Ma meilleure Saint Valentin. - histoire érotique

Cette année, comme j’étais célibataire je ne comptais rien faire à la Saint Valentin. Et puis, le 13 février, en sortant du boulot, j’ai trouvé une enveloppe rouge sur mon pare-brise. Arrivé chez moi, je l’ai ouverte, il y avait un petit mot et une photo d’une jolie fille.
Le mot disait :
- Bonjour, je m’appelle Vanessa, on se croise de temps en temps, je suis sûre que tu m’as déjà remarqué. Mais au cas où ça ne serait pas le cas, j’ai mis une photo de moi dans l’enveloppe. J’aimerai passer la Saint Valentin avec toi si tu es d’accord. Pour plus d’information, rejoint moi sur Skype, ce soir à 19h. Ou si tu n’as pas Skype écris-moi à cette adresse mail. J’espère que tu accepteras. Bisous. Vanessa.

Intrigué et ravi à la fois, à 19h je me connectais donc sur Skype. Elle apparut magnifique et souriante derrière sa caméra.
- Bonsoir, tu vas bien ? Me dit-elle. Tu es surprit par ma demande ?
- ça va merci et toi. Je suis plus que surprit. D’autant que tu es beaucoup plus jeune que moi.
- Alors tu risques d’être encore plus surprit, par ce que tu vas entendre. Et pour information j’ai 25 ans.
- Ah oui vraiment, que me réserve tu d’autre comme surprise ?

Et elle me raconta que depuis qu’elle a 20 ans, quand elle n’a pas de petit ami, à la Saint Valentin. Elle se trouve un partenaire pour passer la soirée. Mais elle prévient ce partenaire que c’est uniquement pour la Saint Valentin, comme un coup d’un soir en fait, petit diner, baise et un adieu au petit déjeuner le lendemain. Et c’est exactement ce qu’elle me proposait. Je fus surpris par son aplomb à m’avouer cela et à me faire comprendre qu’elle avait hâte de baiser avec moi.

Honnêtement, comment refuser une telle invitation. La soirée ce passa donc chez elle le 14 février, je devais apporter un cadeau qui nous servirait pour prendre du plaisir. A 20h je frappais donc à sa porte. Elle ouvrit, elle était magnifique, son jolie visage entouré de cheveux châtain longs et bouclés, présentant un large et magnifique sourire. Elle portait une magnifique robe rouge assez courte, d’où on devinait le haut de ses bas noir qui guénaient ses longues jambes plantées sur des hauts talons rouges également. Elle me dit bonsoir et me fit signe de la suivre dans le salon. C’est là, derrière elle, que j’ai contemplé pour la première fois ses magnifiques formes fines et élégantes moulées dans cette robe, dont l’échancrure arrière descendait à la naissance de ses fesses, d’où je distinguais le haut de son string noir. La robe fermait par un lacet rouge noué sous ses épaules et descendait le long de sa colonne vertébrale, laissant apparaitre sa peau satinée. Elle me fit m’asseoir sur le canapé et vint s’asseoir près de moi. J’avais une vue imprenable sur son décolleté et la dentelle de son soutien-gorge noir.
- Alors pas trop dessus de me voir en vrai.
- C’est plutôt moi qui devrais te poser cette question. Un homme de 45 ans avec quelques kilos en trop et un physique pas très avantageux, ça ne te fait pas peur ?
- Moi je vois un homme d’expérience, qui s’en nul doute me fera vivre une magnifique soirée. Me dit-elle en posant une main sur ma cuisse et me caressant doucement, comme pour me rassurer.
- En tout cas, tu es magnifique. Tu le sais et tu joues beaucoup de tes charmes, tu as l’air très coquine.
- Coquine ? Certainement. Mais je suis très chienne et parfois très salope, cela dépends de mon partenaire.
- Wow. Tu n’as pas froid aux yeux c’est évident.
Et nous nous mîmes à rire gentiment.

Il y avait un cadeau posé sur la table basse et j’avais posé le sien à côté.
- Mon cadeau doit être ouvert maintenant, me dit-elle, il va te servir toute la soirée.
- Ça tombe bien le mien aussi doit être ouvert maintenant.
J’ouvrais donc le mien et elle fit de même avec le sien. Elle m’avait offert des lunettes, mais pas n’importe lesquelles.
- C’est une paire de lunette avec caméra intégrer, tu pourras ainsi filmer toute la soirée et garder le film en souvenir.
- J’adore l’idée, d’autant que je pense que cette soirée va être mémorable.
- Oh un œuf vibrant ? En ouvrant son cadeau.
- Oui, je me suis dit que je pourrais jouer avec toi durant le diner, car c’est moi qui ai la télécommande.
- Hummm, tu veux me faire vibrer, me dit-elle dans un clin d’œil.
- Oui je suis sûr que tu vas aimer.
- Sans aucun doute. Eh bien fêtons ça, je vais nous chercher un verre de champagne pour l’apéritif, je reviens ne bouge pas. Profites-en pour mettre tes lunettes en marche.
- D’accord.

