LA CLINIQUE DES PLAISIRS
Récit érotique écrit par Rosenoire02 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 11 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Rosenoire02 ont reçu un total de 117 895 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 720 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
LA CLINIQUE DES PLAISIRS
Coucou me revoilà pour vous faire rêver avec une nouvelle aventure. En fait, il y a
quelques temps, j’ai fait un rêve érotique. Je vais donc vous raconter ce rêve à
travers une histoire érotique.
Dans ce rêve, j’étais étudiante en secrétariat médical et je devais effectuer
un stage pour valider mon diplôme. Justement dans ma ville, il y avait une clinique
pédiatrique privée, située entre chez moi et mon école. J’ai effectué les démarches et
j’ai pu faire mon stage dans cette clinique.
Après quelques jours de stage, je me suis très vite intégrée à toute l’équipe
médicale et administrative. J’étais supervisée par une secrétaire qui allait prendre
sa retraite, et si mon stage se passait bien, je pourrais obtenir son poste.
Dans cette clinique pour enfants, il y avait un chirurgien pédiatre absolument
sexy. C’était le docteur T. Davis. C’était un jeune médecin britannique qui était venu
en France pour faire ses études de médecine et qui a obtenu un poste dans cette
clinique près de chez moi.
Il était grand, brun avec un regard bleu très intense, il avait de grandes
mains très masculines et très douces. Son sourire était irrésistible, quand il
souriait, une légère fossette se dessinait sur ses joues. Il me faisait craquer.
Avec les enfants, il savait s’y prendre, il était doux, attentionné, il les
faisait rire pour leur faire oublier qu’ils étaient à la clinique. Quand il s’occupait
des enfants, il le faisait vraiment, il venait les voir avant les opérations, pendant
leur repos, il était très attentif à ses petits patients. Je me disais toujours que
s’il s’occupait si bien des enfants, avec les femmes, il devait être merveilleux.
Mon stage se déroulait à la perfection. Un jour après une opération, je suis
allée voir le docteur pour lui demander une lettre de recommandation pour mon diplôme.
- Docteur, puis-je vous déranger quelques instants ?
- Mallaury, c’est ça ?
- Oui, Docteur.
- En fait, j’ai une réunion dans 10 minutes, on peut se voir plus tard ?
- Oui bien sûr, je viendrais vous voir plus tard.
Sa voix était chaude, très virile et captivante. Ses mots étaient posés, il
parlait simplement pour un chirurgien réputé. Je commençais à connaître ses habitudes,
il devait être célibataire, il ne portait pas d’alliance et il veillait très tard à la
clinique, parfois même, il dormait sur le canapé de son bureau.
Il me restait une semaine de stage, le temps avait passé très vite. Comme il
me restait peu de temps dans cette clinique après un mois de stage, je devais
absolument voir le docteur Davis pour ma recommandation. Un jour, le soir après la
fermeture de la clinique aux visites, mon très sexy chirurgien était resté à son
bureau pour préparer ses prochaines interventions chirurgicales.
Moi de mon côté, il me restait des dossiers médicaux à archiver, je décidai de
rester un peu plus tard pour finir mon travail, et je ne regrette pas du tout d’être
restée plus longtemps à la clinique.
Avant de commencer mon archivage de dossiers, je suis allée voir le docteur
Davis dans son bureau. Dans les couloirs, tout était paisible, aucun bruit ne se
faisait entendre. Je me suis dirigée vers le bureau de mon docteur préféré. J’ai
frappé à sa porte.
- Entrez !!!
Je suis entrée timidement dans le grand bureau qui était éclairé juste par une
lampe de bureau à la lumière tamisée.
- Mallaury, vous êtes encore à la clinique à cette heure-ci ?
- Oui, Docteur, tout comme vous, j’ai des dossiers à archiver, alors je suis
restée ce soir pour m’avancer.
Un léger sourire très espiègle se dessina sur les lèvres charnues bu beau
docteur. Je me suis retrouvée très attirée par son regard et son sourire coquins.
J’étais séduite par son charme naturel et animal. Il se leva et s’approcha
langoureusement de moi, je ne pouvais plus bouger, j’étais prise au piège, attirée par
cet homme absolument torride.
