Le salon du désir Chapitre un : Ma patronne me surprend

Récit érotique écrit par aurélie69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Le salon du désir Chapitre un : Ma patronne me surprend
Le salon du désir
Chapitre 1
Ma patronne me surprend
Me voilà au salon de coiffure, mon lieu de travail qui me passionne. Le salon se compose d’une grande pièce classique comme tous les salons, avec une arrière-salle où sont entreposés les produits, serviettes, etc… et au début de cette arrière-salle, il y a un escalier en colimaçon qui mène à une grande pièce. Il y a un bureau avec ordinateur et une table ronde avec six chaises. Voilà le topo du salon.
On est mercredi. Il fait chaud. Je suis habillée en short jean moulant avec un haut blanc à fine bretelle. Il est huit heures, mon heure habituelle d’arrivée pour une ouverture du salon à huit heures trente.
Il y a ma patronne Valérie, femme de cinquante-trois ans, divorcée, belle femme, brune, forte poitrine. Elle est sympa avec moi. Mon surnom entre nous, c’est "ma puce". Elle m’aime bien. Il y a Virginie, jeune fille sympa. Samy qui, lui, est homosexuel mais super sympa, "le rigolo" comme on l'appelle au salon. Et il y a Christelle, belle femme blonde du même âge que moi. Voilà mes collègues. Moi et Christelle possédons les clefs du salon pour faire l’ouverture ou la fermeture, voire les deux. Valérie fait aussi de la coiffure à domicile. Elle rentre à dix-huit heures trente.
Je fais la fermeture à dix-neuf heures. Je baisse alors le volet métallique quasiment jusqu’en bas pour être en sécurité afin de pouvoir faire la caisse. Valérie est en haut au bureau. Je prends le chemin du bureau pour donner la caisse à Valérie. Je m’arrête à l’arrière-salle pour plier les serviettes. Une envie de me toucher me traverse l’esprit. Je ne résiste pas à ce désir de me faire du bien. Je retire les serviettes qui sont posées sur la machine à laver. Je sors mes seins de mon t-shirt par le haut. Les voilà à l'air. Je baisse mon short et mon string. Je m’assois bien au fond sur la machine. Je me caresse les seins. J’insiste sur mes tétons. Je descends une main vers le bas. J’arrive à ma chatte déjà bien humide. Je caresse mon clito à pleine main. Je rentre deux doigts en moi. Je me sens chienne, j’ai trop envie d’éclater. Je me cambre et mon regard capte une brosse que je prends avec une envie folle de me pénétrer avec le manche. Je m’enfile le manche en position debout. Mon buste est sur la machine, je suis mal posée. Je me remets comme avant, c'est-à-dire assise sur la machine. Me voilà en action. Je fais des va-et-vient avec le manche. Je pense à une queue bien dure prête à l’emploi. Je m’éclate, je crie, et, je me rappelle que Valérie est en haut. Je dois faire doucement. Mes gémissements sont moins forts pour éviter de me faire griller. Je continue avec mes doigts. Je me perds, j’oublie où je suis. Il me semble entendre des pas au-dessus. C’est Valérie, mais ça s’arrête rapidement. Je continue.
Je me parle à moi-même :
- Je suis une chienne, une pute !!
Je jouis, comme une folle, et d’un coup, j'entends :
- Aurélie, tu n'as pas honte ?! Mais ça ne va pas ?!
- Oh Valérie... Excuse-moi. Je... Je... Je... Je...
- Non ! Non ! C'est un salon, ici ! Monte au bureau. On va régler ça !
Je remets mes vêtements. Je me nettoie pour que je sois de nouveau bien propre. J’ai peur, j’ai honte. Je monte au bureau avec la caisse. Valérie est debout contre son bureau.
- Tiens. La caisse.
- Pose-la sur la table, s’il te plaît.
Je pose la caisse comme elle me le demande. Je tremble, je ne dis rien. J'attends que Valérie me parle.
- Aurélie, tu sais, ce n’est pas bien de faire ça. Certes, on est fermé, mais je ne pensais pas ça de toi, être capable de telles choses, surtout au travail. Je sais que tu es jeune... Mais quand même.
- Oui, je sais. Je comprendrais si tu me licenciais.
- Non. Tu es la plus ancienne et la plus compétente.
Je sens dans ses paroles qu’elle ne m’en veut pas. J’ai cette impression. Je me sens soulagée.
- Mais tu sais, ma puce... Je vais t’avouer quelque chose. Quand je t’ai vue, ça m’a excitée de te voir. Je m’en veux presque d’être intervenue.
Elle me dit ça ! Je n’en reviens pas ! Je me sens obligée de répliquer. Valérie me donne matière pour, il faut dire.
