La chambre d’hôte. 1/3
Récit érotique écrit par Cocoon66 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La chambre d’hôte. 1/3
J’étais parti en vacances dans le sud, j’arrivais en vue de la chambre d’hôte, c’était une vieille ferme en pierres, retaper. Devant celle –ci une piscine autour de laquelle deux femmes prenaient le soleil. Je me garai dans l’allée près de la piscine. Les deux femmes se levèrent pour m’accueillir. L’une d’elles, 45 ans environ, sûrement la propriétaire, portait un maillot de bain une pièce bleu, elle était brune les yeux bleus, plutôt petite et bronzé. L’autre, je suppose sa fille, la vingtaine, les cheveux longs blonds bouclé, fine et grande, les seins nus, portait un maillot qui ressemblait plus un string rouge. Je sortie de la voiture, m’avança vers elles, leurs tandis la main pour leur dire bonjour.
- Bonjour je suis M. C, vous devez être la propriétaire.
- Oui bonjour ravi de vous accueillir, mais appelez-moi Virginie, voici ma fille Sarah.
Apparemment la mère et la fille n’était pas gêner que celle –ci se présente à moi les seins à l’air. Je ne pouvais m’empêcher de les regarder, petit en forme de poires, des tétons bien rose. Sarah remarqua que mes yeux ne décrochaient pas de ses seins pendant que je parlais à sa mère, mais fit comme si rien n’était.
- Prenez vos bagages, je vais vous montrez votre chambre. Vous avez trouvé facilement ?
- Oui, oui dis-je en ouvrant mon coffre et prenant mes valises.
Sarah ouvrait la marche, suivie de sa mère et moi derrière avec mes valises. Devant la piscine une baie vitrée devant laquelle il y avait une table et des chaises pour les repas extérieurs, au-dessus de la baie un petit balcon donnait sur la piscine. Nous entrâmes, c’était un petit salon attelant à la cuisine.
- C’est ici qu’on prend le petit déjeuner dit Virginie en montrant de la main la table de la cuisine. A partir de 7h jusque 9h.
- Très bien c’est parfait dis-je en regardant Sarah s’asseoir dans le canapé et allumé la télé.
Sa mère est moi continuèrent dans la maison, nous primes un escalier qui nous conduit à l’étage, elle ouvrit une porte.
- Voilà c’est votre chambre, tout en allant ouvrir les rideaux, j’espère qu’elle vous convient.
- C’est très beau rustique et moderne à la foi, je dois dire que vous avez bon gout.
- Merci dit-elle rougissant légèrement. Je vous laisse vous installer, déjeuner de 12h à 14h, diner de 19h à 21h et me prévenir la veille si vous mangez à l’extérieur, s’exclama-t-elle en souriant.
- Très bien encore merci.
Sur ces mots elle quitta la chambre et je m’installai.
Nous nous retrouvâmes pour le diner devant la piscine. Celui-ci fut rapide pour Sarah qui engloutit son assiette, se leva et dis à sa mère.
- Je sors ce soir maman ne m’attends pas, elle embrassa sa mère tourna la tête vers moi souriante, bonsoir M. C.
- Bonsoir et euh vous et votre mère appelez-moi Patrick je vous en prie.
- D’accord bonsoir Patrick.
Et elle fila sur le chemin qui descendait vers la ville. Je restais un moment à bavarder avec sa mère, mais la fatigue du trajet aidant, je quittai la table rapidement pour aller me coucher. Le petit balcon qui donnait sur la piscine était dans ma chambre, je m’y accoudais une minute à la rambarde pour respirer l’air, la bonne odeur du sud et des vacances, puis alla m’écrouler sur le lit.
J’avais laissé la porte du balcon ouverte, il faisait très chaud, je fus réveillé par un bruit de moteur. En slip et en sueur je me levai pour aller voir discrètement. C’était Sarah qui apparemment se faisait raccompagner en scooter.
Elle attira le jeune homme au bord de la piscine, s’assis sur le transat et quand elle commença à défaire la ceinture du gars je me suis cacher en gardant un œil sur ce qui allait de toute évidence se passer.
Elle sorti le sexe du garçon, qui je dois dire, était de bonne taille même s’il bandait déjà. Elle assise dans sa petite robe d’été jambe légèrement écartées, robe relevée en haut des cuisses, où j’aurais pu distinguer sa culotte s’il ne faisait pas si sombre. Elle commença à le branler doucement, le regardant fixement et donnant de petits coup de langue sur le gland. Je bandais devant ce spectacle qu’elle m’offrait avec son ami, très vite j’ai enlevé mon slip trop serré et j’ai commencé à me branler.