Il me colla le long de la porte, nos deux corps de frôlaient, je me sentais
défaillir. Je sentais son parfum très masculin et sensuel m’envahir. Soudain, il prit
la parole :
- En quoi puis-je vous aider très chère Mallaury ?
- J’ai une lettre de recommandation à vous faire remplir.
Il prit mon dossier, le déposa sur le bureau et me dit :
- Laissons les dossiers pour ce soir, et si on s’occupait de nous ?
A ces mots, je savais que nous allions passer un très bon moment tous les
deux. Moi, je portais ma blouse de secrétaire, un chemisier blanc avec un pantalon
fluide noir et juste en dessous, ma lingerie. Je portais un ensemble guêpière – string
en dentelle blanche, avec des bas noirs et de grandes bottes noires. Lui, portait un
jean avec une chemise noire qui lui donnait un air très détendu mais à la fois très
viril.
Il se rapprocha de moi à nouveau, il posa ses mains sur mes épaules, il
approcha ses lèvres des miennes pour m’embrasser, mes lèvres tremblaient. Son baiser
était langoureux, ses lèvres étaient chaudes et légèrement sucrées. C’était un vrai
délice de l’embrasser. Tout à coup, je sentis ses mains glissaient sur ma blouse qu’il
déboutonna très sensuellement. Il laissa glisser ma blouse qui tomba au sol. Il
dégrafa ensuite mon chemisier bouton par bouton, qui tomba aussi au sol, puis il fit
glisser mon pantalon sur mes hanches.
J’étais à présent en lingerie devant lui. A mon tour, je lui donnai un baiser
tout en déboutonnant sa chemise. Je scrutais son corps dans les moindres détails. Il
était parfait, bien musclé, son torse était taillé en V avec des épaules larges et
réconfortantes, ses bras étaient doux et protecteurs. A présent, il me caressait à
travers ma lingerie, il me glissa quelques mots à l’oreille :
- Tu es très désirable, et ce genre de lingerie me rend fou.
Je me sentis rougir à ces paroles.
- Mais au fait, je ne connais toujours pas ton prénom.
- Théo !
- Enchantée Théo !
- Enchanté Mallaury !
Ses caresses étaient douces et sensuelles, je frémissais à chaque mouvement de
ses mains sur mon corps bouillant. Moi je caressais son torse, ses épaules. Je
descendis mes mains sur son ventre et il eut un sursaut, je venais de le chatouiller
avec mes caresses, il me sourit pour montrer sa faiblesse. Je descendais de nouveau
mes mains et je dégrafai le pantalon du beau Théo. Son jean tomba à ses pieds, il
portait un boxer blanc qui mettait très bien en valeur ses fesses rebondies et fermes.
Lui, de son côté, il ôta une à une les agrafes de ma guêpière pour libérer ma
poitrine gonflée par l’excitation. Il se baissa à mes genoux, il enleva mes bottes,
puis il remonta ses mains sur mes jambes par-dessus mes bas, il enleva mes jarretières
puis il fit glisser mes bas très sensuellement, l’un après l’autre, il termina son
effeuillage par mon string qu’il fit descendre avec ses dents, c’était tellement
torride, que je commençais à jouir rien qu’avec le fait qu’il me déshabille d’une
manière si excitante.
Après m’avoir dévêtue de ma lingerie, il remonta ses mains tout le long de mon
corps, ses caresses me faisaient de plus en plus frémir. Je n’avais qu’une seule
envie, sentir son corps profondément en moi. On était maintenant nus tous les deux,
dans le bureau, il y avait une chaleur étouffante qui nous empêchait pas de nous
coller l’un à l’autre.
Comme Théo avait pris les devants en me déshabillant, je décidai de commencer
les préliminaires pour lui montrait qu’il n’était pas le seul à prendre des
initiatives. Je lui glissai quelques mots à l’oreille :
- Détends-toi, je vais m’occuper de toi.
A ces mots, je me baissai pour me mettre à genoux sur la moquette du bureau.
Théo me regardait faire, il avait l’air impressionné que je prenne les devants, mais
en même temps, cela avait l’air de lui faire plaisir. Je commençai par caresser son
torse, je titillais ses tétons avec mes doigts que j’avais enduits de salive, puis mes
mains descendirent sur ses hanches et s’attardèrent sur les jolies fesses du docteur.
