La Pute. 2/2

- Par l'auteur HDS Cocoon66 -
Récit érotique écrit par Cocoon66 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La Pute. 2/2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La Pute. 2/2
La Pute. 2/2
C'était le jour J, je me dirigeais avec impatience vers l'appartement de Natacha. Avant de nous quitter la veille elle m'avait demandé quel genre de prestation je voulais et aussi ce qu'elle devait porter pour m'exciter. Je lui ai fait comprendre que j'allais la baiser comme un porc que même si je la connaissais, et justement bien au contraire puisque je fantasmais sur elle au lycée, elle allait prendre cher. Je lui ai donc demandé de porter un soutif sexy noir, sans culotte ou string, un haut très décolleté peu importe ce que c'était du moment que l'on voyait apparaître sans soutif, une mini-jupe très courte, un porte-jarretelle et des bas, et soit des talons ou alors des bottes à talon même si celles-ci remontaient jusqu'aux genoux. Je lui faisais confiance pour être très sexy.

Je n'étais plus très loin de chez elle, j’allais avoir 2h avec Natacha, 2h à la baiser, 2h à la fourrer par tous les trous, 2h à jouir un maximum, 2h pour réaliser enfin mon fantasme.

J'étais devant son appartement, je sonnais à la porte. Elle ouvrit, elle était magnifique, elle avait bien suivi mes consignes sur sa tenue, sa poitrine assez grosse était enserrée dans un soutif à dentelle noire qui dépassait d'une chemise blanche elle aussi très près du corps et dont les premiers boutons étaient ouvert. Ses jambes étaient gainées de bas résille, une jupe noire très courte en cuir et des bottines à talon noir également. Elle me sourit, me dit salut et me proposa d'entrer. J'étais comme un fou, très excité, tout en passant la porte j'ai sorti les 500 € en billets de ma poche.

Lorsqu’elle ferma la porte, je la plaquai directement contre le mur. Elle sourit, elle avait compris que je ne perdrai pas une seconde de plus. Je lui glissai les billets dans son soutif et elle me fit signe de la tête que c'était parti pour la baise. Je commençais à l'embrasser goulûment, lui suçant la langue et la faisant tournoyer avec la mienne, elle se mit à sucer ma langue aussi, tout en me caressant le dos avec ses mains douces et chaudes. Moi j'avais une main sous le sein gauche, le malaxant, je soulevais sa jambe de la main droite, caressant sa cuisse, remontant doucement mes doigts sous sa jupe pour caresser son petit cul bandant, tout ça pendant que je lui mangeais la bouche et suçais sa langue.

J'étais super excité, je commençais à faire glisser mes lèvres, d'abord sur sa joue montant vers son oreille que je léchais et mordillais, puis descendit dans son cou, j'étais enivrer par son parfum de femme, son parfum de chienne, son parfum de pute en chaleur. J’arrachais presque son soutif pour y plonger ma tête, j'embrassais et léchais ses seins, suçais et mordillais ses tétons. Ce qui m’excitait beaucoup aussi, c'est qu'elle m'encourageait en paroles à la manger de partout, et ses petits cris de plaisir me faisaient bander comme un âne. Tout en mangeant ses seins, je lui demandais de sortir ma bite, elle ne se fit pas prier, s'exécuta dans la seconde, prit ma bite à pleines mains, et commença à la branler doucement, en l’enveloppant d’une capote sortie de je-ne-sais-où.

- Tu as envie de me la fourrer n'est-ce pas ? dit-elle d'une voix suave.
- Ce n'est pas juste une envie je vais te la mettre maintenant, dis-je en mouillant mes doigts avec de la salive et en les fourrant direct dans sa chatte déjà bien mouillée.
- Aaaah, quel salaud, mais c'est ta queue que je veux, fourre-moi.

Je sortis mes doigts trempés de ça mouille, je lui fourrais dans la bouche pour qu'elle puisse goûter son plaisir, ce qui étouffa son cri quand je la pénétrai d'un coup sec au fond de sa chatte de pute. Elle, plaquée contre le mur, moi, mes deux mains sur ses nichons je la baisais à grands coups de bite, et je ne mis pas longtemps à atteindre la jouissance. En effet après quelques coups de reins violents, je me retirais, arracha la capote de mon sexe, et jouis à grosses giclées sur sa mini-jupe en cuir noir. Elle regarda les traînées blanches de mon foutre épais étalées sur sa jupe puis me lança:
- Et bien mon salaud, tu avais les couilles pleines.
- Waouh, Natacha, oui elles étaient pleines, mais tu es tellement une petite pute bandante que je ne pouvais que jouir rapidement.
- Hummm, merci me dit-elle dans un regard de salope.

Tout cela n’avait pris que 10 minutes, mais je ne comptais pas en rester là, j'avais encore 1h50 à passer avec elle, et je comptais bien jouir partout sur corps et sûrement dans son cul et sa bouche.

