La chambre d’hôte. 3/3

- Par l'auteur HDS Cocoon66 -
Récit érotique écrit par Cocoon66 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La chambre d’hôte. 3/3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La chambre d’hôte. 3/3
J’arrivais à la fin de mes vacances. Et quelle vacances, j’avais le soleil du sud et deux femmes à disposition que je baisais pratiquement quand j’en avais envie. Tantôt Virginie, plus expérimentée, sauvage, avide de sexe. Tantôt Sarah, jeune, fougueuse, à la fois soumise et directive, et qui me faisait bander très dur à chaque fois. J’allais déjà avoir de bons souvenirs de ces vacances, mais c’était sans compter sur la petite surprise de départ qu’elles m’avaient concocté. Pendant le diner, la veille de mon départ, Virginie m’avoua que Sarah n’était pas sa fille mais sa belle-fille, mais qu’elle la considérait comme sa fille et la présentait toujours comme telle. Pourquoi ? Me direz-vous, m’avouait-elle cela. Je pense que c’est pour être moins choqué par la proposition qu’elle allait me faire.
- Tu pars demain et Sarah et moi, voulions que tu gardes un souvenir encore meilleur de nous deux.
- Mais tu sais j’ai déjà de très bons souvenirs, de très, très, bons même.
- Tu sais que nous vivons seules ici ?
- Oui en effet.
- Eh bien tu vois les longues soirées d’hiver, quand il fait froid, on se blottit l’une contre l’autre pour se réchauffer. Et un jour nous sommes allées un peu plus loin.
- Non, j’y crois pas, vous deux ?
- Oui, nous deux et nous avons aimez ça, alors de tant en tant quand on n’a pas de mecs sous la main, on s’amuse ensemble.
- Donc si je comprends bien, votre surprise c’est… Je n’y crois pas…- Tu as compris, je te propose qu’on commence toute les deux et après quand tu seras fou de désir on viendra s’occuper de toi.
- Wow, je m’attendais pas à ça, c’est les vacances les plus génial que j’ai passé croyez moi.
Elles se levèrent de table, me demandant de les rejoindre dans la chambre de Virginie dans vingt minutes, le temps qu’elles se préparent. Je trépignais d’impatience, je les avais déjà pour moi chacune leur tour et c’était géant, mais là les deux ensembles, je n’osais imaginer le bonheur que ça pouvait être. Les vingt minutes passé, je montais dans la chambre. Je frappai.
- Entre, nous sommes prêtes.
J’entrai, la chambre était assez grande, un grand lit avec à coté un fauteuil ou Virginie me demanda de m’asseoir. J’y allais, ne pouvant détacher mon regard des deux beautés en face de moi. Elles s’étaient parées pour la circonstance. Sarah portait une robe rouge très courte sans manches, ses jambes étaient gainées de bas noir et elle portait de hauts talons rouges également. Virginie quant à elle, portait une combinaison moulante en cuir noir et de grandes bottes qui montait jusqu’aux genoux. Sa combinaison avait une fermeture sur le devant qui n’était pas fermer à fond bloquant sur le décolleter plongeant qu’elle offrait tellement ses seins étaient mouler sous ce cuir. Je restais bouche ber dans le fauteuil, mes yeux inondés d’images lubrique qui me venait à l’esprit.
- On te plait ? demanda Virginie.
Je n’arrivais pas à parler je fis un signe de la tête, elles se mirent à rire, contente de l’effet qu’elles avaient surement cherché à provoquer. Virginie se mit derrière Sarah, passa ses mains autour de sa taille la planquant sur elle, puis glissa son visage à travers les boucles blondes pour atteindre le cou de Sarah, qu’elle commença à embrasser et titiller avec le bout de sa langue. Remontant doucement sur sa joue, Sarah compris et tourna la tête pour atteindre les lèvres de Virginie. S’en suivi un long baiser, ou les deux femmes se dévorèrent les lèvres et sucèrent leurs langues avec passion. De mon côté je commençais à être serré dans mon slip. Virginie monta une main vers mes petits seins préférer de Sarah, commença à les masser, les presser et les pincer à travers la robe pendant qu’elle l’embrassait avec fièvre. De petits gémissements commençaient à fuser dans la pièce. Sarah mis ses mains sur le cuir chaud et lisse de Virginie, l’attrapant par les fesses, elle plaqua sa chatte sur son petit cul rond mouler sans cette robe rouge. Elles se frottèrent un moment l’une contre l’autre, la respiration haletante, les ronronnements de chattes légèrement étouffés par leur baiser fougueux à présent. Moi je bandais fort. Virginie glissa une main sur le bas de la robe rouge, la souleva et je pus voir la belle chatte lisse de Sarah déjà luisante de mouille surmonté par un porte jarretelle en dentelle noir. Virginie passa sa main sur cette chatte, glissant son majeur entre les lèvres, frottant doucement et récoltant un peu de jus au passage, qu’elle s’empressa de faire gouter à Sarah en lui fourrant ses doigts trempés dans la bouche. Elle les suça se régalant de sa propre excitation.