Après quelques caresses et quelques légères griffures sur ses fesses,
j’approchai mes mains de son sexe qui était légèrement en érection. Je commençai à le
branler d’une main, et avec l’autre, je lui caressai les cuisses, les fesses et ses
couilles. Je levai les yeux pour le regarder et je remarquai qu’il avait fermé les
siens, il avait l’air d’apprécier car il souriait sous l’effet de mes caresses.
Tout à coup, j’approchai ma bouche de sa queue un peu plus dressée, je
décalottai son gland et je l’embrassai et Théo eut un sursaut. Il baissa les yeux, me
regarda et me sourit. Je pris sa queue en bouche et je commençais à le sucer doucement
avec sensualité, tout en continuant de le branler d’une main et de jouer avec ses
couilles de l’autre.
J’accélérai les mouvements de ma fellation et Théo commença à gémir de
plaisir, je le sentais trembler sous mes caresses buccales. Tout à coup, il m’arrêta
et me releva et me dit :
- Donnes-moi ton corps, j’ai envie de te donner autant de plaisir que tu viens
de me procurer, tu fais cela si bien.
- Merci, alors d’accord, je te laisse me donner du plaisir et t’occuper de mon
corps.
Il m’attrapa par la taille et ma plaça assise sur son bureau. Il approcha sa
bouche de mes seins qu’il embrassa tendrement. Mon corps frémissait sous sa langue
chaude et douce, qu’il faisait glisser sur mes tétons durcis par le plaisir. Théo
était tendre dans ses caresses, je me sentais défaillir. Il jouait avec mes tétons, il
léchait mes seins très sensuellement. Ses mains glissèrent sur mon ventre et mes
reins, à son tour, il trouva mon point de faiblesse car il venait de me chatouiller au
creux des reins.
Il se mit à genoux, il m’embrassa les pieds puis remonta le long de mes jambes
en me mordillant. J’adorai ce qu’il était en train de faire. Arrivé à la hauteur de
mon intimité, il s’arrêta et me regarda avec un air des plus coquins. Il commença par
embrasser le haut de mon pubis, puis le creux de mes cuisses. Tout à coup, je sentais
sa langue qui glissa sur mes lèvres. Avec ses doigts, il écarta mes lèvres pour
pouvoir jouer avec mon clitoris plus facilement.
Quand il attrapa mon clito gonflé entre ses lèvres, je sursautai sur le bureau
tellement c’était bon et excitant. Il le faisait tourner sur sa langue, il l’aspirait
pour le faire encore gonfler. Soudain, je sentis qu’il pénétrait mon intimité avec ses
doigts. Ses va-et-vient se faisaient de plus en plus rapides mais toujours aussi
précis, j’étais trempée sous l’effet intense de ses doigts en moi.
Après ces quelques va-et-vient de ses doigts, il approcha sa langue et
commença à me faire un cunni des plus divins. Je gémissais à chaque passage de sa
langue sur ma chatte, pendant qu’il me donnait du plaisir, je me caressais les seins
d’une main et je lui caressais les cheveux de l’autre. Soudain, j’eu un sursaut plus
fort, je venais de jouir avec cet excellent cunni. Il se releva et vint m’embrasser.
- Visiblement, je t’ai donné du plaisir ?
- Oh que oui, c’était tellement bon, je n’ai pas pu me retenir.
A ces mots, il m’attrapa par la taille, avança mon bassin sur le bord du
bureau et me pénétra de sa queue dressée. Il était doux dans sa pénétration, je
m’accrochai à son cou pour mieux me coller à lui, pour intensifier la pénétration. Mes
jambes entouraient son bassin, notre étreinte était des plus tendres.
Tout à coup, il me porta tout en continuant sa douce pénétration. Il
s’asseyait sur le canapé, on se posa confortablement, mes jambes étaient posées sur le
côté des siennes. Je commençais à bouger mon corps pour intensifier les mouvements.
Mes mains caressaient son torse. On s’embrassait en même temps tellement nos corps
étaient proches dans cette position.
Il glissa ses mains sur mes fesses pour aider mes mouvements, il malaxait mes
fesses avec détermination, de mon côté, je bougeais de plus en plus vite, Théo déposa
sa tête sur le haut du canapé et commença à gémir comme j’aime chez un homme. A ce
moment, d’un mouvement rapide et d’une force incroyable, il me retourna en levrette
sur le canapé, il me repénétra, mais cette fois-ci plus sauvagement, je lâchai un
gémissement plus intense qu’auparavant.