Elle le branlait plus fort à présent et engloutit son gland, le suçait, le léchait, le pompait avec envie. Lui debout, raide, la tête légèrement en arrière et par intermittences le regard plongé dans celui de Sarah, émettait des râles de plaisir.
Sarah enleva sa culotte et commença à se caresser tout en continuant à cette fellation d’enfer. J’étais très excité et me branlait assidument. Tout à coup Sarah se leva, se retourna, à genoux sur le transat et remonta sa robe sur son dos. Le garçon compris de suite. Il s’introduit et son râle de plaisir fut synchro avec le gémissement de Sarah sentant le membre raide la pénétrer. Il commença un va et vient soutenu dans la chatte de Sarah qui ne disait mots. Deux minutes après il sorti sa queue et explosa sur les fesses rondes et lisses de la belle.
Elle se releva et d’un ton sec lui dit : - Casses-toi maintenant.
Le garçon pris son scooter et s’enfuit sans demander son reste. J’entendis Sarah rentrer et moi toujours cacher la bite à la main. Je m’allongeai sur le lit pour me faire jouir et m’endormit jusqu’au matin.
Virginie m’avait dit que si je ne m’étais pas la pancarte « ne pas déranger sur la porte », Sarah entrait faire le lit le matin. Je m’en suis rappeler quand nu, sortant de la douche, je me retrouvai face à elle dans la chambre. Elle portait une petite robe d’été jaune avec de gros bouton devant du haut jusqu’en bas. Elle était très mignonne bouche ber devant moi nu comme un ver. J’étais figé, surpris je n’ai même pas eu le réflexe de prendre quelque chose, n’importe quoi, pour cacher mon sexe. Elle n’avait pas l’air gêné et souriait, moi redevenu lucide pris une serviette pour mettre autour de ma taille.
- Je… je suis désolé bafouillant des excuses.
- Non c’est moi je pensais que vous étiez en bas Patrick.
- Je n’ai pas pensé à mettre la pancarte donc c’est ma faute dis-je en gloussant ce qui la fit rire en peu.
- Maintenant que je suis là, je peux faire le lit ?
- Euh, un moment d’hésitation m’envahit.
Elle se dirigea vers le lit, sa question était plutôt une affirmation en fait, mais je repensai à ma branlette de cette nuit et au sperme sur les draps qui n’avait pas eu le temps de sécher dans cette moiteur.
Elle prit le drap à pleine main, pile à l’endroit qu’il ne fallait pas et le relâcha brusquement.
- C’est quoi ça… c’est… elle étouffa un rire, se retourna vers moi, je vais peut-être vous laissez nettoyer ça.
- Je suis désolé.
Arriver à la porte elle se retourna, elle me regardait torse nu une serviette à la taille, je crois qu’elle se repassait l’image de moi nu devant elle, j’avais l’air de lui plaire. Elle regarda sa main, humide de mon sperme, réfléchit un instant.
- Vous vous êtes branlé cette nuit ?
- Pris la main dans le sac, si je puis dire.
- Non, je veux dire, vous m’avez maté avec ce mec et vous vous êtes branlé ?
- Bon, c’est vrai, vous m’avez excité tous les deux, j’ai commencé à me branler, puis le garçon est parti, alors je me suis allongé en pensant à la première vision de tes petits seins quand je t’ai vu la première fois et j’ai jouis.
- Ah vraiment mes petits seins vous plaisent ? dit-elle en souriant avec un air très coquin mordillant son index.
Puis elle sorti de la chambre en riant. Apparemment, elle n’était pas timide. Elle avait laissé la porte entrouverte, je ne l’avais pas vraiment remarqué, encore sous le charme de la demoiselle. La porte s’ouvrit, au moment où je retirais la serviette pour m’habiller, par réflexe je me retournai, la queue à l’air la serviette à la main. Cette fois c’était Virginie et encore une fois je suis resté figer. Elle, par contre, était très lucide, son regard se fixa sur mon sexe.
- Hummm belle engin.
- Désolé la porte était restée ouverte. (en remettant la serviette)
- Pas grave, ça valait le coup d’œil. Dit-elle en riant. Je croyais que Sarah avait fait le lit, mais non, je vais le faire.
- Non, je vais le faire, ce n’est pas grave. L’arrêtant juste à temps.