- Je tiens déjà plus les filles, j‘ai la queue si serré dans mon slip.
- Alors sort là, qu’on la voit se dresser ça va nous exciter encore plus. Mais attention tu n’as pas le droit de te toucher.
Je m’exécutais, sorti mon membre droit comme un « i » tendu à mort par le spectacle qu’elles me proposaient. Virginie fit glisser la fermeture éclair de la robe dans le dos de Sarah, puis ce fut le tour de la robe qui glissa à ses pieds. Face à face, Sarah embrassa goulument Virginie, descendit sur son menton, son cou, pour finir dans le décolleter plongeant, léchant les seins comprimés dans la combinaison moulante. Puis elle leva la tête souris à Virginie et fit glisser également la fermeture éclair, libérant la poitrine nue et ferme pointant en direction de Sarah. Virginie s’assis sur le lit pour que Sarah puisse tirer sur ses bottes, puis sur la combinaison qui résista un peu, enfin elle remit les bottes se doutant qu’elles étaient du plus belle effet sexy sur ses jambes.
Elles se retrouvèrent donc juste parées de botte, de hauts talons et de bas (pour Sarah), nues allongées sur le lit. Sarah se mit sur Virginie, commença à manger ses seins, roulant ses tétons sous sa langue, les mordants, extirpant des gémissants de plaisir à sa partenaire. Elle descendit lentement, faisant glisser sa langue sur son ventre. Arrivé au-dessus de sa chatte, elle commença de petits bisous tout autour, à peine appuyé, faisant le tour d’une cuisse à l’autre.
- Ne me fait pas attendre, mange là.
- Et oui, dit je impatient également, mange là.
Et la bouche de Sarah s’engouffra dans l’entre jambe, Virginie se cambra, électrisé par la bouche qui dévorait ses lèvres, son clito et la langue qui fouillait ses chairs. Elle la mangea un moment, mais ne la fit pas jouir, non pas encore. Elle remonta sa bouche sur le ventre, entre les seins, dans le cou, pour retourner embrasser Virginie dans un mélange de salive et du délicieux jus de son excitation. Pendant qu’elle l’embrassait, Sarah glissa la main sous l’oreiller et en sortit un gode. Elle le fit sucer à Virginie, puis elle le suça également, pour enfin frotter le bouton de Virginie avec. Elle frottait, frottait encore, s’approchant de plus en plus de l’entrée luisante à souhait et elle finit par y engouffrer le gode, suivi par un grand cri de bonheur de Virginie sentant l’engin la pénétrer enfin. Sarah agitait le gode avec vigueur, Virginie se tortillait, gémissait, se cambrait sous les assauts du manche artificielle, tandis que la bouche de sa jeune partenaire continuait son voyage entre ses seins et sa bouche, extirpant des gémissements, des cris pour finir par un orgasme ravageur les cuisses serrées sur la main de Sarah le gode encore à l’intérieur.
- Hummm ma chérie, il était divin cet orgasme, j’imaginais la queue de Patrick qui me fourrait en la regardant si tendue.
- C’est vrai qu’il est tendu le pauvre, on s’en occupe en peu ?
- Allons-y.
Elles se mirent à quatre pattes devant moi, s’approchant avec grâce comme deux petites chattes. L’une saisit ma queue, l’autre mon bermuda et mon slip et les enleva pendant que je retirais mon t-shirt. Je sentais deux langues monter et descendre le long de mon membre, c’était si bon, je ne m’étais jamais fait sucer par deux femmes en même temps. Puis l’une après l’autre elles prenaient mon gland en bouche, le suçait, l’aspirait. De temps à autre, j’avais le gland coincé entre leurs lèvres qui se frôlaient et leurs langues qui titillaient chacun un côté. Ce traitement ne mit pas longtemps à me faire jouir, de longs jets qu’elles prenaient tour à tour dans leurs bouches dans un grand « hummm » de bonheur de gouter à ma liqueur.