Il accéléra ses mouvements, il me tenait ferme par les hanches, j’adorai ça,
cela devenait bestial, je ne tenais plus, je jouissais pour la seconde fois mais j’en
voulais encore et Théo était très endurant, notre levrette était torride à tel point
que l’on transpirait tous les deux.
A un moment, pendant cette chaude levrette, il me donna une fessée, je tournai
la tête pour le regarder et il me sourit et me regarda très virilement. De temps en
temps, dans mes rapports, j’aime être sauvage, une fessée pendant l’amour n’a jamais
tué personne. Il se pencha vers moi pour m’embrasser dans le cou très langoureusement,
et il prononça quelques mots :
- Excuses-moi de te dire ça aussi crûment, mais j’ai très envie de te la mettre
dans le cul !
- Ah oui, en effet c’est cru, mais si tu en as envie, fais-toi plaisir, j’aime
ça aussi, ne t’inquiète pas, par contre ne le fais pas à sec.
- Ne t’inquiète pas, je vais faire ça bien, tu ne sentiras rien, enfin presque.
Il se retira de moi, il glissa quelques doigts entre mes lèvres trempées de
mouille puis il remonta entre mes fesses, il fit glisser un doigt dans mon anus, je me
cambrai sous l’effet de son doigt dans mon intimité profonde et plus serrée. Il
cracha entre mes fesses pour faciliter l’ouverture, il entra deux doigts de plus pour
pouvoir y entrer sa queue après.
Je ne sentais presque rien tellement il était doux dans ma préparation anale.
Malgré une petite douleur, je gémissais sous ses caresses. Soudain, il approcha sa
queue en érection de mon cul, il enduisit son gland de salive pour mieux entrer en
moi. Je sentais son gland qui entrait en moi.
- Théo, vas-y doucement pour le début.
- Ne t’inquiète pas, si tu veux arrêter, dis le moi et j’arrêterais.
- Non, vas-y mais très doucement s’il-te-plaît !
Il guida sa queue avec sa main pour ne pas être trop brute. Son gland était
entièrement rentré et je sentais à présent sa longue queue entrait au plus profond de
moi. Je m’agrippais à l’accoudoir du canapé tout en commençant à me détendre sous
cette sodomie sensuelle. Théo avait changé de comportement, après avoir été sauvage et
viril dans la levrette précédente, là, pendant celle-ci, il était doux, très calme
dans ses mouvements.
Il avait presque entièrement entré sa queue en moi, il commença des va-et-
vient très sensuels et très doux. Il déposa ses mains sur mes hanches qu’il caressait
en même temps que sa pénétration, moi je m’étais enfin relâchée et je prenais enfin
mon pied avec une sodomie pratiquée dans les règles.
Il remarqua que je me laissais de plus en plus allée et que je jouissais pour
la troisième fois. Après mon troisième orgasme, Théo se retira et vint jouir sur mes
fesses. Il cracha son sperme chaud en gémissant de plaisir.
Nous sommes ensuite passés à la douche pour nous nettoyer et pour refroidir
nos corps échauffés par cette étreinte torride. Après la douche, nous nous sommes
posés dans le canapé, enlacés dans une couverture qui était posée sur le canapé.
- Merci Mallaury, pour ce merveilleux moment de plaisir, tu sais t’y prendre
pour faire jouir un homme, tout ton corps est fait pour le plaisir.
- Merci à toi Théo, j’ai découvert un homme à la fois tendre et viril comme
j’aime.
- Au fait, ton dossier concerne quoi exactement ?
C’est vrai que j’étais venue avec un dossier que j’avais totalement oublié
grâce à Théo.
- C’est mon dossier d’agrémentation pour mon diplôme à la fac. J’ai une lettre
de recommandation à te faire signer.
- Donnes-moi ta lettre que je la signe et demain tu passeras au bureau pour
signer ton contrat.
- Mon contrat, quel contrat ?
- Ton contrat de travail à mi-temps dans ma clinique en tant que mon assistante
personnelle. Tu es une secrétaire très douée et je ne te parle pas uniquement de tes
dons pour donner du plaisir mais aussi de ton professionnalisme et ta grandeur d’âme.