Elle me regardait, l’air coquin, son regard allait de mes yeux à ma serviette, puis revenait sur mes yeux. Elle retourna vers la porte, la ferma, puis revint vers moi, tout près de moi. Elle posa une main sur ma queue.
- Un si belle engin, pourquoi le cacher sous une serviette ?
- Effectivement, dit je la gorge serrée par sa caresse sur mon membre qui commençait à gonflé.
Elle se jeta sur moi, m’embrassa goulument, suçant ma langue, caressant ma queue. Elle me poussa vers le lit, j’eu juste le temps de prendre le drap d’une main et de le jeter hors du lit, avant de m’écroulé sur celui-ci. Pendant ce temps elle avait écarté la serviette et sorti ma queue déjà raide, elle la serrait fort avec envie. Elle me branla doucement. Elle s’agenouilla, me regarda la bouche devant mon membre érigé devant elle.
- Ça fait longtemps elle me donne envie.
- Régale-toi alors.
Elle posa ses lèvres juste sur le bout du gland, titilla quelques seconde la petite fente avec sa langue, puis glissa le long de ma queue en me regardant d’un air gourmand et avec un « hummm » de plaisir légèrement étouffé par sa bouche emplit de mon membre. De mon côté un râle de plaisir m’échappas tellement cette descente de ses lèvres sur ma queue était bonne. Elle allait et venais avec ses lèvres, c’était de plus en plus chaud de plus en plus humide et bon. Elle la prit avec une main, me branlait lentement, puis plus vite, puis plus lentement à nouveau, pendant que la bouche fermer sur mon gland pompait fort, suçait. Par moment lâchait son étreinte pour que sa langue glisse du sommet de mon gland jusqu’à mes couilles. Elle recommença inlassablement ses gestes sur ma queue toujours plus raide, elle me procurait tellement de plaisir, je n’avais qu’une envie la prendre.
- J’ai envie de toi.
- Prends moi vas-y.
- Je veux te gouter d’abord.
- Non j’ai trop envie prends moi.
Je la déshabillai rapidement, je l’allongeais sur le lit, elle était là, impatiente, jambe écartées, croupe dont les poils luisaient de mouille, offerte. Je vins au-dessus d’elle, les yeux dans les yeux, l’embrassa, le gland à l’entrée de sa grotte.
- Prends-moi.
- Non pas encore.
- Je t’en prie ne me fais pas languir.
- Pourquoi pas dis-je en souriant.
- Entre en… elle fut interrompu par mon membre qui s’introduit d’un coup sec jusqu’au fond et ne put qu’expulser un gémissement long et fort, qui me fit comprendre le plaisir qu’elle ressentait d’avoir un sexe d’homme en elle.
Ses jambes se refermèrent sur mes fesses pour me garder au fond un moment. Elle m’embrassa fougueusement. Je commençais à aller et venir, elle, toujours ses jambes sur mes fesses pour me pousser bien au fond. Ses mains m’empoignaient me tirant vers elle. Plus j’y allais fort, plus elle était déchainée.
- Oui c’est bon, prend moi fort. Aaaahh Ouiiiii…
- Oooh je te savais pas aussi chaude, tu caches bien ton jeu, Ouiiiii…
Un moment j’eu peur que sa fille rapplique tellement elle criait fort. Je me mis sur le dos elle sur moi, je la laissais me baiser. Elle montait et descendait sur ma queue comme une folle. Un premier orgasme la foudroya et m’inonda. Elle tremblait figé sur ma queue, la tête en arrière comme en transe, sa respiration était très rapide. Elle se calma, se redressa m’embrassa.
- Quelle jouissance hummmm.
- Je l’ai senti oui, il devait être très bon c’est orgasme.
Puis elle recommença a monté et descendre comme une folle, elle en voulait encore et j’allais lui donné ce qu’elle voulait.
- Je vais te prendre en levrette.
- Oh oui j’adore dépêche-toi vas-y.
Derrière elle le gland à l’entrée, je pousse fort et entre de tout mon membre, elle crie de plaisir. Je l’attrape par les fesses et commence à la pilonner très fort. Un second orgasme vient la terrasser, sa chatte se contracte fort sur ma queue et je n’ai eu que le temps de me retirer pour jouir sur son cul luisant de sueur et de foutre à présent.
Nous tombâmes épuisés, l’un à côté de l’autre sur le lit. On se regarda en souriant.