Elle ne mit pas longtemps à revenir. Nous bûmes une gorgée de champagne. Elle se pencha vers mon oreille et me susurra « J’ai mis l’œuf en place, fait moi vibrer ».
Je ne la laissai pas s’éloigné de mon visage, je mis ma main sous son menton pour l’attirer vers moi et l’embrassa tendrement. Pendant que nos langues se mêlèrent, je mis en route la vibration, niveau 1. Elle sursauta et dans un « hummm » me suça la langue plus goulument.

Nous fîmes un peu plus connaissance entre champagne, baisers et vibrations. Puis vint l’heure de manger. Elle avait préparé une petite table pour 2 personnes, contre le bar de sa cuisine américaine. Très bien décorer, très Saint Valentin. Au cours du diner, elle me racontait qu’elle aimait tous dans le sexe, que jusqu’à présent elle n’avait jamais rien refusé à un homme. Je voyais que ça l’excitai de me raconter ses choses et surtout d’y repenser, alors j’augmentais la vibration au niveau 2, pendant que l’on mangeait l’entrée. Elle poussa un petit cri de surprise et de plaisir. Elle me regarda dans les yeux :
- C’est plutôt puissant ton œuf, hummm je coule littéralement dans mon string et je… (le plaisir l’interrompit un instant), je sens que tu vas me faire jouir pas mal de fois avant la fin du repas. Elle me caressait le dessus de la main en disant cela, puis la serra fort. Ohhh je sens que ça vient hummm oui (toujours me fixant dans les yeux pour me montrer son plaisir), oooohhh ouiiii c’est bon aaaaah.
- Humm tu m’excite à jouir comme ça, petite coquine. Je ralentis la vibration pour lui laisser reprendre ses esprits. Alors mon petit cadeau te plait ?
- Hummm oui il me fait surtout du bien. Je crois que tu n’auras pas besoin de préliminaires tout à l’heure. Mais si tu as envie de déguster un délicieux fruit défendu ne te gêne pas.

Je dois avouer que j’étais moi-même très excité, ma queue était à demi bander dans mon boxer et elle serait bientôt à l’étroit. Vanessa ramena le plat principal. Nous continuâmes notre conversation sur le sexe, je continuais à jouer avec ma télécommande, j’essayais de l’amener au bord de la jouissance puis coupais la vibration pour la faire languir.
- Tu sais à jouer comme ça avec moi, je vais devoir me venger sérieusement.
- Ah oui vraiment, que des mots tout ça.
- Ah ok tu le prends comme ça, privé de dessert alors.
- Oh non pas le dessert.
Et nous partîmes dans un éclat de rire.

Le dessert arriva enfin, c’était une mousse au chocolat, elle avait sorti une bombe de chantilly pour agrémenter. Je montais la vibration progressivement, tout en lui interdisant de commencer son dessert. Je mis de la chantilly sur ça mousse. Pris une belle portion avec la cuillère, je lui agitais sous le nez tout en poussant la vibration au maximum. Et quand la jouissance arriva, je lui glissai la cuillère dans la bouche.
- Ahhhhhhhh Ouiiiiiiiiii humm wow, chocolat et orgasme humm merci c’était délicieux.
- Je t’en prie, j’aime te faire jouir, ça m’excite énormément, je dois te dire que je bande dans mon boxer et que c’est très serré.
- Vraiment, il fallait le dire je vais te mettre à l’aise.

A ces mots elle prit la bombe de chantilly, recula sa chaise se mit à quatre patte sous la table. Je reculai ma chaise également et vit sa tête apparaitre entre mes jambes. Elle me regarda, ouvrit ma ceinture lentement, tira doucement sur la braguette pour l’ouvrir, elle me faisait languir à son tour. Descendit légèrement mon pantalon.
- Eh bien tu ne mentais pas, tu es serré dans ton boxer. Dit-elle en frôlant ma queue du dessus de sa main qui m’excitait encore plus.
- Humm tu sais faire bander un mec il y a pas de doute ma belle.
Elle continuait son petit jeu de ma faire languir, me fixant, son regard était intense et cela devenait plus un regard de salope. Ça paume frottait ma queue doucement à présent, elle passait sa langue sur ses lèvres. J’avais qu’une envie c’est qu’elle la sorte et s’en occupe.
- Hummm j’ai très envie de jouer la salope avec toi ce soir quand dis-tu ?
- Euh humm (la gorge noué par sa main qui me caressait), eh bien attention à toi, car avec les salopes j’y vais sans ménagement.
- Peut-être que c’est ce que je veux ?
- Alors tu l’auras. Sors là.
- Humm oui donne-moi des ordres.