PS : J’ai donc été embauchée dans la clinique du beau docteur Davis avec qui je
continue d’entretenir des relations torrides dans son bureau.
A LA PROCHAINE !!!!!!
quelques temps, j’ai fait un rêve érotique. Je vais donc vous raconter ce rêve à
travers une histoire érotique.
Dans ce rêve, j’étais étudiante en secrétariat médical et je devais effectuer
un stage pour valider mon diplôme. Justement dans ma ville, il y avait une clinique
pédiatrique privée, située entre chez moi et mon école. J’ai effectué les démarches et
j’ai pu faire mon stage dans cette clinique.
Après quelques jours de stage, je me suis très vite intégrée à toute l’équipe
médicale et administrative. J’étais supervisée par une secrétaire qui allait prendre
sa retraite, et si mon stage se passait bien, je pourrais obtenir son poste.
Dans cette clinique pour enfants, il y avait un chirurgien pédiatre absolument
sexy. C’était le docteur T. Davis. C’était un jeune médecin britannique qui était venu
en France pour faire ses études de médecine et qui a obtenu un poste dans cette
clinique près de chez moi.
Il était grand, brun avec un regard bleu très intense, il avait de grandes
mains très masculines et très douces. Son sourire était irrésistible, quand il
souriait, une légère fossette se dessinait sur ses joues. Il me faisait craquer.
Avec les enfants, il savait s’y prendre, il était doux, attentionné, il les
faisait rire pour leur faire oublier qu’ils étaient à la clinique. Quand il s’occupait
des enfants, il le faisait vraiment, il venait les voir avant les opérations, pendant
leur repos, il était très attentif à ses petits patients. Je me disais toujours que
s’il s’occupait si bien des enfants, avec les femmes, il devait être merveilleux.
Mon stage se déroulait à la perfection. Un jour après une opération, je suis
allée voir le docteur pour lui demander une lettre de recommandation pour mon diplôme.
- Docteur, puis-je vous déranger quelques instants ?
- Mallaury, c’est ça ?
- Oui, Docteur.
- En fait, j’ai une réunion dans 10 minutes, on peut se voir plus tard ?
- Oui bien sûr, je viendrais vous voir plus tard.
Sa voix était chaude, très virile et captivante. Ses mots étaient posés, il
parlait simplement pour un chirurgien réputé. Je commençais à connaître ses habitudes,
il devait être célibataire, il ne portait pas d’alliance et il veillait très tard à la
clinique, parfois même, il dormait sur le canapé de son bureau.
Il me restait une semaine de stage, le temps avait passé très vite. Comme il
me restait peu de temps dans cette clinique après un mois de stage, je devais
absolument voir le docteur Davis pour ma recommandation. Un jour, le soir après la
fermeture de la clinique aux visites, mon très sexy chirurgien était resté à son
bureau pour préparer ses prochaines interventions chirurgicales.
Moi de mon côté, il me restait des dossiers médicaux à archiver, je décidai de
rester un peu plus tard pour finir mon travail, et je ne regrette pas du tout d’être
restée plus longtemps à la clinique.
Avant de commencer mon archivage de dossiers, je suis allée voir le docteur
Davis dans son bureau. Dans les couloirs, tout était paisible, aucun bruit ne se
faisait entendre. Je me suis dirigée vers le bureau de mon docteur préféré. J’ai
frappé à sa porte.
- Entrez !!!
Je suis entrée timidement dans le grand bureau qui était éclairé juste par une
lampe de bureau à la lumière tamisée.
- Mallaury, vous êtes encore à la clinique à cette heure-ci ?
- Oui, Docteur, tout comme vous, j’ai des dossiers à archiver, alors je suis
restée ce soir pour m’avancer.
Un léger sourire très espiègle se dessina sur les lèvres charnues bu beau
docteur. Je me suis retrouvée très attirée par son regard et son sourire coquins.
J’étais séduite par son charme naturel et animal. Il se leva et s’approcha
langoureusement de moi, je ne pouvais plus bouger, j’étais prise au piège, attirée par
cet homme absolument torride.
Il me colla le long de la porte, nos deux corps de frôlaient, je me sentais
défaillir. Je sentais son parfum très masculin et sensuel m’envahir. Soudain, il prit
la parole :
- En quoi puis-je vous aider très chère Mallaury ?
- J’ai une lettre de recommandation à vous faire remplir.