- Mais tu sais... On peut faire ça ensemble... Je suis toujours excitée !
Je m’approche de Valérie. Je caresse son bras. Me voilà face à elle, très proche. Je l’embrasse. Elle suit le pas, avec sa langue. Je ressors mes seins de mon haut et elle me lèche les tétons. Elle m’excite de plus en plus. Je la plaque contre le mur. Je déboutonne son chemisier noir qui tombe au sol et de suite, je m’occupe de sa jupe qui descend aussi. Voilà Valérie en lingerie blanche. Elle me regarde et je comprends que je dois m’occuper d’elle. Je pose ma main droite sur sa culotte. Je frotte contre son minou. Elle gémit. Je dégrafe son soutien-gorge qui tombe au sol. Je deviens folle.
Elle me dit avec envie :
- Ma puce... Fais-moi du bien... Apprends-moi !
- Oui. Reste debout contre le mur et laisse-toi aller.
Je me mets à genoux. Je descends sa culotte. J'écarte ses jambes et je la lèche vite. Je me régale car elle mouille. Ma langue rentre en elle. Mes doigts prennent le relais. Elle gémit. Elle se cambre. Elle s’offre à moi.
- Ma puce... Continue... Tu me fais jouir !
- Tu es bonne. Dis que tu es une pute, une salope. Je veux entendre ma patronne le dire.
- Je suis une salope, une pute, ma puce.
- Mmmh... Bien. Écoute. Je vais me déshabiller et m’asseoir sur une chaise, et tu vas te mettre à quatre pattes.
Me voilà nue sur une chaise, à trois mètres de Valérie. Je la veux chienne.
- Viens me lécher. Fais la chienne !
Elle vient vers moi à quatre pattes. Elle pose sa langue sur mon minou tout trempé : un régal. Ma patronne me lèche intensément. Je lui tiens la tête pour la garder contre moi. Elle est si douce avec sa langue. Je veux la faire boire. Excitée, je lui crie dessus comme une femelle en chaleur :
- Oui. Comme ça. Continue. Oh oui ! Je vais jouir !
Mon liquide sort. Je lui tiens la tête pour lui en mettre partout sur le visage. Je l’entends tousser. Elle m’avale, sa bouche grande ouverte sur ma chatte. J’appuie sur sa tête. Une fois qu'on a fini, on s’embrasse toutes les deux, genoux au sol. On se caresse, mais j’en veux plus, cochonne comme je suis. J’en veux encore. Je dis à Valérie, novice avec les femmes :
- On va s’allonger sur le dos, se redresser, se mettre chatte contre chatte et se frotter... Jusqu’à jouir.
Elle ne dit rien et s'exécute. Je vois ses lèvres plus grosses que les miennes. Nous voilà en place. Valérie est allongée complètement et moi, je suis au-dessus. Je prends les commandes et je me lance dans une danse sur elle. J'accélère. J’ai trop envie d’exploser encore sur elle. Je vois Valérie se tenir d’une main au pied de la table ronde.
Je lui murmure :
- Tu vas jouir ? Hein, salope ?!
- Oui, tu me fais venir... Continue !
Et à ce moment-là, des jets puissants sortent de sa chatte. Je me décolle d’elle de quelques centimètres et, sans rien faire, elle se vide. Un volcan m’arrose la chatte, le ventre. Elle sort tout ce qu’elle peut. Elle finit par mettre sa main pour les derniers jets. Moi, en même temps, je me caresse le minou avec passion.
- Ma puce, ça fait si longtemps que je n’ai pas eu un orgasme comme ça.
- Je me doute. À moi de jouir !
Et à peine je dis ça que j’explose à mon tour. J’ai l’impression de ne pas avoir joui depuis longtemps, sachant que je me fais du bien tous les jours ou presque. J’arrose Valérie de toutes mes forces.
- Oh putain ! Patronne... Oh oui !
- Vas-y, montre-moi la jeunesse jouir, petite salope !
- Oui patronne, je suis une salope et fière de l’être !
Je suis surprise par cet échange. Je me finis et elle vient poser sa bouche contre ma chatte en feu. On reste allongées sur le sol. On est vidées mais soulagées. On s’essuie, et on remet nos vêtements.
Avant que je parte. Valérie me dit :
- Merci pour cette première expérience entre femmes.
- De rien. On recommencera. Maintenant, c’est le secret du salon.
On s’embrasse et je pars vers ma voiture avec un goût d'inachevé.
Conclusion :
Le soir, en rentrant à la maison, je l'ai raconté à Greg, mon homme, et j’ai fait l’amour avec lui sans attendre car je voulais encore jouir. Le lendemain, Valérie m’annonce au bureau qu’elle veut recommencer. On est devenues encore plus qu’avant très complices. Il y a eu d’autres aventures avec Valérie, donc l’histoire aura des chapitres...