- Je vais devoir me changer, tu m'en as mis partout, me dit-elle d’un air lubrique, tu me veux comment ?
- Toute nue, avec tes bottines.
- D'accord, installe-toi sur le lit, je serai juste en face de toi dans la salle de bain tu pourras mater.

Je lui demandais d'être nue, car au lycée j’avais toujours rêvé de la voir nue, et je venais de me rendre compte que pour le moment je n'avais pas pu l'observer toute nue. Il ne me fallut que les quelques pas qu'elle fit pour arriver à la salle de bain pour me mettre nu et sauter sur le lit, je l'avais dans ma ligne de mire et je ne loupais pas une miette du spectacle qu’elle m’offrit.

Elle prit une lingette et essuya le foutre qui glissait doucement sur le cuir de sa jupe. Puis elle enleva sa jupe, retira les billets de son soutif avant de l'enlever, et fini par retirer ses bottines pour enlever ses bas. Elle prit un gant de toilette et lava sa chatte encore trempée et remit ses bottines, s’aspergea d'une petite dose de parfum, se plaça dans l'encadrement de la porte de la salle de bain et me regarda en souriant. Son corps était parfait comme je l'avais imaginé et j'avais encore plus envie d'elle.

- Alors dis-moi, maintenant que veux-tu faire ?
- Mets-toi à quatre pattes chienne, et avance jusqu'à ma queue, et suce-moi.
- Hummm d'accord, je l'ai eu en main tout à l'heure et c'est vrai que j'avais hâte de la prendre en bouche.

Elle s'exécuta, à quatre pattes avançant doucement vers moi qui étais calé confortablement au milieu du lit, jambes écartées, attendant sa bouche. Elle grimpa sur le lit, toujours les yeux dans les yeux avec son regard de salope, elle arriva enfin près de ma queue qui était molle et couverte de sa mouille et d'un peu de sperme.

- Tu vas nettoyer ça salope, je veux qu'elle soit toute propre et bien dur pour te fourrer le cul.
- Ooh tu veux me prendre le cul, hummm j'espère que tu me feras mal.
- A toi de voir, plus ma queue sera dure et gonflée, plus elle déchirera ton petit cul de pute.
- Alors je vais bien la sucer, dans un petit clin d'œil.

Elle la prit en main et commença à lécher le reste de nos sécrétions, elle avait l'air d'aimer le goût de sa chatte sur ma queue. Puis elle entreprit d'alterner léchage et pompage du gland, je ne mis pas longtemps à rebander. Une fois au garde-à-vous, elle lécha mes couilles puis fit remonter doucement sa langue le long de mon dard, puis arrivant sur le frein le titilla du bout de sa langue, pour enfin pomper à nouveau mon gland. J’avais déjà baisé avec des putes, mais jamais aucune ne m'avait pompé comme ça. Elle commença les choses sérieuses faisant glisser ses lèvres jusqu'aux couilles et en pompant fort en les remontant sur le gland. Quand ses lèvres étaient sur mon gland, sa main prenait la relève, branlant ma queue avec force.

Puis elle s'assit sur mes cuisses, sa chatte face à moi, remis une capote, et commença à frotter mon gland sur sa chatte, faisant entrouvrir ses lèvres, puis frotter son clito. Elle s'excita un moment comme ça. Une fois bien mouillée, elle récolta son jus avec ses doigts et commença à masser doucement son petit trou du cul pour l'ouvrir. Très vite elle se fourra un doigt dans le cul, puis deux, et enfin commença à jouer avec mon gland, faisant des allers-retours entre sa chatte pour récolter du jus, et son cul où mon gland forçait et lubrifiait l'entrée. Mais je voulais lui faire mal, alors je n'ai pas entendu que son cul soit bien ouvert, je la prenais donc par les hanches je l'empalais d'un coup sec sur ma queue.

Elle hurla, moi j’eu un cri plaisir, et je l’enculais sans ménagement. Je voyais son corps monter et descendre sur mon dard gonflé à bloc, lui ouvrant et déchirant son petit cul de traînée à chaque va et vient.

- Aaaah oui déchire moi le cul, c’est trop bon t’arrête pas. Aaaah ouuiii.
- Putain t’aime ça en plus trainée.
- Aaaah oui j’adore.

Plus je lui déchirais le cul, plus elle en voulait la putain. Je la fis mettre en levrette, les hanches bien en main, je l'enculais encore et encore poussant ma queue bien au fond tout en tirant au maximum sur ses hanches. Mes couilles claquaient sur son cul chaud et magnifique, c'est gros seins se balançaient au rythme de mes coups de queue. Au bout de quelques minutes, je sortais ma queue, enleva la capote, me branla entre ses deux lobes fessier et jouis dans un grand râle, explosant en gros jets sur son dos et son cul.

- Hummm, je vois que tu as de la réserve de foutre, ça tombe bien car je compte bien en avaler, j’ai très faim.
- Quelle pute tu fais, tu as bien fait de devenir pute, parce que tu es une vraie chienne, une salope comme j’ai jamais vu.
- Merci, me dit-elle en souriant.