- Merci pour ce bon moment c’était inattendu et très bon.
- Oui en effet, je n’ai pas pu résister en voyant ta belle queue.
Elle me donna un baiser, se rhabilla rapidement, et passant la porte de la chambre.
- Je sers le petit déjeuner dans 20 minutes. Dépêche-toi.
- J’arrive.
Après une deuxième douche, je descendis prendre le petit déjeuner.
- Bonjour je suis M. C, vous devez être la propriétaire.
- Oui bonjour ravi de vous accueillir, mais appelez-moi Virginie, voici ma fille Sarah.
Apparemment la mère et la fille n’était pas gêner que celle –ci se présente à moi les seins à l’air. Je ne pouvais m’empêcher de les regarder, petit en forme de poires, des tétons bien rose. Sarah remarqua que mes yeux ne décrochaient pas de ses seins pendant que je parlais à sa mère, mais fit comme si rien n’était.
- Prenez vos bagages, je vais vous montrez votre chambre. Vous avez trouvé facilement ?
- Oui, oui dis-je en ouvrant mon coffre et prenant mes valises.
Sarah ouvrait la marche, suivie de sa mère et moi derrière avec mes valises. Devant la piscine une baie vitrée devant laquelle il y avait une table et des chaises pour les repas extérieurs, au-dessus de la baie un petit balcon donnait sur la piscine. Nous entrâmes, c’était un petit salon attelant à la cuisine.
- C’est ici qu’on prend le petit déjeuner dit Virginie en montrant de la main la table de la cuisine. A partir de 7h jusque 9h.
- Très bien c’est parfait dis-je en regardant Sarah s’asseoir dans le canapé et allumé la télé.
Sa mère est moi continuèrent dans la maison, nous primes un escalier qui nous conduit à l’étage, elle ouvrit une porte.
- Voilà c’est votre chambre, tout en allant ouvrir les rideaux, j’espère qu’elle vous convient.
- C’est très beau rustique et moderne à la foi, je dois dire que vous avez bon gout.
- Merci dit-elle rougissant légèrement. Je vous laisse vous installer, déjeuner de 12h à 14h, diner de 19h à 21h et me prévenir la veille si vous mangez à l’extérieur, s’exclama-t-elle en souriant.
- Très bien encore merci.
Sur ces mots elle quitta la chambre et je m’installai.
Nous nous retrouvâmes pour le diner devant la piscine. Celui-ci fut rapide pour Sarah qui engloutit son assiette, se leva et dis à sa mère.
- Je sors ce soir maman ne m’attends pas, elle embrassa sa mère tourna la tête vers moi souriante, bonsoir M. C.
- Bonsoir et euh vous et votre mère appelez-moi Patrick je vous en prie.
- D’accord bonsoir Patrick.
Et elle fila sur le chemin qui descendait vers la ville. Je restais un moment à bavarder avec sa mère, mais la fatigue du trajet aidant, je quittai la table rapidement pour aller me coucher. Le petit balcon qui donnait sur la piscine était dans ma chambre, je m’y accoudais une minute à la rambarde pour respirer l’air, la bonne odeur du sud et des vacances, puis alla m’écrouler sur le lit.
J’avais laissé la porte du balcon ouverte, il faisait très chaud, je fus réveillé par un bruit de moteur. En slip et en sueur je me levai pour aller voir discrètement. C’était Sarah qui apparemment se faisait raccompagner en scooter.
Elle attira le jeune homme au bord de la piscine, s’assis sur le transat et quand elle commença à défaire la ceinture du gars je me suis cacher en gardant un œil sur ce qui allait de toute évidence se passer.
Elle sorti le sexe du garçon, qui je dois dire, était de bonne taille même s’il bandait déjà. Elle assise dans sa petite robe d’été jambe légèrement écartées, robe relevée en haut des cuisses, où j’aurais pu distinguer sa culotte s’il ne faisait pas si sombre. Elle commença à le branler doucement, le regardant fixement et donnant de petits coup de langue sur le gland. Je bandais devant ce spectacle qu’elle m’offrait avec son ami, très vite j’ai enlevé mon slip trop serré et j’ai commencé à me branler.
Elle le branlait plus fort à présent et engloutit son gland, le suçait, le léchait, le pompait avec envie. Lui debout, raide, la tête légèrement en arrière et par intermittences le regard plongé dans celui de Sarah, émettait des râles de plaisir.