Il prit mon dossier, le déposa sur le bureau et me dit :
- Laissons les dossiers pour ce soir, et si on s’occupait de nous ?
A ces mots, je savais que nous allions passer un très bon moment tous les
deux. Moi, je portais ma blouse de secrétaire, un chemisier blanc avec un pantalon
fluide noir et juste en dessous, ma lingerie. Je portais un ensemble guêpière – string
en dentelle blanche, avec des bas noirs et de grandes bottes noires. Lui, portait un
jean avec une chemise noire qui lui donnait un air très détendu mais à la fois très
viril.
Il se rapprocha de moi à nouveau, il posa ses mains sur mes épaules, il
approcha ses lèvres des miennes pour m’embrasser, mes lèvres tremblaient. Son baiser
était langoureux, ses lèvres étaient chaudes et légèrement sucrées. C’était un vrai
délice de l’embrasser. Tout à coup, je sentis ses mains glissaient sur ma blouse qu’il
déboutonna très sensuellement. Il laissa glisser ma blouse qui tomba au sol. Il
dégrafa ensuite mon chemisier bouton par bouton, qui tomba aussi au sol, puis il fit
glisser mon pantalon sur mes hanches.
J’étais à présent en lingerie devant lui. A mon tour, je lui donnai un baiser
tout en déboutonnant sa chemise. Je scrutais son corps dans les moindres détails. Il
était parfait, bien musclé, son torse était taillé en V avec des épaules larges et
réconfortantes, ses bras étaient doux et protecteurs. A présent, il me caressait à
travers ma lingerie, il me glissa quelques mots à l’oreille :
- Tu es très désirable, et ce genre de lingerie me rend fou.
Je me sentis rougir à ces paroles.
- Mais au fait, je ne connais toujours pas ton prénom.
- Théo !
- Enchantée Théo !
- Enchanté Mallaury !
Ses caresses étaient douces et sensuelles, je frémissais à chaque mouvement de
ses mains sur mon corps bouillant. Moi je caressais son torse, ses épaules. Je
descendis mes mains sur son ventre et il eut un sursaut, je venais de le chatouiller
avec mes caresses, il me sourit pour montrer sa faiblesse. Je descendais de nouveau
mes mains et je dégrafai le pantalon du beau Théo. Son jean tomba à ses pieds, il
portait un boxer blanc qui mettait très bien en valeur ses fesses rebondies et fermes.
Lui, de son côté, il ôta une à une les agrafes de ma guêpière pour libérer ma
poitrine gonflée par l’excitation. Il se baissa à mes genoux, il enleva mes bottes,
puis il remonta ses mains sur mes jambes par-dessus mes bas, il enleva mes jarretières
puis il fit glisser mes bas très sensuellement, l’un après l’autre, il termina son
effeuillage par mon string qu’il fit descendre avec ses dents, c’était tellement
torride, que je commençais à jouir rien qu’avec le fait qu’il me déshabille d’une
manière si excitante.
Après m’avoir dévêtue de ma lingerie, il remonta ses mains tout le long de mon
corps, ses caresses me faisaient de plus en plus frémir. Je n’avais qu’une seule
envie, sentir son corps profondément en moi. On était maintenant nus tous les deux,
dans le bureau, il y avait une chaleur étouffante qui nous empêchait pas de nous
coller l’un à l’autre.
Comme Théo avait pris les devants en me déshabillant, je décidai de commencer
les préliminaires pour lui montrait qu’il n’était pas le seul à prendre des
initiatives. Je lui glissai quelques mots à l’oreille :
- Détends-toi, je vais m’occuper de toi.
A ces mots, je me baissai pour me mettre à genoux sur la moquette du bureau.
Théo me regardait faire, il avait l’air impressionné que je prenne les devants, mais
en même temps, cela avait l’air de lui faire plaisir. Je commençai par caresser son
torse, je titillais ses tétons avec mes doigts que j’avais enduits de salive, puis mes
mains descendirent sur ses hanches et s’attardèrent sur les jolies fesses du docteur.
Après quelques caresses et quelques légères griffures sur ses fesses,
j’approchai mes mains de son sexe qui était légèrement en érection. Je commençai à le
branler d’une main, et avec l’autre, je lui caressai les cuisses, les fesses et ses
couilles. Je levai les yeux pour le regarder et je remarquai qu’il avait fermé les
siens, il avait l’air d’apprécier car il souriait sous l’effet de mes caresses.