Elle s’exécuta, la sortie, la tapa sur sa langue sortie de sa bouche avec son regard lubrique, humm j’étais si raide. Elle commença à gober mon gland à l’aspirer à en creuser ses joues. Puis descendit doucement le long de ma queue, elle l’avait entièrement dans sa bouche à s’étouffer, puis la ressortie dans un bruit de succion.
- Hummm elle est bonne, mais il manque quelque chose.
Elle prit la bombe de chantilly, en aspergea le gland et tout le long de mon membre. Elle me fixa donna des petits coups de langue pour prendre un peu de chantilly à chaque fois. Puis elle goba mon gland comme une affamée et la chantilly avec. J’en pouvais plus, jamais on ne m’avait taillé une pipe comme ça. Elle sortit ensuite sa langue et vint lécher la chantilly qu’il y avait le long de ma queue, dans un mouvement lent du haut jusqu’aux couilles, avec toujours se regard de salope.
- Voilà comme ça c’est bien meilleur. Mais tu sais ce que j’aime aussi.
- Dis-moi.
- Le sperme, hummm j’adore ça.
- Eh bien si tu continues comme ça tu vas en avoir.
- D’accord alors je vais te faire jouir une première fois comme ça tu me baiseras plus longtemps après.
- Hummm petite salope.
- Merci. Dans un clin d’œil.
Elle remit mon gland en bouche et me pompa et me suça si fort qu’en 2 minutes, je lui criais :
- J’arrive Aaaaaaaaaaah.
Elle se mit à me branler la bouche ouverte, les 2 premiers jets de foutre elle les prit au fond de la gorge, ensuite ça main à bouger et elle a pris le reste sur sa jolie frimousse. Moi je beuglais de plaisir à chaque jets, à chaque mouvement de sa main qui me vidait les couilles. Puis elle recommença à me sucer pour ne perdre aucunes gouttes.
- Ah wow c’était si bon, hummm.
- Tu as aimé me dit-elle en donnant de petits coup de langue sur mon gland.
- Oui je sens que je vais passer une nuit géniale avec toi.
Je recueillais le sperme sur son visage avec un doigt et lui faisait lécher.
- Hummm t’aime ça petite chienne.
- Oui j’adore et plus encore quand tu m’insultes.
Je pris une serviette en papier sur la table et lui essuya les dernières trace de ma jouissance de son visage.

Puis je l’ai tiré vers moi pour l’embrasser goulument, j’en profitais pour dénouer le lacet dans son dos, descendre sa robe à sa taille, dégrafer son soutien-gorge. Pendant que nous langues se mêlaient, je pinçais ses tétons maintenant libres de leur prison de dentelle, je les faisais rouler sous mes doigts et de petit gémissement étouffés par nos baisers me tintaient aux oreilles.
- Tu aimes ça ? ça t’excite. Tout en malaxant ses seins à pleines mains à présent.
- Hummm oui chauffe moi encore plus, je vais tellement te vider les couilles que tu en auras mal.
- Tu me cherches petite salope tu vas voir.
A ces mots, je la fis relever entre mes jambes, puis l’assit sur le bord de la table. Je fis glisser mes mains le long de ces cuisses pour remonter sa robe, elle écarta les jambes naturellement. J’écartais le string et découvrit la ficelle de l’œuf vibrant qui dépassait de sa chatte. Je remis la vibration au maximum et m’amusais à entrer et sortir l’œuf avec la ficelle.
- Humm ouiiii, c’est bon continue.
- J’ai un truc plus gros à mettre tu sais.
- Oh oui je sais, mais je sais aussi que tu vas me faire languir avant de mettre ta grosse queue.
Je continuais à jouer avec l’œuf une minute ou deux, en écoutant ses ronronnements de chatte excitée. Enfin je le retirai, enleva son string trempée en le faisant glisser le long de ses longues jambes. Je lui collai son string dans la bouche.
- Sens ton odeur de petite chienne.
- Hummm baise moi.
- Pas encore.
J’engouffrais ma tête entre ses jambes pour déguster ce fruit défendu si juteux et appétissant. Ma bouche se colla sur ses lèvres aspira son jus qui coulait, puis ma langue la lécha du trou son cul jusqu’au clito dans un mouvement lent et appuyer. Elle commençait à se tortiller à gémir. Je titillais son clito, le suçais, le mordillais. Puis ma langue se mit à ouvrir le passage pour ma bite. Humm elle était délicieuse, je la baisais avec ma langue.
- Bouffe moi ouiiii ohhhh vas-y salop. En appuyant sur ma tête pour m’empêcher d’arrêter.
Je la mangeai goulument jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ma bouche dans un petit cri aigu.