Sarah enleva sa culotte et commença à se caresser tout en continuant à cette fellation d’enfer. J’étais très excité et me branlait assidument. Tout à coup Sarah se leva, se retourna, à genoux sur le transat et remonta sa robe sur son dos. Le garçon compris de suite. Il s’introduit et son râle de plaisir fut synchro avec le gémissement de Sarah sentant le membre raide la pénétrer. Il commença un va et vient soutenu dans la chatte de Sarah qui ne disait mots. Deux minutes après il sorti sa queue et explosa sur les fesses rondes et lisses de la belle.
Elle se releva et d’un ton sec lui dit : - Casses-toi maintenant.
Le garçon pris son scooter et s’enfuit sans demander son reste. J’entendis Sarah rentrer et moi toujours cacher la bite à la main. Je m’allongeai sur le lit pour me faire jouir et m’endormit jusqu’au matin.
Virginie m’avait dit que si je ne m’étais pas la pancarte « ne pas déranger sur la porte », Sarah entrait faire le lit le matin. Je m’en suis rappeler quand nu, sortant de la douche, je me retrouvai face à elle dans la chambre. Elle portait une petite robe d’été jaune avec de gros bouton devant du haut jusqu’en bas. Elle était très mignonne bouche ber devant moi nu comme un ver. J’étais figé, surpris je n’ai même pas eu le réflexe de prendre quelque chose, n’importe quoi, pour cacher mon sexe. Elle n’avait pas l’air gêné et souriait, moi redevenu lucide pris une serviette pour mettre autour de ma taille.
- Je… je suis désolé bafouillant des excuses.
- Non c’est moi je pensais que vous étiez en bas Patrick.
- Je n’ai pas pensé à mettre la pancarte donc c’est ma faute dis-je en gloussant ce qui la fit rire en peu.
- Maintenant que je suis là, je peux faire le lit ?
- Euh, un moment d’hésitation m’envahit.
Elle se dirigea vers le lit, sa question était plutôt une affirmation en fait, mais je repensai à ma branlette de cette nuit et au sperme sur les draps qui n’avait pas eu le temps de sécher dans cette moiteur.
Elle prit le drap à pleine main, pile à l’endroit qu’il ne fallait pas et le relâcha brusquement.
- C’est quoi ça… c’est… elle étouffa un rire, se retourna vers moi, je vais peut-être vous laissez nettoyer ça.
- Je suis désolé.
Arriver à la porte elle se retourna, elle me regardait torse nu une serviette à la taille, je crois qu’elle se repassait l’image de moi nu devant elle, j’avais l’air de lui plaire. Elle regarda sa main, humide de mon sperme, réfléchit un instant.
- Vous vous êtes branlé cette nuit ?
- Pris la main dans le sac, si je puis dire.
- Non, je veux dire, vous m’avez maté avec ce mec et vous vous êtes branlé ?
- Bon, c’est vrai, vous m’avez excité tous les deux, j’ai commencé à me branler, puis le garçon est parti, alors je me suis allongé en pensant à la première vision de tes petits seins quand je t’ai vu la première fois et j’ai jouis.
- Ah vraiment mes petits seins vous plaisent ? dit-elle en souriant avec un air très coquin mordillant son index.
Puis elle sorti de la chambre en riant. Apparemment, elle n’était pas timide. Elle avait laissé la porte entrouverte, je ne l’avais pas vraiment remarqué, encore sous le charme de la demoiselle. La porte s’ouvrit, au moment où je retirais la serviette pour m’habiller, par réflexe je me retournai, la queue à l’air la serviette à la main. Cette fois c’était Virginie et encore une fois je suis resté figer. Elle, par contre, était très lucide, son regard se fixa sur mon sexe.
- Hummm belle engin.
- Désolé la porte était restée ouverte. (en remettant la serviette)
- Pas grave, ça valait le coup d’œil. Dit-elle en riant. Je croyais que Sarah avait fait le lit, mais non, je vais le faire.
- Non, je vais le faire, ce n’est pas grave. L’arrêtant juste à temps.
Elle me regardait, l’air coquin, son regard allait de mes yeux à ma serviette, puis revenait sur mes yeux. Elle retourna vers la porte, la ferma, puis revint vers moi, tout près de moi. Elle posa une main sur ma queue.
- Un si belle engin, pourquoi le cacher sous une serviette ?
- Effectivement, dit je la gorge serrée par sa caresse sur mon membre qui commençait à gonflé.