Tout à coup, j’approchai ma bouche de sa queue un peu plus dressée, je
décalottai son gland et je l’embrassai et Théo eut un sursaut. Il baissa les yeux, me
regarda et me sourit. Je pris sa queue en bouche et je commençais à le sucer doucement
avec sensualité, tout en continuant de le branler d’une main et de jouer avec ses
couilles de l’autre.
J’accélérai les mouvements de ma fellation et Théo commença à gémir de
plaisir, je le sentais trembler sous mes caresses buccales. Tout à coup, il m’arrêta
et me releva et me dit :
- Donnes-moi ton corps, j’ai envie de te donner autant de plaisir que tu viens
de me procurer, tu fais cela si bien.
- Merci, alors d’accord, je te laisse me donner du plaisir et t’occuper de mon
corps.
Il m’attrapa par la taille et ma plaça assise sur son bureau. Il approcha sa
bouche de mes seins qu’il embrassa tendrement. Mon corps frémissait sous sa langue
chaude et douce, qu’il faisait glisser sur mes tétons durcis par le plaisir. Théo
était tendre dans ses caresses, je me sentais défaillir. Il jouait avec mes tétons, il
léchait mes seins très sensuellement. Ses mains glissèrent sur mon ventre et mes
reins, à son tour, il trouva mon point de faiblesse car il venait de me chatouiller au
creux des reins.
Il se mit à genoux, il m’embrassa les pieds puis remonta le long de mes jambes
en me mordillant. J’adorai ce qu’il était en train de faire. Arrivé à la hauteur de
mon intimité, il s’arrêta et me regarda avec un air des plus coquins. Il commença par
embrasser le haut de mon pubis, puis le creux de mes cuisses. Tout à coup, je sentais
sa langue qui glissa sur mes lèvres. Avec ses doigts, il écarta mes lèvres pour
pouvoir jouer avec mon clitoris plus facilement.
Quand il attrapa mon clito gonflé entre ses lèvres, je sursautai sur le bureau
tellement c’était bon et excitant. Il le faisait tourner sur sa langue, il l’aspirait
pour le faire encore gonfler. Soudain, je sentis qu’il pénétrait mon intimité avec ses
doigts. Ses va-et-vient se faisaient de plus en plus rapides mais toujours aussi
précis, j’étais trempée sous l’effet intense de ses doigts en moi.
Après ces quelques va-et-vient de ses doigts, il approcha sa langue et
commença à me faire un cunni des plus divins. Je gémissais à chaque passage de sa
langue sur ma chatte, pendant qu’il me donnait du plaisir, je me caressais les seins
d’une main et je lui caressais les cheveux de l’autre. Soudain, j’eu un sursaut plus
fort, je venais de jouir avec cet excellent cunni. Il se releva et vint m’embrasser.
- Visiblement, je t’ai donné du plaisir ?
- Oh que oui, c’était tellement bon, je n’ai pas pu me retenir.
A ces mots, il m’attrapa par la taille, avança mon bassin sur le bord du
bureau et me pénétra de sa queue dressée. Il était doux dans sa pénétration, je
m’accrochai à son cou pour mieux me coller à lui, pour intensifier la pénétration. Mes
jambes entouraient son bassin, notre étreinte était des plus tendres.
Tout à coup, il me porta tout en continuant sa douce pénétration. Il
s’asseyait sur le canapé, on se posa confortablement, mes jambes étaient posées sur le
côté des siennes. Je commençais à bouger mon corps pour intensifier les mouvements.
Mes mains caressaient son torse. On s’embrassait en même temps tellement nos corps
étaient proches dans cette position.
Il glissa ses mains sur mes fesses pour aider mes mouvements, il malaxait mes
fesses avec détermination, de mon côté, je bougeais de plus en plus vite, Théo déposa
sa tête sur le haut du canapé et commença à gémir comme j’aime chez un homme. A ce
moment, d’un mouvement rapide et d’une force incroyable, il me retourna en levrette
sur le canapé, il me repénétra, mais cette fois-ci plus sauvagement, je lâchai un
gémissement plus intense qu’auparavant.