Je remontais doucement en passant ma langue sur son nombril, son ventre, ses seins, pour atteindre sa bouche et lui faire gouter son jus après avoir enlevé son string de là. Je l’embrassais pendant que mes doigts continuaient à caresser sa chatte. Puis je pris ma bite d’une main, arrêta de l’embrasser, la regarda dans les yeux et m’introduit d’un coup sec au fond de sa grotte. Elle poussa un cri, je restais planté là un moment.
- Aaaah salop, comment tu me la mise hummm.
- Je vais te baiser maintenant. Dis-je droit dans les yeux.
- Vas-y j’attends que ça.
Les deux mains sur la table, elle ses bras autour de mon cou, je la pilonnais sans ménagement. Elle criait à chaque coup de queue, qui étaient de plus en plus fort et de plus en plus profond. Je la tenais par les hanches à présent et la tirais vers moi en même temps que j’enfonçais ma queue.
- Aaah oui continue, c’est trop bon, baise moi.
- Aaah oui t’as raison c’est trop bon, tu es bonne ma petite salope. Prends ça. Aaah.
- Je vais… Je… Aaaaaaaaaaaaah Ouiiiiiiiiiiii
Je sentis sa chatte se contracter sur ma queue et son jus coulé quand elle eut un orgasme foudroyant. Son corps se cambra, resta immobile un moment, puis elle s’apaisa. Elle me regarda dans les yeux avant de me donner un baiser très tendre, dans un « hummm » de bonheur. Je continuais à coulisser doucement dans sa chatte pendant qu’elle m’embrassait, c’était divin.
- Prend moi en levrette, fais-moi jouir encore.
- Oui une bonne levrette.
Elle se leva remonta bien la robe sur ses hanches, me tourna le dos. Je la gardais debout, fit tourner sa tête vers moi pour l’embrasser. Et pendant que nos corps étaient collé, je trouvai l’entrée de sa chatte et poussa ma queue d’un coup au fond. Je la baisais doucement dans cette position un moment. Ensuite elle se pencha en avant les 2 mains sur la table.
- Vas y prend moi fort maintenant comme la salope que je suis.
Je n’ai pas demandé mon reste. Je l’agrippais par les hanches et tapais dans le fond de cette petite chatte aussi fort que je pouvais. Elle criait si fort que j’ai eu peur que les voisins appellent la police. Après quelques minutes de ce traitement, elle jouit à nouveau et s’affala les seins dans ma mousse au chocolat que je n’avais même pas mangé. Et pour cause, j’avais un meilleur dessert sous la main. Quand elle eut repris ses esprits, elle se retourna vers moi.
- Tu vas jouir ? Je veux encore de ton foutre.
- Tu vas me faire jouir avec tes seins.
- Humm oui.
Elle se mit à quatre pattes la nuque caller contre le rebord de la table. Je lui glissais ma queue entre ses seins enduit de mousse au chocolat. Elle me branla avec ses seins en enserrant bien ma queue.
- Aller viens donne-moi tout vas-y, hummm, je veux du sperme.
En 2 minutes elle me fit jouir à nouveau. Et quelle jouissance hummm, j’explosais entre ses seins dans un cri rauque, pendant que mes jets de foutre allaient lui tartiner le visage. Elle en récupéra un peu avec sa langue autour de ses lèvres.
- Hummm décidément tu sais comment me faire plaisir. Dit-elle, toujours avec son air de salope.
- Wow, tu m’as vidé, quelle baise.
Nous allâmes nous affaler dans le canapé nous reposer un moment. Mais nous ne nous sommes pas arrêtés là. On a baisé toute la nuit, sur le canapé, contre le mur du couloir qui mène à sa chambre, dans son lit et le lendemain matin sous la douche avant le petit déjeuner. Et on s’est quitté avec un petit baiser sur le pas de la porte. Je ne pense pas que l’on se reverra un jour, mais quelle saint Valentin…