Merci d’avoir lu ce chapitre.
Aurélie, bise à mes lecteurs.
Chapitre 1
Ma patronne me surprend
Me voilà au salon de coiffure, mon lieu de travail qui me passionne. Le salon se compose d’une grande pièce classique comme tous les salons, avec une arrière-salle où sont entreposés les produits, serviettes, etc… et au début de cette arrière-salle, il y a un escalier en colimaçon qui mène à une grande pièce. Il y a un bureau avec ordinateur et une table ronde avec six chaises. Voilà le topo du salon.
On est mercredi. Il fait chaud. Je suis habillée en short jean moulant avec un haut blanc à fine bretelle. Il est huit heures, mon heure habituelle d’arrivée pour une ouverture du salon à huit heures trente.
Il y a ma patronne Valérie, femme de cinquante-trois ans, divorcée, belle femme, brune, forte poitrine. Elle est sympa avec moi. Mon surnom entre nous, c’est "ma puce". Elle m’aime bien. Il y a Virginie, jeune fille sympa. Samy qui, lui, est homosexuel mais super sympa, "le rigolo" comme on l'appelle au salon. Et il y a Christelle, belle femme blonde du même âge que moi. Voilà mes collègues. Moi et Christelle possédons les clefs du salon pour faire l’ouverture ou la fermeture, voire les deux. Valérie fait aussi de la coiffure à domicile. Elle rentre à dix-huit heures trente.
Je fais la fermeture à dix-neuf heures. Je baisse alors le volet métallique quasiment jusqu’en bas pour être en sécurité afin de pouvoir faire la caisse. Valérie est en haut au bureau. Je prends le chemin du bureau pour donner la caisse à Valérie. Je m’arrête à l’arrière-salle pour plier les serviettes. Une envie de me toucher me traverse l’esprit. Je ne résiste pas à ce désir de me faire du bien. Je retire les serviettes qui sont posées sur la machine à laver. Je sors mes seins de mon t-shirt par le haut. Les voilà à l'air. Je baisse mon short et mon string. Je m’assois bien au fond sur la machine. Je me caresse les seins. J’insiste sur mes tétons. Je descends une main vers le bas. J’arrive à ma chatte déjà bien humide. Je caresse mon clito à pleine main. Je rentre deux doigts en moi. Je me sens chienne, j’ai trop envie d’éclater. Je me cambre et mon regard capte une brosse que je prends avec une envie folle de me pénétrer avec le manche. Je m’enfile le manche en position debout. Mon buste est sur la machine, je suis mal posée. Je me remets comme avant, c'est-à-dire assise sur la machine. Me voilà en action. Je fais des va-et-vient avec le manche. Je pense à une queue bien dure prête à l’emploi. Je m’éclate, je crie, et, je me rappelle que Valérie est en haut. Je dois faire doucement. Mes gémissements sont moins forts pour éviter de me faire griller. Je continue avec mes doigts. Je me perds, j’oublie où je suis. Il me semble entendre des pas au-dessus. C’est Valérie, mais ça s’arrête rapidement. Je continue.
Je me parle à moi-même :
- Je suis une chienne, une pute !!
Je jouis, comme une folle, et d’un coup, j'entends :
- Aurélie, tu n'as pas honte ?! Mais ça ne va pas ?!
- Oh Valérie... Excuse-moi. Je... Je... Je... Je...
- Non ! Non ! C'est un salon, ici ! Monte au bureau. On va régler ça !
Je remets mes vêtements. Je me nettoie pour que je sois de nouveau bien propre. J’ai peur, j’ai honte. Je monte au bureau avec la caisse. Valérie est debout contre son bureau.
- Tiens. La caisse.
- Pose-la sur la table, s’il te plaît.
Je pose la caisse comme elle me le demande. Je tremble, je ne dis rien. J'attends que Valérie me parle.
- Aurélie, tu sais, ce n’est pas bien de faire ça. Certes, on est fermé, mais je ne pensais pas ça de toi, être capable de telles choses, surtout au travail. Je sais que tu es jeune... Mais quand même.
- Oui, je sais. Je comprendrais si tu me licenciais.
- Non. Tu es la plus ancienne et la plus compétente.
Je sens dans ses paroles qu’elle ne m’en veut pas. J’ai cette impression. Je me sens soulagée.
- Mais tu sais, ma puce... Je vais t’avouer quelque chose. Quand je t’ai vue, ça m’a excitée de te voir. Je m’en veux presque d’être intervenue.
Elle me dit ça ! Je n’en reviens pas ! Je me sens obligée de répliquer. Valérie me donne matière pour, il faut dire.
- Mais tu sais... On peut faire ça ensemble... Je suis toujours excitée !