Elles finirent de nettoyer mon engin enfin apaisé et s’embrassèrent goutant le sperme sur leur langue respective.
- Bon, vous avez jouis tous les deux à mon tour maintenant, dit Sarah impatiente de gouter au plaisir elle aussi.
J’allais me lever pour participer, quand Virginie me repoussa dans le fauteuil.
- Pas encore, c’est à moi de la faire jouir.
Je n’insistai pas, heureux de les voir à nouveau en plein ébats. Cette fois c’est Sarah qui se mit sur le dos, Virginie commença à sucer ces petits seins en poire, ce qui me fit bander à nouveau. Elle les mordait, tirait dessus avec ses dents sous les gémissements de la belle blonde. Une main s’occupait de sa chatte la frottant, s’attardant sur le clito, tirant sur les lèvres elles aussi gonflées de plaisir. Puis un doigt s’insinua dans le con qui ne demandait que ça, puis deux doigts, puis trois. Sarah se cambrait, se tortillait à son tour comme l’avais fait Virginie sous les assauts de la jeune femme. Elle s’arrêta, les deux mains de chaque côté de la tête de Sarah juste au-dessus d’elle et l’embrassa vigoureusement. Une main glissa sous l’autre oreiller, elle sorti un gode ceinture. J’en croyais pas mes yeux, c’était plus que je n’aurais espérer. Une fois le gode en place, elle le plaça à l’entrée du volcan de Sarah, brulant et faisait couler sa lave sur les draps, il n’allait pas tarder à entrer en éruption. Elle cria violemment quand le gode l’emplit d’un coup sec jusqu’au fond. Puis Virginie commença les allers-retours extirpant des gémissements de plus en plus fort ainsi que des cris de plaisir de la bouche pourtant si menue de la jeune demoiselle. Elle se cambra, submergé par l’orgasme bon et violent qui la traversa le souffle coupé, un silence, puis dans un long râle de bonheur et retomba sur le lit apaisée. C’est là que je compris que les femmes savaient se donner plus de plaisir qu’un homme le pouvait et je me demandais ce que je pourrais leur procurer après ça.

Elles s’étaient mises sur le dos toutes les deux, Virginie avait enlevé le gode ceinture et elles m’avaient laissé une place entre elles, me faisant signe de la main de les rejoindre. Je ne me fis pas prier. J’étais assailli de toutes parts par des baisers sauvages, des mains qui couraient sur mon corps, sur ma bite. A ce stade les préliminaires n’était pas de mise, alors Virginie vint s’empaler sur moi, elle n’avait plus un poil de sec au-dessus de sa grotte. C’était bon de la sentir coulissé jusqu’à ce qu’elle soit assise sur mes cuisses et encore meilleur quand elle commença à monter et descendre sur mon chibre encore humide de leur salive et de mon sperme de toute à l’heure. Pendant qu’elle baisait ma queue, Sarah alternait entre Virginie et moi pour nous donner sa langue à sucer ou ses petits seins adorables. Je sentais le plaisir monter pour ma cavalière, elle commençait à se cambrer en arrière respiration rapide et saccader, pour finalement jouir serrant et inondant ma queue de son jus chaud finissant de trempée mes poils également. Elle se redressa m’embrassa, se retira de ma queue, toujours raide. Et j’entendis.
- Viens pars là maintenant.
C’était Sarah, les cuisses grande ouverte, qui attendait son tour. Elle se frottait le bouton, sa chatte luisait comme le verre au soleil.
- Prend moi fort, comme une bête, défonce moi, je veux que tu te déchaine en moi.
La petite garce allait prendre chère, je m’allongeais sur elle, pesant de tout mon poids, la fourrant jusqu’aux couilles, elle cria. J’allais et venait, mon torse frottant ses petits seins, soufflant dans son cou comme une bête, mon bassin donnait de grands coups, la poussant de plus en plus vers la tête du lit. Elle n’en pouvait plus criait de plaisir, me demandant de la baiser encore plus fort. C’était trop, je sortis ma bite, je criai quand de longs jets de foutre inondaient son petit ventre jusqu’à son visage magnifique et souriant. La garce avait dompté la bête.

Nous restâmes allonger un moment, silencieux, épuisé. Puis je retournai dans ma chambre prendre une douche et me reposer, j’avais de la route à faire le lendemain.
Après un petit déjeuner copieux, je dis au revoir à mes belles, jurant de repasser les voir à l’occasion ou pour des vacances qui sait. En tout cas, ces vacances resteront gravées dans ma mémoire.

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