Il accéléra ses mouvements, il me tenait ferme par les hanches, j’adorai ça,
cela devenait bestial, je ne tenais plus, je jouissais pour la seconde fois mais j’en
voulais encore et Théo était très endurant, notre levrette était torride à tel point
que l’on transpirait tous les deux.
A un moment, pendant cette chaude levrette, il me donna une fessée, je tournai
la tête pour le regarder et il me sourit et me regarda très virilement. De temps en
temps, dans mes rapports, j’aime être sauvage, une fessée pendant l’amour n’a jamais
tué personne. Il se pencha vers moi pour m’embrasser dans le cou très langoureusement,
et il prononça quelques mots :
- Excuses-moi de te dire ça aussi crûment, mais j’ai très envie de te la mettre
dans le cul !
- Ah oui, en effet c’est cru, mais si tu en as envie, fais-toi plaisir, j’aime
ça aussi, ne t’inquiète pas, par contre ne le fais pas à sec.
- Ne t’inquiète pas, je vais faire ça bien, tu ne sentiras rien, enfin presque.
Il se retira de moi, il glissa quelques doigts entre mes lèvres trempées de
mouille puis il remonta entre mes fesses, il fit glisser un doigt dans mon anus, je me
cambrai sous l’effet de son doigt dans mon intimité profonde et plus serrée. Il
cracha entre mes fesses pour faciliter l’ouverture, il entra deux doigts de plus pour
pouvoir y entrer sa queue après.
Je ne sentais presque rien tellement il était doux dans ma préparation anale.
Malgré une petite douleur, je gémissais sous ses caresses. Soudain, il approcha sa
queue en érection de mon cul, il enduisit son gland de salive pour mieux entrer en
moi. Je sentais son gland qui entrait en moi.
- Théo, vas-y doucement pour le début.
- Ne t’inquiète pas, si tu veux arrêter, dis le moi et j’arrêterais.
- Non, vas-y mais très doucement s’il-te-plaît !
Il guida sa queue avec sa main pour ne pas être trop brute. Son gland était
entièrement rentré et je sentais à présent sa longue queue entrait au plus profond de
moi. Je m’agrippais à l’accoudoir du canapé tout en commençant à me détendre sous
cette sodomie sensuelle. Théo avait changé de comportement, après avoir été sauvage et
viril dans la levrette précédente, là, pendant celle-ci, il était doux, très calme
dans ses mouvements.
Il avait presque entièrement entré sa queue en moi, il commença des va-et-
vient très sensuels et très doux. Il déposa ses mains sur mes hanches qu’il caressait
en même temps que sa pénétration, moi je m’étais enfin relâchée et je prenais enfin
mon pied avec une sodomie pratiquée dans les règles.
Il remarqua que je me laissais de plus en plus allée et que je jouissais pour
la troisième fois. Après mon troisième orgasme, Théo se retira et vint jouir sur mes
fesses. Il cracha son sperme chaud en gémissant de plaisir.
Nous sommes ensuite passés à la douche pour nous nettoyer et pour refroidir
nos corps échauffés par cette étreinte torride. Après la douche, nous nous sommes
posés dans le canapé, enlacés dans une couverture qui était posée sur le canapé.
- Merci Mallaury, pour ce merveilleux moment de plaisir, tu sais t’y prendre
pour faire jouir un homme, tout ton corps est fait pour le plaisir.
- Merci à toi Théo, j’ai découvert un homme à la fois tendre et viril comme
j’aime.
- Au fait, ton dossier concerne quoi exactement ?
C’est vrai que j’étais venue avec un dossier que j’avais totalement oublié
grâce à Théo.
- C’est mon dossier d’agrémentation pour mon diplôme à la fac. J’ai une lettre
de recommandation à te faire signer.
- Donnes-moi ta lettre que je la signe et demain tu passeras au bureau pour
signer ton contrat.
- Mon contrat, quel contrat ?
- Ton contrat de travail à mi-temps dans ma clinique en tant que mon assistante
personnelle. Tu es une secrétaire très douée et je ne te parle pas uniquement de tes
dons pour donner du plaisir mais aussi de ton professionnalisme et ta grandeur d’âme.
PS : J’ai donc été embauchée dans la clinique du beau docteur Davis avec qui je
continue d’entretenir des relations torrides dans son bureau.
A LA PROCHAINE !!!!!!
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Rosenoire02
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...