L’incroyable découverte du candaulisme - 3e partie
Récit érotique écrit par Follesnuits [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2019 dans la catégorie Plus on est
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L’incroyable découverte du candaulisme - 3e partie
Après notre rencontre avec Jules dans la première partie et le premier orgasme d'Aurelie avec lui sur le canapé, notre premier soirée continue...
—— -------
Je suis debout derrière le canapé, une boite de préservatifs à la main. Aurélie vient de jouir grâce à la langue de notre invité. Jules s'assoit à côté d'elle. Entre deux grandes respirations pleines d'endorphines, elle l'embrasse à nouveau. Je ne sais même pas s'ils ont senti que je suis revenu dans la pièce.
Je fais le tour et me présente devant eux. Elle me sourit.
« Ca va ? »
Je suis touché par son attention. Voir ma femme, la robe relevée sur le canapé, à côté d'un inconnu, reste étrange, mais je suis excité. Je hoche la tête.
« - Et toi ?
- Oui. Tout le monde s'occupe bien de moi. Maintenant, si ça te va toujours, c'est à mon tour de m'occuper de notre invité. On sera plus à l'aise à la chambre. »
Nouveau hochement de tête. Je souris presque par automatisme. Mon cœur ne ralentit pas. Elle se lève, prend sa main et l'emmène derrière elle. Je les suis toujours avec cette drôle de sensation, mais une érection qui me fait mal dans le bas du ventre.
Nous avons tout prévu. Un fauteuil est dans le coin de la pièce pour moi, au pied du lit.. Arrivés au bord du lit, elle l'embrasse à nouveau, tout en commençant à retirer les boutons de sa chemise. Elle embrasse son torse, puis défait sa ceinture. Son pantalon tombe. Il est dos à moi. Je vois la main d'Aurelie se glisser dans son boxer. Elle le masturbe en l'embrassant dans le cou.
« Allonge-toi », lui demande-t-elle.
Il enlève ses chaussettes et son pantalon de ses chevilles puis s'allonge sur notre lit. Il est plutôt bien fait. On devine qu'il fait du sport. Je suis même un peu jaloux. Et ce n'est que le début.
« Enlève ton boxer. »
Jules est alors nu sur notre lit. J'ai l'impression que mon cœur va exploser. Par ailleurs, les photos disaient vrai. Son membre est très imposant. Très large. Aurélie m'a toujours dit que c'était le plus important pour elle.
Le moment semble durer une éternité. Je sens que ma femme reprend son souffle. La peur ? Je ne crois pas. Elle se mordille les lèvres. Me jette quelques regards. Elle laisse tomber sa robe et retire ses chaussures. Puis son soutien gorge et sa culotte. Il ne reste plus que les bas. C'est le moment de vérité. Encore un.
Elle monte sur le lit. L'embrasse, puis descend doucement. Son cou. Son torse. Ses abdominaux. Son pubis... Le spectacle est incroyable. Je suis au bout du lit. Je vois donc les fesses de ma femme reculer, comme offertes. Je voudrais sauter sur le lit et enfoncer mon sexe dans le sien. Sur le moment, je n'ai plus envie de lui faire l'amour, je veux la baiser.
Alors que mon esprit s'égare, je suis réveillé par le bruit d'un crachat. Je vois la tête d'Aurelie monter et descendre. Sa tête cache l'action mais il n'y pas de doutes sur ce qui se passe. Plusieurs, fois, elle crache sur la bite de Jules. Sa tête à lui bascule régulièrement vers l'arrière, il apprécie. Elle le suce doucement.
Elle se relève et se retourne pour se mettre en 69. Je suis étonné. D'abord parce que c’est une position que nous ne pratiquons quasiment jamais, préférant nous concentrer sur le plaisir à donner ou recevoir. Et puis surtout parce qu'Aurélie n'aime d'habitude pas que je la lèche après un orgasme. Trop sensible ! Veut elle que je puisse profiter du spectacle ? En tout cas, j'ai désormais une vue imprenable sur le sexe de son compagnon du soir.
« Met moi des doigts. Prépare moi bien pour ta bite », lance-t-elle.
Le langage se fait plus cru.
Elle crache à nouveau, fait glisser sa langue partout sur son gland. Cette langue qui m’excite tellement. Ma femme a une petite bouche. Elle y rentre à peine plus que le gland de Jules. Mais elle fait en sorte qu'il prenne un maximum de plaisir. Sa main gauche serre fort et le branle à fond. Je suis hypnotisé. Je remarque qu'elle porte son alliance et sa bague de fiançailles. Ces symboles de notre couple sont recouverts de sa salive et glissent sur la bite d'un autre. Je n'ose même pas approcher une main de mon pantalon, sous peine de jouir. Rien que le frottement du tissu est à peine supportable.