Je m’approche de Valérie. Je caresse son bras. Me voilà face à elle, très proche. Je l’embrasse. Elle suit le pas, avec sa langue. Je ressors mes seins de mon haut et elle me lèche les tétons. Elle m’excite de plus en plus. Je la plaque contre le mur. Je déboutonne son chemisier noir qui tombe au sol et de suite, je m’occupe de sa jupe qui descend aussi. Voilà Valérie en lingerie blanche. Elle me regarde et je comprends que je dois m’occuper d’elle. Je pose ma main droite sur sa culotte. Je frotte contre son minou. Elle gémit. Je dégrafe son soutien-gorge qui tombe au sol. Je deviens folle.
Elle me dit avec envie :
- Ma puce... Fais-moi du bien... Apprends-moi !
- Oui. Reste debout contre le mur et laisse-toi aller.
Je me mets à genoux. Je descends sa culotte. J'écarte ses jambes et je la lèche vite. Je me régale car elle mouille. Ma langue rentre en elle. Mes doigts prennent le relais. Elle gémit. Elle se cambre. Elle s’offre à moi.
- Ma puce... Continue... Tu me fais jouir !
- Tu es bonne. Dis que tu es une pute, une salope. Je veux entendre ma patronne le dire.
- Je suis une salope, une pute, ma puce.
- Mmmh... Bien. Écoute. Je vais me déshabiller et m’asseoir sur une chaise, et tu vas te mettre à quatre pattes.
Me voilà nue sur une chaise, à trois mètres de Valérie. Je la veux chienne.
- Viens me lécher. Fais la chienne !
Elle vient vers moi à quatre pattes. Elle pose sa langue sur mon minou tout trempé : un régal. Ma patronne me lèche intensément. Je lui tiens la tête pour la garder contre moi. Elle est si douce avec sa langue. Je veux la faire boire. Excitée, je lui crie dessus comme une femelle en chaleur :
- Oui. Comme ça. Continue. Oh oui ! Je vais jouir !
Mon liquide sort. Je lui tiens la tête pour lui en mettre partout sur le visage. Je l’entends tousser. Elle m’avale, sa bouche grande ouverte sur ma chatte. J’appuie sur sa tête. Une fois qu'on a fini, on s’embrasse toutes les deux, genoux au sol. On se caresse, mais j’en veux plus, cochonne comme je suis. J’en veux encore. Je dis à Valérie, novice avec les femmes :
- On va s’allonger sur le dos, se redresser, se mettre chatte contre chatte et se frotter... Jusqu’à jouir.
Elle ne dit rien et s'exécute. Je vois ses lèvres plus grosses que les miennes. Nous voilà en place. Valérie est allongée complètement et moi, je suis au-dessus. Je prends les commandes et je me lance dans une danse sur elle. J'accélère. J’ai trop envie d’exploser encore sur elle. Je vois Valérie se tenir d’une main au pied de la table ronde.
Je lui murmure :
- Tu vas jouir ? Hein, salope ?!
- Oui, tu me fais venir... Continue !
Et à ce moment-là, des jets puissants sortent de sa chatte. Je me décolle d’elle de quelques centimètres et, sans rien faire, elle se vide. Un volcan m’arrose la chatte, le ventre. Elle sort tout ce qu’elle peut. Elle finit par mettre sa main pour les derniers jets. Moi, en même temps, je me caresse le minou avec passion.
- Ma puce, ça fait si longtemps que je n’ai pas eu un orgasme comme ça.
- Je me doute. À moi de jouir !
Et à peine je dis ça que j’explose à mon tour. J’ai l’impression de ne pas avoir joui depuis longtemps, sachant que je me fais du bien tous les jours ou presque. J’arrose Valérie de toutes mes forces.
- Oh putain ! Patronne... Oh oui !
- Vas-y, montre-moi la jeunesse jouir, petite salope !
- Oui patronne, je suis une salope et fière de l’être !
Je suis surprise par cet échange. Je me finis et elle vient poser sa bouche contre ma chatte en feu. On reste allongées sur le sol. On est vidées mais soulagées. On s’essuie, et on remet nos vêtements.
Avant que je parte. Valérie me dit :
- Merci pour cette première expérience entre femmes.
- De rien. On recommencera. Maintenant, c’est le secret du salon.
On s’embrasse et je pars vers ma voiture avec un goût d'inachevé.
Conclusion :
Le soir, en rentrant à la maison, je l'ai raconté à Greg, mon homme, et j’ai fait l’amour avec lui sans attendre car je voulais encore jouir. Le lendemain, Valérie m’annonce au bureau qu’elle veut recommencer. On est devenues encore plus qu’avant très complices. Il y a eu d’autres aventures avec Valérie, donc l’histoire aura des chapitres...
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