Une petite douche s'imposait, nous prîmes donc le temps de se savonner mutuellement sous la douche, une fois sec, j'avais besoin d'être pas mal excité pour remettre ça. Natacha était très belle, donc son maquillage était très léger, elle n'avait pas besoin de ça pour que l'on voit sa beauté. Je lui ai donc demandé de se maquiller comme une grosse chienne avec un rouge à lèvres très vif et voyant. Et aussi de remettre quelque chose de sexy. Moi, toujours nu, je m'assieds par terre au pied du lit, attendant qu'elle soit prête. Elle ouvrit la porte de la salle de bain, son maquillage était parfait, son rouge à lèvres soulignait bien les lèvres de sa bouche à pipe. Elle portait juste des bas résilles noirs, des talons rouges et un petit négligé noir à demi transparent. Elle se dirigea vers la table de nuit, en sortie un plug anal, ainsi qu’un gode réaliste de bonne taille. Elle vint se placer devant moi assise par terre, écarta et releva légèrement ses jambes, posa le gode près d’elle, et entreprit de sucer doucement le plug. Elle me regardait lubriquement, faisant glisser le plug entre ses lèvres rouges, le lubrifiant de sa salive. Puis elle commença à l'introduire dans son cul l'ouvrant par petites poussées. Une fois en place au fond de son fourreau serré, elle commença à lécher son gode, m’aguichant comme la grosse pute qu'elle était.

Je me branlais doucement en regardant le spectacle. Une fois le gode bien enduit de salive, elle frotta le gland entre ses lèvres sans se pénétrer, alternant lèvres et clito, tout en poussant de petits gémissements très excitant. Je voyais la mouille de son excitation commencer à couler plus abondamment et c'est là qu’elle s'enfonça le gode d’un coup sec dans un cri de plaisir. Elle se baisait littéralement avec ce manche en plastique devant moi.

- Ça t'excite mon salaud hein, tu aimerais plutôt que ce soit ta queue qui soit dans ma chatte plutôt que se gode, n'est-ce pas ?
- Tu vas bientôt l’avoir ne t'inquiète pas, mais je veux que tu me suces d'abord.

Elle lâcha son gode, rampa le petit mètre qui la séparait de moi, et goba directement ma queue déjà bien tendue. Son rouge à lèvres m'excitait beaucoup, le voyant monter et descendre avec ses lèvres qui coulissaient le long de mon manche turgescent.

- Tu sais, j'ai encore du foutre pour toi, et cette fois tu vas l'avaler.
- Je n'attends que ça, c'est ce qui me ferait le plus plaisir, j'aimerais que tu baises ma chatte comme la grosse pute que je suis, pour enfin te vider dans ma bouche. Hummm, si tu savais à quel point rien que d'y penser ça me fait mouiller.
- Tu n'es qu'une putain d’aguicheuse, tu vas voir ce que je vais te mettre trainée.

A ces mots, je l’allongeais sur le sol, lui écartais les jambes, son plug était toujours en place, je le sentis à travers la paroi fine entre sa chatte et son cul lorsque je la pénétrais d'un coup sec.

- Aaaah putain, tu es vraiment bonne, dis-je, tout en la labourant sévèrement à couilles rabattues.
- Aaaaah oui, baise-moi comme la dernière des putes, prends-moi comme une chienne, fais-moi mal et donne-moi ton foutre. Aaaah oui, c'est trop bon t’arrêtes pas.

Je limais cette pute de plus en plus fort, encouragé par ses cris de plaisir et ses paroles obscènes digne de la putain qu'elle était. Après l'avoir défoncé comme il fallait pendant quelques minutes, je sentais le jus monter, elle le vit sur mon visage.

- Viens dans ma bouche, je veux ton foutre, viens ouiii.

Je me retirais, à genoux sur le sol, elle se plaça devant ma queue, retira la capote, et me branla les yeux dans les yeux. Son regard de salope et sa branlette experte ne mirent pas longtemps à me faire jouir. Elle, la bouche grande ouverte, moi, explosant en gros jets dans un cri de plaisir que je n'avais jamais eu jusqu'à présent. Mes jets puissants tapaient au fond de sa gorge, elle me regarda bouche ouverte, rempli à ras-bord de ma semence blanchâtre et épaisse, puis l’avala d'un trait dans un “hummm” de gourmandise.

- Hummm, trop bon ton sperme, j'avais très faim, merci.
- Putain la vache, c'est la première fois que je jouis si fort, je n'avais jamais eu autant de plaisir.
- Et bien je suis contente que tu aies eu autant de plaisir avec moi.

Elle finit de nettoyer ma bite avec sa langue et sa bouche, moi j'étais exténué caler contre le bout du lit. Il me fallut un petit moment pour refaire surface. Nous reprîmes une petite douche ensemble et le moment de se quitter fut vite arrivé. Ce qu'il y a de bien surtout maintenant, c'est que je n'aurai plus à chercher d’autres putes, à chaque fois que j'aurais envie de baiser je ferai appel à Natacha.

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