Je l'entends aussi lui, cracher sur elle. Sa chatte semble trempée.
« Donne moi les capotes », me demande Aurelie.
J'avais complètement oublié que je tenais encore la boite. Je sors un préservatif et le tend à ma femme. La scène est irréelle. Elle se relève à nouveau et donne le latex à Jules. Pendant qu'il s'équipe, je déplace mon siège de l'autre côté, au niveau de la tête de lit. Je veux voir son visage.
Le sexe de Jules est tendu et recouvert de latex. Aurélie est à côté de lui. Elle touche ses petites lèvres, presque de manière automatique. Elle se met au-dessus de lui puis guide son gland vers l'entrée.
« Doucement. Tu as une grosse bite. »
Je me répète, mais le spectacle est toujours plus incroyable. Aurélie se pose doucement sur son sexe. Son visage se déforme. Entre douleur et plaisir, elle descend très doucement. Jules s'enfonce en elle. Centimètre par centimètre. Elle respire de plus en plus fort. Je voudrais l'embrasser à pleine bouche. Elle remonte et descend pour faire rentrer sa queue de plus en plus profondément, toujours très doucement.
« Attend, je vais m'allonger. Prend moi doucement. »
Elle se met sur le dos. Il enfonce doucement son gland. Petit à petit. J'ai l'impression que le temps est arrêté. J'aimerais être à sa place, mais j'adore être à la mienne, comme un spectateur. Je regarde son énorme queue disparaitre doucement dans ma femme. Les aller-retour sont de plus en plus rapides.
« Oui, oui, oui »
Ca y est, Jules a pris possession de ma femme. Il est totalement en elle. Elle place ses mains sur ses fesses. Il accélère de plus en plus. Elle lâche prise et crie ses ordres.
« Baise moi, baise moi ! »
Il y va de plus en plus fort. Ses jambes se serrent autour de lui. Je pense que je n'existe plus pour eux.
Elle s'accroche aux draps. Elle hurle. Voilà le deuxième orgasme.
« Oui ! Oui !!! »
Elle est épuisée. Lui ralentit.
« Allonge-toi, je veux te faire jouir », annonce-t-elle.
Elle remonte sur lui. Cette fois, son sexe rentre tout seul en elle. Elle accélère. Je vois sa queue disparaître et réapparaitre de plus en plus rapidement.
« Laisse toi aller », lui ordonne-t-elle.
Je connais cette demande. Je sais ce qu'elle va faire. Elle ondule son bassin à toute vitesse. C'est elle qui le baise.
Pour la première fois de la soirée, Jules se fait entendre. Il serre ses mains autour de la taille d'Aurelie et crie son orgasme.
Elle a le sourire satisfait qu'elle arbore à chaque fois qu'elle me fait jouir quand je voulais attendre. Elle s'écoule à côté de lui. Je ne peux m’empêcher de voir que son préservatif est bien rempli.
Ils soufflent. Satisfaits.
Personne ne dit rien. Je n'ose toujours pas me toucher. Mais nous apprécions tous la folie du moment qui vient de s'écouler. Combien de temps, d'ailleurs ? Tout ça a semblé durer une éternité, alors qu'il ne s'agissait que de quelques minutes.
« Je vais y aller je pense », nous demanda Jules après avoir repris ses esprits.
Le moment est bien choisi. Il ne faut peut-être pas trop en faire la première fois.
Les deux récupèrent leurs vêtements. Et nous raccompagnons Jules à la porte. En refermant, Aurelie me ramène jusqu'à la chambre.
« Allonge toi à côté de moi. »C'est fait.
« - Tout va bien ? », enchaine-t-elle.
- Oui. Je ne sais pas quoi faire. Je suis tellement excité. Je n'ose pas jouir. J'ai peur de que tout s'écroule. - Tu veux que je te caresse ? » Nouveau hochement de tête. Décidément, je n'arrive pas à articuler grand chose ce soir. Je me déshabille et m'allonge à côté d'elle.
« Merci », me dit-elle alors qu'elle commence à faire glisser très doucement sa main sur mon sexe. « C'était vraiment incroyable. C'était juste du sexe. Mais tu sais que c’est toi que t'aime. Et je t'aime encore... »
Elle n'a pas le temps de finir sa phrase que j'explose. Mon sperme gicle partout sur mon ventre. Je lâche de longs râles.
« Ca va ? »
Plus que la question, c'est son regard qui me rassure. Rien n'a changé.
« Oui. »
Nous voilà officiellement candaulistes.
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Cette incroyable première a eu lieu il y a trois ans maintenant. Depuis, nous avons vécu d'autres belles aventures, que nous tenterons de raconter au mieux ici.