Elle se jeta sur moi, m’embrassa goulument, suçant ma langue, caressant ma queue. Elle me poussa vers le lit, j’eu juste le temps de prendre le drap d’une main et de le jeter hors du lit, avant de m’écroulé sur celui-ci. Pendant ce temps elle avait écarté la serviette et sorti ma queue déjà raide, elle la serrait fort avec envie. Elle me branla doucement. Elle s’agenouilla, me regarda la bouche devant mon membre érigé devant elle.
- Ça fait longtemps elle me donne envie.
- Régale-toi alors.
Elle posa ses lèvres juste sur le bout du gland, titilla quelques seconde la petite fente avec sa langue, puis glissa le long de ma queue en me regardant d’un air gourmand et avec un « hummm » de plaisir légèrement étouffé par sa bouche emplit de mon membre. De mon côté un râle de plaisir m’échappas tellement cette descente de ses lèvres sur ma queue était bonne. Elle allait et venais avec ses lèvres, c’était de plus en plus chaud de plus en plus humide et bon. Elle la prit avec une main, me branlait lentement, puis plus vite, puis plus lentement à nouveau, pendant que la bouche fermer sur mon gland pompait fort, suçait. Par moment lâchait son étreinte pour que sa langue glisse du sommet de mon gland jusqu’à mes couilles. Elle recommença inlassablement ses gestes sur ma queue toujours plus raide, elle me procurait tellement de plaisir, je n’avais qu’une envie la prendre.
- J’ai envie de toi.
- Prends moi vas-y.
- Je veux te gouter d’abord.
- Non j’ai trop envie prends moi.
Je la déshabillai rapidement, je l’allongeais sur le lit, elle était là, impatiente, jambe écartées, croupe dont les poils luisaient de mouille, offerte. Je vins au-dessus d’elle, les yeux dans les yeux, l’embrassa, le gland à l’entrée de sa grotte.
- Prends-moi.
- Non pas encore.
- Je t’en prie ne me fais pas languir.
- Pourquoi pas dis-je en souriant.
- Entre en… elle fut interrompu par mon membre qui s’introduit d’un coup sec jusqu’au fond et ne put qu’expulser un gémissement long et fort, qui me fit comprendre le plaisir qu’elle ressentait d’avoir un sexe d’homme en elle.
Ses jambes se refermèrent sur mes fesses pour me garder au fond un moment. Elle m’embrassa fougueusement. Je commençais à aller et venir, elle, toujours ses jambes sur mes fesses pour me pousser bien au fond. Ses mains m’empoignaient me tirant vers elle. Plus j’y allais fort, plus elle était déchainée.
- Oui c’est bon, prend moi fort. Aaaahh Ouiiiii…
- Oooh je te savais pas aussi chaude, tu caches bien ton jeu, Ouiiiii…
Un moment j’eu peur que sa fille rapplique tellement elle criait fort. Je me mis sur le dos elle sur moi, je la laissais me baiser. Elle montait et descendait sur ma queue comme une folle. Un premier orgasme la foudroya et m’inonda. Elle tremblait figé sur ma queue, la tête en arrière comme en transe, sa respiration était très rapide. Elle se calma, se redressa m’embrassa.
- Quelle jouissance hummmm.
- Je l’ai senti oui, il devait être très bon c’est orgasme.
Puis elle recommença a monté et descendre comme une folle, elle en voulait encore et j’allais lui donné ce qu’elle voulait.
- Je vais te prendre en levrette.
- Oh oui j’adore dépêche-toi vas-y.
Derrière elle le gland à l’entrée, je pousse fort et entre de tout mon membre, elle crie de plaisir. Je l’attrape par les fesses et commence à la pilonner très fort. Un second orgasme vient la terrasser, sa chatte se contracte fort sur ma queue et je n’ai eu que le temps de me retirer pour jouir sur son cul luisant de sueur et de foutre à présent.
Nous tombâmes épuisés, l’un à côté de l’autre sur le lit. On se regarda en souriant.
- Merci pour ce bon moment c’était inattendu et très bon.
- Oui en effet, je n’ai pas pu résister en voyant ta belle queue.
Elle me donna un baiser, se rhabilla rapidement, et passant la porte de la chambre.
- Je sers le petit déjeuner dans 20 minutes. Dépêche-toi.
- J’arrive.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire qui donne envie de descendre dans des chambres d'hôtes.
Je dirais même plus, histoire très passionnante
Dupont et Dupond
Dupont et Dupond
Histoire trés passionnante
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