils ne me blessent. Malik s’approche, son sourire malicieux illumine son visage. Il me dit avec autorité.
- On va te montrer ce que ça fait, d’être à notre merci.
- Suce nos bites, sale putain.
Puis ils s’allongent sur le dos, leurs corps puissants devant moi. Je me mets à genoux entre deux Abdel m’attrape par mes cheveux, me force à me pencher vers lui.
- Suce-moi, sale pute. Montre-moi à quel point tu as envie.
Je me le prends en bouche, je suis une gourmande. Je le suce farouchement, je sens sa taille et sa fermeté contre ma langue. Malik rit, un son moqueur, avant de m’attirer vers lui.
- Mon tour, maintenant. Suce-moi aussi, salope.
Je les branle tous les deux, une bite dans chaque main, je les suce un coup l’un et un coup l’autre. Je salive sur leurs bites bien dures. Abdel me dit sauvagement et met une capote :
- Viens sur ma bite et défonce-toi dessus.
Me voilà sur sa queue, je m’empale dessus comme une chienne, Abdel me voit de dos. Je le chevauche, je crie, je me défonce sur sa bite bien dure et grosse. Je vois Malik se branler, il se prépare, il enfile une capote. Je le vois prêt, sa bite dressée comme un building, je bascule sur sa queue, je le chevauche comme je viens de faire sur Abdel. Je vois le préservatif d’Abdel déchiré, je lui dis avec une envie folle qu’il me démonte :
- Change ta capote, elle est déchirée.
- Yes, bien vu
Une fois Abdel avec un nouveau préservatif, ils me passent de main en main, ils me forcent à chevaucher leurs sexes à tour de rôle avec plus de puissance. J’obéis, je chevauche encore plus fort, je sens venir, je vais jouir comme une pute, je le sais. Je leur dis :
- Je vais jouir, putain oui, c’est trop bon.
Je me retire de Malik et j’explose debout. Je gicle entre les deux, je me vide, ça coule sur mes jambes. Les insultes fusent, violentes et cruelles, mais je ne résiste pas à écouter, comme : Sale pute, putain, chienne blanche, salope. Je suis abandonnée à leur domination, mon corps répond à chaque ordre, à chaque touche. Malik finit par me dire.
- Plus fort, salope. Tu peux faire mieux que ça. Reviens sur ma queue, dépêche-toi !
J’obéis, mes mouvements deviennent encore plus forts, je vais tellement fort que leurs glands me quittent avant de se réintroduire en moi jusqu’aux couilles. Et on recommence, je bascule sur un après sur l’autre. Leur plaisir était mon seul objectif, leur satisfaction ma seule récompense. Abdel m’a retournée, me pousse sur les mains et les genoux.
- Prépare-toi à prendre ce qu’on va te donner.
Abdel se place derrière moi, son sexe entre en moi avec une brutalité qui me fait gémir. Malik a attendu son tour, c’est à lui, il s’enfonce en moi, sa bite prend de la place dans ma chatte. Abdel revient, il veut que je prenne les deux bites dans mon minou trempé. La double pénétration, oh oui. Je sens Abdel essayer de s’introduire, il force mais ça ne passe pas. Abdel abandonne l’idée comme un gentleman, mais il dit :
- Tu es à nous, Aurélie. Tu es notre pute. Je veux t’entendre t’insulter pendant que mon frère te baise.
J’obéis, excitée, j’ai deux belles queues de black rien que pour moi
- Je suis votre pute, une salope, une grosse chienne, oh oui putain, défonce-moi plus fort.
Leurs mots sont des coups, mais ils résonnent en moi comme une vérité que j’aime entendre. Je suis à eux, et je le veux, je suis leurs jouets. Leur rythme s’est accéléré, leurs mouvements deviennent plus violents. Je sens l’orgasme monter, une vague de plaisir qui me submerge. Je crie, mon corps se cambre sous leur emprise.
Ils se branlent au-dessus de moi. Malik m’arrose tout le dos de foutre, Abdel suit derrière, lui arrose avec application la raie de mes fesses, leurs cris se mêlant aux miens. Épuisée, je me suis effondrée sur le sol, le corps enduit de leur sperme chaud par leur passage. Les frères se relèvent, leurs regards satisfaits.
Malik dit avec un sourire aux lèvres, comme un champion.
- C’était mieux que la dernière fois, merci ma salope.
Abdel a hoché la tête, avant de se tourner vers moi.
- N’oublie pas, Aurélie. Tu es à nous. La prochaine fois, on vient avec des potes si tu veux, un jour ça arrivera, j’ai confiance.
Ils partent sans un mot de plus, ils me laissent seule dans le bosquet. Je remets le maillot de bain, le corps souillé et l’esprit mission accomplie. Je me baigne pour me laver. Je sais que cette rencontre est la dernière, mais aussi la plus intense. Du moins je pense.
Le lac retrouve son calme, comme si rien ne s’est passé. Mais pour moi, tout a changé. Je suis marquée par leurs queues, corps et âme, par leur passage. Et je sais que si je les revois, je voudrais me les faire, sûre et certaine.
Merci d’avoir lu ce deuxième chapitre. Si je les revois, il y aura peut-être un chapitre trois.
Bisous, Aurélie.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j adore
Toujours très excitante cette rencontre 🔥🔥🔥