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Je suis debout derrière le canapé, une boite de préservatifs à la main. Aurélie vient de jouir grâce à la langue de notre invité. Jules s'assoit à côté d'elle. Entre deux grandes respirations pleines d'endorphines, elle l'embrasse à nouveau. Je ne sais même pas s'ils ont senti que je suis revenu dans la pièce.
Je fais le tour et me présente devant eux. Elle me sourit.
« Ca va ? »
Je suis touché par son attention. Voir ma femme, la robe relevée sur le canapé, à côté d'un inconnu, reste étrange, mais je suis excité. Je hoche la tête.
« - Et toi ?
- Oui. Tout le monde s'occupe bien de moi. Maintenant, si ça te va toujours, c'est à mon tour de m'occuper de notre invité. On sera plus à l'aise à la chambre. »
Nouveau hochement de tête. Je souris presque par automatisme. Mon cœur ne ralentit pas. Elle se lève, prend sa main et l'emmène derrière elle. Je les suis toujours avec cette drôle de sensation, mais une érection qui me fait mal dans le bas du ventre.
Nous avons tout prévu. Un fauteuil est dans le coin de la pièce pour moi, au pied du lit.. Arrivés au bord du lit, elle l'embrasse à nouveau, tout en commençant à retirer les boutons de sa chemise. Elle embrasse son torse, puis défait sa ceinture. Son pantalon tombe. Il est dos à moi. Je vois la main d'Aurelie se glisser dans son boxer. Elle le masturbe en l'embrassant dans le cou.
« Allonge-toi », lui demande-t-elle.
Il enlève ses chaussettes et son pantalon de ses chevilles puis s'allonge sur notre lit. Il est plutôt bien fait. On devine qu'il fait du sport. Je suis même un peu jaloux. Et ce n'est que le début.
« Enlève ton boxer. »
Jules est alors nu sur notre lit. J'ai l'impression que mon cœur va exploser. Par ailleurs, les photos disaient vrai. Son membre est très imposant. Très large. Aurélie m'a toujours dit que c'était le plus important pour elle.
Le moment semble durer une éternité. Je sens que ma femme reprend son souffle. La peur ? Je ne crois pas. Elle se mordille les lèvres. Me jette quelques regards. Elle laisse tomber sa robe et retire ses chaussures. Puis son soutien gorge et sa culotte. Il ne reste plus que les bas. C'est le moment de vérité. Encore un.
Elle monte sur le lit. L'embrasse, puis descend doucement. Son cou. Son torse. Ses abdominaux. Son pubis... Le spectacle est incroyable. Je suis au bout du lit. Je vois donc les fesses de ma femme reculer, comme offertes. Je voudrais sauter sur le lit et enfoncer mon sexe dans le sien. Sur le moment, je n'ai plus envie de lui faire l'amour, je veux la baiser.
Alors que mon esprit s'égare, je suis réveillé par le bruit d'un crachat. Je vois la tête d'Aurelie monter et descendre. Sa tête cache l'action mais il n'y pas de doutes sur ce qui se passe. Plusieurs, fois, elle crache sur la bite de Jules. Sa tête à lui bascule régulièrement vers l'arrière, il apprécie. Elle le suce doucement.
Elle se relève et se retourne pour se mettre en 69. Je suis étonné. D'abord parce que c’est une position que nous ne pratiquons quasiment jamais, préférant nous concentrer sur le plaisir à donner ou recevoir. Et puis surtout parce qu'Aurélie n'aime d'habitude pas que je la lèche après un orgasme. Trop sensible ! Veut elle que je puisse profiter du spectacle ? En tout cas, j'ai désormais une vue imprenable sur le sexe de son compagnon du soir.
« Met moi des doigts. Prépare moi bien pour ta bite », lance-t-elle.
Le langage se fait plus cru.
Elle crache à nouveau, fait glisser sa langue partout sur son gland. Cette langue qui m’excite tellement. Ma femme a une petite bouche. Elle y rentre à peine plus que le gland de Jules. Mais elle fait en sorte qu'il prenne un maximum de plaisir. Sa main gauche serre fort et le branle à fond. Je suis hypnotisé. Je remarque qu'elle porte son alliance et sa bague de fiançailles. Ces symboles de notre couple sont recouverts de sa salive et glissent sur la bite d'un autre. Je n'ose même pas approcher une main de mon pantalon, sous peine de jouir. Rien que le frottement du tissu est à peine supportable.
Je l'entends aussi lui, cracher sur elle. Sa chatte semble trempée.
« Donne moi les capotes », me demande Aurelie.
J'avais complètement oublié que je tenais encore la boite. Je sors un préservatif et le tend à ma femme. La scène est irréelle. Elle se relève à nouveau et donne le latex à Jules. Pendant qu'il s'équipe, je déplace mon siège de l'autre côté, au niveau de la tête de lit. Je veux voir son visage.
Le sexe de Jules est tendu et recouvert de latex. Aurélie est à côté de lui. Elle touche ses petites lèvres, presque de manière automatique. Elle se met au-dessus de lui puis guide son gland vers l'entrée.
« Doucement. Tu as une grosse bite. »
Je me répète, mais le spectacle est toujours plus incroyable. Aurélie se pose doucement sur son sexe. Son visage se déforme. Entre douleur et plaisir, elle descend très doucement. Jules s'enfonce en elle. Centimètre par centimètre. Elle respire de plus en plus fort. Je voudrais l'embrasser à pleine bouche. Elle remonte et descend pour faire rentrer sa queue de plus en plus profondément, toujours très doucement.
« Attend, je vais m'allonger. Prend moi doucement. »
Elle se met sur le dos. Il enfonce doucement son gland. Petit à petit. J'ai l'impression que le temps est arrêté. J'aimerais être à sa place, mais j'adore être à la mienne, comme un spectateur. Je regarde son énorme queue disparaitre doucement dans ma femme. Les aller-retour sont de plus en plus rapides.
« Oui, oui, oui »
Ca y est, Jules a pris possession de ma femme. Il est totalement en elle. Elle place ses mains sur ses fesses. Il accélère de plus en plus. Elle lâche prise et crie ses ordres.
« Baise moi, baise moi ! »
Il y va de plus en plus fort. Ses jambes se serrent autour de lui. Je pense que je n'existe plus pour eux.
Elle s'accroche aux draps. Elle hurle. Voilà le deuxième orgasme.
« Oui ! Oui !!! »
Elle est épuisée. Lui ralentit.
« Allonge-toi, je veux te faire jouir », annonce-t-elle.
Elle remonte sur lui. Cette fois, son sexe rentre tout seul en elle. Elle accélère. Je vois sa queue disparaître et réapparaitre de plus en plus rapidement.
« Laisse toi aller », lui ordonne-t-elle.
Je connais cette demande. Je sais ce qu'elle va faire. Elle ondule son bassin à toute vitesse. C'est elle qui le baise.
Pour la première fois de la soirée, Jules se fait entendre. Il serre ses mains autour de la taille d'Aurelie et crie son orgasme.
Elle a le sourire satisfait qu'elle arbore à chaque fois qu'elle me fait jouir quand je voulais attendre. Elle s'écoule à côté de lui. Je ne peux m’empêcher de voir que son préservatif est bien rempli.
Ils soufflent. Satisfaits.
Personne ne dit rien. Je n'ose toujours pas me toucher. Mais nous apprécions tous la folie du moment qui vient de s'écouler. Combien de temps, d'ailleurs ? Tout ça a semblé durer une éternité, alors qu'il ne s'agissait que de quelques minutes.
« Je vais y aller je pense », nous demanda Jules après avoir repris ses esprits.
Le moment est bien choisi. Il ne faut peut-être pas trop en faire la première fois.
Les deux récupèrent leurs vêtements. Et nous raccompagnons Jules à la porte. En refermant, Aurelie me ramène jusqu'à la chambre.
« Allonge toi à côté de moi. »C'est fait.
« - Tout va bien ? », enchaine-t-elle.
- Oui. Je ne sais pas quoi faire. Je suis tellement excité. Je n'ose pas jouir. J'ai peur de que tout s'écroule. - Tu veux que je te caresse ? » Nouveau hochement de tête. Décidément, je n'arrive pas à articuler grand chose ce soir. Je me déshabille et m'allonge à côté d'elle.
« Merci », me dit-elle alors qu'elle commence à faire glisser très doucement sa main sur mon sexe. « C'était vraiment incroyable. C'était juste du sexe. Mais tu sais que c’est toi que t'aime. Et je t'aime encore... »
Elle n'a pas le temps de finir sa phrase que j'explose. Mon sperme gicle partout sur mon ventre. Je lâche de longs râles.
« Ca va ? »
Plus que la question, c'est son regard qui me rassure. Rien n'a changé.
« Oui. »
Nous voilà officiellement candaulistes.
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Cette incroyable première a eu lieu il y a trois ans maintenant. Depuis, nous avons vécu d'autres belles aventures, que nous tenterons de raconter au mieux ici.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Alors pas d'accord avec l'avis du lecteur précédent car le mari ne "donne" pas sa femme, il lui offre un amant et la possibilité d'être "trompé" sans l'être (trompé, bien sûr) je vous renouvelle mes remerciements pour ce récit bien écrit ce qui ne gâche rien, bien au contraire à 'excitation qu'il nous fait vivre ! Didier
Encore un pauvre type qui prête sa femme non sa pute alors qu il ne prêterait pas sa bagnole certains maris sont vraiment de vulgaires lopettes et leur femme des grosses salopes bonne à faire le trottoir.